Cebyss
[Un matin tôt... trop tôt...]
Après une soirée compliquée, un départ attendu mais précipité, la brune était enfin arrivée.
Une arrivée qui navait pas le gout sucré tant espéré. Une visite en ville, des rencontres, une vie et cette peur qui lavait envahi pourquoi pressentiment sans doute
Errant dans la ville sans vraiment la regarder tant elle était perdue dans ses pensées, cest vers son refuge de toujours que ses pas lamenèrent machinalement.
Cette plage inconnue. Déserte à cette heure où seules quelques barques flottaient au loin. Elle marcha longtemps, cherchant lapaisement, essayant de ne penser à rien, juste au crissement du sable sous ses bottes, rythmé par le ressac des vagues.
Bottes quelle finit par retirer ainsi que ses bas et à abandonner sur le sable. Elle savança vers la mer en relevant les pans de sa houppelande à la ceinture. Elle sapprocha jusquà ce que les vagues viennent mourir à ses pieds, qui senfonçaient dans le sable humide.
Elle resta figée là, les bras croisés serrés contre la poitrine, dans laquelle son cur battait à tout rompre. Le regard droit, les yeux plantés au loin dans son regard, celui-là même dans lequel elle aimait se noyer quand au-dessus delle, il sessoufflait la tête pleine de rêves de mots murmurés à son oreille, de sa peau contre la sienne, de baisers parcourant son corps, détreintes brûlantes tout ce quelle tentait justement doublier en vain, qui la hantait et quelle savait sans doute perdu.
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Après une soirée compliquée, un départ attendu mais précipité, la brune était enfin arrivée.
Une arrivée qui navait pas le gout sucré tant espéré. Une visite en ville, des rencontres, une vie et cette peur qui lavait envahi pourquoi pressentiment sans doute
Errant dans la ville sans vraiment la regarder tant elle était perdue dans ses pensées, cest vers son refuge de toujours que ses pas lamenèrent machinalement.
Cette plage inconnue. Déserte à cette heure où seules quelques barques flottaient au loin. Elle marcha longtemps, cherchant lapaisement, essayant de ne penser à rien, juste au crissement du sable sous ses bottes, rythmé par le ressac des vagues.
Bottes quelle finit par retirer ainsi que ses bas et à abandonner sur le sable. Elle savança vers la mer en relevant les pans de sa houppelande à la ceinture. Elle sapprocha jusquà ce que les vagues viennent mourir à ses pieds, qui senfonçaient dans le sable humide.
Elle resta figée là, les bras croisés serrés contre la poitrine, dans laquelle son cur battait à tout rompre. Le regard droit, les yeux plantés au loin dans son regard, celui-là même dans lequel elle aimait se noyer quand au-dessus delle, il sessoufflait la tête pleine de rêves de mots murmurés à son oreille, de sa peau contre la sienne, de baisers parcourant son corps, détreintes brûlantes tout ce quelle tentait justement doublier en vain, qui la hantait et quelle savait sans doute perdu.
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