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[RP]Plage de Montpellier.

Calamity_mel
Il prononça une phrase, la phrase qu'elle espérait entendre et Mel lui sourit...
Puis il l'attira à elle, lui ota sa chemise, et là elle pu sentir sa virilité tendue contre son ventre, elle lui sourit et se pressa fort contre lui, lui massant la nuque d'une main, lui caressant la joue de l'autre avant de l'embrasser avec passion...

Tu m'as l'air trés en forme mon mignon... et j'avoue que j'apprécie ^^

Baisse les yeux en direction de la virilité de Crak et sourit, elle n'a qu'une envie, mais n'aimerait pas que les passants la voit ainsi ...

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Crakity
Crakity s'éloigna un peu de Mel après avoir vu les regards qu'elle lançait en direction de la plage. Il est vrai qu'elle ne pouvait pas se permettre de faire n'importe quoi en tant que maire de Montpellier. Le jeune homme apprécia cette réserve.
Il lui sourit puis lui tendit sa tunique et lui dit :


On d'vrait peut être sortir et aller boire un canon, qu'en dis tu?

Il se dirigeait déjà vers la plage pour y retrouver ses affaires, entraînant Mel en la tenant par la main.
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Calamity_mel
Mel apprécia l'attention qu'avait Crak pour elle, c'est avec plaisir qu'elle accepta donc son invitation, et lui tendit la main aprés avoir remis sa chemise...

Tu as raison boire un coup nous fera du bien !!!

....

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Miel
Maintenant que miel avais fais le necessaire pour etre installer au mieux dans cette nouvelle ville et vie, elle decidas d'aller faire un petit reperage sur la plage.

En arrivant sur le sable miel enlevas ses bottes qu'elle pris a la main et marchas appreciant la douceur du sable tiede sous ses pieds. Miel avançais lentement appreciant le soleil naissant caresser sa peau blanchis par son long voyage et la fatigue occasionner.

Au bout d'une longue ballade ou miel avais du crapahuter quelques rocher elle se retrouvas dans une petite crique qui semblais perdus au bout du monde. Elle choisis de se poser ici et posas ses bottes tout en enlevant sa cape qu'elle étalas dans le but de s'allonger dessus.

Au bout d'un moment ainsi au soleil miel sentis la chaleur trop forte et hôtas le reste de ses vêtements qu'elle empilas proprement avant de se rallonger pour offrir son corps devetue aux doux rayons du soleil la rechauffant de leurs douces caresses.


HUMPFFFFFFFFF Miel soupiras de contentement et s'assoupis ainsi
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Loukael
[On s’habitue à ne pas manger, à souffrir des dents ou de l’estomac, on s’habitue même à l’absence d’un être bien aimé, on ne prend pas l’habitude de la jalousie. (La Vagabonde, Colette)]

La Lou l'avait espéré cette plage, ce soleil qui lui avait tant manqué là-bas en Artois... Elle profita du calme d'un début d'après-midi, quelque peu ennuyeux à son goût, pour faire cette balade et découvrir le bleu de la méditérranée. La Manche plus au nord avait plus souvent des reflets gris verdâtre peu engageant... et une température à geler toute extrémité qui oserait courageusement s'y aventurer.
C'est seule qu'elle décida de se pointer au lieu dit, la nuit de la veille avait été longue. Passée à ressasser ce qui l'embêtait ces derniers jours, mais grâce à cela elle avait réussit un mettre le doigt sur ce qui la dérangeait tant.

Elle parcourut les dunes sableuses, ses bottes abandonnées à sa caravane pour l'occasion, profitant de la chaleur que lui procurait cette marche solitaire. Elle gagnerait encore en couleur, sa peau pâle à son habitude avait déjà rosit en cours de route. Et si finalement l'ombre qu'on lui destinait dans les jours à venir était confirmée, elle aurait emmaganisé suffisament de rayons pour supporter l'enfermement.

Elle gagna lentement le bord de l'eau, donnant de temps à autres un coup d'oeil en arrière, dans l'espoir peut être qu'il la rejoigne. Espoir profondément vain, elle se doutait qu'il avait tellement mieux à faire dans cette ville aux mille vices. Un paradis en soi, pour lui.
Elle soupira à cette pensée, qu'est-ce qu'elle pouvait s'agacer par moment. Elle fronça les sourcils un instant puis tenta de détendre ses traits pour offrir son visage à la douce chaleur du soleil qui pointait au dessus d'elle.

Les vagues, berceuse à ses oreilles calmèrent un instant son esprit, et prise d'une envie folle de s'y plonger elle se débarrassa à la hate du peu de vêtements qu'elle portait encore. Elle courut les quelques mètres qui la sépararait de l'eau et y plongea la tête la première. Elle se laissa emporter ainsi jusqu'à ne plus distinguer correctement le rivage...

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Tocelyn
Tocelyn arpentait les sublimes rues de Montpellier sous un soleil de plomb. Il admirait l'architecture de la ville, observant chaque recoins sans en perdre une miette. Il trouvait cette ville fort vivante, avec du monde de partout, discutant et riant en toute convivialité.

Il sentit un brin de fraîcheur lui caresser le visage et se rappela que la mer était tout proche de lui. Cette vaste étendue d'eau le faisait rêver, c'est pourquoi il prit la direction de la plage. Il se dirigea vers un sentier, ombragé par quelques arbres, le cheminant sur quelques lieues, et se retrouva tout à coup les pieds dans le sable.

Un léger sourire se dessina sur son visage à mesure qu'il contemplait ce paysage. Il regarda alors les gens face à lui, certains se baignant alors que d'autres restaient allongés sur le sable. Il se chercha un endroit isolé étant à l'abri des regards indiscrets.

Trouvant son sésame, il posa sa chemise dans un coin et alla tremper ses pieds. Il frissonna au premier contact de l'eau, et décida de ne pas aller plus loin. Revenant sur le sable, il s'allongea alors sur ce dernier, se préparant à dormir. La chaleur était forte et, jetant un regard à droite à gauche, enleva ses braies qu'il posa avec sa chemise. Il se retrouva nu et était bien, la sieste pouvait donc commencer pour lui.
Loukael
[La voix de la mer parle à l'âme. Le contact de la mer est sensuel, et enlace le corps dans une douce et secrète étreinte.(Kate Chopin)]

La belle brune profita des remouts pour se laisser porter, et flotta ainsi à la merci du soleil qui piquait doucement sa peau. Le temps s'écoulait tranquillement, et ses errements négatifs disparurent avec lui.
Elle s'enfonça à nouveau dans l'eau et nagea doucement en direction de la plage, complètement détendue après ce bain des plus curatif.
Elle ne retrouva pas ses vêtements, sans doute s'était-elle éloignée sans se rendre compte en regagnant la rive.

Nue comme un vers, ce qui ne la gênait pas outre-mesure, elle arpenta le sable à la recherche de ses frusques. Elle vit un peu plus loin un homme, nu tout comme elle, en train de lézarder au soleil.
Les topazes de la belle parcoururent les atouts du dormeur, un sourire au coin des lèvres... se disant que cette ville regorgeait vraiment d'un tas de surprises fort agréables.
Cependant elle ne voulut pas le gêner en s'approchant de trop près et continua son chemin. La légère brise qui soufflait et les rayons brûlants du soleil achevèrent de sécher les goutelettes qui perlaient sur sa peau d'albâtre, un tantinet rosie tout de même.
Elle tomba finalement sur ses habits qu'elle enfila, et retourna paisiblement vers le brouhaha citadin après un dernier regard sur la grande bleue.

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Macaron
Macaron avait déjà bien rôdé dans Montpellier, Tocelyn lui avait parlé de la plage. Revoir la mer...
Elle ne l’avait revue depuis son départ de Bertincourt. Le contact du sable lui manquait.
Elle partit très vite après le repas et se dirigea vers l'estran, quoique réduit à peu sur la Méditerranée.

Elle marcha sur le sable, les bottes et les bas à la main, cherchant du regard Tocelyn qui lui avait donné rendez-vous sur la plage.

Elle aperçut un corps allongé, des vêtements bleus à ses côtés. Elle ne l'avait vu qu’une fois nu au sortir du lac de Chambéry. Etait-ce les fesses de Tocelyn ?
Elle s'approcha et le reconnut. Il semblait endormi. Elle en profita pour aller goûter l'eau, elle devait être agréable à cette époque.

Ele posa ses vêtements et un drap sur la plage et se dirigea vers les vagues qui déjà lui léchaient les pieds. De longs frissons lui coururent le long des jambes puis des cuisses. Elle retrouvait ses sensations de bien-être. Face au large, elle se croyait à Marseille. Elle avança pour avoir de l'eau jusqu’à la taille et se mit à nager.
Elle surveillait Tocelyn qui n'avait toujours pas bougé.

Après une baignade un peu longue, elle le rejoignit, elle s'enroula dans le drap qu'elle avait emporté. Elle s'assit près de Tocelyn et s'amusa à laisser couler un peu de sable entre ses doigts. Le sable chaud s'accumulait au creux des reins de Tocelyn. Elle continua son petit jeu en dessinant des arabesques sur ses épaules et son dos.
Il continuait de dormir. Elle s'amusa alors à laisser couler sur tout son corps puis ses fesses et ses cuisses le sable chaud. Elle espérait que le chatouillis du sable coulant sur sa peau finirait pas le réveiller.
Tocelyn
Tocelyn dormait comme un enfant. La chaleur ne le gênait pas car une lente et douce brise en provenance de la mer venait la rafraîchir.
Mais cela faisait quelques minutes qu'il n'avait plus le sommeil profond. Quelque chose lui titillait le dos ainsi que le reste du corps, et pensant à une bête, il se réveilla en sursaut.
Il resta figer quand il remarqua qu'il n'était pas tout seul. L'angoisse commençait à le gagner mais, très vite, il reconnut cette chevelure blonde, flottant au vent.



ça fait longtemps que tu es là mon ange...?
la vue ne te déranges pas au moins...



Lui faisant un large sourire en disant cela, il remarqua qu'elle avait posé ses vêtements avec les siens et se demanda si elle était allée se baigner.
Macaron
Macaron sourit en le voyant se réveiller et lui répondit :

Non, pas très longtemps, je me suis baignée avant de venir tenter de te réveiller, elle regarda autour d'elle et demanda : la vue ? Celle de la mer? Elle partit du rire clair qui la caractérisait.

Elle commença à retirer le sable qu'elle lui avait mis sur le corps en se servant de sa main comme d'une brosse douce.
Sa main se fit plus légère et plus caressante quand elle passa sur ses reins ou ses fesses. Elle profitait sans honte de la situation.

Elle ouvrit le drap qui la couvrait et offrit son corps au soleil.

Elle regardait le soleil qui commençait à décliner.

J'ai apporté une miche de pain et un peu de fromage de chez nous, nous pourrions manger en attendant que le soleil se fonde dans la mer...
Tocelyn
Tocelyn frissonna lorsqu'elle passa sa main sur son corps. Il hésita à lui demander de continuer, vu le bien que ça lui faisait, mais préféra rester silencieux.
La voyant rire à sa question, il rentra dans son jeu


Bé oui celle de la mer, qu'elle autre vue as tu...?


Son ventre commençait à gargouiller, faisant un léger bruit quasiment inaudible. Il se dit alors que sa belle avait eu une excellente idée en ramenant de quoi casser la croûte.


Puis je m'allonger sur ton drap avec toi...?


N'attendant pas sa réponse, il se leva et parcourut les quelques pas qui les séparaient. Il s'affala alors sur le drap, se collant à sa blonde, puis posa ses lèvres dans son cou, les faisant remonter jusqu'à sa bouche.


Si le coucher de soleil est aussi beau que toi mon ange, ça sera un moment merveilleux...


Tout en lui disant cela, il passa son index sur son ventre, le promenant de gauche à droite, de bas en haut.
Macaron
Macaron sourit en le voyant la rejoindre. Ses caresses la firent frissonner. Elle rougit un peu quand il lui murmura tout en l'embrassant :

Citation:
Si le coucher de soleil est aussi beau que toi mon ange, ça sera un moment merveilleux...


Les compliments la gênaient toujours. Elle avait beau essayé de les accepter, elle rougissait toujours. Elle ne s'en laissa pourtant pas conter et sortit les provisions qu'elle avait prises.

Elle posa tout devant eux, partageant et avalant vite fait les quelques victuailles mais gardant toujours un œil sur le soleil qui ressemblait maintenant à une boule de feu.

Elle attendit que Tocelyn termina son repas pour venir s'installer entre ses genoux en lui tournant le dos.
Le soleil jetait maintenant des rayons orangés. La mer semblait s'être embrasée. Le soleil descendait lentement, il voulait se noyer...

Humm... C'est vraiment magnifique!!

Le tableau qu'elle avait sous les yeux lui tirèrent quelques larmes. Elle avait oublié la beauté des couchers de soleil. Il était vraiment temps qu'elle retrouve ses plages et toutes les beautés qu'elles offraient.
Gilou12
gilou étais assez bon, nageur...........

il avais repéré cette petite crique loin du monde , se mis nu , et couru as la mer .......
nagas une bonne demie heure .....faut dire que la soirée .enfin, il lui fallait évacuer .se stress..........faire la planche , se laisser porter par l'eau.....hum........
puis il regagnas la rive assez lentement , il adorais l'eau...il regardas ...personne .une veine ..........son truc assez viril ..hum..........il courut se laissa tomber sur la serviette.................
se mis les fesses as dorer au soleil...............il se sentais tres bien, dans cette tenue d'adam................se tournas un peu et vis des silhouettes ....
c'est pas ca qui allais lui faire peur ...il restas sur sa serviette
Mahiro
La brune était revenue sur ses pas... pleine d'énergie et d'entrain. Sa tête était un coffre emplit de projets. Comme la boîte de pandore, elle patientait, attendant le bon moment pour qu'une clé l'ouvre et en laisse jaillir milles et une passion, milles et une aventure.... Elle avait retrouvé la cité comme elle l'avait laissé. En fait non, elle avait perdu un quelque chose qui la rendait si... attachante. L'atmosphère des environs n'était plus aussi agréable. Ville qui était sur le point de devenir un point d'ancrage pour la belle... elle qui n'arrivait pas à s'attacher à une contrée, elle qui errait au rythme du vent... Aucune citadelle n'avait réussit à l’enchaîner encore. Mais, Montpellier était une ville qui l'avait touchée.... "Avait", oui car tout à une fin.
Gardant un mince espoir, la vagabonde essayait de chasser ses fausses notes.
De retour, elle comptait bien ne pas se laisser avoir par le cercle vicieux de toutes villes: ragots, disputes, tromperies, trahisons et déceptions...

Ville de nouvelles rencontres encore, villes de surprise.... Le temps passait mollement... Plus les jours s'égrainaient et plus elle sentait un froid l'envahir. Le gel de ses passions. Glacée au rythme de ces heures qui défilaient lourdement, ses envies étaient comme devenues impossible. Mais alors pourquoi rester encore ? Qu'est ce qui pouvait la retenir ? Un désir plus que de raison... un espoir à double tranchant. Alors, prenant son mal en patience, elle n'avait d'autres choix que d'attendre...

Mahiro se leva avant l'aurore. Habituée à un sommeil léger, cette nuit fut pour elle agitée de cauchemar. Installée comme une habitude chez elle, la jeune femme resta un moment contemplant le silence. Il y avait encore ses réponses muettes, des questions jetées en l'air... Elle soupira se rendant compte que son énergie la quittait à petit feu. La brune regarda le ciel un instant, s'étira et s'enquit d'aller se promener. Où ? Elle se souvient qu'Aulne lui avait parlé de la plage. Depuis qu'elle était ici, elle n'était jamais allée visiter ce coin là.... Espérant trouver un semblant de quiétude, la brune marcha sans se presser. L'air marin caressait doucement sa chevelure. Un mince sourire s'étira sur ses lèvres devant cette brise amicale. Enfin, elle mit pied devant la plage. La mer s'étendait à perte de vue. Immensité bleue azur, elle frissonna de bien être laissant ses pensées s'évanouirent au profit de ce décor.
Pieds nus, elle longea la toile bleue, laissant le sable fin se frayer un chemin entre ses orteils et quelques gouttes d'eau perler ses chevilles. Elle passa une main sur sa chevelure dansante appréciant l'odeur qui flattait ses narines. Celle de la nature portuaire. Elle étira les bras se sentant comme un grain de poussière à côté de cette grandeur. Un rire cristallin s'échappa de ses lèvres. Libre... elle se sentait libre. Rien que cette sensation la transportait à des milliers de lieues d'ici.
Très vite ses pensées revinrent au galop, mais elle les accueilla plus sereinement. Elle devait être là pour lui, pour ses amis. Forte, c'était ce qu'il pensait d'elle. Oui, elle devait se montrer comme un roc. Ne pas se départir de sa joie... user des apparences pour masquer le manque ou le vide qui s'installait.

Qu'importe, les flagorneries de certains, les langues de vipères ou autres... il ne fallait pas qu'elle se fasse engloutir par ce cercle vicieux. Mais que faire de sa solitude; sa plus grande amie, son bouclier. Oui, elle avait cru en certains, oui sa naïveté lui avait encore joué des tours. Qu'importe, elle restera fidèle à elle même. Oui, il avait raison pour une fois, elle devait être forte !
D'un geste nonchalant, elle commença à se dévêtir. Habillée d'une légère chemise rouge, elle la laissa tomber le long de ses épaules, marcha droit devant l'étendue bleue. Se laisser engloutir par la mer... qui l'emportera peut être vers de meilleures aventures. Une fois nue, elle plongea sans plus attendre, attirée par cette appelle de l'eau.
Gilou12
gilou avais vu cette personne et l'avais reconnue

elle était fort agréable as regardé ...ses vêtements ......enlevés ......je la voyais éloignée .....

il lézardais toujours au soleil , et il se ruas as la mer toujours nu

nagent le crawl..il la depassas .continuas et revins sur la plage
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