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[RP]Plage de Montpellier.

Emeric


Plusieurs jours déjà étaient passés, alors que Laorent, reprenait tout juste son souffle d'un voyage rythmé par les violons de la Bretagne. Un air de nostaglie l'etreignait, lui qui désabusé plutot avait volé une ville, maintenant ne regrettant rien, éprouvait une tristesse, d'avoir perdu des amis. Le jour déclinait, et de là ou il était, il appercevait non loin une crique au sable de galet entouré de rochers et d'une eau bercée par un vent calme, si bien qu'aucune vague ne troublait l'onde. Le soleil encore suffisament haut, incitait l'homme a se rendre a cet endroit. Ce qu'il fit donc sans plus hesiter.

Sous peu, il se retrouva les pieds dans l'eau, ses chausses trainant non loin, l'eau allant et venant doucement contre ses mollets. L'endroit était protegé de toute bourrasque et le soleil administrait encore quelques rayons qui permettaient a Laorent de pouvoir rester stoique ainsi, parfaitement a l'aise, comme bien avant au lac de Felger. Les souvenirs affluaient dans sa triste mémoire, chassé difficilement par ceux depuis ajoutés, de sa femme, de ses filles, de sa vie, de lui.. de sa famille.

La Loupe était loin, mais si proche de son coeur, qu'y retourner serait une délivrance, il ne pensait qu'a cela? Que faisait-il donc a Montpellier?

De toute evidence, il trempait ses pieds.Mais pourquoi ici? Pourquoi.. Il n'en savait rien, mais depuis son arrivée, une curieuse rencontre l'avait emu et le rendait incapable de partir. Il avait donc décidé d'attendre sa femme ici, avec cette rencontre, cette gamine, ce bout de femme qui bientot serait surement sur le trottoir malgré elle. Il salivait déjà et dans un sourire, pensait a economiser. Sa femme le lui permettrait-elle? Allez savoir.

N'empeche que la gamine avait des airs attachants et troublants que Lao ne pouvait ignorer, il ne pouvait partir de Montpellier, malgré lui. La mer semblait alors un havre de paix, dans un monde de guerre incéssante. Son havre pour un temps. Au moins jusqu'au coucher du soleil..
Mylena_di_mancini
La scandaleuse arriva a l aube chevauchant depuis le couché du soleil sur son équidé , fidèle et fougueux coursier . La brigande aurait pu se diriger vers une auberge ou elle aurait pu prendre quelques heures de repos lover aux creux d épaules d un Florentin . Mais elle choisi la direction de la plage , l étendue bleu qui rejoignais le ciel et ne faisait plus qu un . L horizon se perdais dans les azures de la sulfureuse brunette , juché en amazone sur son cheval . Progression langoureuse vers les vagues qui venais mourir avec insolence sur le sable , l air iodé faisais rosir les joues soyeuses de l amazone .

L incendiaire lança son étalon au galop dans les vagues qui bordaient la plage , crinières au vent la cavalière et sa montures profitais d un moment unique défiant les éléments . Paisible et magnifique endroit ou personne a cette heure ne viendrais troubler ce moment . Plus loin une crique semblais tous aussi déserte , Mini ralentit son cheval et le stoppe . D une enjambée gracieuse elle pose les pieds au sol et d un coup d oeil circulaire inspecte l endroit . Personne en vue ! Un sourire malicieux elle regarde la grande bleu et enléve ses bottes de cuir , puis fait rouler ses bas le long de ses gambettes . L écume blanche l appelle , alors elle retrousse ses jupons assez haut pour ne peut les mouiller et avance dans l eau fraiche et vivifiante . Un frisson parcours son échine de pouliche sauvage , mais l effrontée continue sa progression dans l eau salé . A mis jambes dans l eau , le vas et viens des vagues viens éclabousser ses cuisses découverte et tremper ces jupons de dentelles . Elle rit toute seule la brunette et se dit que ce n est pas grave , elle feras sécher le tous au soleil .

L heure tourne sans que la jeune brigande ne s en rende compte , le soleil est deja haut dans le ciel et chauffe ses épaules dénudés . Mais elle s en fiche , elle est bien la fille du soleil n as pas envie de rentrer s enfermer dans une auberges miteuse . Alors elle reste la a contempler l horizon et se demande si elle ne vas pas finir par oter ses frusques et plonger .

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Jeremy..
Snoop avait retrouvé son Languedoc natal, il humait l'air de la mer à pleins poumons ne pu s'empêcher d'aller se promener sur la plage.
Il marchait le long de l'eau pensant aux retrouvailles que cette ville lui avait offert. Un sourire sur le visage, il marchaut sans même s'en rendre compte, perdu dans ses pensées.

Plus loin sur la plage il aperçu un cheval, il continua à marcher vers lui jusqu'à pouvoir le toucher, passa sous son encolure et lui posa quelques tapes avant de continuer le court chemin le conduisant à une silhouette étendu sur la plage.


Tiens ... dont comme on s'retrouve....


La folle dingue était allongée sur la plage, le soleil brulait sa peau, mais ses pincements semblaient lui être agréable. Il sourit en la voyant, se dit qu elle allait surement grogné un peu le voyant arriver et troubler ça tranquillité.

Salut!!!! J crois qu y a ton canasson qui s fait la malle... Doit en avoir marre de te supporter....

Sans attendre le consentement Snoop posa ses fesses près de la brunette, les yeux rivés sur la mer qui l'vait toujours fait rêver.


Dis Mini? T vas vraiment t installer à Lodève? T installer déjà.... J arrive pas à y croire... T sais qu on risque de pas être très loin, on va bien finir par se revoir...
En tout cas, ben j suis heureux de t avoir croisé, j m y attendais pas à celle là, spèce de dingue t peux pas prévenir non?
Mylena_di_mancini
Spachh !!

C est le bruit que fit le plongeons de la jeune femme qui n avait pu resister a l envie d immerger son corps dans l étendue bleu et remuante . Quelques brasses vivifiantes et elle c étais glissée sur le sable se recouvrant de sa cape pour sécher . Allongée sur le sable qui commençais a chauffer , elle profitait du calme de l endroit .
Ses yeux scrutaient le ciel ou quelques mouettes volaient et se faisais criardes . Elle repensait aux mots de Marcello et a cette proposition qu il lui avais fait . Il avait pourtant dit un jour qu il l aimait plus que Laura et( Mini n aurais jamais pu penser qu il oserait penser a une chose pareille . Elle pensait compter plus que tous pour lui , comme lui comptais aux yeux de la brigande . Etait elle comme on lui avait fait remarquer , " soumise" comme un objet qu on utilise , un pion que l on déplace sur un échiquier pour s assurer la victoire et mettre l adversaire "mat" . Elle avait tant changée qu elle ne reconnaissait même pas son visage dans le reflets du miroir .

Un léger petit vent souffle sur la cote et le sable vole s infiltrant partout , le souffle est chaud et elle sourit a cet instant . Son cheval au loin vaque tranquillement , elle l admire , il est racé et puissant , fidèle et sauvage . Plus tard elle le siffleras , il redresseras la tête et arriveras au trot vers sa cavalière et fidèle amie de toujours . Image qui fait sourire la brunette allongée ... ne ressemblait elle pas a un fidèle animal sur qui on a le droit de vie ou de mort ? Un animal docile qui répond au moindre de vos désirs et envies , un animal qui se fait caressant quand on le souhaite et qu on fiche a la niche ou a l écurie quand on a fini de jouer . Un fidèle animal qui répond au moindre sifflement de son maitre et qui accoure ravie de se rendre indispensable . Mini la fidèle pouliche qu on avais dressée de peur quelle se prenne pour " cheval de Troyes " .

Sans cesses Marcello tirais sur la bride de la pouliche de peur qu elle ne prenne le dessus et redevienne aussi sauvage qu avant . Certes dotée d un fort tempérament l incendiaire ne rêve cependant pas de gloire . Et si elle avais choisi cet homme c étais justement parce qu il étais le seul a la faire taire . Elle ne serais jamais comme toutes les autres femmes qu il avait connu . Jamais il ne pourrais la soumettre autant qu il le voudrais , Mini relevait toujours la tête et ne baisse le regard que tres rarement . Pourquoi l avait il choisi elle ? Cherchait il a relever un défi qu il c étais fixé ? Ou l aimait il vraiment comme il le disait ?

[i]Mais aussi sur qu elle reste indomptable , elle se laisse pourtant apprivoiser par cet homme , car sans lui elle n est rien . Elle ne rêve que d être juste une femme avec ses faiblesses . Elle a besoin de ses bras puissant et de sa protection . Sans lui Mini est aussi fragile que le cristal qu on auras négligé de proteger derrière une vitrine . Elle veut juste être sa femme , la mère de ses enfants et continuer a le mettre en colère par ses bétises éffrontés .


Le coeur de la brigande se gonfle de doutes , ses poumons peinent a se remplir d air , sa gorge se serre , elle a mal ... Une souffrance qu elle tais au plus profond d elle , parce qu elle veut espèrer qu elle se trompe .

Elle sursaute , perdue dans ses obscures pensées , une voix qu elle reconnait se fait entendre . [/i]



Citation:
Salut!!!! J crois qu y a ton canasson qui s fait la malle... Doit en avoir marre de te supporter....


Elle se redresse et se couvre pudiquement de sa cape et sourit a l homme qui ose venir troubler ses réflexions et son calme . Salut moustachu ! Mon canasson comme tu dit est si fidèle qu il me suffit de le siffler pour qu il revienne . Et quand il en auras marre de me supporter et bien , vois tu il reprendra sa liberté ... comme beaucoup le ferais ^^



Maintenant assise enrubanné de sa cape , elle tord ses cheveux encore dégoulinant d eau iodé et sourit a Snoop .

Je vais effectivement m installer a Lodève mais , c est provisoire tu sais . Tous le monde connais mon goût pour la vie de village . Dit elle en riant doucement .

Je suis surprise de te voir ici Moustache ! Tu sais que si "on" nous vois ça risque de mal se passer ... Alors oui peut être nous reverrons nous qui sait , mais prend garde a toi gentille petite chose .

Elle se léve presque nue sous les yeux du Moustachu qui n en rate pas une miette et lui demande de se tourner pour qu elle puisse se vétir . Elle était contente malgré tous de voir le jeune homme , ça lui changeait les idées . Mais elle craignait la réaction de Marcello s il venait a apprendre qu elle avait croiser un inconnu sur la plage et qu en plus elle était presque nue .

je vais devoir y aller Snoop mais si tu veut je te paie un verre en taverne et nous pourrons papoter ... N oublie pas que j ai besoin d un valet et que si tu accepte il va falloir que je t explique tes fonctions .

la jeune femme siffle alors son cheval qui comme a son habitude arrive au trot . Habillée a présent , elle enjambe sa monture d un saut gracieux et invite Snoop a la suivre .. en marchant bien sûr ! Un valet ça marche ..
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Marcello.
Le jour défilait lentement sur Montpellier, et les ruelles quasiment désertes de la ville s'emplissaient d'une foule toute relative compte tenu du calme ambiant. Déjà sur la place, les maraichers installaient leurs étals et se préparaient à hurler aux oreilles des passants que leurs fruits étaient les moins chers à des lieues à la ronde.
Perché sur sa monture, Marcello avançait lentement, le regard et l'esprit lointains, en direction du seul endroit où il était certain de la retrouver. Un endroit calme, paisible, où elle pourrait s'isoler et le maudire autant qu'elle le souhaiterait sans que quiconque ne vienne l'importuner: la plage et plus encore, l'une de ces criques que le soldat avait vaguement aperçu à leur arrivée.
S'il cherchait à la rejoindre, c'est parce qu'il y avait pensé toute la nuit, et que sans trop de mal il s'était rendu compte à quel point ses paroles d'hier soir avaient dépassé ses pensées. La fierté du Florentin méritait-elle de perdre celle qu'il aimait à en perdre le souffle dès qu'elle s'éloignait? Non, sans doute, et d'ailleurs rien ne valait qu'il prenne un tel risque.
Si Marcello cherchait Myléna, c'était pour s'excuser, platement, infiniment, de mille façons différentes si elle le lui demandait, même si ce qu'il lui avait fait était impardonnable, même si lui même ne se pardonnerait sans doute jamais ce qu'il lui avait dit. Car Myléna méritait ce qu'il y avait de mieux dans ce monde, et s'il le fallait, c'est à genoux qu'il la supplierait de lui pardonner.

Un détour du chemin et la plage apparut à l'horizon. Tranquille, limpide, presque lisse de toute vague, et devant lui ce cheval qu'il reconnaîtrait entre mille, qui attendait sagement l'appel de sa maitresse.
Etirant ses lèvres d'un sourire, flattant l'animal d'une caresse rapide à l'encolure, et le soldat glissa le regard vers le sable. C'est alors que son sourire s'effaça.
Sur la plage en contrebas, un homme et une femme se tenaient assis l'un contre l'autre. Le premier offrait un sourire béat à la mer, tandis que la seconde, une cape enroulée autour d'elle, agitait les lèvres et riait des paroles qu'elle venait de prononcer.
Brusquement, elle se leva, belle, magnifique, la peau déjà cuivrée par le soleil qui la caressait. Droit sur sa monture, Marcello observait la scéne à bonne distance, et serrait les mâchoires à s'en faire mal.
Un léger sifflement et l'étalon noir se mit en marche, rejoignit la naïade, et le couple prit la direction de la digue. Marcello le suivit des yeux.
De toute évidence, ce n'était pas lui que Myléna était venue attendre ici. Hochement de tête, le soldat tira sur la bride de son cheval et lui fait rebrousser chemin.
Bien souvent, les actes valaient bien plus que les mots...
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Jeremy..
Snoop était resté un moment sur la plage à papoter de chose et d'autre avec Miss Foldingue. Il la connaissait peu, mais malgré toutes ses extravagances il l'avait toujours apprécié. Ils échangèrent tout deux rires et paroles comme s'ils se connaissaient depuis toujours.

Il la regardait avec insistance, et il lui trouvait quelque chose de différent, elle craignait qu'on les voit ensemble... Mais qu y avait il donc à cacher, deux amis qui se retrouvent sur un plage et qui papote y avait rien là de scandaleux, c'était pas la Mini qu'il connaissait ça. Elle qui se plaisait tant à créer le scandale partout ou elle passait, craignait d'un seul coup qu on les voit tous les deux sur la plage


Si "on" nous voit ensemble.... hahaha alors toi, t vas m faire mourir de rire.
Que fait on de mal? Pis dis moi, t'as perdu toute ta belle liberté avec ton Italien?
Oulala mais c'est pas la peste que j connais ça, t es sûre que t es pas malade?
Manquerait plus que tu te mettes à faire des gosses.


Snoop la regardait en riant n'en croyant pas ses yeux quand Mini se leva et siffla son cheval qui accourait à elle sans rechigner.


Citation:
je vais devoir y aller Snoop mais si tu veut je te paie un verre en taverne et nous pourrons papoter ... N oublie pas que j ai besoin d un valet et que si tu accepte il va falloir que je t explique tes fonctions .


Un verre... mais dis donc, j te savais pas si radine non plus, j croyais que t avais les poches pleines, tu m'aurais menti?
Pis tu sais siffler les mecs comme ton canasson, ça marche sans doute avec les ritals mais pas avec moi. Va falloir que tu m'offres un peu plus d une bière pour que j te suive.
Pis ton offre de valet.... pfff si c'est un mec qui doit répondre au moindre de tes caprices, sont bien trop nombreux pour moi, t sais j suis pas très courageux, alors courir partout pour répondre à tes désirs pas trop pour moi, surtout pour récupérer une bière. J ai pas besoin de détails sur les fonctions, pas mon style de m'déguiser en petit chien à sa mémère.


Snoop regardait Mini monter sur son fidèle destrier qu'il se plaisait à appeler canasson pour l'énerver un peu, pis ne résiste pas à l'envie de la suivre, après tout se faire payer une choppe n'était pas des plus désagréable.


Attend moi espèce de radine, t vas la payer quand même ta chopine, pis sait on jamais si ma ptite blonde à moi venait à passer par là, j lui paierais la sienne, elle coute bien moins cher que moi en bibine, surtout quand on voyage.

Snoop se leva et se mit à courir pour rattraper le canasson qui pour une fois ne galopait pas à toute enjambées et c'est tant mieux. Chemin faisant il continuait leur discussion, Snoop restait un brin moqueur, mais il sentait bien que la Mini était pensive, sinon elle l aurait fait taire depuis longtemps.

Dis c est à moi qu tu penses comme ça?


Il ne pouvait pas s'empêcher de la chercher, c'était plus fort que lui, fallait toujours qu il la pousse un peu plus loin, sans se connaitre vraiment, il y avait entre ces deux là une complicité qui lui permettait de lui chercher des noises, sans qu'elle ne le prenne mal. Elle savait qu'il était plutôt sympa le Snoop surtout qu'il l aimait bien Miss Foldingue. Aucun des mots qui sortaient de sa bouche n'était une attaque envers elle, juste de gentilles petites taquineries amicales qui avait fait qu'ils s'étaient si bien entendu.
Lilou......
lilou decida d'aller faire un tour a a plage , trouver le calme En arrivant elle se trouva un coin tranquille,

Une fois installée, elle se mit a contempler l'horizon. Le bruit des vagues, le calme, que demander de mieux. S'allongea sur le sable et fini par s'endormir...
Noëllie
Elle avait vu le reste de la bande s'en aller vers Béziers. Elle resterait là pour attendre les retardataires.

Une pause seule, un répit après l'agitation, Noëllie aimait parfois profiter de quelques heures de solitude.
Parfois seulement, car elle n'aimait pas trop être seule.

Elle profita donc de cette accalmie pour aller à la plage.
La dernière fois qu'elle s'était baignée dans la méditerranée c'était à Narbonne, autant dire il y a des siècles !
Il s'en était passé des choses depuis.

Elle était rentrée chez elle à Valence. Elle avait assisté à une autre guerre en Savoie, avant de revenir s'installer définitivement en Languedoc et faire des bébés...
Elle venait tout juste de laisser son poste de tribun à Lodève et entamait un long périple le long des côtes pour rejoindre Bayonne.

Enfin un peu d'action en perspective car il était question de profiter de ce voyage pour chasser l'ours dans les Pyrénées et de faire de la planche à voile dans les vagues de l'atlantique.
En attendant de découvrir ses eaux tumultueuses et plus fraiches, elle comptait bien se régaler ici à Montpellier.
Le temps était superbe, il faisait presque trop chaud aussi n'hésita-t-elle pas.

La plage s'étendait à perte de vue, le soleil se reflétait sur l'eau et les flots scintillants l'éblouissaient, elle semait ses vêtements au fur et à mesure qu'elle les enlevait, ne gardant que sa chemise pour ne pas choquer les promeneurs.
Ici loin de la Lergue qui serpentait à travers le domaine familial... Il fallait observer une certaine retenue.

L'eau lui lécha les pieds lui arrachant un petit cri de plaisir, puis, frissonnante, elle s'avança plus en avant.
Sa peau se hérisse, tous les poils de son corps se dressent !
Brrrr !
Qu'elle est fraiche !

Quand elle eut l'eau à la taille, elle mouilla sa nuque et d'une poussée sur ses pieds, elle bondit et plongea la tête la première pour disparaitre complètement de la surface de l'eau.

Elle progressait sous les flots en longues brassées puissantes, bloquant sa respiration jusqu'à ce que n'y tenant plus, elle émerge pour reprendre son souffle et inspirer à longues goulées l'air vital.
Ses narines frémissaient, sa poitrine se soulevait au rythme soutenu de sa respiration. Ses poumons la brûlaient.
Voilà trop longtemps qu'elle ne les avait pas sollicité de la sorte, mais quelle délicieuse sensation !

Les yeux fermés elle savourait la chaleur du soleil sur son visage alors que son corps restait dans le frais des vagues.
Elle nagea longtemps évitant de ci de là les paquets d'algues flottants. Enfin épuisée, elle se laissa dériver au gré du courant avant de rejoindre la plage.
Lentement elle sortit de l'eau. Elle semblait si lourde soudain.
Ses pieds s'enfonçaient dans le sable mouillé qui gardait leurs empreintes avant qu'une vaguelette ne les efface.

Dégoulinante, elle s'étendit à même le sable. Il était chaud et doux...
C'était un vrai bonheur...

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Un sourire, un baiser et la vie est tellement plus belle !

Dotyy
Dotyy etait arrivée hier avec son amie Boubou a Montpellier pour un mariage. Elle n'avait pas encore eu le temps d'aller voir la mer et la plage de prêt. Certes cela faisait déjà deux jours qu'elle travaillait au port mais cela n'etait pas pareil.

En ce début d'après-midi alors qu'elle avait fini ca journée de travail, elle avait retrouvé son amie en taverne et avait fait connaissance de messire Attila. Ils avaient discuté et surtout bien rit et cela lui avait fait un bien fou. Elle en avait presque oublié toutes ses pensées et sentiments si douloureux qui avait refait surface depuis son arrivée à Montpellier.

Ils avaient donc décidé d'aller se baigner car il commençait à faire très chaud. Elle avait donc quitté la taverne avant Boubou et Attila et etait repassé par l'auberge ou elle logeait pour se changer et prendre de quoi se sécher un peu la bas. Elle avait trouvé un grand drap dans une armoire et l'avait emprunté discrètement.

Elle etait sortis tranquillement et avait rejoint la plage par un petit chemin très agréable et sinueux. Elle se dit que vue le temps qu'elle m'etait les autres aller finir par arriver avant elle mais elle sourie quand elle remarqua qu'ils etaient nul part sur la plage, ni dans l'eau.

Perché en haut d'une butte elle admira le paysage et se perdit dans ses pensées pendant quelques minutes. Elle aimait la mer et celle-ci lui manqué beaucoup mais il etait mieux pour elle en ce moment qu'elle n'y habite pas. Trop de souvenir etait liée à la mer pour vivre a coté en permanence. Elle avait besoin de temps.

Elle secoua la tête pour revenir à la réalité et se mit à dévaler la pante en courant craint a plein poumon les bras écartés livrés au vent marin.


AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Arrivée en bas elle trébucha et roula dans le sable et éclata de rire. Si quelqu'un l'avait vue, il l'aurait surment prit pour une folle. Elle sortis le drap de sa besace et l'étendit sur le sable et la mainteni au quatre coins par une pierre plate.

Elle se déshabillas un peu, gardant sur elle juste une chemise. Elle regardat la mer et se mit de nouveau à courir et plongea dans l'eau fraîche. Cela lui fit un bien fou et elle commença à nager puis revient vers le bord ou elle s'allongea laissant les vague venir lui lécher tout son corps. Elle ferma les yeux et se laissa aller à la rêverie.

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Boubou5911
Boubou était en taverne toujours en train d'embetter son amie et lui avait promis d'aller aller a la place. Elle mis du sable a ses fesse car sentais qu'elle allais encore les pincer et préfère prévoir au cas ou. Elle vit ses cheveux tout trempé et savais qu'elle avait horreur qu'on les touche. Elle lui ébouriffa

C'est moiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii^^

Elle la regarda et vit qu'elle avait un peu de sable sur son visage. Elle l'enleva tout en rigolant.


Euh tu a fait quoi en nous attendant?

Elle se laissa tomber en essayant de se détendre


C'est vrai que la on y est mieux

Elle sourit en profitant du paysage
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Crodrio


Après qu'on lui est recommander à plusieurs reprise d'aller à la plage, Crodrio se décida.Arrivé là bas, il se chercha un petit coin tranquille où personne ne viendrait le déranger. Il s'allongea et profita du soleil et de la chaleur et se dit qu'il aurait largement le temps d'aller se baigner plus tard
Aldyr
[Mer, braies et soleil, sans marée]


Tu voulais voir la mer, nous avons vu Millau, son lac, l’avoine et le mil à en cracher de l’eau.

La dernière étape n’avait pas été l’itinéraire établi d’un duvet tergiversant.
Dans une quête d’embrun, commune et partagée, le chavirage intempestif et l’échouage de circonstance avaient été éprouvés sans aucune fausse note sur la terre ferme, à l’écart du chemin, entre deux platanes goguenards et une mare oubliée. La théorie ne valait rien si elle n’était pas appliquée de prime abord avec une pratique de l’échec. Cela pouvait être mis sur le compte d’un rudiment pelagineux-plumeux de l’endroit vécu à l’envers. En l’espèce, la maxime se traduisait par un « Tant à pétrir le farineux et à faire lever le levain que l’aligoté casse sa pipe sans avoir été effleuré par un tire-bouchon ».

Symbolique hasardeuse certes, feu le bordeaux aligoté bourguignon, repli duveteux en catastrophe dénuée de tout misérabilisme sur le Mont…Et le Rein, certaines syllabes comme d’autres genres arboricoles se nommaient encore par le silence.

Même pour un vagabondage duettiste, la justice commutative était de mise avec une prépondérance pour celle distributive et de surcroît aveugle. Une quantité de matière disparaissait par une mauvaise salutation. Elle rejaillissait égale en nature et en nombre après quelques numéros savamment improvisés teintés de risques intrinsèques aux amourettes ovoïdes et de fonte.

Encore un recoin du royaume où ils ne pourront même pas vieillir ensemble si cette idée saugrenue leur venait en tête, de façon plus ou moins anticipée de l’un pour l’autre, avec une mauvaise foi feinte.

Une méditation incessamment vespérale et diurne, continuée au nez du soleil et à la barbe de la lune, les bittes d’amarrage en étaient toujours dangereusement immuables. La seule attraction pour éviter de se spécialiser dans l’applaudissement à unique manchette, cette grande mare avec tanche assurément mais étonnement sans honte.

Les bottes, sans accompagnement de poulaines coïncidant, s’enfonçaient mollement et crissaient dans le sable. Le foulard, accessoire sans fioriture pour le lieu, levait vers l’horizon. Les paupières jouaient bien pauvrement l’appendice de cette vêture.

Elle s’était détournée d’une lune traitresse pour voir le soleil. Lui, maintenant, y était plongé comme dans un bain. Nouvel été en pente douce vers l’écume presque immobile, le solstice ne chômait pas.

Langue de sable torturée, entre garrigue et mer faussement sage, le regard fuyant du vagabond par les nécessités de la nature se fit accrocher par des éléments éparses sur le sable, jurant avec son immaculé. Léchés par le ressac timide ou plus en amont du rivage, ces points sombres, dénotant avec la clarté des environs, semblaient comme une aberration ex nihilo. Avant même que la caboche n’identifia par information trouble des pupilles, le pas lourd des bottes gauches vint buter sur l’une de ces choses. Caboche et fichu en avant, renifloir comme fer de lance contre les grains rosissant au zénith, Aldyr s’esclaffa en postillons méditerranéen. De ses quatre membres tout crotté se relevant, l’œil inquisiteur et le cil vindicatif rencontrèrent Une planche de bois dont la définition approchée la bizarrerie, voisinant une branche à la rectitude suspecte, se juchaient et s’accouplaient accidentellement avec le cuir de ses appendices terreux. D’une posture en planche à celle animale, se pencher n’était qu’un effort. Le sourcil hagard put constater que la planche rongée par le sel et les rayons du soleil était trouée en plein centre de sa boiserie. Se saisissant de ses tâches pour l’immaculée trop rayonnant et terne de la plage, Aldyr les examina tour à tour d’une ineptie de sa caboche, qui fit jour d’une causalité pileuse.

Théorie et pratique, numérotons même de façon soliste, en attendant le duettisme. A force de salir ou de laver le fond de ses braies sur les bancs de cette université de langue à hoquet, à s’user les prunelles dans la poussière des rats, l’envie sournoise de s’essayer à la chose était proche de la normalité toute relative.
Main droite puceuse pour la planche rabougrie, main gauche et pileuse pour le bâton d’un manche tout azimut, le coït forcé ne se fit pas attendre. L’imbrication sembla presque un miracle. La branche dénuée s’érigeait comme une fierté verticale et infatigable sur l’oraison de la planchette chétive.

Il n’y avait plus qu’à balayer les environs entre garrigue et étendue d’eau paresseuse. Les deux subodoraient d’une langue l’inexistence de tanche et voire de buche. L’occasion faisant un larron en sauce proche d’une soupe, il fallait vêtir le maquettage pour frôler sans prétention une expérimentation vouée à l’échec. Les orteils encore au sec, le cuir se frottait au sel environnant.
Un coin de caboche surchauffée vers le rivage, première idée fut d’arracher le pli du foulard à la bonne venue des rayons assassins pour un essayage sans couvre-chef Capitan. Délaçage et laçage aux conséquences pauvres, comme la marée inexistante, le miniature rafiot ne bougea d’une vaguelette insondable.
Travaux pratiques deuxième prise, les savants de ce monde devaient tomber la chemise. Chose faite, entre clapotis et solstice gonflé, la manœuvre ou le tirage n’était peut-être pas d’un tour de poignet dextre. Une houppelande ou surtout une jupe aurait été mieux approprié.

Les bottes commençaient à écoper.

A défaut de bitte d’amarrage, la voilure à lacet vint trouver retraite contre une épaule toute crottée. Le foulard dégoulinant sur un coin du casque, le sourcil à la fois intrigué, perplexe, dubitatif et actif mouvait sans cesse. Un vaisseau à l’échelle d’un quart de pomme pouvait accueillir quel type de tissu ?

Un sourcil pileux sur la plage, l’autre sur l’horizon infini, la tentative de la dernière chance était de mise. Les inventeurs, tous, donnaient de leur personne, à leurs dépends…Et à leurs pans. D’une moue narquoise, faussement contrite, Aldyr plongea ses mimines dans l’eau. D’une acrobatie piteuse, les braies comme dernières permettant de faire voguer cogue ou caraque ridicule, dégoulinaient tout en scintillant contre l’astre plastronnant. Une gêne contrite par la nécessité du savoir, Aldyr ficela et attacha d’une langue apparaissant timidement entre les lèvres, la voilure sur le mât gauche de la planche de guingois.

Révélation et miracle, les deux mamelles du partage et de la sélectivité. Vogue, voguait la coquille, son ébauche, par delà soleil et lune. Le vagabond tout crotté, médusé comme l’eau à ses mi-cuisses, suivait le cours des prémices de l’exploration maritime et plumeuse. De cette façon ou en poirier, les coups de soleil ne pouvaient que s’ignorer.

Un séant gouttelant et sans tape pour une garrigue.

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Vagabond professionnel

"Plus con qu'un trépané, deux trépanés" Parole d'un trépané avant sa naissance.
Auriia
Lever à l’aube, c’est très tôt dans la matinée que Auriia s’éloigna de la grande place de Montpelièr pour rejoindre les coins reculés de la capitale. Elle marcha de longues minutes avant d’apercevoir juste devant elle la plage qui s’étendait sur tout le panorama, vu magnifique et lumineuse que ce temps ensoleillé offrez.

Auriia retira ses bottes et ses bas puis traversa la plage encore déserte. Chaleur… Caresse, chatouillement, que chaque petit grain de sable venait lui procurer sur ses pieds. Plus celle-ci s’approcher de la rive et plus le sable devenait frais et humide.

Le silence… Ou presque… Seul le mouvement des vagues venaient déranger la paix qui régné en ces lieux. De plus en plus proche, elle avança afin d’être immergé jusqu’ aux chevilles. Le rythme des vaguelettes contre sa peau, les deux mains sur ses hanches et le menton bien relevé, Auriia ferma furtivement les yeux puis respira un grand coup cette air iodé. Les rayons du soleil venaient caresser son visage, réchauffer ce teint porcelaine… Tandis qu’une légère brise douce ce glissait dans ses cheveux détachés.

Aujourd’hui était une journée particulière, non pas parce que nous étions à quelques jours du mariage et qu’il y avait encore beaucoup d’organisation là-dessus mais… Mais Auriia devait apprendre à nager à un ami qui était de passage à la capitale. Celui-ci n’ayant jamais vu la mer, ou alors que de loin bien sûr, n’avait po eu la chance encore de barboter dans une aussi grand étendu d’eau.

Auriia se retourna, cherchant d’ailleurs au loin si celui-ci n’arrivait pas. Personne à l’horizon, elle décida donc de regagner le sable et de poser son popotin au sol. Elle porta sont regard dans le bleu de la mer puis laissa ses pensées l’envahir…

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« Un véritable ami vous poignarde en face. »
Attila93
Apres un long voyage, attila fut content de rentré chez soi ,il avait hâte de revoir cette belle plage pour se détendre.

En taverne il fut connaissance de Boubou et Dotyy ,une bonne ambiance c'est installé,il leur propose d'allé piqué une tête elles acceptéres.

Il partis chercher une serviette et arrivé sur la plage ,attila aperçois les deux charmante entrain de se chamaillé ,il posa sa serviette à coté des leur ,et mis deux coquillage qu'il à ramassé en chemin sur leur serviette .

Il les regardes avec un grand sourire ,il pris leur main et les emmenas se baigner ...
Dotyy
Dotyy avait vu, enfin plus senti son amie arrivée. Elle n'avait rien trouvé de mieux que de lui ébouriffer les cheveux. Dotyy émit un grognement désapprobateur et voulut lui pincer les fesses mais sans grand succès car celle-ci avait mit du sable dans ses braies. Elle se douta qu'elle n'avait pas eu cette idée toute seule et Attila devait y être pour quelque chose. Pas grave, elle aurait sa vengeance plus tard.

Elle sourit à Boubou quand celle-ci s'assit à coté d'elle.




Citation:
Euh tu a fait quoi en nous attendant ?


J'ai fais un ptit plongeon, tu devrais y aller, elle est excellente.

Elle n'eut pas le temps de finir sa phrase que Attila arrivé et les prenaient par la main pour les emmener prêt de l'eau. Il n'allait pas être déçut. Arrivait au bord, dotyy retira sa main et les arrosa à grand coup de bras. Elle ne put s'empêcher de rire en voyant leurs têtes.

Elle se mit à courir pour éviter les représailles est vit au loin quelques choses qui flotté. Elle crut tout d'abord que c'etait une planche de Pin, mais en se rapprochant, elle vit que non et reconnu la personne. Un sourire éclaira son visage et elle se souvint de sa promesse. Elle retourna prêt de Boubou et Attila.


Excusez-moi, je dois m'absenter un peu, j'ai une chose à faire. Amusez-vous bien et profiter de l'eau. On se revoit plus tard. Elle ramassa ses affaires et se rhabilla vite fait, puis partit en courant vers la taverne la plus proche.

Elle arriva en nage, suant à grosses gouttes. En voila un qui serait content de la voir comme ca. Elle commanda deux bières très fraîches et sorties de la taverne avec. Surtout ne pas en renverser et les garder fraîches. Cela aller relever de l'exploit. Elle mit les choppes l'une sur l'autre et les callas dans sa main et sous son menton et courut à petite fouler. Elle réussit à arriver à la page sans presque rien n'avoir renverser. Pour ce qui est de la fraîcheur, il en serait seul juge.

Elle descendit sur la plage et hurla le plus fort possible


ALDYRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRRR


Puis elle attendit, les deux chopes dans les mains.
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