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[RP]Plage de Montpellier.

Sawda
Sawda ne revait pas en effet, il etait bien là et lui parlait bien !
Elle ne pouvait cesser de le regarder, lui sourir, le toucher.... il lui avait fait une sacrée surprise là !


Oui ca va bien ! j'ai trouvé des Lodevois pour me raccompagner, du coup je ne voyage pas seule !

Et toi comment ca se passe ? a part ta joue ....



Puis Sawda reprit ses bottes et pris aussi la main de Lost pour l'emener avec elle marcher sur la plage...ils avaient la journée rien qu'à eux....il suffisait de quitter la plage principale et aller ailleurs pour ne pas etre embeté

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Lost35
Il se laissait entrainer par Sawda la ou elle le voudrais bien... elle avait une idée derrière la tête... et il espérait que c'était la même que lui... mais bon ca il en était moins sur... seul l'avenir le lui dirait pour le moment il ce contentait de la suivre... elle connaissait sans doute mieux la ville que lui... Son jupon blanc était devenu transparent suite a ca chute dans l'eau... et notre beau blond ce délectait de la vue qui ma foi était fort agréable... il en avait le sourire au lèvres... mais il évita tout commentaire... Il en aurait presque oublié ces questions mais il lui répondit tout de même... Il se demandait bien comment elle allait prendre ce qu'il allait lui dire... Il s'attendait a tout... mais il espérait de tout cœur que cela ne gâcherai pas la journée en ca compagnie... qu'il voulait agréable...

Bah euh a part l'horrible douleur dans ma joue ca va... enfin en manque de sommeil... mais heureux d'avoir retrouvé mes enfants...


Le pavé était lâcher... comment allait elle réagir...? ca c'était une autre histoire... il était persuadé qu'elle en oublierai l'horrible mensonge sur la douleur de ca joue qu'il venait de lui faire
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Sawda
Sawda se baladait donc main dans la main avec son beau blond sur la plage, s'eloignant petit à petit du coin accessible à tous. Elle se retrouvait légèrement mouillée suite à sa chute mais peu importe vu le soleil qui se preparait à sortir elle allait vite secher .... Et puis elle avait bien l'intention d'aller se baigner avec lui, alors peu importe d'être au frais !

Une fois la balade commencée Lost se mit à la taquiner en reparlant de sa joue et puis un mot resta coincée en elle "mes enfants" .... Sawda ne savait pas si elle avait bien entendu et repeta
tes quoi ? tes enfants ?

Sawda s'arreta de marcher et se mit face à lui pourlui reposer la question :

Tu as des enfants ? pourquoi tu ne m'as rien dit avant ?

Cela ne la derangeait pas qu'il est des enfants, car apparement il arrivait à se liberer du temps pour elle. Mais il ne lui avait rien dit avant... peut etre pensait-il aussi ne pas la revoir .... pourtant aujourd'hui il etait bien la et de sa propre volonté .....
Des milliers de questions lui venait à l'esprit mais elle ne savait point s'il avait dit cela d'une facon volontaire ou pas. Et attenda sa réaction avant de poursuivre

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Lost35
Elle le prenait mieux qu'il ne l'aurai cru... enfin elle n'avait pas l'air de le prendre mal... du moins pour le moment... elle restait tout de même bloqué sur enfants...

Oui j'ai deux enfants Amaryes et Delost... Je devais allez les chercher Marseille pour les emmener a leur mère... mais une sœur les a amené a moi jusqu'à Arles ou j'ai pu les retrouver... Ils sont a l'hôtel la... ils dorment encore...


Enfin l'histoire était plus compliqué que ça mais c'était la qui les avait retrouvé... et cela suffirait comme explication... si elle voulait en savoir plus il serait près a répondre a ces questions...


Je ne t'en ai pas parler avant car lors de mon passage a Lodeve je ne les avais pas... et je n'était pas sur de les retrouver... je l'espérais... mais je ne savais pas ce qui pouvait arrivé... aussi bien a moi qu'a eux... et puis a chaque fois que j'en parlait il me manquait... et je ne voulais pas perdre le sourire...

Il la fit s'assoir a ces coté sur la crique ou il n'était que tout les deux a l'abri des regard... continuant de parler avec elle... s'échangeant des baisé et des sourire par moment...

Et si on allait ce baigné ?

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Sawda
Sawda se posa donc aupres de Lost et buva toutes ses paroles... il lui expliqua tout et repondit à chacune de ses questions. L'endroit etait idéal pour prendre le temps de "papoter", calme, beau, avec juste une légère brise. Le soleil etait maintenant bien présent, brillait sur les vagues et commencait à se faire sentir de plus en plus.
La proposition de se baigner que Lost lui avait faite etait bienvenue et elle accepta de suite. Cela allait lui faire oublier tout ce qu'il avait pu lui dire en ce début de matinée et enfin profiter de sa présence sans penser à rien d'autre qu'à lui....qu'à eux .... du moins pour l'instant....

Elle le regarda, puis commenca à defaire sa chemise .... Une fois prête elle se mit à courir et sauter dans l'eau comme une enfant ! Elle se retourna ensuite pour regarder Lost encore sur le sable et lui fit signe de venir la rejoindre.

Ils etaient tout de meme à la plage donc etaient obligé de se baigner ^^et Sawda comptait bien s'amuser avec lui dans l'eau salée ....

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Lost35
Il la regarda ce dénudé devant lui.. il ne la quittant pas des yeux le sourire d'avantage sur ces lèvres a chaque bouton enlevé... il restait la ne ratant rien du spectacle qui s'offrait a lui... il sourit de la voir ce glissé dans l'eau et de l'appeler... Il se leva a son tour... ce dévêtit... ne gardant que ces braie et alla la rejoindre dans l'eau...

Il ne résistât pas a l'envie de lui voler un baisé avant de l'éclabousse... il disparu ensuite sur l'eau pour la coulé... il riait jouait comme des enfants... l'eau était froide au petit matin... mais ils savaient rapproché leur corps pour ce réchauffe... ce collant l'un a l'autre... s'embrassant... la matine était agréable... plus que eux deux comptait... il en oubliait presque tout le reste...

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Nylene
Après une journée de travail harassante, Nylene se rendit sur la plage de la ville. Elle avait revêtu de vieilles braies de son père, une chemine légère et un foulard pour protéger sa tête du soleil. Arrivant au niveau du sable, elle ôta ses chausses : le sable brulait ses pieds tandis qu’un vent léger balayait la plage.
Elle s’assit, les bras sur le haut des genoux puis elle s’allongea, regardant les oiseaux qui volaient au-dessus d’elle. Le bruit des vagues la berçaient. Elle s’assoupie.
La chaleur la réveilla, elle décida donc de tremper ses pieds dans la mer. Elle retira son foulard et laissa au vent le soin de détacher ses cheveux. Durant environ une heure, les bras croisés et le regard porté au loin, elle parcourue la plage l’esprit préoccupé. En effet, pourquoi donc son père avait il voulut quitter les Flandres si vite ? Était ce pour elle ? Avait-il peur qu’elle parte vivre en Angleterre ? Pourrait-elle se relever après cette dure épreuve ?
Le soleil commençait à se coucher sur la mer, elle prit à nouveau place sur le sable pour profiter de ce magnifique spectacle.
Sawda
Sawda revenait faire un tour à Monptellier et vu que les tavernes etaient toujours aussi vide, elle se decida à refaire un tour sur la plage. Elle n'avait oublié la dernière fois qu'elle etait venue sur ce sable fin qui lui chauffait les pieds. C'est avec mélancolie qu'elle quitta de nouveau ses bottes pour les mettres sur son épaule sourire aux levres. Les souvenirs lui revenaient de suite comme si c'etait d'actualité.

Elle se plongeait dans ses pensées, le vent du soir venant lui caresser le visage .....

Ahh heureusement qu'il y a la plage à Monptellier se dit-elle !

Que de bons souvenirs tout de même ici! Que de bonnes choses, que de gaité, de rire , de bonne humeur, de taquineries et de tendresse !
Un tel lieu ne pouvait qu'apportait repos, calme, apaisement .... et amour !

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Zeze5
C'est juste le bruit des roues de la carriole sur la route menant à la plage qui se faisait entendre. A l'avant un couple de bohémien. Lui, cheveux longs, le regard sombre, tenait fermement les rênes. Elle, les cheveux aussi longs que son compagnon regardait la plage qui apparaissait au loin.
L'air était doux, un léger vent venant de la mer ferait que cette journée, qui s'annonçait chaude, serait supportable.

Arrivé au bord de la plage, l'homme tire sur les rênes pour intimer l'ordre aux deux mules de s'arrêter.
C'est en silence que les deux gitans descendent de leur carriole pour aller, côte à côte, sur la plage.
Cette plage, qui un an plus tôt, avait été le lieu où, Lui, avait passé tant de temps pour soigner ses blessures en attendant de la rejoindre ... Elle, faisait de même, mais dans une autre ville.
Les blessures du corps avaient été moins dures à supporter que les blessures de l'absence de l'autre.

Pieds nus dans le sable, ils avancent ... de temps en temps l'homme fait un signe à sa compagne, comme pour lui indiquer un lieu, un fait, un évènement, la femme regarde dans la direction indiquée ... si on pouvait voir de plus près, on verrait sur son visage la tristesse et l'amertume qu'elle ressentait en écoutant son compagnon.

La femme s'accroupi pour ramasser un morceau de bois mort, le regarde et le montre à son compagnon ... si on était toujours près d'eux, on aurait lu sur la planche " Les gros pains d'abord". L'homme sourit et d'un geste du bras, lance au loin la planche, souvenir de la barque qu'il avait, ici même et qui avait sombré en mer.

On va les laisser se promener sur la plage, seule façon d'effacer ... ou du moins d'estomper les images de la douleur, pour les remplacer par la douceur d'être là à deux.
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Liloie
La journée avait été chaude, voire éttouffante. Et à présent, contrairement à ce qu'on aurait pu croire, la nuit s'était raffraichie, cela ne demeurait pas que la capitale restait calme à en mourir... même si pourtant l'heure était parfaite pour sortir dehors : la ville restait sans vie. Et c'est en s'aperçevant de cette tristesse sur la ville que Liloïe en profita pour s'éclipser de la demeure des Desage. Elle s'était faufilé par les cuisines pour la discrétion, ainsi, aucun garde ne s'apercevrait de son absence.

La première direction qu'elle avait prise était celle de la mer. Elle se promenait de pleine nuit, seule, dans les rues, en longue chemise de soie blanche qui était portée la nuit pour dormir. Elle n'imaginait pas un seul instant que cela aurait pû être dangereux, mais étant seule dans ces rues si calmes, elle s'était autorisée cette sortie nocturne, seule, pour une fois.

En route, elle n'avait rencontré personne. A présent, sur la plage, elle marchait tranquillement tandis que le sable rentrait dans ses sandalettes. Elle se décida, un peu plus loin sur la plage de s'asseoir sur le sable. Elle retira ses chaussures pour enlever les grains puis les posa à côté d'elle. Ramenant ses jambes vers elle, les mains autour de ses genoux et la tête sur le tout, elle observait la lune réfleter sur l'étendu salée, pour seule musique celle des vagues.

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Landyves
Un enfant de cinq ans tenait ferment la main d’un blondinet qui devait sans doute être son père. C’était plus exactement son père adoptif, mais quelle différence cela faisait si ce n’est que l’homme n’avait aucun réel droit sur ce petit ange à part de veiller sur lui alors que son père naturel avait oublié qu’il existait.
Bref, passons les détails.
Ces deux là venaient tout juste d’arriver dans la capitale languedocienne. Ils s’étaient retrouvés quelques jours auparavant alors que le benêt revenait de son long séjour en Champagne. Il y était d’ailleurs parti faire la guerre et s’était simplement vu escorter un prélat, bon certes, pas n’importe lequel puisqu’il s’agissait de l’archevêque Bombadil, et finalement, ce n’était pas plus mal car Yves, lui, n’était pas particulièrement disposé à trancher des humains, même des hérétiques reconnus …

Donc Montpellier oui.
Il était évident que le jeune homme n’allait pas rester à Nîmes. Non pas que la ville était morte … enfin si, mais c’est surtout qu’elle attirait quelques pénibles, comme il se plaisait à les nommer.
Samuel et lui étaient donc arrivés dans la nuit à Montpellier, endroit où ils avaient dans l’idée de vivre, si tenté qu’un jour ils en aient les moyens.

Pour arriver jusqu’aux imposantes portes qui les séparaient encore de l’enceinte de la ville, ils fallait qu’ils passent non loin de plage, dont on ne discernait pas grand-chose si ce n’était quelques ombres flottantes.
Mais alors que la lune faiblissait, il y avait une ombre qui intriguait d’avantage que les autres. Pareille à une silhouette d’après la description du blondinet. Oui, en voyageant, il passait son temps à observer l’environnement et les gens qu’il croisait. C’était une façon de passer le temps et de revenir avec quelques belles images à l’esprit.

Le garçon était épuisé et Yves se décida alors à le porter. Il est vrai qu’ils avaient déjà marché tout le jour et que la marche n’était pas un exercice très apprécié des enfants, surtout lorsqu’ils manquaient d’entrainement.
Dès lors, le jeune homme s’enfonça dans le sable dont il devinait la douceur ainsi que la fraicheur, malgré le port de ses épaisses bottes. Il avançait presque péniblement, se dirigeant aveuglément vers cette forme qu’il avait aperçu. Ce n’était peut-être rien, ou alors ce pouvait être une personne qui s’était malencontreusement aventurée trop loin et se retrouvait les pieds dans l’eau, ne sachant plus quoi faire ... Bien qu’on aurait probablement entendu des cris de sa part si c’était le cas.

Plissant les paupières, c’est la surprise qui s’empara soudainement du benêt, précédent cette joie qu’il avait de retrouver une connaissance. Oui, c’était effectivement une personne qui était là, assise sur le sable. Mais elle n’avait pas l’air moins perdue pour autant.


Donaisèla, que faites-vous ici ?
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Liloie
Liloïe regardait paisiblement la mer... à cette heure, elle était sombre, sa seule source de lumière était la lune qui réfletait sur elle. Le son des vagues étaient des plus apaisants, et le sable encore chaud. La jeune fille avait pris plaisir à dessiner quelques formes sur le sable de sa main, tout en étant complètement dans ses pensées... et ses souvenirs. Et quel souvenir... ! Il s'agissait de moment passé loin de la Capitale... des bons moments.. et de bons jours... A ce voyage.. qu'est-ce qu'elle l'avait aimé ! Mais comme elle avait également aimé revenir ici auprès de son cher père malade.

A ces heures, la plage demeurait des plus calmes. Tout ces moments passés avec lui la rendait un peu plus mélancolique de jour en jour, il lui manquait, mais elle savait pertinement que jamais elle ne le reverrait. Ainsi assise ici, elle n'arrivait pas à l'oublié... et pourtant, le Très-Haut sait comme elle aurait aimé ne plus pensé à lui. Elle avait arrêté de dessiner sur le sable, et regardait des plus profondément l'intensité de l'étendue salé jusqu'à ce qu'une voix la sorte de sa rêverie. Elle tourna alors la tête afin de voir qui était-ce... "Faites que ce ne soit pas un garde Desage...." se répetait-elle... Et finalement non... elle l'avait déjà rencontré plusieurs fois.

- Messire ! Quelle surpise ! Je... j'admirais la mer.

Elle se releva par la suite, afin d'effectuer une réverence au Nîmois.

- Pardonnez-moi, ma tenue n'est pas très appropiré.
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Landyves


Pour une surprise ce devait en être une oui. Mais le blondinet avait sommairement fait une promesse qui impliquait son retour à Montpellier. Mieux que cela, il voulait désormais s’y installer.
C’était une ville agréable, tout comme ses habitants, même s’ils étaient peu nombreux par ces chaleurs estivales. Tous terrés, tous ayant réduit leurs activités quotidiennes, tous ... Non pas couards ce serait trop facile … tous fragiles voilà !
Yves comptait donc parmi ceux qui n’avaient cure de la chaleur et continuaient de voyager quitte à souffrir d’insolation. Par chance, ce n’était point le cas pour lui, grand habitué du soleil, mais pour certains, le choc avait été violent. Cela ne l’avait d’ailleurs guère amusé de croiser des marcheurs aussi mal en point, investissant chaque dessous d‘arbre pour se mettre à l‘abri des rayons du soleil et souffler un instant, au frais.

Ce passage noyé dans le remous des vagues méditerranéennes, on en retournait à cette douce nuit qui commençait le mieux du monde.
Samuel ne semblait pas dérangé par la conversation qui était alors entamée, c’est qu’il devait profondément dormir. La tête de légume pour sa part était heureuse de revoir la demoiselle dont elle avait fait la connaissance quelques semaines auparavant. Un véritable zeste de fraicheur dans un monde aussi brutal.
La donzelle était jeune, pimpante, mais surtout seule au milieu d’une plage abandonnée de tous puisque la nuit avait prit sa place de droit. Elle disait admirer la mer … quelle activité assez originale en pleine pénombre, mais pourquoi pas, chacun ses petits plaisirs après tout.

Liloïe se leva alors et avant que le blondinet ne l’autorise à s’éviter ce genre de cérémonie, ralenti par le garçon qu’il tenait toujours dans ses bras, voilà qu’elle lui adressait une révérence.
Décidément … qu’on le voit se courber devant les grands du royaume ou encore baiser les pieds des hauts dignitaires religieux, certes ! Mais de voir la fille d’un noble du Languedoc se courber ainsi devant lui c’en était trop, si bien que le jeune homme en resta coi un court instant.

Un regard lancé sur les vêtements portés par son interlocutrice, il lui sourit. Penchant la tête sur le côté à défaut de pouvoir hausser les épaules, il se permit tout de même de répondre aussi honnêtement que poliment à cette évidence.


Disons que pour passer la nuit c’est tout à fait seyant, mais pour flâner sur la plage il est vrai que vous auriez pu vous embarrasser de vêtements plus … oui appropriés c’est le terme.

Il secoua doucement la tête. Encore sa langue de sortie pour ne pas faire avancer la conversation. Un vrai perroquet cet imbécile là. Était-il capable de parler autrement qu’en répétant ? C’était à se demander franchement.

Mais après tout, c’est à vous de décider de la façon dont vous souhaitez sortir.

Pas faux ça. Il faisait chaud la journée et il se baladait bien en bottes de cuir lui ! Il n’avait donc aucun réel commentaire à faire. Il n’avait pas même pris la peine de revêtir une chemise d’été, c’était pour dire.

Enfin passons ce détail, dites moi plutôt comment vous allez.

Il avoua l'instant d'après qu'il la trouvait particulièrement pensive, voire mélancolique.


*Edit orthographe
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Sawda
Comme ce qui est en train de devenir une habitude pour Sawda, à peine arrivée vers Monptellier, elle prit de suite la direction de la plage. Cette belle plage elle commençait à la connaitre ...

Elle laissa ses amis Amor et Enalia dormir dans la carriole, ayant eux besoin d'être seuls et Sawda ne voulant pas les priver de leur amour.

Une fois voyant le sable apparaitre elle prit une grande respiration d'air pur et frais du matin ... puis se mit à courir direct vers la grande etendu d'eau, foulant le sable, avec ce dernier qui rentrait dans les bottes. En effet elle n'avait même pas prit le temps d'enlever ne serait-ce que ses bottes que comme une impulsion elle avait décidé de se mettre à l'eau..
Et sans ralentir sa cadence elle arriva au bord de l'eau qui repondait à son aggression par des grosses éclaboussures. La mer fit légèrement ralentir Sawda qui avait alors de l'eau jusqu'aux genou et qui se voyait obligée de soulever un peu plus les pieds pour aller plus loin, encore plus loin dans cette infinie etentu d'eau. Mais n'ayant pas enlevé ses bottes, ces dernières etaient alors remplies d'eau et lourdes à déplacer.
Sawda essayait tant bien que mal à avancer mais la mer se montrait bien plus resistante qu'elle ne l'aurait cru et allait gagner sur Sawda.
C'est alors que cette dernière ne reussissant plus trop à avancer, plongea les bras en avant, la tête avec.
C'est quelques mètres plus loin qu'elle ressortie respirer.
Ainsi elle patogea un instant, toujours les bottes aux pieds et vétu de sa jupette et de sa chemise ... Ceci n'étant pas trop agréable et surtout pesant Sawda ressortie doucement de l'eau.

Une fois sur le sable, elle s'assit dessus et quitta enfin ses bottes qui deversent alors tout l'eau capturée à l'interieur. Elle profita des doux rayons du soleil matinal pour s'allonger et sécher alors tranquillement ....

Elle avait eu son moment de folie, il fallait bien se reposer aprés ceci et aussi surtout apres une nuit de route.


Sawda s'endormit .......

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Liloie
C'est l'histoire d'une petite fille, qui alors, âgée de six ans aimait se promener dans les cuisines du château pour aller à la rencontre de la cuisinière pour qu'elle lui fasse goûter les desserts qui seraient servis à table. Un jour, comme habituellement, la petite fille s'était rendue en cuisine, seulement, elle n'y avait trouvé aucun servant ni cuisinier. Ce jour là, seul des petits jappements provenant du dehors avait occupé toute son attention. La petite aventurière s'était alors rendue à la source du bruit pour y faire une découverte... Cette découverte, elle l'avait ramené jusqu'à ses appartements afin de la montrer à sa nourrice. Celle-ci n'avait pas dit grand-chose, elle était plutôt heureuse que la petite fille se soit trouvée un petit compagnon mais une question résidait tout de même... Est-ce que la baronne accepterait l'animal ? La journée s'était écoulée tranquillement, le petit chien et la fillette s'appréciaient déjà énormément. Et, à la nuit tombée, quand la baronne Desage rejoignit sa fille pour lui déposer un baiser tout tendre sur le front, avait entendue les jappements de l'animal. Liloïe avait supplié sa maman, et finalement celle-ci, plutôt réticente au début, avait fini par accepter que sa fille garde l'animal à plusieurs conditions.

Fripouille... Liloïe avait appelé ce petit chien Fripouille. A prèsent, l'animal devenu adulte, avait rejoint les autres chiens de La Voulte. C'est à la vue du Nîmois et du petit garçon dans ses bras qui avait fait évoquer ce léger souvenir plutôt bref et rapide chez Liloïe. L'animal et elle avaient passés de nombreuses années ensemble, c'est en partie grâce à lui que la jeune fille avait survécue au décès de sa mère bien-aimée.

Sur la plage, Liloïe sentait ses pieds s'enfoncer dans le sable... ces grains lui rentraient entre les orteils, ce qui lui donnait envie de rire à cette sensation, qui en définitive, était peu connue pour elle. Même si la plage n'était pas vraiment loin d'où elle vivait. Liloïe avait déjà posée ses pieds nus sur les dalles froides du château, sur l'herbe encore fraiche, et en ce moment, sur les grains encore chauds du sable. La jeune baronne observait la gent masculine avec un sourire gravé sur le visage. Son vêtement n'était certes, pas approprié...


- Oui, voyez, je me suis enfuis par les cuisines... je ne voulais pas qu'on me voit sortir, marre de ces hommes d'armes ! Il ne va rien m'arriver en pleine nuit tout de même, vu comme c'est si calme...

Elle baissa la tête avant de se regarder, elle fit une légère grimace et enchaîna.

- J'ai préféré sortir ainsi de façon à faire le moins de bruit possible pour ne réveiller personne, et surtout que seule, je crois que je n'aurais jamais réussie à enfiler une de mes robes. Mais j'aurais dû pensé à prendre un doublet *. Et puis, vous me direz, votre tenue n'est pas très appropriée non plus.. enfin, je veux parler de vos bottes, surtout.

Elle esquissa un sourire tout en détournant le regard sur l'enfant qu'il portait.

- On dirait bien que votre petit frère est fatigué. La journée a sans doute été longue... Et puis je vais bien, je vous en remercie.. Dites-moi, vous êtes arrivé aujourd'hui en ville ?

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*Doublet : gilet, piqué et ouaté protégeant du froid, que l'on met au-dessus de la chemise
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