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[RP]Plage de Montpellier.

Samiah
Samiah était arrivée de Lodève. La ville d'à coté. Elle savait qu'ici il y avait de l'eau. Mais pas que c'était la Mer.

Elle et l'eau, elles ont toujours été soeurs. Elle se fondait dans cette masse. Disparaissait pour refaire surface telle une sirène.

Là, par contre, tout se qu'elle fit, fut de s'asseoir sur le sable et de laisser libre cour à ces larmes salvatrices qui roulaient sur ses joues et tentait de regarder au loin pour tenter de tâter le poulx de son avenir.

Elle savait qu'elle avait fait le bon choix. Elle savait que si elle n'avait rien fait, qu'elle s'en serait voulu toute sa vie. Rarement son instinct la trompait. À chaque fois qu'elle était tombée dans un piège, elle y avait été tête baisser avec la morsure de faire le mauvais geste.

Là, c'était tout le contraire. Samiah ressentait une paix. Une grande paix. Elle savait juste à ça, qu'elle faisait le bon choix. Même rien ne serait facile pour elle. On n'efface pas le passé juste parce que l'avenir semble prometteur.

Si elle profitait de ce moment solitaire sur cette plage, c'est qu'elle partait le soir même, mais pas seule. Cette fois elle serait en sécurité et avec une personne qui lui était chère.

Un merveilleux sourire se dessina sur ses lèvres. Elle sentait le bonheur. Par sa décision d'être là, elle s'était offert le droit de pouvoir vivre du bonheur.


J'ai confiance, murmura-t-elle doucement au vent de parfum d'embruns.
Fadette
Elle regarda l'encre disparaitre , les morceaux de papiers emportés par l'ecume des vagues, elle s'apprete a ramasser ses effets et rebrousser le chemins quand elle découvre une rose rouge.La prenant délicatement ,elle regarde la silhouete disparaitre pour n'etre plus qu'un point a l'horizon.

Avec un sourire incertain et tout bas "" commence pas a te poser des questions Fadette "" et prend la direction opposée

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Samiah
Plus tard elle se leva... épousseta ses vêtements et se mit à marcher. Elle voyait des gens sur la plage, les croisant, les dépassant, qu'importait. Elle était libre.

Elle était certaine que les chaînes que portaient encore son esprit et son coeur s'effaceraient peu à peu. Elle n'osait encore se dire à elle même la cause véritable de cette confiance, c'était trop tot. Elle ne voulait pas s'avancer et tomber si jamais....

Un large sourire s'afficha alors. Ce sourire, que tout irait bien. Que devant ça ne pourrait pas être pire comme derrière.

Elle trouva un rocher, et prit place dessus. Scrutant l'horizon avec une joie qui se déployait sur son visage. Son regard.

Samiah était juste bien. Heureuse enfin!
Vacsen
Vacsen, sortait peu de sa cabane sauf pour le travail ou les tavernes. Habitué au grand air, il décida d'aller faire un tour. La plage ! Avant même de visiter la capitale il commença par la plage. La mer manquait un peu de vague dans ce coin-ci. Habitué aux rafales de vent, à la houle, aux rochers... Vacsen ne se sentait pas à l'aise. Son pays breton était différent dans bien des domaines !

Ni une ni deux, Vacsen se mit à faire des petits pas de danse sur la plage. Sentir le sable sous ses pieds l'apaisait, moins dur que les pavés de la capitale. Ainsi son coeur se vida de ce sentiment de mal être face au manque de son pays !

Le natif breton était réputé pour être un tantinet étrange, a cause de sa vision du monde. Même les curé avaient du mal à lui mettre en tête qu'il y avait un côté "bien" et un côté "mal", pour lui, tout n'est que question de point de vue. Peu importe ce qu'en pense les autres. Là il dansait, tel un possédé !
Samiah
Voilà qu'une ombre se profile dans le ciel. Plongeant doucement vers cette jeune femme sur le rocher. Sur le coup elle ne réalise pas, pour comprendre, qu'il venait vers elle.

Un oiseau. Un pigeon pour ainsi dire, qui à sa patte dans une bague portait une missive. Curieuse elle s'interrogea sur qui pouvait bien lui écrire elle qui n'avait rien dit à personne de son départ. Ou presque.

Elle n'avait pas voulu faire souffrir plus qu'il ne fallait une femme qui disait avoir laisser son mari parce qu'il était trop autoritaire. Ce même homme avec qui elle allait entreprendre un voyage de longue duré.

Oui elle l'aimait. Le seul qui ne lui avait pas fait peur. Sa gentillesse, comme celle de sa femme, avait calmé ce naturel effrayant qui surgissait quand elle croisait un homme.

Loin de se douter du contenu, elle débuta la lecture, après avoir enlever doucement cette lettre, qui l'étonnera par sa virulence, et sa violence.

Refermant ensuite la missive elle la glissa discrètement sous son sein dans son soutien pour la garder et la relire plus tard.

Mais cette fois l'ombre était dans son regard. Cette paix venait d'être déséquilibrée. Qu'importait! Elle n'avait rien à se reprocher. Elle c'était abstenue de partir quand elle avait vu la manière dont cette femme agissait avec son mari. Ne désirant pas faire face à se genre de situation à coeur de jour, elle s'était rétractée. Et deux plus tard, cette même femme était rentrée dans une taverne à Lodève disant qu'elle venait de quitter son mari.

Samiah ne comprenait plus rien. Ce mari était-il à ce point une possession comme elle l'avait été dans les mains de ce maître cruel pour qu'il n'est aucun mot, aucun désir ?

Elle ne comprenait pas non plus cette religion qui agissait de la sorte.

Elle quitta donc la plage pour rentrer à l'hôtel où elle avait gîté. Le pas un peu plus lourd, l'esprit à nouveau perturbé par cette menace qui était clair.

Samiah connaissait les personnes de cet espèce. Qui ne lâchait pas prise même si elle disait abandonner. Surtout qu'elle n'aime pas perdre la face devant les autres. Elle découvrait l'entier visage de cette femme. Mais Samiah avait vécu tellement dans l'horreur, que ça ne l'inquiétait pas. Elle ferait face de la manière dont il serait possible.

Choisissant ainsi de n'en rien dire à Kelian. Enfin, pour le moment.
Atika_calisto


Atika, fille d'une longue lignée de vénérables - et mystérieuses - femmes, avait vu de loin la côte méditerranéenne et les contours de la capitale languedocienne. Le soleil se levait, dissipant la brume de l'aube naissante.
Dissimulée sous une lourde cape sombre - empruntée à un pêcheur - Atika fit appel à ses dernières forces pour ramer, encore. Faire avancer sa petite embarcation vers la terre ferme. Les contours des bâtiments de la ville, le port et ses bâtisses et bateaux s'offraient à ses yeux noisettes d'or. Ce ne serai qu'une halte. Le Destin d'Atika Calisto était partout, aussi s'arrêtait-elle peu de temps dans une même ville.

La coque de noix heurta le sable et Atika sauta à l'eau, mouillée jusqu'aux cuisses et tira son embarcation au sec. Un grand soupir. Un regard à l'horizon, derrière elle, et un regard à la ville, devant elle. La jeune brune tira du petit bateau son sac fait de cuir. Usé, il tenait encore et là se trouvait toutes ses possessions. Maigres possessions, mais il aurai fallut la tuer pour les lui voler.
Laissant sa coque de noix sur place, Atika longea la plage que le soleil éclairait de ses faibles rayons. Marchant vers la ville, elle s'arrêta bien avant d'atteindre les bâtisses.
Elle décida de trouver refuge contre un arbre bordé de gros rochers. En soufflant, elle s'y assit, s’adossant à l'arbre, son sac derrière son dos. Posant la tête, elle ferma les yeux un instant. Elle était si lasse... Lasse. Elle revenait d'une traversée épuisante. Fermer un instant, juste un instant les yeux ne lui ferai pas de mal... Demain, elle reprendrai son périple.
Elfye
Enfin Elfye était arrivée à la plage ... Elle défit ses bottes et laissa ses pieds s enfoncer doucement dans le sable fin. Quelle sensation étrange!

Elle s' avança, les bottes à la main, vers le bord de l'eau avec la ferme intention de tremper au moins un orteil dans la mer. Elle remarqua non loin de là une silhouette emmitouflée sous une cape sauter d'un bateau. Un jour, elle aura peut être la chance de grimper sur un bateau...

Arrivée près du bord, elle laissa l'eau lui chatouillait les pieds. Elle fut surprise par le froid mordant de l'eau.Un vent lui faisait voleter les cheveux. Après un moment à contempler le soleil se refléter sur l'eau, elle décida d aller sécher ses pieds.

Assise au soleil, elle se demanda si elle allait retourner en gargote, remplie ma foi de gens forts accueillants, ou si elle reprenait son voyage des ce soir.

Elle avait hâte de continuer son aventure mais elle repasserait surement par ici

Après un petit moment, elle se leva, remit ses bottes et prit la direction de la ville
Linoa14
Linoa, qui n'arrivait pas a fermer l'oeil de la nuit, malgré ses efforts pour nettoyer sa future demeure, avait décidé de diriger ses pas vers la plage.
La lune était pleine et haute, diffusant une douce lumière...une lanterne a la main, elle n'avait aucun mal a se repérer...
Arrivant près des vagues, elle défit ses chausses et tenta de tremper un orteil dans l'eau...elle était encore glaciale, même si les dernières journées, le temps avait été clement.
Linoa sourit et remit ses chausses. Elle s'assit alors sur le sable et contempla le decor magique qui se dessinait sous ses yeux...elle songea alors a celui qui faisait battre son coeur, en se disant qu'elle aurait aimé vivre cet instant au creux de ses bras...
Le vent se faisant plus rude, cela la sortit de sa douce rêverie..elle décida donc de se lever et tournant les talons, repartit pour la ville..
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Corpo Doloris & Terra Sangre
Ladyday
Oreille grande ouverte , Lady écoutait les cris des mouettes ses oiseaux étaient magnifiques , les embruns sur son visage lui faisait soulever son châle ,et le temps était venue pour elle de prendre un petit bain , juste un petit pour ce décrasser .

Pas courageuse pour deux écus elle se décida , et elle enleva ses poulaines toutes trouées par la longue marche qu'elle venait de faire .

petit à petit elle s'avança sur le sable et vint rejoindre les toutes premières vaguelettes qui lui léchaient les pieds .

c'était froid et surtout l'étendue était immense et elle en fut vite effrayer , elle fit trois pas de plus , l'eau l'eau arriva aux mollets , ce lui suffit .

___ Voilà j'ai pris un bain ah!! mes petits petons vous voilà soulager !

Lady revint vite sur la plage , et près d'une racine de bois mort elle posa son baluchon , et s'assoyant dessus elle sortit une aiguille de bronze , un écheveau , elle glissa le fils dans le chat , et elle se mit à coudre les trous de ses poulaines .

Les mouettes criaient riaient et elle tout en cousant en écoutant les mouettes elle espérer voir arriver Son Snake avec de quoi se garnir le ventre ...
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Un fil , Deux Fils , Trois fils , Brodeuse de mots ...
Ladyday
Un vent puissant c'était levée , le sable envahissait tout , après avoir cousu ses poulaines , Lady avait trouvé des piquets de bois ,elle les avaient plantés dans le sable .
A chaque extrémité elle avait nouer sa couverture , elle avait bien serré chaque nœud , c'était ma foi un abri bricoler , mais au moins cela protéger du soleil ardent ,et surtout du vent et de ce satané sable .

assise sous la couverture qui voletait sous le vent , lady contemplait cette mer ,et de ses mains enlever les milliers de grains de sable sur sa robe , sa chevelure , ses yeux ses oreilles .
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Un fil , Deux Fils , Trois fils , Brodeuse de mots ...
Snakevenum
Snake était un enfant de la mer , ses racines nordique en prenaient foi

entièrement nue il se jeta dans l'eau glacée pour quelque brassées
en rouspétant

tout de meme , le deuxieme bain en 3 ans ! , c'est que j'ai la peau délicate moi !!

à peine sortit de l'eau, il tombit sur un banc de mouettes affairé à picorer un cadavre de chaton , pas le peine de se demandais ce qu'il faisait la se disait il.
Snake se jeta sur les mouettes comme un cachalot sur fréle esquif tout en empoignée par la tete 2 mouettes qui se débattaient de toute leurs force en piaffant

COUAAAAAAAAAARGGG COUAAAAAAAAAAAAAAARG COUUUAAARTRRRR ******

et 2 pigeons roti pour le souper auquel sa chere dame ladyday l'avait convié
snake s'elanca en direction du rendez vous en courant , une mouette ballotant dans chaque main et le saucisson aux petits oignons ballotant aux vents entre chaque cahots
Ladyday
L'ombre s'avancer de plus en plus vite vers , elle , Lady fut surprise cet homme l'étonnerais toujours , l'eau qui ruisselait sur sa peau , rendait son buste hardi , généreux , solide , ses pas s'enfonçant dans le sable rendait ses pieds virils .
Souriant de toute ses dents elle fut soulager de voir Son Snake apparaitre enfin , une fois l'inspection faite .
elle se dit ouf ! il a encore tout ses attributs , heureusement les crabes lui ont rien manger , ni arracher , on savait pas vraiment ceux qui vivaient dans cette mer , dans cet eau verte , elle qui en avait si peur , elle était très fière de voir son homme nager comme une sirène .

c'est toujours assise sous la couverture qu'elle l'accueillie en riant

____ voilà des beaux pigeons transformaient en mouettes , hein ! et comment va ton plumer touts ces volatiles ? je me le demande ! comment va ton manger ?

Snake tout nue devant la dévorant des yeux , ne disait plus rien ,et elle qui en avait assez de ce sable , de ce soleil , de ce vent et des mouettes ,surtout des mouettes .

Elle se leva , arracha les piquets , replia sa couverte , remit ses poulaines et lady jeta au loin tout les volatiles sur la plage .

Fatigué énervé et mourant de soif , elle attrapa la main de Snake et tout en quittant cette plage continuée de s'énerver .

___ Bougre d'homme tu n'as même pas prit la peine d'emmener une bonne bouteille , Aller on rentre , j'en aie assez de ce lieu ou l'on crève de chaud ,et des mouettes qui défèques sur nos têtes !!!
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Un fil , Deux Fils , Trois fils , Brodeuse de mots ...
Lolesi
Enfin.... la plage... sa plage...

Depuis le temps qu'elle n'était pas venue, c'est avec plaisir qu'elle retira ses bottes pour fouler le sable...
La dernière fois, il faisait glacial, et elle était pieds nus, elle avait juste une couverture miteuse ramassée sur un tas d'ordures...
Aujourd'hui, quel changement!


Regarde la mer... je suis vêtue, je suis même sortie des murs protecteurs de la ville...
Et... je ne suis plus seule... mais ça tu le sais, je te raconte pas...


Elle sourit, laisse les vagues lui lècher les pieds. Elle est froide, mais après les bains dans la rivière en plein hiver, c'est pas ça qui va la déranger...
Elle regarde autour d'elle, il n'y a personne, elle se laisserait bien tenter par un plongeon... mais...
Hésitante, elle s'assied sur le sable, elle défait sa tresse et laisse ses longs cheveux voler dans le vent, elle regarde au loin, les pieds dans l'eau, le sable qui glisse entre ses doigts...


Mmmmm juste savourer le moment présent! Arrête de te poser mille et une questions...

Elle reste là, se laisse envahir par le ressac, le vent, le cri des mouettes... tout l'apaise.
Et elle rêve... à son amour, celui qui a tout changé, tout transformé, elle la première...

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Levine
Levine se décida à aller un peu errer sur la plage de Montpelier. Elle enlève ses bottes et s’avance, écoute le doux son des vagues qui viennent caresser le sable encore froid de l’hiver. Regard perdu à l’horizon elle trouve une petite place au calme loin de tout, prend son moment de tranquillité, celui où l’on pense à tout, à rien… les questions qui défilent dans sa tête, elle pose par moment de faiblesse sa tête sur ses genoux qu’elle a ramené auparavant près de son buste formant ainsi une petite boule… moment de nostalgie… de pensés… se demandant parfois si on la crois aveugle… mais il en ai rien, des doutes, elle se laisse ronger par cette vie passé, présente et future. Vie tellement instable qu’on ne sait pas ce que l’on deviendra… elle ferme les yeux un instant se laissant bercer par le vas et vient des vagues, la fine brise qui fait voler ses cheveux, se concentrant sur plu rien… la seule elle se ressource, oublie, reprend des forces… se sentant faible ses dernier temps elle ne laisse rien paraitre a se mal qui la guette, maladie non… mais celui d’une femme qui perd pied dans une situation, elle se renferme dans sa douleur, comme toujours aucun mot ne sort, droite et froide, elle ne sait que se laisser aller dans la solitude… elle relève la tête ou une larme vient s’échouer au coin de ses lèvres, regard pensif au loin… moment noir, de cafard, perdue… elle se relève, voie au loin d’autres personnes en balade, se redresse et s’avance doucement vers le mer, les vagues venant ensevelir ses pieds, l’eau si froide, se joue d’elle, l’attire un instant… les pieds qui se glace, elle recule doucement pour repartir vers sa nouvelle habitation… laissant derrière elle la trace de ses pas dans le sable humide.
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Tirlititi
Un jour ensoleillé et pourtant frais, un village , une mer a perte de vue et la voila qui se balade dans ce Vendredi, profitant du soleil , elle est seule , errante le long de la plage , elle remonte sa cape , fermant le col , sa capuche sur sa tignasse brune toujours aussi indisciplinée .

Elle pense a lui sans ses bras désormais pour l'enlacer...si différents l'un de l'autre et pourtant elle sait ...si épris

A son regard azur qu'il posait sur elle cherchant a rencontrer ses prunelles noire , des yeux qu'elle baissait quand elle sentait sont regard chargé de reproche ou de désir...

Elle s'arrête un moment , plonge son regard sur cette eau si bleu et se souvient d'un instant .. quand allongés l'un contre l'autre , repu elle glissait ses mains dans ses cheveux qu'elle aimait tant ..

Elle reprend sa marche et avance détendu , pensant a eux , le nez au vent , l'air frais lui piquant les joues , lui donnant cette couleur rouge qu'elle prennais certains jours quand il lui disait des mots au creux de l'oreille..

A Lui qui avait réussi a la faire aller de l'avant , a ce qu'elle ne se retourne plus sur son passé , lui en qui elle voulait confier sa vie les yeux fermées.

Elle sait qu'elle ne sera plus jamais aussi heureuseque elle ne le fut , Elle regarde a nouveau au loin et décide de continuer sa route sur Narbonne ... Elle sait que dorénavant elle ne le rejoindra plus en taverne comme dans le passé....

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