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[Rp] 1ère allocution du Duc d'Anjou.

Finam
Peuple!
Angevins, Angevines!

L'Anjou, notre terre, est en péril. Nous nous trouvons à l’aube de l’une des plus grandes pages de notre histoire, nous sommes engagés sur de nombreux dossiers, Rome, Touraine, et plus généralement Paris.
Nous nous préparons à essuyer des combats à Saumur contre des hordes irraisonnées et sanguinaires, tandis que l'abattage des brigands continue chez nos contempteurs, et que nous devons dans le même temps résoudre à bien de nombreux problèmes au niveau économique, au niveau démographique, notamment, sur notre propre sol.

J’espère que tous mes amis et détracteurs, ou anciens détracteurs, qui sont concernés par ces bouleversements politiques ne s’offusqueront pas, en aucune manière, de la manière cavalière avec laquelle tout cela va être mené. Les intérêts personnels, le poids des heures de travail, tout cela n’est rien en comparaison de l’importance du combat auquel nous allons vouer nos existences: un combat pour la vie et l’honneur, pour le droit et la liberté. Nous nous sommes opposés et querellés par le passé, mais à présent, nous voilà unis par le but vers lequel nous tendons: sortir de cette crise, et si guerre il doit y avoir, mener celle-ci jusqu’à la victoire, et ne jamais nous résigner à la servitude et à la honte, quel qu’en soit le prix et la souffrance.

Vous vous demandez : quelle va être notre politique ?
Je vous répondrai: mener l'Anjou, et si guerre il doit y avoir, mener la guerre, en Anjou, et ailleurs, avec toute la volonté et toute la force que Dieu voudra nous donner. Mener la guerre contre de monstrueuses institutions, jamais dépassées dans le sinistre et sombre catalogue des hypocrisies politiques.
Je veux dire à tous, comme je l’ai dit à chacun de ceux qui ont rejoint ce conseil ducal: je n’ai à vous offrir que du sang, de la peine, des larmes et de la sueur. Il serait insensé de prétendre nier la gravité de cette heure. Mais il serait plus insensé encore de perdre cœur et courage. Nous avons devant nous un avenir d’une terrible difficulté. Nous avons devant nous de longs mois de combat et de souffrance.
Notre tâche n’est pas seulement de gagner cette guerre qui se profile, menée par ces suppôts, mais de faire valoir nos droits. Derrière cette guerre se profile une bataille pour notre liberté, une bataille pour ce qu’est l’Anjou et pour ce qu’Anjou veut dire: fierté, liberté, et honneur! C’est là que réside notre combat! Face à cette extrémité, nous ne devons plus reculer devant aucun moyen, fut-il le plus drastique, pour tirer de chacun d’entre nous le moindre effort supplémentaire dont il est capable. Voilà quelle est notre politique!

Vous vous demandez quel est notre but ?
Je vous répondrai en un seul mot: notre but c’est la victoire, la victoire à tout prix, la victoire en dépit de la terreur, la victoire quelque longue et difficile la route puisse être. Parce que sans victoire, il n’y aura pas de survie, plus de liberté, plus de tolérance. Gardons cela à l’esprit: pas de survie pour l'Anjou, pas de survie pour tout ce que le peuple angevin a porté et combattu pour, pas de survie pour l’héritage de notre Histoire et tout ce que nos ancêtres nous ont légué.
Je considère ma mission avec sérénité et espoir. Je suis certain que notre cause ne souffrira pas des hommes qui la soutiennent. Je me sens aujourd’hui fondé à réclamer l’aide de tous: avançons ensemble, fort de notre unité !

Amis, Alliés!
Valeureux parmi les valeureux! Braves parmi les braves!

Le Ponant, ses hommes et ses femmes, s'apprêtent à vivre l'une des périodes les plus noires de son histoire, de votre histoire. Sans doute aussi l’une des plus sublimes.
Côte à côte, les peuples marcheront en avant pour défendre non seulement nos terres, mais aussi celles de nos ennemis d'un jour, pantins d'un jour, avilis et serviles qu'ils sont, contre la plus épouvantable et inhumaine tyrannie qui ait jamais sali et assombri les contes et manuscrits, sur lesquels la longue nuit de l'lomnipotence menace de s’étendre, une nuit que pas une étoile d’espoir n’éclairera, à moins que nous ne soyons vainqueurs, comme nous devons l’être, comme nous le serons. Nous sommes et serons dans notre droit le plus juste, garants de la liberté de nos peuples, de la liberté de tous les peuples.
S'ils prennent les armes, prenez les armes! Mais montrez votre valeur, ne cédez pas à la lassitude, au désarroi, et à la facilité! Nous ne choisissons pas notre destin, nous en sommes dépositaires. Soyez prêts au combat chaque jour, Il vaut mieux pour nous périr en combattant que d’affronter le spectacle de l’outrage fait à nos peuples parce que d'aucuns d'entre nous n'auront pas su attendre le jour où ces chiens frapperont. Et ce jour viendra.

En ce jour, je brandis un glaive libertaire porté par l'élan de tous les peuples, pour tous les peuples, par une unité et une volonté sans faille! Pour l'Anjou! Pour le Ponant!
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"Aristote aurait pu devenir un saint, le patron de tous ces Romains qui ne cessent de trahir.."
Saltarius
Saltarius écoutait le nouveau Duc, les yeux grands ouverts, les oreilles décollées à l'affut.
De grosses gouttes coulaient sur son visage.
Il sortit un grand drap, très propre,- on peut-être fol, on n'en est pas moins digne - et se moucha bruyamment


- POOOOOOOOOOOOOOOOOOOT

Z'entendez là haut ? Cause bien, hein le Finam ....
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Fitzounette
Celle qu'on ne voyait plus depuis des lustres s'en était revenue. Elle avait vu d'la lumière qu'elle disait. C' était plutôt elle qu'était illuminée depuis qu'elle gobait des papiers buvards. Elle voyait la vie en couleurs, qu'elle disait aussi... Toujours est il que non loin du morveux, elle se mit à beugler.

Vive le Duc ! Vive l'Anjou Souverain ! Sus à l'occupant !

Elle sortit son épée toute neuve, cadeau du Colosse, de son fourreau, et la brandit vers le ciel. Toujours hallucinée, un sourire niais vint habiller ses lèvres pâles, et ses pupilles dilatées fixèrent la lame.

Han, c'est beau, ça brille...
_________________

En mémoire des joueurs de Fablitos et Zoko33.
Saltarius
Saltarius se retourna au son de la voix cristalline bien qu'un peu raucie par ... l'alcool? les fumées ?l'émotion ... allez savoir !
Il ouvrit tout grand ses yeux et fit son sourire en tire-lire

- Oh, dame Fistzounette, Votre grandeur .... Vous me remettez ? Je suis Saltarius, votre conseiller en jurons.... Par les couilles du Grand Hornu et les semelles de Saint Pietbot, comment allez-vous ? Ca fait un bail qu'on ne vous a plus vue en Anjou
Il ajouta tout bas,
- Ben moi aussi d'ailleurs, j'ai eu affaire en pays de morts vivants... Mortecouille en Goguette ! Qu'est-ce qu'il cause foutre bien not' Duc, hein ?

Il ressortit son grand essuie et de remoucha un grand coup :
- L'émotion, vous comprenez....?

Il évita la lame
- 'tention, hein ça fait mal ces trucs là.... Vous voulez pas une image de Sainte Bécassine, protectrice de l'Anjou ? Ca marche... ça a marché pour moi, pour Kilia la Duduche, qu'a trouvé la mort et l'amour aussi et est revenue... Et pis...
S'excitait le Saint Bitu... de grandes émotions l'habitaient

- Par les moustaches de Petronille... zavez vu, not' duc, il a encore plus de poil qu'avant.... J'me demande comment c'est dans ses braies...
_________________
Vadikura
Grand contentement, le barbu duc régnant d'Anjou! Le fifi brin d'acier sur la plus haute marche angevine!
Il écouta avec attention le discours et ne put s'empécher de crier son contentement


You, You.......

Regard sur l'animateur de la salle sortant son panneau ou il était noté "applaudise" et ses deux mains firent entendre le bruit caratéristique


Clap..Clap..Clap...

_________________

Penthiévres parce qu'il en faut bien!
Edern
"Pour l'Anjou! Pour le Ponant!", applaudissements.
Dans la foule, un homme prend la parole qu'il portera désormais.
L'Histoire est en marche, les mots grandissent les Hommes et le Fou rentre en scène.

Angers ! Craon ! La Flèche ! Saumur !

Quatre villes, un duché.
Quatre maires loyaux à un duc et son conseil.
Dans la guerre comme dans la paix, l'unité comme règle et l'honneur pour étendard...
C'est vous. C'est nous. C'est l'Anjou ! l'Anjou, envers et contre tout ! l'Anjou qui jamais ne se mettra à genoux !


Vous avez tous entendu notre duc bien-aimé ; sa voix résonne toujours en nos oreilles, et plus profondément encore en nos consciences. Aujourd'hui nous mesurons ensemble notre force, car ces mots ne sont pas seulement le fait humain d'un coeur empli d'amour pour sa patrie et d'une volonté de fer opposés à ses ennemis, non, ils sont bien plus que cela. Ils sont l'expression même de l'âme angevine !
Car il y a bel et bien une âme angevine et vous êtes tous, oui tous, constitutifs de cette merveille dont l'éclat ne peut être qu'issu de divin.
Cet Anjou qui, insensible aux années qui rongent lentement certains royaumes jusqu'à leur écroulement final, brille de mille feux jusqu'à en éclipser ses voisins trop petits pour rivaliser avec sa lumière, vous le portez en vous !


Pause légère, règle première du manuel du petit harangueur, qui ne pêche pas de poisson malgré l'utilisation d'hameçons divers. Le doigt est pointé à l'est.

Mais cet Anjou est aujourd'hui menacé comme il ne l'a jamais été depuis des siècles ; laisserez-vous vos enfants mourir, transpercés de part en part par des traits tourangeaux ? Pire, les laisserez-vous vivre en esclaves, vidés de toute particule de vérité et de liberté, odieuses carcasses condamnées à servir pour l'éternité ? Qui, parmi vous, ne se révoltera pas de tout son être contre l'infâme qui nous guette de son œil torve ?

Car il est proche et de violence affamé. À quelques lieues ses adorateurs ont établi leurs repaires, fourbi leurs instruments de mort. Un fil seulement les arrête ; la frontière que vos voix ont érigée les effraie encore dans leurs projets sanguinaires. Ils n'ont pourtant de choix que celui de l'attente ou de l'affrontement, et nous devons à notre terre nourricière un combat sacré pour la protéger...
Sont-ils cent ?
Nous serons mille !
Mieux, vous en serez !


D'une personne à l'autre le regard passe rapidement, appuyé malgré tout, accompagné d'un mouvement de bras voulu ample, tout en intensité dramatique.

Toi, le paysan à la fertile sueur !
Toi, l'artisan qui ne compte pas ses heures !
Toi, le bourgeois commerçant toutes richesses !
Toi, le vagabond qui a trouvé hôtesse !
Toi, le soldat fort et courageux !
Toi, le noble fier et valeureux !

Vous tous !


Yeux au ciel.

L'Anjou vous aime, alors...

Retour à la foule.
Sourire de fou.
Rugissement.

AIMEZ-VOUS L'ANJOU ?
Saltarius
Ouuuuuuuuuuuuuuuuuuaiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiisssssssssssss
_________________
Malatesta
Un peu à l'écart, un vieux guerrier grisonnant...

Quelques mots discernables entre les crissements créées par chaque passages de la pierre à aiguiser sur son épée.

Pour peu, il en aurait presque envie de crier "vive le duc !".
_________________
Ils ont un drapeau noir en berne sur l'Espoir,
Et la mélancolie pour traîner dans la vie...
Clodeweck
Une pensée pour être "couleur locale", le père vit le discours placardé et chercha longtemps ça lui rappelait quelque chose...Ou plutôt quelqu'un...Ha oui le discours d'un vieil anglais qu'il avait connu autre fois, un certain Wiston Churchill...Quel plagia !
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Fitzounette
Une voix lointaine, très lointaine, qui l'interpelle. Elle réfléchit un instant. Oui, c'est bien à elle qu'on parle, elle s’appelle bien Fitzounette... Le temps que l'information lui grimpe à la cervelle... Elle tourne la tête comme au ralenti, avant de poser les yeux sur l'homme.
Le connait-elle ? Il semblerait. Hum... Un autre intervalle de temps, qui lui semble infini, s’étire. Quand enfin un fin sourire en coin se fiche le long de ses commissures.


Hey vous... J'me souviens. J'vous avais nommé mon conseiller en jurons juste avant mon départ pour l'asile d'aliénés ! Oulah mais je vais bien, du moins, je vais mieux ! Je suis une auto médication qui me fait vivre dans un monde plein d’arcs en ciel ! Le pays des bisounours !

Elle tend l'oreille et hoche gravement la tête.

Ah oui, j'ai connu ça, l'pays dont on ne revient pas mais dont presque tout le monde revient. Très conceptuel... Faudrait que j'y pense, tiens...

Complètement allumée, elle se perd dans les brumes éthérées de ses deux hémisphères, tout en lui tapotant dans l'dos, sans comprendre pourquoi ce grand gaillard larmoie comme une pucelle désespérée. Elle revient vers lui.

Sainte Bécassine ? Ca marche ? Beh euh, oui, m'enfin, j'sais pas si j'ai besoin que quelque chose marche, enfin, j'me comprends. Mais j'cracherais pas sur une jolie étampe, ma foi. Si en plus ça peut m'aider. Mais m'aider pour quoi déjà ? Mmmhhh...

Et plutôt que d'admirer la barbe luxuriante du Duc, dont elle aime à arracher des poils dès qu'il dort en taverne, et qu'elle conserve dans une petite bourse en cuir comme des trophés, elle se met de nouveau à divaguer. Elle est sortie de son errance spirituelle par le grand cri de son compagnon.

M'enfin, Saltarius, du calme ! Vous allez nous faire une crise de nerf ! J'vous trouve limite borderline, dans un état proche de l'Ohio !!!
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En mémoire des joueurs de Fablitos et Zoko33.
Letiti
Bon l'vioc comme duc, l'était pas très sur au début le tavernier. Faut dire qu'il s'en était pris pour son compte des taloches avec le barbu. Et il voulait apparemment imposer le port de la barbe. Il avait horreur de ca le petit bonhomme! Horreur!

Malgré tout il sentit son sang s'échauffer tandis que l' vieux bonhomme faisait son discours.
Son trognon près de lui, il commença à lui serrer la main un peu plus fort d'excitation.

Le tout finit les deux bras en l'air dans un cri d'allégresse:


Wouhouuuuu!
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Seresa
Clodeweck a écrit:
Une pensée pour être "couleur locale", le père vit le discours placardé et chercha longtemps ça lui rappelait quelque chose...Ou plutôt quelqu'un...Ha oui le discours d'un vieil anglais qu'il avait connu autre fois, un certain Wiston Churchill...Quel plagia !

Une pensée oui mais une pensée hrp, c'est pas bô ça ! Ce discours s'inspire de Winston avec un n, effectivement ! évidemment ! bravo, mais c'était tellement facile de le deviner, voyons "des larmes, du sang, de la sueur bla bla bla".... Prière, de ne pas m'embêter avec ce genre de remarque lorsque je lancerai l'appel du 18 juin !


Sérésa fut figée par la grandeur du discours ! Que tout cela était loin de la démagogie de pacotille de tant et tant de politiques de part les royaumes prêts à tout pour se faire réélire coût que coût !

VIVE L'ANJOU !!!!!!!
Que Dieu protège le Duc !!!!!!!!!!!!!!!!


C'est une louange, un chant qui monta des entrailles de la terre, comme si la nature avait pressenti l'immensité de la tâche à vivre au tournant enivrant du temps que l'on nomme, l'Histoire avec un grand H !!!

    Généreux favoris des filles de mémoire,
    Deux sentiers différents devant vous vont s'ouvrir :
    L'un conduit au bonheur, l'autre mène à la GLOIRE ;
    Mortels, il faut choisir !

    Oui, la Gloire nous attend ; arrête, et contemple
    A quel prix on pénètre en ses parvis sacrés ;
    Mais toi, Duc , que ton malheur t'inspire
    Un généreux orgueil !

    Que t'importe après tout que cet ordre barbare
    Te renie dans leurs palais parisiens ou romains ?
    Que t'importe en quels lieux le destin te prépare
    Un glorieux destin ?

    Ni le fiel, ni les fers de ces tyrans souls de rages
    N'enchaîneront TA GLOIRE aux bords où tu mourras :
    Le Ponant LA réclame, et voilà l'héritage
    Que tu lui laisseras !

    (inspiré d'un pouhème du pouhète Lamartine... )

Après avoir chanté Sérésa en bon Tzadik sonna le Quérène utilisé dans les combats pour que les Lances puissent se reconnaitre, mais aussi pour marquer l'instant des grands événements et alertant les armées des dangers.

Un son grave, solennel et mélancolique emplit la grand'place...


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    Qui cupit aut metuit liber non erit unquam !
    Qui convoite ou craint quelque chose ne sera jamais libre !

Melchiore.
"Ouéééééééé!!!"

Si ce n'était pas jour de fête, ça y ressemblait. Le dos tourné à l'estrade, le Gennais n'écoutait pas les discours. Les discours, c'était ennuyant. D'un ennui à vous faire germer l'herpès au coin de l'oreille. Un mouvement dans la foule, cependant, le fit se retourner pour agripper distraitement l'ourlet des braies Finamiennes.

"Hé! File moi deux écus! V'là le marchand d'pates de fruits!"
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Melchiore de Montmorency
D'honneur n'a que le doigt
Mildiou
Finam a écrit:
Peuple!
Angevins, Angevines!

L'Anjou, notre terre, est en péril.

Conneries. Le seul péril en ce taudis est un ennui généralisé, sommeil prolongé de moutons qui crèveront dans leur laine.

Finam a écrit:

Nous nous trouvons à l’aube de l’une des plus grandes pages de notre histoire, nous sommes engagés sur de nombreux dossiers, Rome, Touraine, et plus généralement Paris.

Oui, ces parchemins a taille variable seraient donc des moulins à aubes, j'avais cru entendre qu'il s'agissait de moulins a paroles..Il n'est guère surprenant que vous piétiniez ces amas bizarres, appelés dossiers.
On pourrait noter Paris généralise peu son particularisme. Enfin, c'que j'en dis, hein...

Finam a écrit:

(%

La solution du mâle est de résoudre à bien. Soit. Ou de dissoudre a mal. Cela revient, si je l'ai bien compris, à un syncrétisme antithétique tendant à sous entendre qu'il faudriasse que vous vous occupâtes de votre rôle.
Finam a écrit:

J’espère que tous mes amis et détracteurs, ou anciens détracteurs, qui sont concernés par ces bouleversements politiques ne s’offusqueront pas, en aucune manière,

Certainement pas. Vos détracteurs passés, présents et à venir, sont impatients de rire de vos nouvelles gaudrioles.

Vos amis sont tout aussi impatients de savoir de quoi vous parlez.

Finam a écrit:

de la manière cavalière avec laquelle tout cela va être mené.

Oui. Ne ratez pas une occasion pour expliquer à vos paysans que vous avez un cheval. Eux pas.
Finam a écrit:

Les intérêts personnels, le poids des heures de travail, tout cela n’est rien en comparaison de l’importance du combat auquel nous allons vouer nos existences: un combat pour la vie et l’honneur, pour le droit et la liberté.

C'est qu'il affranchirait les serfs, lui... Pourquoi pas les congés payés ?
Finam a écrit:

Nous nous sommes opposés et querellés par le passé, mais à présent, nous voilà unis par le but vers lequel nous tendons: sortir de cette crise,

Pour éviter la crise, il aurait fallu éviter de s'opposer et de ce quereller. Vieux dicton : "Est-il un problème dont tu ne fasses partie ?"
Finam a écrit:

Vous vous demandez : quelle va être notre politique ?

Euh, ben... oui ?
Finam a écrit:

Je vous répondrai: mener l'Anjou, et si guerre il doit y avoir, mener la guerre, en Anjou, et ailleurs, avec toute la volonté et toute la force que Dieu voudra nous donner. Mener la guerre contre de monstrueuses institutions, jamais dépassées dans le sinistre et sombre catalogue des hypocrisies politiques.

Un seigneur démocrate enfin, qui veut la guerre pour tous !
Finam a écrit:

Je veux dire à tous, comme je l’ai dit à chacun (blah, blah, blah), fut-il le plus drastique, pour tirer de chacun d’entre nous le moindre effort supplémentaire dont il est capable. Voilà quelle est notre politique!

Vous le dites à tout en chacun, ce qui fait qu'on comprend.
Finam a écrit:

Vous vous demandez quel est notre but ?

Ben, euh, oui.. je croyais que la politique fixait les buts, bête que je suis...
Mais déjà, la politique, c 'était pas très clair...

Finam a écrit:

Je vous répondrai en un seul mot: notre but c’est la victoire, la victoire à tout prix, la victoire en dépit de la terreur, la victoire quelque longue et difficile la route puisse être. Parce que sans victoire, il n’y aura pas de survie, plus de liberté, plus de tolérance. Gardons cela à l’esprit: pas de survie pour l'Anjou, pas de survie pour tout ce que le peuple angevin a porté et combattu pour, pas de survie pour l’héritage de notre Histoire et tout ce que nos ancêtres nous ont légué.

Oui, ça friserait l'ange vain.
Finam a écrit:

Je considère ma mission avec sérénité et espoir. Je suis certain que notre cause ne souffrira pas des hommes qui la soutiennent. Je me sens aujourd’hui fondé à réclamer l’aide de tous: avançons ensemble, fort de notre unité !

La politique précédente nous a mené au bord du gouffre ! Ensemble faisons un pas en avant !
Finam a écrit:

Amis, Alliés!
Valeureux parmi les valeureux! Braves parmi les braves!

Le Ponant, ses hommes et ses femmes, s'apprêtent à vivre l'une des périodes les plus noires de son histoire, de votre histoire. Sans doute aussi l’une des plus sublimes.
(%

L'ange devin , maintenant , ou de v...?
Finam a écrit:

En ce jour, je brandis un glaive libertaire porté par l'élan de tous les peuples, pour tous les peuples, par une unité et une volonté sans faille! Pour l'Anjou! Pour le Ponant!

Oué !

Mais bon, cher Duc, en dehors de vos libations concernant la liberté de faire la guerre pour tous, vous avez des projets concrets concernant le prix de la miche, l'écoulement de nos marchandises, le commerce avec les duchés voisins, les impôts, tous ces trucs ?
Linon
Et voilà, les élections étaient enfin terminées, le duc désigné. Et dès le premier tour s'il-vous-plaît ! Bon ça n'avait pas été l'unanimité et tant mieux... la diversité des angevins et de leurs idées étaient au regard de la brune gage de dynamisme.

Sa seule inquiétude avant de voter et connaissant Finam, avait porté sur sa capacité à rassembler. Les conseillers déjà, mais surtout le peuple. Et au fil du discours, Linon soupira de soulagement et hocha la tête avec satisfaction. Pas de vaine promesse de vaches grasses, quoique... l'économie est souvent galvanisée par la guerre. En serait-il autant des angevins?

A voir chaque jour ses compagnons d'armes fidèles au poste malgré les semaines qui s'écoulaient, les blessés d'hier rejoindre dès qu'ils le pouvaient les armées placées en défense, la jeune femme en était de plus en plus sûre. Le peuple angevin trouvait enfin son unité et son identité à travers les épreuves que leur avaient imposées les envahisseurs, les insultes des prélats de Rome, le mépris des instituions parisiennes.

Non, non, le discours était très bien, et celui du Porte-parole l'était tout autant. C'était vraiment une belle journée, même pour les simplets qui marmonnaient en répétant chaque phrase du duc. Un admirateur sûrement? Tiens... elle raconterait ça au duc, ça lui ferait plaisir de savoir que le peuple apprenait déjà ses discours par coeur.

La nouvelle juge adressa un sourire heureux à son époux qui lui tenait la main, et fit sautiller leur fille qu'elle portait sur la hanche en s'écriant


Bravo !!! Vive le Duc ! Vive l'Anjou !!


La petite Miel rit aux éclats en battant des mains.
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Cherche joueur pour reprendre un PNJ en PJ (garçon de 11/12 ans). Gros BG mais le futur du perso n'est pas défini.
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