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[RP]Plage de Montpellier.

pnj
Voila plusieurs jours qu'ils voyageaient ensemble et plusieurs mois qu'ils se connaissaient...
Par conviction, ils se trouvaient tout les deux a Montpellier....

Passée la soirée, une noble dame leurs avaient dit que la plage.... le coucher de soleil…
enfin du coup, il fallait bien se détendre un peu...
Zazou était partie au marché prendre quelques provisions... lui cherchant sous la tente au campement, des couvertures....

Je l'avais rejoins devant la taverne que nous avions quitter quelques temps avant... je lui souriais, la regardait dans les yeux et lui pris la main...

L’air frais du soir avait quelque chose de magique… En traversant les rues de Montpellier pour atteindre la plage...
Elle m'avait parlé de fraises sur les dunes et la laissait donc trouver le chemin, malgré que... les embruns ne puissent nous faire douter du lieu...
Zazounette
elle essaya de se souvenir ...... si longtemps qu elle n etait pas venue ici mai sle souvenir des fraises poussées dan le sable etait inoubliable

d apres ses souvenirs ca devait etre pres de la 4eme ou 5eme dune.... chargée d un panier de provisions elle passa chercher son ami.... un peu de detente avant de reprendre la route leur ferai du bien



allez viens allons a la recherche de ces fameuses fraises il faut juste escalader les dunes ....... et voir si malgré ton grand age tu garde la forme .....

elle l entraina vers la plage en riant
pnj
arrivé souriant ...

Citation:

et voir si malgré ton grand age tu garde la forme ...


]"Hein ? tu parle de quoi là faire un marathon ???"...
Elle me faisait trop... sourire,
Jje ne savais que penser... surement une bière de trop en taverne...
une seule chose était sure... Ce coucher de soleil, je voulais le voir avec elle.. poser une couverture sur le sable... chercher ses fameuses fraises... quoi qu'elle devait surement se douter de ce que j'attendais....
Je pensais que "oui les fraises sont au ras du sol..."
et ne put m'empêcher de sourire...
je commençait avec elle à parcourir la dune... plus on cherchait ces fameuses fraises, plus je lui serrait la main...
Peur de la perdre ? ou l'envie de la garder pour toujours ?...


la nuit tombait doucement sur une dune je lui dit :
"heu... le soleil se couche la ...."
pointant du doigt l'horizon... au dessus de la mer le disque rougeâtre descendait....
[b]'tu crois que ca va être dur de trouver des fraises la nuit ?
Zazounette
Citation:
tu crois que ca va être dur de trouver des fraises la nuit ?


zazou sourit legerement .....
on les trouvera a l odorat si il faut ca a une odeur particuliere ....

installons nous en bas de la dune pour le coucher de soleil apres nous en finirons avec ces fraises


ils se laisserent glisser en bas ou ils s installerent appuyer a la dune le sable etait encore brulant de soleil a cela ne manquait qu un bon verre de vin ....

elle sorti de quoi boire dans le panier et lui donna la bouteille a deboucher
pnj
Se laissant glisser le long de la dune... moi sur les fesses...
Par les braies le sable était remonté... enfin bref ça chatouillait....
Une fois poser si l'on peut dire... j'installais la couverture...
A peine le temps de faire qu'elle me tendais la bouteille à moi qui... avait encore les yeux embrumés...
autant par les bières de la taverne que par sa présence...
je sortait ma dague et débouchais la dite bouteille posait mon nez voir si elle n'étais pas bouchonnée...
pris deux verres dans le panier...
la regarde en versant le breuvage.... lui tendis son verre, trinquais avec elle en lui faisant signe....
sur l'horizon, le soleil n'éxistait pratiquement plus.... le bleu du ciel avait fait place a la nuit presque tombée, la lune pâlotte faisait son apparition...
Sur les vagues que nous regardions tout deux, verre a la main, les derniers rayons de soleil cherchaient a rester près de nous, aidé par le reflux des vagues, dont le son nous berçaient...

Zazounette
la chaleur du sable contrastait avec la fraicheur des embruns ..... le vin etait bon mais il manquait de fraicheur .....
il serai meilleur dans un moment
elle ferma les yeux un court instant se laissant gagner par la quietude de l endroit puis se resaisi de peur de s endormir

elle regarda en silence la lune apparaitre

voila une belle definition du paradis ....

elle regarda rose et lui sourit

mais vu l heure il faudra revenir pour les fraises on risque de se perdre dans les dunes

elle pensa que c etait une bonne excuse pour recommencer des soirées comme celles ci
Enelram
Enelram s'était promis de prendre un peu de temps aujourd'hui pour aller parcourir la plage après sa journée de pêche. Elle place sa barque le long de la barge et descendit de celle-ci et ramassa quelques cailloux. Elle tenta tant bien que mal à les faire ricocher sur l'eau mais sans trop de succès. Elle se disait qu'avec de la patience (ça, elle en avait a en revendre^^), elle devrait y parvenir.

Elle se disait que depuis le temps qu'elle était ici, elle n'avait pas vraiment pas profité de la beauté des lieux. Pourtant...tout y était...seul un doute planait encore dans son esprit...sera-t-elle assez convaincante...ou du moins attirante pour lui. Leur dernière discussion avait été encore une fois de trop courte durée...Pas tous les mots n'avaient été dits, il lui manquait le principal. Elle espérait qu'elle aurait la chance de le lui dire.


Elle repris une galette et réussi à lui faire un bond...c'était un début.
Roland_fr
N'étant pas venu pêcher ce jour là, Roland prit la direction de la plage perdu dans ses pensées. Le coeur léger, il marchait d'un bon pas, malgré la fatigue d'une journée à batir la charpente d'un futur superbe hotel particulier qui ferait la réputation un jour de la cité.
La plage s'étendait à perte de vue. Il avait entendu dire que dans cette direction, vers le soleil couchant, la plage portait le nom d'une cathédrale coincée entre étang et plage. Un ilot de verdure entre marais et sable. Quelques vignes, quelques batisses, une cinquantaine de chanoines... et cette cathédrale batie au 12eme siècle. Un vieux pécheur lui avait glissé son nom : Maguelone !

Les syllabes chantaient dans son esprit alors qu'il remontait la plage, cherchant au loin la silhouette des deux tours qu'on lui avait dit s'appeler "tour St Jean" et "tour de l'Evèque"...

Au loin il cru apercevoir une silhouette O combien familière... Ce n'était pas un chef d'oeuvre de l'art roman, mais le plus éclatant des joyaux.
Il se mit à courrir, certain que c'était elle, le coeur battant.
_________________
Roland
Enelram
Contente d'elle d'avoir enfin réussi à faire un bond sur l'eau de la galette elle sourit. C'est à ce moment précis qu'elle attendit une personne courir vers elle. En se retournant, elle vit apparaître Roland. Roland...son coeur se mis a battre à la chamade. Comme elle était contente de le revoir ce soir. Elle se mis aussi à courir auprès de lui. Une fois arrivé en face de lui, elle lui offrit son plus beau sourire et lui tendit les bras et alla se blotir tout contre lui.
pnj
[Deux jours plus tard]


Encore deux soirées passées ensembles en taverne, a rentrer au campement a moitié saouls à en finir dans le fossé.
Chaque matin qu'Aristote fait, je la souhaitait et la désirait sous mes couvertures, pourtant jusque là rien de répréhensible, a part qu'ils sont deux amis... boivent des bières... L'on ne savait de qui viendrait le premier pas ou le faux pas... pourtant il s'attiraient comme des aimants.

Ce jour la nous avions décider de retourner sur la plage et chercher ses fameuses fraises, pourtant de la cuite de l'autre soir, me semblait avoir entendu qu'il n'y en avait pas encore.
Après tout, je me foutais bien de la chose, seul comptait me retrouver avec elle. Elle avait quelque chose de mystérieux, d'attirant... cette fraicheur et sa liberté....
liberté : un mot qui faisait penser au tant de voyages et de conquêtes mais de cela je ne lui en parlerais pas.

Besace d'une main, tenant la sienne de l'autre nous voila de retour sur la plage après une journée passée armes a la main a attendre les ordres.


"Bon alors ? fraises ou pas fraises?" lui demandais-je en souriant....

Je me rendais compte que mon sourire cachait une certaine angoisse, mon cœur battait plus fort autant que pour la serrer dans mes bras,
sinon que de lui avouer qu'une femme et un enfant m'attendais.....



Roland_fr
Citation:
...elle lui offrit son plus beau sourire et lui tendit les bras et alla se blotir tout contre lui.


Roland serra Enel dans ses bras. Longuement ils restèrent là sans un mot, seuls au monde.
Ils se tournèrent vers l'astre qui déclinait en embrasant l'horizon, et chacun priait à sa façon, formulant des voeux sur leur destin.

Roland glissa sa main droite dans la longue chevelure sombre d'Enel, et il lui murmura quelques mots. Des mots qu'il ne savait plus comment contenir. Des mots qu'elle attendait. Des mots qui lui firent fermer les yeux. Lentement leur respirations s'accordèrent sur un rythme lent, posé. Ils s'asseillèrent dans le sable et firent une dernier voeu alors que le dernier rayon du jour s'éteignait là bas au loin, à l'ouest au delà de l'horizon et du monde, là où seul le soleil sait ne pas s'égarer.
Roland s'imaginait suivre la course du soleil, là bas, au delà des mers...
_________________
Roland
Sibille


Coucher du soleil le 11 mai.

Ils en étaient là, sous le coucher du soleil, à se rassurer, se cajoler quand une boule de poils vient les surprendre souhaitant jouer dans l’eau sûrement avec eux aussi… Sibille ne put entendre ce que Opus lui disait car Barack faisait un raffut de tous les diables entre gerbes d’eau, jappements et sauts dans tous les sens..

Mais qu’est-ce qu’il lui arrive à ton chien ? Il a mis la truffe sur un crabe ou quoi ?

Elle se mit à rire et se dit qu’il était temps de sortir de l’eau, ils allaient attraper mal. Elle entraîna son tendre et laissant Barack s’amuser sur la plage, ils rejoignirent leur roulotte où Winbill dormait du sommeil du juste et se couchèrent l’un contre l’autre encore frémissant de ce bain de minuit.
Opusone


Au matin du 18 mai de l'an de grâce 1457


Ils étaient toujours bloqués à Montpellier dans l'attente de la fin du procès. Opus avait envoyé un pigeon au prévôt pour demander l'autorisation de continuer le voyage. Il attendait la réponse de Sire Celticdom.

Après un bref passage en taverne en compagnie de Sibille, Opus était parti à la pêche aux moules, crabes, palourdes et autres fruits de mer.


Une envie de fruits de mer à partager avec Sibille et Winbill. Ils n'en avaient jamais mangés. Barack quant à lui serait ravi de croquer dans les déchets des crabes et des langoustines. Il prépara un grand plat avec sa récolte.


A table !!! , cria Opus de l'entrée de la roulotte.
Tiphany
Il faisait beau, un temps magnifique pour une promenade au bord de la mer...

Tiphany qui était venue avec sa fille Maella, l emmena au bord de la mer, elle avait préparer un panier avec de quoi manger et boire elle prit une couverture et se mit en route vers la plage en prenant Maella par la main

Maella adorait monté sur les dunes, et les redescendre , il faut dire que a Narbonne il y en avait aussi donc elle ne faisait pas de différence...

Tiphany trouva un coin sous un pin avec un peu d ombres elle y installa la couverture moitié a l ombre moitié au soleil y déposa son panier et étendit la couverture..


Maella avait deja retirer ses chaussures, donc Tiphany en fit autant elle retira ses bottes et alla avec elle au bord de mer pour patoger avec sa fille dans l eau....... Tiphany était contente de voir sa fille rire et s amuser avec les vagues elle fit de meme, rire et profité de sa fille c etait un moment prévilégier elle aurait tant aimer que Celtic soit la avec elles.....
Sibille
Cette journée là avait bien commencé, le soleil s’était levé tôt, entraînant les brumes et réchauffant l’air. Une belle journée de printemps qui invitait à la découverte. Opus avait parlé la veille en taverne de plusieurs animaux marins qui se mangeaient et qui à ses dires étaient délectables… elle avait promis d’y goûter dès son retour, même si ce qu’elle avait déjà vu ne l’avait pas vraiment enchanté.

Opus à la pêche avec Barack, elle avait décidé de prendre l’ânesse, mit sur son dos le bât de bois et y avait assis Winbill… Une caresse à Epona la jument qui resterait là tranquillement.
Alors mon tout beau prêt pour une petite promenade sur le port ? On va voir si l’on trouve un pêcheur qui vendra à maman quelques seiches…

Winbill toujours aussi droit sur son fier destrier, ne pouvait qu’approuver cette promenade lui donnant l’occasion de s’entraîner à la monte…


Et puis si papa revient bredouille, on aura toujours de quoi manger…
rajouta-t-elle en riant.

Cahin-caha, l’ânesse au ventre rond qui n’avait pas fait d’exercice depuis son arrivée à Montpellier porta l’enfant sur son dos et tenue à la longe se laissa faire jusqu’au port. Sibille négocia avec le marin, qu’il lui nettoie la bête, mais elle regarda les étapes pour apprendre…





Elle lui tendit une petite fiole pour y conserver l’encre précieuse. Et contente de sa négociation à un prix plus que raisonnable, conseils en prime, ils rentrèrent à leur campement au moment où Opus criait

A table !!!

Oh vite Win… papa est de retour, on va vite voir ce qu’il a apporté. Tiens prend le paquet, je décharge Caprice et nous y allons…

Ils se mirent à courir, une fois l’ânesse attachée près de la jument. Essoufflés et riants, ils arrivèrent en criant :
Nous voilà… et on est très impatient de voir ce que tu nous a ramené. Puis surprise, elle fit une pause devant le copieux platEt bien… c’est magnifique tout ça mais tu es sûr que tout se mange ? Même ça avec ses grandes pinces si dures ? Elle regardait curieuse l’ensemble des crustacés se demandant bien comment tout ça se mangeait.
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