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[RP]Plage de Montpellier.

Lolesi
C'est en sursaut et transie de froid qu'elle s'éveille un peu plus tard...

Brrr, je suis gelée! Quelle idée de s'endormir par un temps pareil sur la plage... non mais vraiment, je ne tourne pas rond! dit-elle tout haut en bégueyant

Engourdie par le froid, elle se relève péniblement, seccoue ses maigres vêtements et sa "puante couverture".

Voyons, combien de temps ai-je passé ici... les étoiles ont-elles eu le temps de finir leur course dans le ciel?

Rassurée, par ce qu'elle observe là-haut, elle se dirige vers le village où elle trouvera, assurément, de quoi se réchauffer...
Eva.
Le regard perdu dans l'immensité bleue Eva avançait péniblement , le sable collait à ses chausses , elle tremblait et sanglotait , les larmes se mouraient les unes après les autres sur ses lèvres ... Lèvres qui avaient tant apprécié les baisers qu'il lui donnait ...Lèvres qu'il avait si ardemment désirées et qui cherchaient encore le goût de l'amour ...Se pouvait il que tout finisse ainsi ?

Se pouvait il qu'elle se sente si seule et si triste alors que le voyage de noce était à peine ébauché ? Se pouvait il que cet enfant caché en son sein grandisse sans son père ?

Tant de questions qui n'auraient sûrement aucune réponse ...

Heureusement ses amis fidèles étaient là ; pour eux elle se devait de continuer à vivre pour le moment ; mais combien de temps encore feindrait elle , ferait elle semblant ?

Elle s'assoit sur le sable humide et scrute le ciel en espérant une réponse , un petit signe de lui pour elle , juste une caresse qu'il viendrait déposer sur ses cheveux, lui qui aimait tellement les caresser ...

Elle se sent perdue ... Tellement perdue ...

Les étoiles s'éteignaient une à une , elle allait devoir rentrer . Le jour qui se levait annonçait une nouvelle journée de désespoir , une journée encore à se battre contre cette douleur lancinante qui ne la quittait plus ...
Eva se leva et foula le sable : retour vers la ville ...retour vers la vie alors qu'elle aurait tant aimé le rejoindre , se laisser emporter par la houle et disparaitre à jamais .

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Lolesi
Machinalement, ses pas l'ont conduite sur la plage.
Et là, face à la mer, elle repense à cette conversation irréelle...
Depuis que la porte s'est refermée, elle se sent plus seule que jamais.
Comme si elle n'avait pas été à la hauteur, comme si elle n'avait pas su faire ses preuves...
Elle se retrouve misérable comme lorsqu'elle était gamine et que...


Ah, non pas de ça, arrête, c'est le passé, c'est derrière, n'y reviens plus!

Elle seccoue la tête et sa longue tresse s'agite dans le vent.
Mais elle a beau faire, son sentiment d'abandon, d'échec ne disparaît pas.
Alors, elle reste là, au bord du sable, immobile...

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Cyrillius_de_thoisy
Cela fait une journée que Ladyxena et Cyrillius sont arrivé a Montpellier, alors qu'ils sortent de l'hôtel main dans la main, ils entendent un bruit de vague.
Cyrillius regarde son amour.

Chérie, ça te dis d'aller faire une petite ballade sur la plage, tout les deux.

Cyril prend Lady par la taille, et la serre contre lui, tout en lui posant un baiser dans le cou.
Xena_de_thoisy
Cyrillius a écrit:
Cela fait une journée que Ladyxena et Cyrillius sont arrivé a Montpellier, alors qu'ils sortent de l'hôtel main dans la main, ils entendent un bruit de vague.
Cyrillius regarde son amour.

Chérie, ça te dis d'aller faire une petite ballade sur la plage, tout les deux.

Cyril prend Lady par la taille, et la serre contre lui, tout en lui posant un baiser dans le cou.


Lady adore quand Cyrillius la sert contre lui et elle frissonne a chaque baisers déposés dans son cou!
Elle lui répond tendrement tout en remontant son col, car les premiers frimas sont présent en ce beau 31 janvier.

"Avec plaisir mon amour!"
Cyrillius_de_thoisy
Ladyxena a écrit:
"Avec plaisir mon amour!"


Cyrillius sourit au parole de Lady, il se rend compte que Lady frisonne un peu, il l'a serre un peu plus contre lui en l'enveloppe dans a cape pour éviter qu'elle prenne froid.

Ça va mon amour, tu n'as pas trop froid ?
Si c'est le cas, tu me le dit, j'ai la peau dans mon sac, je te la mettrait sur les épaules.


Après avoir marcher durant quelques temps, ils arrivent enfin sur la plage.
Lolesi
Encore une fois, la voilà sur la plage. Cette plage qui l'a tant subjuguée qu'elle y revient presque chaque jour. Malgré le froid de ce jour de février, elle déambule le long du sable mouillé, laisse les vagues galcées lècher ses pieds nus. Prévoyante, elle a prit la vieille couverture récupérée, lavée et séchée et s'est enroulée dedans comme d'une cape. Elle n'a pas froid, enfin presque...
Un beau soleil éclaire de ses rayons glacés le bleu du ciel infini... et les pensées de Lolesi voguent au gré des vagues...

Elle y pense encore... à lui... à cet homme dont elle ne peut parler. A cette conversation qu'elle ne peut révéler. A ces mystères dont il lui a fait part. Tout cela l'appelle, l'attire comme un monde nouveau. Mais, il est partit et la laissée là, seule. Il n'a pas voulu s'encombrer, il l'a trouvée trop naïve et innocente, incapable de comprendre ou de faire quelque chose...
Elle lui en veut, se sent frustrée et blessée... et en même temps, elle voudrait tellement qu'il revienne. Elle ne peut pas s'en empêcher. Elle le guette.

Et tous les jours, elle vient là, sur cette plage, à regarder l'horizon comme s'il pouvait le ramener... à prier le ciel de l'aider à comprendre ou... de le sortir de sa tête...


Mmmm, je vais encore finir gelée moi! Heureusement que je ne suis pas amoureuse... qu'est-ce que ce serait!!
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Hadelize
Montpellier ! Une nouvelle fois, Hadelize y faisait une halte.

Elle avait vu la mer pour la première fois ici, et à chaque passage, elle allait marcher sur la plage.

Le temps était glacial.

Une cape chaude, la tête enveloppée dans une grosse écharpe, elle avance un peu.

La plage lui parait plus petite qu’en septembre dernier où la mer était calme, où le sable chauffait encore les pieds.

Pas le courage de jouer avec les vagues comme d’habitude, elle préfère marcher sur le sable, assez loin de l’eau.

L’air sent bon l’iode, elle s’en remplit les poumons mais elle ne traîne pas, il fait vraiment trop froid.

Elle rêve d’une boisson chaude et se dirige vers les tavernes.

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Lolesi
C'est en chantonnant que Lolesi arriva sur la plage ce soir, bien emmitouflée dans la cape prêtée par Eli... son Eli...
Sa vieille couverture sous le bras, elle s'avance jusqu'à la limite du sable sec, elle laisse les vagues lui caresser les orteils.


Brrrr c'est quand même glacé!
Mais peut-être que ça me remettra les idées en place!


Elle ne se reconnaît plus... d'ailleurs elle ne reconnaît plus rien de sa vie! Elle était seule au monde, sans personne pour l'écouter ou lui parler. Elle a erré à travers le pays si longtemps... et depuis son arrivée à Montpellier, c'est comme si d'un coup, elle avait commencé à exister... Et puis maintenant, il y avait

Eli... Eli... Eli...

Elle chanta son prénom au vent qui lui renvoya sa chanson, elle sourit.
Elle qui croyait que l'amour n'était pas pour elle, elle qui n'en voulait même pas. Voilà que son coeur s'était réveillé et battait si fort que tout le monde devait l'entendre...
Eli.. il lui donnait confiance en elle, envie de rire comme jamais, elle se sentait devenir complètement folle à son contact, comme si elle était en train de se consummer et ne pouvait plus alligner deux pensées cohérentes!

Complètement folle, oui sûrement, complètement folle!

Le vent faisait voler la cape autour d'elle, la faisant claquer si fort qu'on dirait les voiles d'un bateau...


un bateau... pffff

Lolesi étalle sa couverture sur le sable, s'assied dessus, l'enroule autour de ses pieds, puis se drape dans la cape et regarde les vagues...

Dites moi, mes dames, de quoi seront faits les jours à venir???
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Fadette
La plage , le sable fin et enfin cette étendue dont elle a si souvent entendu parler , depuis le temps qu'on lui raconte des choses et qu'elle en entend . Enfin elle est devant , face a elle , les yeux agrandit de stupéfaction , car tout dépasse son imagination , le spectacle est grandiose , la mer majestueuse , elle se sent si petite devant , comme si elle pouvait se faire avaler entièrement

ouaaa , ben si je m'attendais a ca ! c'est ....encore ..plus ..que je m'attendais

Alors malgré que la saison ne s'y prête pas Fadette , des heures durant elle reste ainsi , regarde le soleil qui se leve sur cette mer , s'assied sur le sable frais , du bout des doigts le prend et le laisse s'échapper entre eux
Elle regarde les vaguelettes qui viennent s'échouer sur le bord .

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Antinea
Anti,au comble du désespoir,alla au seul lieu ou certains personnages immondes n'uariaent poitn idée a venior trainer.Elle claudica,tant bien que mal,sur le sable fin,et posant ses affaires,elle s'asied peniblement,massant sa jambe bléssée qui se rappelait a son souvenir apres ce qu'il venait de se passer....Elle resta tres,tres longtemps,à se perdre dans les Ténèbres et le sombre de sa chère Grande Bleue,détruite completement,aneantie totalemetn,sans plus rien à quoi ou qui se raccrocher...elle que jamais rien n'avait abattue n'était absolument plus rien du tout,du vide,du néant immense,un grand froid terrible interieur.....Elle qui ne coryait rien et encore moins les Humaisn,elle s'était faite amplemment avoir par son Amour qui avait patiemment foré la carapace rude qu'elle s'était appliquée a forger.......Ce voyage devait être celui du renouveau,celui d epouvoir être libre enfin,du mariage que son AMour avait mander a Sarlat et qui avia tprecipité son bapteme....Et dire que son ex futur etait aussi son Parrain dont elle était si fière,son Clayd qu'elle avait toujours soutenue envers et contre tous,qu'elle avait encouragé,qui l'avait tant aidé.Ils avaient tant traversé d'épreuves ensmeble,main en main,il lui aviat tant et tant répété de fois ,qu'après ce qu'ils aviaent traversé rien ni personne ne pouvaient les séparer maintenant,ici et ailleurs....Cruel et funèbre jeu que voilà de la part de son AMour encore e tpour toujours Aimé a la déraison...Elle avait tout laché pour lui,elle s'était mise a dos beaucoup de ses AMis,mais sans importance,elle aviat absolument crue toutes ses fariboleuses paroles mensongères....Et que dire donc de la cause de sa destruction non-annoncée...Cette fille de peu,qui plus sa propre cousine germaine,qu'elle a eut l'imprudnece de considerer comme uen vria et fiable AMie,comme uen Soeur,et qu'elle aviat tant voulu aider ici et ailleurs,à qui,en plsu,elle avait eu l'imprudence de se confier..Vraiment trop marrant et a en rire aux larmes..Si ses yeux en aviaent encore,des larmes........
Anti s'allongea sur le sable frais,fermant le syeux et s elaissant bercer par la Grande Bleue.Elle réfléchissait à un moyen d'en finir très très vite,rien ne valait plus d'etre vécue.Mais,avnat,elle voulait que son tendre AMour soit bien établi en cette ville o elle savait quil pouvit faire de grandes et bonnes choses,si ce qui lui servait d ecompagne maintenant savait calmer ses excès.Elle cherchait des familles aussi pour ses animaux,fideles compagnons eux qui ne l'ont jamais trahis,elle ne voulait pas partir en sachant son AMour en déroute avec l'autre qui ne saurait jamais faire ce que elle avait fais pour cette merveille d'homme,et savoir ses animaux bien placés et heurex....Ensuite,et bien ce bon Aristote l'acceuillerait peut-etre,mais pas certain.
Elle prit sa besace,en sortit une chaude et épaisse couverture,et le missel et le livre des Vertus de on Mour tomberent en meme temps.Elle fut tenter de jeter à la mer ces livres sacrés dont un offert alors que osn AMour saviat sa forfaiture quasi découverte et qu'il en etait ave cuen autre,de osn propre sang en plus,brrr...lle receuillit avec mille précautions les deux livres saints,s'emmitoufla dan sa couverture,et serrant le Livre des Vertus de son AMour ,elle hurla à la lune son immense douleur et son aneantissement causé par deux personnes de confiance aveugle,et pleura .....Elle en se rendit mem pas compte que Morphée vint la ceuillir dans ses larmes,un sommeil de chaos intense ou elle voyait,en obucle l'immondice traitresse et son AMour tendrement enlacés et main en main comme son Amour aviat osé faire en tav,à leur départ,sans décense ni honte aucune...Elle ne se rendait pas compte que dans son sommeil,elle serrait a prendre sang aux phalanges le Livre des Vertus de son Amour.Plus rien ne comptait qu ed'aller quérir la Mort là ou elle se trouvait,sur le sgrands chemins de voyage,apres avoir etablis son CLayd et toruver de bonnes personnes pour ses chers animaux.......Le visage toujours baignés de ses larme qui coulaient sans cesse,son sommeil fut patroce,comme le vide et l'anéantissement qu'elle venait de subir......Et dire qu'ils allaient bien en rire et si foutre grandemmetn de la bonnasse bien concon qu'elle était....Heureusmetn,avec un minimum de chance,si Aristote le veut bien,malgré le fugace espoir qu'elle avait encore en elle,elle n'en sauriat rien et ne serai tplus là pour assister a ce spectacle joyeux pour son Amour et son pot de tabac de cousine germaine......Elle était contente d'avoir deja fait sa propre épitaphe necromantique,au moins,comme personne n'y penserais,elle l'avait faite en riant aux travers de ses larmes.....
Antinea
Anti s'éveilla difficilement,au cris des sternes se bataillant once pitance....En prime,elle s ecrut etre chez elle,à Palombaggia,fermant les yeux,elle se rendit compte qu'il manquait beaucoup d echoses pour etre à Palombaggia,pas le ssentuers particulières du maquis,pas ses Fratellu et Surella d'armes à ses costés,rien.....Et soudain,totu lui revin en mémoire...Ce qu'elle avait pris pour un sombre cauchemar envoyé par once Forces Obscure pour déstabiliser la guerrière était ibne la réalité...Elle n'était plsu guerrière depuis Luigi Piombu,et ele venait de se faire avoir lamentable par les duex unqiues personnes en qui elle avait uen confiance des plsus avaugles....Elle regarda la cause d ela douleur de ses mains et s'aperçut qu'elle tenait toujours bien serré,comme pour le protéger(Geste qu'elle aviat tant fais avec son AMour) le Livre des Vertus que son Parrain et celui qui deviat devenir son futur mari lui aviat fait présent lors du baptème rpaidemment mené,à la demande de son Clayd,pour qu'il puisse l'épouser dans la foulée.......

Elle dessera doucement sesmains ankylosées,et contempal ce fameux Livre si pieusement offert par son AMour qui aviat déjà diu consommer sa forfaiture avec l'immondice pour qui elle avait tout lacher.......Ses yeux étaient doulouruex des larmes versés sans discontinu cette nuit et hier,et elle snetait que son eau de corps revenait à grnade vitesse........

Elle se releva très peniblemment.Ce n'était point normal,sa jambe l'a faisiat cruellemtn souffrir depuis le funeste évènement.Elle releva sa braie,ota doucement la bande et enleva le linge....Contempal la plaie...Et sourit....Merci et Loué soit Aristote,in fine,elle n'irait point contre les préceptes,elle ,du Livre des Vertus,vue que son AMour avait mal appliqué le fer rouge,l'infection était revenue.Se rasseyant,elle sortit son nécéssaire de son havresac,et commença à nettoyer sa plaie qui prenait vilaine tournure,mit un tout petit peu de poudre d'argent,placa un linge propre sur la vilaine plaie et refit son bandage...Puis,heureuse,elle remercia Aristote de l'immense chance qu'il avait envoyé....Ainsi,elle n'aviat qu'à faire,aujourd'hui,ce qu'elle aviat prévue pour son AMour,prévenir se Love....,sans lui idre de la gravité de son état,pour voir ou ils en étaient d eleur périple et quand ils arriveraient ici,pour qu'elle repartent avec eux retrouver la Baronne Lylla.Cela laisserais amplement de temps à installer son AMour,lui seul en cette ville ou elle etait sure qu'il s'épanouirait enfin avec de bonnes gens de confiance....Elle eut meme l'idée de proposer au pot de tabac immonde d'ouvrir la 1ereécole de traitrise ,immondice et forfaiture en tout genre...Vue le parchemin de faux cul qu'elle avait notée pour se présenter,elle allait lui en toucher deux mots d'ailleurs,pour qu'elle change sa présentation et note ce qu'elle était vraiment ,une saloperie de gourgandine traitresse avec aucun rapport ni de près,ni de loin,à son tableau iddyliquement décrit...Ah si,juste uen chose vrai,le vol honteux de son Amour,qui etait son propre cousin germain.Elle en voulait plus apparaitre,au risuqe d'être associer avec une putassière pot de tabac,avec pareille personne completement tordue dans sa têste....Et c'est uen pareille abjection qui osait venir lui parler de RESPECT envers elle...Si ce n'était si triste,cela en deviendrait ubuesquemment rigolo....
Anti tenta bien de rire,masi ce ne fut juste qu'un coassement qui sortit de sa bouche,pendant que ses larmes se remettaient à couler..Très péniblemment,elle se remit debout,repris ses béquilles,rangea ses affaires dans son havresac,et serrant le précieux Livre des Vertus sous son bras,claudica tres peniblemment vers le lavoir pour faire un brin de toilette,aller se sustenter un peu et surtout,aller dans l'église cherhcer un refuge contre l'immondice et osn AMour.....elle pensait et savait que son Amour n'y pénétrerait point,et l'uatre,alors l'uatres abjection,il ne valait mieux pas qu'elle s emontra,tnat que Anti étiat présente en Montpel devant elle....Elle allait lui donner un cours de françoys et surottu d'éducation façon traitre.....C'est le visage baigner d elarmes,absolument et totalemetn aneantit et détruite,completement vide à l'interieur,que ce qui fut Anti prit la direction du lavoir.........Remuant de peu amènes pensées dans sa têste de bonnasse bien coconne que otut le monde s'amusiat à la prendre........Enfin deux personnes en ce moment......
Bibiche75
Le soleil était déjà levé sur la belle ville qu'était Montpellier. La nuit de Bibiche avait été courte. Sa garde s'était bien passée, il n'y avait rien de spécial à déclarer.. et c'était tant mieux.

Bien qu'elle voulait se rendre utile, Garde un jour Garde toujours, la jeune fille voulait profiter de son séjour dans la capitale pour se reposer et aller voir la mer.

La veille, juste avant de faire sa ronde de nuit, elle avait rencontré un homme charmant en taverne et avait passé une excellente soirée. Cela ne lui était pas arrivé depuis de nombreux lustres, depuis le décès de Korrigans.. Elle s'était enfin sentie revivre, comme avant... Les bières ingurgitées devaient certainement y être pour quelque chose!

Sur le chemin du retour, Bibiche n'avait pas encore envie d'aller se coucher. Le soleil se levant sur la mer offrait un spectacle féérique que la brunette ne voulait surtout pas manquer.
Elle se dirigea en marchant lentement vers la plage. Soudain, elle pensa à ce que lui avait dit le propriétaire de la taverne et sourit.

Son armure était très lourde à porter et ne se prêtait pas vraiment à ce genre d'endroit. Une fois arrivée sur le sable encore humide du petit matin, elle décida de se libérer. De ses mains expertes, elle retira petit à petit tout son attirail.

Une fois fait, elle se retrouvait en petite tenue. Sa tunique était courte, mais préservait tout de même sa pudeur. Bibiche était une jeune fille pure qui ne se serait jamais baladée nue. Extrêmement timide à ses débuts, elle n'avait jamais eu d'histoire d'amour. La seule fois qu'un homme l'avait touchée, elle en avait fait d'horribles cauchemars les jours suivants, s'en voulant affreusement. Rien de beau n'était ressorti de cette histoire, elle ne savait pas ce qui se passait à ce moment-là. L'homme voulait lui "apprendre" et le lendemain, au réveil, quand elle eut pris conscience, elle s'était sentie salie!
Le seul pour qui son cœur avait battu, c'était pour Korrigans. Elle s'en été aperçue le jour de sa mort, lorsqu'il lui manquait tant.. Cependant, sa timidité s'estompait au fil du temps, elle prenait chaque jour un peu plus d'assurance grâce aux responsabilités qu'on lui confiait à la Garde Épiscopale..

Toutes les pièces de son armure étaient mises en tas sur la plage. A cette heure très matinale, les badauds étaient très peu nombreux en ce lieu.
Bibiche leva sa tête vers le ciel, les yeux fermés, et respira à pleins poumons l'air marin. A ce qu'elle se sentait bien, à cet instant! On eut dit que le monde s'était arrêté!
Un petit vent frais caressait sa peau, ce qui la fit frissonner. La brise qui se levait, créait des moutons sur l'eau. Les pieds nus, elle marcha jusqu'à la rive. Une vague glacée frôla ses petits petons soudainement. Surprise, elle recula aussitôt en riant. Quand la vague se retira, elle avançait de nouveau en attendant la nouvelle qui arriverait aussitôt. Elle réitéra ce petit jeu plusieurs fois de suite. Bibiche retrouvait ainsi son âme d'enfant.

Elle se serait bien baignée, mais la température de l'eau était trop basse et elle ne voulait pas risquer la mort. Maintenant qu'elle s'était acheté un appartement à Montpellier, elle reviendrait souvent sur la plage. Nîmes n'était pas très loin d'ici.

La fatigue se faisait sentir. Bibiche se résolut à rentrer se reposer. Il fallait qu'elle soit en forme pour la nouvelle garde du soir. Elle avait la flemme de se rhabiller entièrement. La jeune fille remit sa côte de mailles, ses cuissardes et ses gantelets. Elle porterait le reste à bouts de bras, dont son casque.

Elle s'éloigna à regret de la plage et se rendit dans le centre-ville..

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Fadette
Fadette sortie du village et se dirigea vers la plage. Elle ôta ses vieilles sandales et ses pieds s'enfoncèrent dans le sable fin et humide. C'était une agréable sensation, voilà qui lui ferait du bien , elle s'avança très lentement en direction de la mer, contempla d'abord la plage , les remous de la mer.

Elle s'assit sur le sable regardant au loin luir un rayon de soleil , perdu dans ses pensées elle songe a ses parents , aux soeurs qui lui ont tant enseignés...

Elle regarde la missive d'un air préoccupée , la relit se demandant ce qu'elle doit en penser surtout avec la facon dont c'est comporté la personne en question le midi même en l'évitant.

Se souvient ce que les soeurs lui ont dit avant qu'elle ne prenne la route
"" ma Fadette tu en rencontreras qui auront le verbe facile , alors reste sur tes gardes , reflechit bien au sens des mots qui peuvent dire bien d'autre choses et te lance pas aveuglément ""

Puis elle prend la decision de se proteger , elle s'approche du bord et déchire la missive qu'elle jette dans l'ocean

les vagues se chargeront bien de faire disparaitre ces mots !

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Albertus
Palpatine comme à sa grande habitude est souvent en train de flâner sur la plage, ça l'aide en quelque sorte à réfléchir ou à oublier des situations très embarrassantes dont il n'était pas vraiment habitué.

Quand soudain il vit au loin une silhouette familière, il s'approcha à pas feutrés et vit fadette,
il comprit en observant la mer :

Une missive complètement déchirée en mille morceaux flottait à tout va au grés des vague, pour ensuite disparaître dans le néant...

l'homme aurait pu prendre la décision de venir consoler celle-ci, mais Palpatine toujours plein de surprises, prit son bouclier et derrière celui-ci était dissimulé une rose rouge sécher, qu'il avait trouvée auparavant lors de son voyage, il la déposa derrière fadette...


---{--{@


Et repartit discrètement jusqu’à ne plus apercevoir la plage...
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