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[RP]Plage de Montpellier.

Sybille.
Immense étendue qui n'en finit plus de s'étirer jusqu'à l'horizon, la mer est là !

Bleue, calme, juste une fine écume qui se dépose a la limite du sable sec et Ange soupire ... elle la voit la mer, elle qui en avait tant envie, mais elle est déçue, c'est l'océan qui lui manque, pas la mer !

L'océan avec ses vagues folles, ses embruns salés qui fouettent le visage et font voler les cheveux en tout sens, la furie des tempêtes avant l'arc en ciel qui ramène le soleil. L'odeur iodée qui pue parfois, faut bien le dire, mais qu'importe, l'océan vit, crie, rugit, il s'en va, puis revient inlassablement comme un amant qui ne peut rester longtemps loin de sa dulcinée.


Mais tant pis, elle s'assoit dans le sable, glissant sa main dans les grains qu'elle laissent s'écouler lentement entre ses doigts ...

Sa pensée s'évade, retournant hier soir dans cette taverne où sa langue, cette idiote, a parlé bien plus vite que sa réflexion ... mais pourquoi donc a t-elle parlé de Gur ? pourquoi ?


Bibus n'a pas dit grand chose, seulement sorti sa pipe et s'est mis à fumer sans autres commentaires ... mais elle sait qu'il a eu mal ! rien entre eux n'est dit, ils ne font que se chamailler, mais Ange sait que quelque chose nait, et que ni l'un ni l'autre ne sont prêts à l'avouer !

Il y a tant de choses à oublier pour elle, tant de noirceur de sa vie passée, et toute cette amertume que Gur y a déposé. Elle voudrait ne plus penser à lui, faire comme si il n'avait jamais existé, mais c'est impossible, elle peut seulement le reléguer dans un coin de ce coeur qu'il lui a fait découvrir, elle ne savait même pas qu'elle en avait un !

Et puis ... et puis, désormais ce coeur il s'emballe, il bat trop vite parfois quand elle regarde le mal coiffé, quand il la contemple en catimini de ses yeux bleus qui lui donnent envie de s'y noyer. Mais a t-elle le droit ? Bibus est un homme bien .... elle une ancienne catin qui s'est vendu contre quelques écus ! il mérite sûrement mieux qu'elle !


Elle voudrait pleurer Ange, mais elle ne sait pas, elle n'a jamais appris et par moments, elle se retourne, cherchant des yeux une silhouette qui viendrait vers elle, une silhouette surmontée d'une tête aux cheveux improbables et mal coiffés, et elle soupire ... Bibus !
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Aliyan
Aliyan se remettait tout juste de son voyage et sa soirée arrosée de la veille. Elle se prépara et parti simplement visiter la ville. Elle connaissait déjà les tavernes alors elle s'aventura dans les autres quartier de la ville. Après avoir visité divers endroit, fait quelques repérages ici et la, en vue d'une éventuelle installation a Montpellier, elle continua son chemin.

La tête encore embuée et l'air rêveur, elle arriva a la plage.
L'océan, elle connaissait, mais la mer était différente plus douce et plus calme... La plage s'étalait devant elle, en cette belle journée de fin d'été, elle retiras ses bottes et ses bas, les tenant dans une main. Elle avança dans le sable jusqu'à ce que l'eau vienne mouillée ses pieds. Elle marchait lentement au bord de l'eau, le regard tantôt vers l'horizon, tantôt vers le ciel ou balayant le sable. Chaque chose était un émerveillement aux yeux de la jeune femme.
Elle remonta un peu sur le sable et s'assied. Elle posa ses bottes et ses bas a coté d'elle et regarda la mer. Son regard scruta l'horizon, la mer ondulait, paresseuse, les mouettes planait au dessus de l'eau piaillant. Aliyan glissa ses doigts dans le sable, il était fin et doux.
Elle pensa que l'endroit été parfait pour vivre et c'est ainsi que la jeune femme passa une partie de la journée.

Puis son estomac grogna et sortant de ses rêveries, elle se leva. Aliyan ramassa ses affaires et remonta de la plage. Elle s'essuya rapidement et enfila ses bas et ses bottes. La jeune femme jeta un dernier coup d'oeil sur la plage et repris le chemin de la ville.

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Seventisix
Des semaines, des mois, mis bout a bout presque une année était passe sans qu il voit la mer, le provençal qui avait rejoint Toulon pour la voir en était tombé amoureux et n avait pu faire autrement que s y installé, ce retour au source lui faisait un bien fou.

Des mois dans les montagnes, ce retour de croisade il en avait rêvé et enfin il se trouvait devant cette immensité ce paysage qui avait accompagné ses songes durant tout ce temps, cette même vision qui lui rappelait son fils, sa fille, une larme perla sur sa joue il s essuya rapidement.

Il s assit dans le sable, il était si proche d eux et en même temps si loin car il devait rejoindre le monastère pour quelques jours, des images de combat lui traversait toujours l esprit, la vie dans un village hostile l avait rendu solitaire et rustre cette retraite était la bienvenue après tout ces jours de voyage.

Les yeux figées sur l horizon, il se leva prit son fidèle baluchon et se dirigea vers le monastère, et se promis de venir se baigner des sa sortie.
Tara
Evi se balade dans le village , elle sait y rester que pour une journée , mais les événements des jours qui viennent de passer sont encore si présent en ce matin , déjà l'automne semble vouloir pointer son nez elle a rajoutée un lainage pour errer un peu...
Elle avise un endroit ....du sable....une immensité bleue .....des vagues...de l'écume .... s'en approche , ôte ses bottes les tenant d'une main et de l'autre relevant légèrement son jupon , pensive elle joue machinalement en donnant des coups de pieds sur les vaguelettes s'échouant sur le bord ...
Ses pensées la mène a quelques jours de ca ...Elle ré entend les mots qu'Aris a prononcé , se bouche les oreilles comme si cela pouvait y faire quelques chose.


" tu aurais du mourir avant "

Les mots sont devenus des maux , ils se font douloureux ,la heurtant , la blessant avec une telle force , elle sent son dos se vouter sous la douleur ,puis les larmes glisser sur ces joues , passer sur ses levres , du revers de sa manche elle les essuies . Va se poser a même le sable , enfonçant ses mains dedans , découvrant la fraicheur de celui-ci...

" garce ...trainée...."

Elle se lève , s'approche , entre a nouveau dans la mer , regarde au loin , avance en direction du large , sent l'eau monter contre ses chevilles , ses mollets , arriver aux genoux ...remonte son jupon ...aura t"elle le courage ou sera t' elle lâche? Elle se demande s'il aura de la peine , s'il versera une larme ?s'il lui dirait Je t"aime Evi ,ne le fait pas ! S'il lui tendrait la main comme elle lui a eu tendue dans le passé !


" tu as tuée tout mes espoirs "


Autant de mots qui sont sorti de cette même bouche qu'elle aimait embrasser , cette bouche qui savait lui murmurer des mots tendres...

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Hadelize
Comme à chaque fois qu’elle repassait à Montpellier, Hadelize se précipitait sur la plage, c’est ici qu’elle avait vu la mer pour la première fois et elle se rappelait sa surprise devant cette étendue bleue qui bougeait sans arrêt.

Elle enlève ses bottes et marche sur le sable

Le soleil brille, la mer est calme et la plage silencieuse.

Elle s’amuse encore une fois à reculer quand la vague avance et finit par marcher dans l’eau le long de la plage.

Puis, sortant son petit carré de tissu qui a maintenant un rose délavé, elle s’assoie sur le sable, regardant au large les bateaux évoluer.

Le regard sur l’horizon, elle rêve en attendant l’heure de rejoindre un hôtel
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Arthurcano


Partis de l'avant veille de Narbonne, ils étaient l'avant garde d'un petit groupe faisant voyage jusque Lodève... et pour el Tyranos jusqu'en Rouergue...

Après avoir chevauché dans la Pampa, passé la ville de Béziers, ils faisaient relâche à la Capitale... Arrivant sur la grand place, ils laissèrent leurs chevaux au devant d'un abreuvoir et s'en rentrèrent dans une taverne pour se désaltérer...

Quelques bières passées... Un soleil automnale digne d'un été et puis... Ceb et Arthur s'en allèrent voir la mer...

Une promenade doucereuse, à écouter le simple bruits des vagues se jetant doucement sur le sable, deux amis profitant du calme, une chérie, un amour, un tyran, une fouettarde... mais pas ici, pas ici juste à profiter de l'horizon de cette mer bleu azur, de cet air qui caresse les visages, de ce sable fin...

Une pause, il l'aide à s'asseoir face à la mer, il s'installe à ses côtés, deux regards qui se croisent, une complicité de longue date ça se remarque... Le travail besogneux les attendraient encore demain... Mais cela nuls craintes ils assureraient...

Un peu de repos, elle en avait besoin avant la naissance approchante.... Se changer les idées, il en avait eu besoin et ce voyage avait été remarquable pour ça... Leurs regards se tournent vers la mer jolie, leurs pensées se perdent, deux mains qui se croisent...

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Cebyss
La plage… refuge des mauvais jours de la brunette, des tempêtes qui grondaient souvent dans son cœur…

Pourtant là plus de tempête, enfin l’orage était passé, il avait grondé fort comme jamais… de la rage, de la colère, elle s’était emportée, avait eu peur… et puis le soleil… son soleil l’avait rassuré et réchauffé.

Un voyage réparateur pour tenter d’oublier les dernières amertumes, les derniers pincements au cœur… Le doux chant du ressac, apaisant. Les doigts mêlés à ceux de son ami Arthur, les yeux perdus sur l’horizon, chacun dans ses pensées, parfois un regard, un sourire, nul besoin de mots.

Sa main se pose sur ce ventre arrondi, cet enfant attendu… Klan… il lui manque, elle est inquiète comme chaque fois qu’il n’est pas à ses côtés. Cette sensation de manquer d’air quand il n’est pas là, de ne pas être elle-même, de ne pas être entière. Elle sourit, bientôt ils seront réunis.

Les pensées défilent et le temps passe, il est temps de reprendre la route… demain Lodève…

Elle regarde Arthur, entre eux nul besoin de mots comme souvent, il en est ainsi entre amis, chacun connaissant les joies et les tourments de l’autres, les partageant. Arthur... son Ami... toujours là, quelles que soient les circonstances... Elle lui sourit.

Apaisés par ce moment de calme et de sérénité, ils reprennent le chemin de la Capitale Languedocienne pour préparer leur départ prochain.

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Arthurcano


Les yeux à l'horizon, l'âme en guérison, ils se relèvent et se préparent au départ pour Lodève... Halte pour lui, court passage pour Ceb qui poursuivra plus loin...

Avant de partir et discrètement sur la plage, il écrit du bout des doigts sur le sable A - Y... Une lettre se sera effacée par le souffle du vent mais il sourit ...

Se tournant vers Ceb, lui disant Hop hop, ils reprirent le chemin de la grand place, scellèrent leurs montures et d'un revers de la main... Au revoir Montpellier...

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Louana
Les pieds cachés dans le sable froid, je regardai en face de moi. Croyant rêver. Une telle émotion me pris, une telle excitation, que j'en avait les larmes aux yeux. Tout en tripotant mes mains, je passai ma langue sur mes lèvres, et me rendit compte avec surprise qu'elles étaient salées. Je n'hésitai pas à avancer de quelques pas, comme sur un nuage, pour sentir l'eau au contact de ma peau gelée. La sensation me fit frémir, et je passais les bras autour de ma taille. Pourtant, tout était magnifique, et un désert d'eau éblouissait mes yeux, pour la première fois. Je n'avais pas réalisé à quel point la mer pouvait être belle. Je l'avais imaginée beaucoup moins féerique. Beaucoup moins apaisante.

Soudain, une émotion étrange me pris par surprise. C'était la première fois, depuis un moment infini, que je n'avais pas ressentit un tel bien-être. C'était comme une magie, comme un paradis, une utopie. Je replaça les mèches folles de mes cheveux derrière mes oreilles, et j'inspirai l'air frais et délicieux qui me chatouillait le nez. Un mélange exquis. Unique. L'odeur du grand large. Une mouette piailla, et je me surpris à sursauter. je rigolai de moi-même, bien là où j'étais, pour la première fois.
Maegorn55
Maegorn avait laissé Stig dans un box qu'elle avait loué à la ville de Montpellier. Là-bas, il pourrait y dormir en paix et au chaud. Comme elle, il avait appris à prendre le confort lorsqu'il se présentait.
Voir la Mer. La faire découvrir à son compagnon de route. Passer à quarante lieues et ne pas faire de détour aurait été ridicule. La jeune femme voulait la parcourir de regard. Un homme qui tressait un panier avec de l'osier, accepta de la diriger. Bientôt, elle foulerait le sable. Ses pas résonnent sur les pavés, font craquer la boue séchée, s'enfoncent enfin dans le sable. La faune a changé. Une plage en hiver... C'est beau.




Elle ôte son capuchon pour sentir le Vent dans ses cheveux. Son bruit qui éloigne tout. L'odeur de la Mer est particulière. Elle l'aime.
La voyageuse connaissait la Mer de la Rochelle. Celle d'ici est différente. Son cadre est empli de roches et d'une faune qu'elle ne connaît pas. Maegorn marche vers l'eau et s'arrête sur le sable mouillé. Sa cape vole selon le bon vouloir de l'air. Debout devant la Mer, elle se sent seule. Et petite. Son regard se perd dans cette étendue infinie. Dans cette grandeur bleue qui apaise. Un sourire se forme sur ses lèvres. C'est un bonheur que d'être là.
La jeune femme confit ses pensées à cette Eau. Puis les questions surgissent. Il en a fait surgir certaines. D'autres n'attendaient qu'à se montrer. Des questions qu'elle évite. Qu'elle fuit. Elle a mal.
Que lui répondre ? Quelles réponses apporter ? Que faire ?
Maegorn retourne vers le sable sec et s'y assied. Le regard vert toujours sur la Mer, elle réfléchit. A force d'être un obstacle au Vent, elle a ramené ses genoux vers elle. Pour éviter que le Froid de s'insinue au travers de ses vêtements. Ses cheveux continuent de voleter. Elle n'y prend plus garde. Dans cette étendue d'eau, la voyageuse cherche des réponses. Le temps peut passer, elle s'en fiche royalement. Enfin, aussi royalement que le peut une roturière.
Tirlititi


Un jour neigeux, un village , une plage a perte de vue et la voila qui se balade en ce lundi calme , seule , errante le long de la plage , elle remonte sa cape , fermant le col , sa capuche sur sa tignasse brune toujours autant indisciplinée .

Elle pense a lui , si loin d'elle et si près pourtant en ce jour , sans ses bras pour l'enlacer...si différents l'un de l'autre et pourtant si épris ...

A son regard azur qu'il pose sur elle cherchant a rencontrer ses prunelles noire , des yeux qu'elle baisse quand elle sent sont regard chargé de reproche ou de désir...

Elle s'arrête un moment , plonge son regard sur le lac et se souvient d'un instant .. quand allongés l'un contre l'autre , repu elle glisse ses mains dans ses cheveux qu'elle aime tant ..

Elle reprend sa marche et avance détendu , pensant a eux , le nez au vent , l'air frais lui piquant les joues , lui donnant cette couleur rouge qu'elle prend certains jours quand il lui dit des mots au creux de l'oreille..

A Lui qui a réussi a la faire aller de l'avant , a ce qu'elle ne se retourne plus sur son passé , lui en qui elle confie sa vie les yeux fermées.

Elle sourit heureuse depuis bien longtemps , elle sait que demain elle sera dans ses bras...Elle regarde le soir qui tombe et décide de le rejoindre a la taverne

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Enjoy
    Ainsi soit-il. Il ne s'agit que d'une simple quête avec toute la complexité qu'elle sous-entend. Une sorte de dualité au dénouement toujours aussi incertain. Poursuivre un chemin aux antipodes de la coutume bien pensante. Être sédentaire ne serait être sa destinée. Puisqu'elle fuit quelque chose car elle ne recherche rien.

    Du moins, c'est ce qu'elle pensait...

    La réalité fait un constat tout autre. Elle arpente les ruelles montpelliéraines comme un chien perdu dans un faubourg trop vaste. Ceci laissant comprendre qu'il y a bien une raison. Et cette fois-ci, ses pas l'emmènent sur la plage. Il ne s'agit pas de la saison idéale pour espérer se baigner. Aussi l'hésitation la guette comme chaque seconde attend l'Homme pour son repos éternel. Elle défait ses chausses, regarde autour d'elle. Les vagues sont bien fortes et viennent rendre l'âme contre les rochers. On dirait deux armées fondant l'une sur l'autre dans un grand fracas. Déjà, un cor de tonnerre gronde dans la vallée et l'écume, qui représente ici le sang des victimes, reste alors que la mer se retire pour mieux revenir à la charge. Le paysage est dantesque. Une mer terriblement agitée, un ciel chargé mêlant le gris et le bleu dans un contraste saisissant.

    Elle marche avec son déhanché qui pourrait faire trembler d'envie la moindre once de masculinité. Ce qui, en l'état, n'est pas le but recherché. Et puis, sa sensualité était devenue une habitude. Commençant à se dévêtir en fixant l'horizon, le tissu glisse sur sa peau laissant apparaître ses appas. Elle frissonne à cause du mauvais temps et se lance pour ne rien regretter.

    L'eau froide vient à son encontre. Une plongée entière et une évasion. Jusqu'à l'instant imprévu. Un moment de panique. Elle se débat pour atteindre le rivage alors qu'elle se sent couler. Se battre pour survivre. Certes. Mais y parviendra-t-elle ? A première vue, non. Puis, la force régissant n'importe quel être la sauve in-extremis de la noyade...
Maliciane
La voici sur le sable...La jeune Maliciane que le hasard a mené vers la plage alors qu'elle errait depuis un moment dans les rues de la ville.

Elle venait de passer quelques moments en taverne et l'accueil des habitants étaient des plus sympathiques mais pour l'heure un en particulier retenait toutes ses pensees...sans qu'elle sache vraiment pourquoi...Elle ne l'avait vu que quelques minutes...

Elle remonta ses braies et avança vers la mer...puis s'asseoit...la tête entre ses bras en laissant ses souvenirs de ces quelques instants l'envahir...ce n'etair pas dans ses habitudes de s'attarder ainsi sur un sire....
Deux hommes avaient traversé sa vie...une fois fiancée 7 mois...elle avait quitté Cris en même temps que Sémur pour venir à Narbonne...
Puis l y avait eu Donatien qui était mort recement...elle portait toujours la nouvelle de sa disparition sur elle...

Et puis cette rencontre ce soir...comme un mistral qui emporte tout...

Elle devait se reprendre.....et resta là...un long temps..
Maliciane
" Maliciane ..ha Maliciane...rentre à Narbonne" lui dictait sa voix intérieure

Oui...elle le devait...hier au soir elle était retournée dans cette taverne zux miracles comme elle l'appelait ou le patron mettait la joie et la bonne humeur et dans laquelle on se sentait chez soi. Ils avaient tous bien ri et s'étaient bien amusés et IL était là...celui à qui elle ne voukait pas penser....

Elle l'avait même eu un peu rien qu'à elle quand elle s'était réfugiée dans une tavernepour y passer la nuit....Les granges devenaient trop froides pour y dormir...
Et Mali avait gardé la couverture sur elle et l'emportait avec elle.

Elle avait laissé quelques piecettes au propriétaire des lieux en guise de paiement vae il n'était pas dans sa nature de partir avec l'équipement...seulzment voika...IL avait posé ses doigts sur la couverture pour la couvrir et ce serait son seul souvenir de lui car ce soir...

Ce soir elle rentrait...ce soir le rêve s'arrêtait...ce soir elle le verrait une fois encore si ls très haut l'entendait....puis elle rentrerait...

Mali avait commencé à comprendre comment la vie..commment l'amour foncfionnqit....et elle n'était pas naive au point de croire qu'il puisse ressentir les mêmes sentiments qu'elle...

Aussi le mieux était de rentrer et de reprendre le cours de son existence ! Voilà ce qu'elle pensait Mali..

Elle sortit la couverture, l'étala sur le sable et s'allongea dessus se permettant jusqu'au départ de rêver.....
Lolesi
La voilà sur la plage... enroulée dans une espèce de couverture trouvée près d'un tas de détritus... Ce n'est pas ce qu'il y a de mieux mais au moins... elle a moins froid. Et dès demain, elle se chargera de laver cette chose.

Elle s'assied sur le sable et regarde les vagues. Elles vont au rythme de ses pensées, elles vont et viennent, s'enroulent et repartent... Elle ne sait pourquoi mais aujourd'hui, elle se sent mélancolique.
Pourtant, les choses commencent à s'arranger, elle va bientôt pouvoir s'installer et commencer à cultiver sa terre. Elle va jouer un rôle dans cette vie, dans cette ville grâce à Pepino, elle va pouvoir être utile....

Mais malgré cela, elle se sent triste, insatisfaite, hésitante...

Elle pense sans cesse à cet homme, ne peut se l'enlever de la tête. Pourtant, il n'est pas question d'amour! Ni pour lui, ni pour elle. L'amour de toute façon, elle n'y croit pas! Ce n'est pas pour elle! Non, pas elle....
Alors, pourquoi ne peut-elle faire un pas sans regarder derrière elle pour vérifier s'il n'y est pas? Pourquoi doit-elle passer cent fois devant les tavernes en espérant l'aperçevoir?...Pourquoi a-t-elle déjà pris et rejeté mille fois sa plume?...


Oh, bon sang, j'aurais dû l'appeler ce soir là, le rattraper... au moins, j'aurais peut-être eu des réponses...Je crois que c'est ça qui me mine, toutes ces questions sans réponse. Ce flou qui entoure toute notre conversation, à tel point que je me demande si elle a bien eu lieu. Je fini par me demander si je n'ai pas rêvé, si je suis saine d'esprit...

Enroulée dans sa couverture, lentement elle s'est couchée sur le sable, légèrement à l'abri d'un rocher, là où il n'y avait pas de neige. Seule sa longue tresse dépassant permet de savoir qu'il y a une femme à cet endroit.
Regardant les vagues, elle s'endort doucement...
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