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[RP]Plage de Montpellier.

Ruthy.
La brunette sourit ... elle adore ce genre de moment ... detendu ... ou elle oublie un peu qu'elle n'est pas une grande dame ... elle salive à l'enonciations des plats ... Marmonne quand Rack parle d'indigestion ... et en signe de protestation lui file un coup de pied sous la table dés quil vient s'assoire ... oubliant la bienseance qui voudrait qu'elle laisse les autres commander en premier ... dés que l'aubergiste ramène le vin ... elle s'écrie joyeusement ...


Alors je voudrais du requin et du loup ... parce que j'arrive pas a me decider entre l'un et l'autre ... des cigales , des crevettes ... plein de crevettes mais flambée à la plancha ... pas envie qu'on me mette à l'écart ce soir en taverne a cause de l'aioli ... pas d'araignées ... ça m'inspire pas ... et je suis déjà en appetit mais je veux bien les violets ...

Elle sourit les yeux brillants ... elle aura besoin d'une sieste après ça ... mais elle a déjà reperé des cabanes de pêcheurs le long de la plage ... suffira de s'y introduire pour roupiller un peu ... ah la journée commence bien ... faut dire qu'il lui en faut peu pour être heureuse ...

Elle regarde l'aubergiste servir le vin a Rack pour qu'il le goute ... et pose la main sur celle de Noellie ... pour dire ... " suis là " et surtout "merci de pas être partie à Narbonne ..."


Alors patron ? il est bon ? on peut gouter nous aussi ?

Elle regarde l'aubergiste ... lui fait son grand sourire encadré de fossettes ...

Dites .... vous n'auriez pas aussi quelques Ours in ?
Rackam
Le barbu se prend un coup de botte en s’asseyant et grogne … lance un regard furax a Ruthy qui bien sur lui répond par un grand sourire …. Se dit toi tu perds rien pour attendre … sourit a Noellie …. Et sert le vin blanc …

Humm il est gouleyant … des oursins tiens y a longtemps que j’en ai pas mangé de ces bestioles … et l’ours hein tu sais ce qu’il te dit l’ours ? ben que la « crevette » il va la rejeter a la mer … la faire barboter grave …. La noyer dans l’aquarium …. L’étrangler avec les algues … et pour finir la faire griller a la plancha avec ses petites sœurs … vi vi tout ça ….


M’enfin c’est qu’elle l’énerverait avec son petit sourire et ses fossettes ….

Le poisson est excellent grillé a point … Rack regarde les filles … Noellie coupe son poisson avec distinction , séparant les filets … l’arrose délicatement de citron avant de le déguster a petites bouchées … Ruthy mords dedans en recrachant les arêtes mais avec les yeux brillants de l’affamée qui se régale …

Dis No tu crois pas que tu devrais donner quelques conseils a notre jeune amie qui mange comme un goret dans sa bauge ?

Il sourit et toc pan dans les dents ça t’apprendra a me balancer des coups de bottes ..

Autrement que penseriez vous d’une petite ballade sur la plage apres ?

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Noëllie

Tu as raison, jolie Ruthy, quelques pas au bord de l'eau me feront du bien. L'odeur iodée du goémon pourri me manque.


Elle sourit et adresse un clin d'œil à sa crevette avant de les suivre à l'intérieur de l'auberge.
Ça sent bon et il y fait chaud, un peu trop d'ailleurs et bien vite son front s'embue de sueur.

Rack se montre aimable et enjoué, il s'adresse à Ruthy en rigolant puis à l'aubergiste qui s'empresse de les accueillir.

À l'énoncé du menu, Noëllie tique un peu... Le requin elle n'en a jamais mangé... Quant aux araignées et aux cigales.... Eurk... Restent le loup et les crevettes avec de l'aïoli, tant pis pour l'haleine, de toute façon elle n'a personne à embrasser alors... Et puis l'ail c'est bon pour le cœur paraît...

Le vin est bon, l'ambiance chaleureuse mais Noëllie n'arrive pas à se détendre. Elle gigote sur son siège, le bébé prend de la place et comprime ses organes, s'en est presque douloureux.
Et puis il fait tellement chaud... Une pression sur sa main, elle sourit à Ruthy.

Quand les plats arrivent sur la table, chacun se jette sur son assiette avec appétit.
C'est une orgie alimentaire qui commence. Ruthy dévore, Rack enfourne... On dirait que ça fait une semaine qu'ils sont à la diète tant ils mangent de bon cœur.

Elle commence par le loup... Sa sauce est onctueuse et divinement bonne... Les morceaux se détachent sans peine de l'arrête centrale.
Elle rit et observe Ruthy se régaler avec indulgence.


Oui Rack, je crois qu'il faudra que je lui apprenne à décortiquer le poisson.

Elle sourit et chuchote à Ruthy...
Il faut amener la nourriture à sa bouche et non sa bouche à la nourriture ! Redresse toi un peu...

Les crevettes sont grosses et appétissantes, l'aïoli est parfait, le pain moelleux à souhait mais Noëllie est déjà rassasiée.

Elle offre son plat à Ruthy qui semble affamée.
Du dos de la main elle s'essuie le front, repousse une mèche collée sur sa tempe...


Une ballade digestive sur la plage oui ! J'en connais qui en auront besoin ! C'est une excellente idée, un peu d'exercice sera le bienvenu !
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Un sourire, un baiser et la vie est tellement plus belle !

Damelou
Lou venait tout juste d'arriver sur Montpellier et se dirigea directement sur la plage ignorant maison et tavernes. Elle retira ses bottes et ses bas puis enfonça ses pieds dans le sable mouillé. Elle resta ainsi sans bouger les yeux fermés écoutant le roulis des vagues et le cri des mouettes.

Au bout d'un certain temps elle ouvrit les yeux, s'approcha de l'eau, remonta sa houppelande pour ne pas la mouiller et s'avança dans l'eau. Elle frissonna mais ne recula pas pour autant. Comme un ami lui avait dit cette sensation de froid permet de se sentir vivant malgré tout.

Elle eu envie de se déshabiller et de se baigner complètement mais il était trop tôt dans la journée. Le soleil venait juste de passer l'horizon mais la journée promettait d'être chaude pour la saison donc très agréable. Elle le ferait plus tard et profitera des rayons du soleil pour se sécher.

Elle ne progressa pas plus loin mais continua sa balade les pieds dans l'eau longeant le rivage, s'imprégnant du décore et des sons. Sa vie future l'emportait loin de la mer et c'était la seule chose qu'elle regretterait ainsi que quelques amis très peu nombreux d'ailleurs.

Elle rebroussa chemin fixant l'horizon pour récupérer ses bottes et ses bas. Sans envie mais avec nécessité elle quitta la plage en se disant c'est juste pour un court moment.

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Damelou
Lou revint dans la journée. Le ciel était grand bleu et il faisait bon pour un début de mois de mars. Elle retira ses bottes, ses bas et sa Houppelande et les mit dans sa besace. Puis elle se promena les pieds dans l'eau, donnant des coups de pieds dans les vagues. Elle se retrouva très vite complètement trempé. Elle frissonnait et riait aux éclats comme une gamine.

Elle trouva une petite crique un peu à l'écart. Elle remonta sur la plage, déposa sa besace, étala une couverture et fini par retirer le reste de ses vêtements.

Elle avança doucement dans l'eau, elle frissonna quand l'eau atteignit ses cuisses. Elle sera les dents mais continua d'avancer. Elle se mouilla les bras, le ventre et la nuque puis plongea. Elle ressortit la tête un peu plus loin et se mit à nager pour ne pas avoir froid.

Si quelqu'un l'apercevait il se dirait elle est complètement dingue cette personne qui se baigne mais peu importe. Elle quittait le bord de mer et ne pouvait pas attendre le printemps et encore moins l'été. Et puis c'était pas pire que le Lot à Cahors.

Elle nagea pendant un bon moment se vidant la tête. Qu'est ce que cela faisait du bien. Puis tout en restant dans l'eau elle resta au bord même si elle avait pied, elle nageait encore. L'eau était vraiment trop froide pour rester assit sur le sable en laissant les vagues caresser son corps.

Elle se leva et alla s'allonger au soleil pour que ses rayons sèchent et réchauffent son corps avant de se préparer pour le départ.

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Kraft_
Kraft était arrivé à Montpellier depuis quelques jours déjà et aujourd’hui il ressentait le besoin de se retrouver face à la mer.
Il aimait les éléments naturels et l’eau l’attirait tout particulièrement bien qu’il n’aimait pas la consommer.

Aujourd’hui sentant la colère l’envahir il avait besoin de se défouler, il aurai aimé que la mer se déchaîne et que le vent souffle en rafale… une tempête aurai été la bienvenue mais… rien !
L’eau était calme et une légère brise soufflait, même le soleil semblait le défier de ses rayons.

Kraft ne connaissait qu’une façon de se calmer… il devait s’épuiser.
Il s’approcha du sous bois environnant et y déposa à l’orée ses bottes qu’il dissimula sous des branchages puis s’assura de prendre quelques repères.
Ses gestes semblaient calmes et pour qui ne le connaissait pas on aurai pu croire qu’il ne s’agissait que d’une simple ballade.
Seulement son regard ne pouvait dissimuler ce qu’il ressentait et par chance l’endroit était désert.

Il retourna le long de l’eau et commença à fouler le sable puis lentement il laissa émerger ses émotions ce qui eu pour impact d’accélérer son allure ce qui devint une course contre lui-même.
Il courrait a vive allure depuis un long moment déjà son rythme était rapide et il ne prêtait aucune attention aux muscles de ses jambes qui pourtant lui demandait de ralentir.
Il s’arrêta contraint par son corps mais la colère était toujours présente et ça… ça il lui fallait l’évacuer avant de rentrer.
Assis, immobile face à la mer… il scrutait cette immensité, cette ligne ou la mer et le ciel se rejoignaient et se confondaient. Combien de minutes s’étaient écoulées depuis qu’il était assis ?

Il se leva avec l’apparence d’un homme calme et entreprit de se dévêtir sans précipitation, son regard toujours diriger vers l’horizon.
Laissant ses vêtements en vrac sur le sable il entra lentement dans l’eau puis se jeta avec force dans celle-ci, bien que l’eau était très froide cela ne l’arrêta pas.

Il nagea un moment sous l’eau puis remonta à la surface reprendre un peu de souffle avant de disparaître à nouveau.
Kraft nageait aussi vite qu’il le pouvait, comme si sa vie en dépendait et lentement il sentait la colère s’éloigner.
C’est épuisé qu’il ressorti de l’eau.
Il remis ses vêtements alors que sa peau ruisselait encore mais qu’importe l’allure qu’il avait cela lui était bien égale.
Marchant d’un pas tranquille dans la direction de son arrivée il rejoignit l’endroit où était dissimulé ses bottes qu’il retrouva sans mal. Il s’adossa à un arbre pour les enfiler puis décida de rentrer.
Tournant le dos à cet arbre… il se retourna brusquement et jeta son poing avec force qui alla s’écraser contre le tronc.
Il grimaça non pas de douleur mais en voyant ses phalanges égratignées, vraiment pas malin de laisser des traces de sa colère.
Il savait aussi que si ses émotions étaient pour le moment plus vives que la douleur, ses phalanges se vengeraient un peu plus tard.

Il reparti plus léger qu’à son arrivée.

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Juliette
juliette venait d'arriver à montpellier....vagabonde et sans un sous en poche elle alla directement sur la plage, la mer, l'océan, elle ne l'avait jamais vue!

ses grand yeux vert étaient tout écarquillés, ses cheveux d'un noir d'ébène flottaient dans le vent, un large sourire se dessina sur son visage juvénile, que c'était beau....

c'est ainsi quand grande gamine elle piqua un sprint en direction de la mer, courant comme une folle en riant comme une enfant.

ne sachant rien de l'océan elle s'en tenait au fait qu'une chose si jolie ne pouvait représenter le moindre danger.....

un pied arrive dans l'eau puis le suivant, c'est froid ça surprend, une tentative désespéré pour s'arrêter mais il est trop tard et ce qui devait arriver arriva...

AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!!

SPLATCH !!!!

et voici un magnifique plongeon vole plané dans pas tant d'eau que ça mais assez pour la mouiller de la tête au pied!

elle ce relève péniblement, tousse, crache, elle a bue la tasse, mangé du sable et peste...


mais c'est pas bon en plus !!!!

trempée, tremblante elle sort de l'eau, vexée et larmoyante, lançant un regard autour d'elle comme pour chercher un peu de réconfort après ça mésaventure.....
Ophilya.
La grande bleue, ce n'était pas une légende, elle était bien là à ses pieds, calme et limpide, un contraste saisissant comparé à son océan fougueux et capricieux.

Ophilya, pourtant n'osait s'aprocher d'avantage, une crainte, une incertitude surement, relant amer de son passé, un refux flou de sa naissance, elle s'était juré de ne plus y mettre un pied dans l'eau salée.


Leucosia? es-tu là?

Question idiote l'étoile était déssèchée depuis belle lurette!

Il n'y avait plus qu'à régurgiter son royaume oublié et laisser flotter ses mirettes gris métal sur l'immensité bleu.

A distance raisonable entre elle deux, Ophilya se laissa porter par les vagues au travers de ses yeux.
Luca_di_lei
ENFIN!

regarde la belle rouquine pensive et la prend par la taille

l'abbiamo fatto amore!
La mare nostrum!

ti riccordo quando era solo un sogno per me!


il plonge son nez dans son cou pour chasser la mélancolie dans son cœur
et regarde l'immensité bleu quand son regard est attiré par une colonie de coquillages noir et oblong sur un rocher

Dit sa peu se manger sa amore j'ai la dale!
enlève tes bottes et on va voir


Il s'avance dans l'eau fraiche mais pas trop...et entreprend de décrocher les mollusques des souvenirs fugaces de sa petite enfance lui revenait en tête il les chassa aussitôt et s'acharna sur les bestiaux ils était plus gros qu'a Vintimiglia ma serait ils aussi bon.....
Ophilya.
INFINE!

Son grand vagabond venait de la rejoindre, et rien n'était plus précieux sur ce vaste Royaume que sa présence, dont chaque jour partagé suffisait à réaliser leur rêves .

Au creux de lui, elle était heureuse de voir ses yeux miroiter de milles espoirs.


Ooooo!.... que oui je me souviens quand ce n'était qu'un rêve pour toi amore mio.

Nous l'avons fait et nous en ferons tant d'autres!

Vedere Venezia, calcare forse Firenze, avere delle navi, un piccolo hotel particolare e perché non un Castello in Spagna?


Il était temps de lâcher du regard les vagues moutonantes, revigorée par les embruns malins, la rousse amoureuse jetta ses bottes au loin.

Elle le suit en mettant chaque pas dans ses traces sur le sable et de rire en le voyant s'extasier sur des mollusques.


Ma che è ciò che questo mollusco, è non ho visto mai delle cose simili nel mio oceano, sei sicuro che ciò si mangia?

Entre avoir les pieds dans l'eau vraiment très fraîche pour la saison et bouffer du mollusque étrange....il fallait vraiment l'aimer ce vagabond là!
Gypsi
La plage...
Elle en avait vu des plages la brune. Elle en avait vu... et elle adorait ces lieux. Le sable glissait sous les pieds, frais, fins, cajoleur. Les vagues et leurs bruits doux, reposant. La fraicheur de la brise du vent, légère, agréable, parfois mutine. L'odeur saline chatouillant les narines. Les poissons frétillants qui groullaient au loin. L'eau, immense miroir magnifique, qui se dressait devant elle telle une barrière infranchissable, que pourtant, elle avait déjà surmonter. Le silence. Le désert. La solitude. Et en même temps le plaisir. Et puis, se retrouvé entre deux étendues bleues, se sentir infiniment petite, dans un monde si vaste, si grand. Espoir, envie, découverte. Voilà ce que les plages lui insufflaient.

Elle marchait, pieds nus, sur le sable, longeant l'eau encore glacée qui venait parfois lécher ses pieds, tant elle marchait prêt d'elle, sur le sable mouillé, laissant ses empreintes éphémères se faire enlacer par l'écume. Elle marchait, en regardant devant elle, parfois en regardant l'autre coté de la mer. Elle aimait les autres royaumes, découvrir ses lieux, ses habitants, leurs langues, leurs coutumes. Prendre des risques, mais vivre. Pourtant, sa place n'était pas là bas. Elle était ici, en France. Elle devait le retrouver. Mais depuis plus de 10 ans qu'elle le cherchait, elle commençait a perdre patience. Peut être était-il mort depuis longtemps...

Vagabonde solitaire, elle était. Vagabonde elle se sentait. Vagabonde elle voulait être. Elle voulait rester vagabonde. De toute façon, elle ne pouvait être rien d'autre. Mais, solitaire... La solitude la pesait de plus en plus souvent. Oui, elle se lassait de ne pouvoir parler aux autres, de ne pouvoir rire et discuter, échanger, se disputer, se réconcilier, taquiner, se chamailler. Elle était seule. Trop seule. Même dans le groupe avec lequel elle avait voyagé, elle était seule. Elle ne se sentait pas à l'aise avec eux, malgré leur gentillesse. Ils se connaissaient tous, étaient tous très liés, et elle n'avait réussi a se faire sa place. Le voyage était finit. Quelques jours ici pour se reposer, reprendre des forces, visiter, profiter de la mer, de cette plage, et tenter de rencontrer. Et elle repartirait. Surement, peut être... Au gré du vent, comme toujours...
Doryane
Doryane était enfin arrivée à destination, après avoir fait un tour dans la ville de Montpellier et être un peu passer en taverne afin de se vider une ou deux pintes, elle décida d'aller faire un tour sur la plage.
Elle se dirigea vers l'écurie pour aller y chercher son fidèle destrier, c'était un bel étalon noir, ce cheval était comme elle, sauvage, fougueux et intrépide.
Elle lui posa sa selle puis le monta et se dirigea vers la plage.
Une fois qu'elle fut arrivée sur les lieux elle trotta un peu pour commencer, la journée était de toute beauté, les rayons du soleil reflétaient sur la mer, le ciel était d'un bleu azur.
Elle s'arrêta quelque instant pour regarder vers l'horizon, ses pensées s'échappaient, elle ne savait plus trop ou elle en était, tout ce bousculait dans sa tête, elle regardait au loin et se dit qu'elle partirait bien sur cette mer, tout oublier, recommencer.
Une fois sorti de ses pensées elle talonna d'un coup sec son fidèle compagnon et se mis à galoper à vive allure sur ce sable fin, l'eau éclaboussait son corp et son visage qui d'ailleurs cachait ses quelques larmes qui coulait sur ses joues pales.
Arlequine
Arlequine n'avait pas eu le temps de se rendre sur la plage lors de sa première venue. Elle en profita donc cette fois-ci. La ménestrel avait déjà vu la grande bleue, ce n'était pas son endroit favori mais le fait qu'elle y aille rarement ajoutait un petit plaisir en plus.
Arlequine se déchaussa et marcha le long de la rive. Des gens étaient passés mais où était-il maintenant? La plage était déserte, peut être le vent les avait fait fuir. La jeune femme leva les yeux au ciel tandis que ce dernier se couvrait. Elle s'assit dans le sable et regarda la mer s'agiter peu à peu. L'eau s'assombrit et l'on attendit tonner l'orage. Il était encore loin, Arlequine profitait du spectacle. L'atmosphère se faisait lourde et le sable moite.
La ménestrel encra son surnom suivi de trois points de suspension puis elle se recroquivilla pour se protéger d'une bourrasque de vent qui lançait des grains de sable. Quand elle se releva, sa note avait disparut.
Arlequine soupira et fixa le lointain attendant que la tempête se déchaîne. Elle aurait alors eu une image réelle de ce qu'il se passait actuellement dans sa tête et son coeur.
Craquette
Ahhh la capitale....
Après avoir déambulé de longues heures seules dans les rues de Montpellier,ses pas la conduisirent tout naturellement vers le front de mer...
Elle resta un court instant immobile face à la mer,puis victime de la loi de la gravité,elle ressentit le besoin..l'envie de s'allonger dans le sable...

La soirée était douce,calme,tranquille..trop peut être ...Quelques chuchottis parvenaient a ses oreilles,lointains ,distants,presques surnaturels comparés au silence qui accompagnait sa soirée.

Cependant ,elle se sentait bien,sereine ,presque apaisée,effet implicite de la quiétude marine sur l'esprit torturé humain..

Les yeux dans le vague,l'esprit à la dérive,elle s'allongea dans le sable,le regard rivé vers l'horizon lointain.
Ce n'était plus le temps des interrogations,mais celui de l'acceptation ou plutôt de l'adaptation..

Finalement en paix avec elle même,elle posa instinctivement une main sur son ventre et sursauta en sentant en elle,son petit ange se mouvoir.
Elle souria,caressement doucement son ventre , l'enveloppe charnelle qui la séparait encore du plus grand des bonheur que le Très haut puisse offrir ...

Elle savait,elle avait toujours su d'ailleurs....où se trouvait son eesentiel,son essence.
Dans un souffle,elle murmura:

-Je suis là petit ange...la vie est belle tu verras..


Son visage se farda d'un sourire épanoui et elle contempla l'immensité calme et inquiétante qui s'étalait devant elle.

La vie est étrange,l'esprit d'une femme encore plus...
Valentin
Valentin alla ce matin faire un petit tour à la plage. Il enleva ses chausses qu'il prit à la main et marcha sur le sable le long du rivage. A quoi pouvait il penser à ce moment ? Nul ne pouvait le dire. Tout ce qu'on pouvait dire c'est qu'il avait l'air songeur voir mélancolique.
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