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[RP]Plage de Montpellier.

Tocelyn
Tocelyn n'osa rien lui dire, mais il était affamé. Il accueillit donc ces quelques victuailles comme il se doit, les dévorant à toute vitesse, comme un loup dégustant une proie inoffensive.

Il finit alors ce délicieux festin, se léchant les doigts un à un pour ne pas en perdre une miette. Il regarda alors Mac qui s'installait entre ses genoux, planquant son dos contre son torse. Tocelyn en profita pour se rincer l'oeil, contemplant ses formes et courbures de haut en bas. Il sentit alors se manifestait un afflux de sang pouvant être gênant. Il rougit un peu, puis parvenant à se contrôler, fixa son regard sur l'horizon.

Il regarda le soleil se cachait petit à petit derrière cette étendue d'un bleu profond. Ce bleu lui rappelait les yeux de son ange, coupable de le faire chavirer à chaque fois qu'il se pose sur lui. Il passa ses mains autour de sa taille, la serrant un peu plus contre lui. Le soleil avait disparu de moitié, et plusieurs couleurs se dégageaient de cet astre. Les oranges, les pourpres et les rosés s'embrassaient comme des amoureux se retrouvant après avoir étaient séparés durant des années.

Il se pencha alors l'oreille de Mac et susurra :



C'est le plus beau coucher de soleil qui m'est était de voir...
Mahiro
La brune se délectait de ce moment de répit. L'eau enveloppa son corps d'une agréable sensation. Seule, ses pensées flottaient au dessus de la mer. Mahiro nagea longuement. Le calme était revenu en elle. Elle qui se sentait perdue, désorientée comme toujours, l'eau avait su comme souvent, la soulager.
Souriant, elle leva la tête vers le ciel. Le soleil était au rendez vous. Un léger sourire s'étira sur son visage et sans attendre, elle se laissa envahir par les eaux chatouilleuses de la plage. Elle se sentait légère telle une brindille secouée par un vent du sud.

La brune nagea sous l'eau à ne plus pouvoir respirer. Elle savoura ce moment. Défouloir, havre de paix. qui pouvait donc l'atteindre en de tels moments ? Des paroles jetées en l'air, des paroles parfois sincères nagèrent avec elle suivant le rythme de son avancée. Partir ou rester? Fuir ou Lutter ? Se faire une raison ou se perdre dans la déraison ? Tant de questions laissées en suspend. Qu'attendre d'ici ou d'ailleurs... Juste un espoir... Un visage vint inonder le bleu azur. Fichtre ! Elle maugréa et provoqua des bulles dans son marmonnement. Aussitôt, elle revint à la surface respirant à plein poumons. Sont visage était inondé de gouttelettes... était ce le fruit de la mer ou bien de ses propres larmes ? Lâcher un peu de leste....personne ne pouvait être témoin de ce relâchement.

L'eau ruisselait le long de sa nuque pour rejoindre la courbe de sa poitrine dévoilée au soleil.
Mahiro passa ses mains sur son visage pour se reprendre quand elle sentit une présence dans les parages. Aussitôt, elle retira ses mains et balaya les environs de ses yeux. Elle se tourna d'un côté puis d'un autre. Etait ce son imagination ?
Macaron
Macaron confortablement installée contre le torse de Tocelyn, glisse ses doigts entre les siens et lui murmure :

Ce coucher de soleil est magnifique, le regarder avec toi ajoute encore à sa beauté.. J'ai hâte d'arriver à Marseille . Tu verras comme c'est beau..Je sais je suis un peu chauvine....

Elle attendit que le disque soit complètement absorbé par la mer à l’horizon. La nuit serait là.
Ils restèrent ainsi enlacés jusqu'à ce que le soleil disparaisse complètement.
Mac frissonna, elle avait froid soudain. Elle se blottit un peu plus dans les bras de Tocelyn et chercha des yeux sa chemise.
Elle lui dit:
Le soleil a disparu, la nuit est là...j'ai froid...
Si tu veux dormir ici..il me faudra mes vêtements.
Tocelyn
Tocelyn observait les derniers rayons de soleil, entremêlant ses doigts aux siens. Il posa sa tête sur son épaule et admira le spectacle finissant.


Citation:
Le soleil a disparu, la nuit est là...j'ai froid...
Si tu veux dormir ici..il me faudra mes vêtements.


Tu as raison mon ange, le froid ne va pas tarder à nous attaquer.
Retournons donc à l'hôtel, la nuit ne pourra qu'être meilleure dans un lit douillet.



Il regarda Mac se lever, puis fit de même d'un seul bond. Tandis qu'elle remettait ses bas, il attrapa sa chemise. Il l'aida à l'enfiler, et referma les boutons un à un, laissant son index lui caresser sa douce peau.
Tocelyn remit ses braies et, alors que Mac lui bouclait sa ceinture, saisit sa chemise. Il la passa et elle se hâta de la refermer. Il l'arrêta, lui disant qu'il préférait la garder ouverte.


Rassemblant leurs dernières affaires, ils prirent le chemin de la ville, main dans la main. Leur allure était faible car ils profitaient le plus possible de cet endroit magique.
Gilou12
gil...avais dormi sur la plage

ce qui étais pas pour lui déplaire........il avais eu toute la plage pour lui

quand , il se réveillas ..humm!!!!..........
il se mis as courir , comme as son habitude..........il fis 10km as peu pres.

après ceci.....il allas vers la mers nu......et je jetas dedans ;, il s'éloignait d'un crawl puissant...............s"arrêtas .pour souffler et regarder les nuages ........sur le dos .se laissa .....aller .sur l'eau.........puis revins tranquillement...............se jeta sur la plage, sa nudité le genait pas du tout .après quelques minutes il as se sécher......et resta sur la serviette as l'abri des regards....sa peau avais déjà un teint halée
Lowyn
Lowyn se baladait dans la ville lorsqu'elle arriva sur la plage. Enlevant ses bottes, qu' elle prit dans sa main droite, elle posa pour la première fois les pieds sur le sable. Regardant ces derniers, elle haussa un sourcil, agitant ses orteils recouverts par le sable, observant la sensation qu'il procurait.

Elle sourit. Ce sable chaud, qu'elle n'avait jamais vu ni touché, lui apportait cette douceur qui lui manquait tant. Elle commença par sourire, puis se mit à courir dans le sable, riant jusqu'aux éclats, chose qu'elle n'avait pas faite depuis très longtemps, et ce son l'arrêta net, tant il était incongru. C'était tellement étrange...une pensée lui effleura l'esprit. Avec un petit sourire, elle regarda le reste de sable qui la séparait de la mer, et se demanda si cette mer inconnue serait comme le sable doux et chaud sous ses pieds.

Elle posa ses bottes sur le sable de manière à ce que ce dernier n'entre pas à l'intérieur, puis, lentement, sans se presser, elle ôta ses braies et sa chemise, ne gardant que la tunique blanche presque transparente qu'elle portait en dessous. Portant la main à ses cheveux, elle défit son chignon, et ses cheveux tombèrent en boucles soyeuses sur son dos, caressant ses hanches.

C'est ainsi, quasiment nue, qu'elle s'approcha de la mer, voyant pour la première fois ses remous et ses douces vagues, son mouvement incessant. Elle posa délicatement un pied dans l'eau et frissonna. Comparé à l'air ambiant, l'eau était froide.

Mais très vite, sa peau s'habitua à la température, et, avec un grand sourire, Lowyn avança dans l'eau, frissonnant lorsque cette dernière rencontra ses jambes, retint un petit soupire lorsqu'elle atteignit ses hanches, puis, lorsque les vagues caressèrent ses seins, elle plongea la tête sous l'eau.

Elle nagea très longtemps, puis, alors que le soleil commençait à se coucher, elle regagna la plage, l'eau ruisselant sur sa peau, sa tunique blanche quasiment transparente laissant entrevoir ses courbes, elle s'allongea à même le sable et resta là un long moment, à regarder le ciel en souriant.
Calamity_mel
Mel profita d'un bref moment de répit dans sa vie de Mairesse, pour prendre une pause et se rendre à la plage.
Celle ci était salvatrice pour elle, source d'énergie et de bien être...
Elle arriva enfin devant l'étendue de sable chaud, de vagues se brisant sur le rivage, elle retira ses bottes et laissa ses pieds gouter au chatouilli du sable doux... Elle resta de longues minutes ainsi, remuant ses orteils dans le sable, fixant l'horizon, en réfléchissant à son avenir, des projets, elle en avait plein, personne ne les connaissaient et ne les connaitraient avant qu'elle ne les mettent en place, mais une chose est sure, quand Mel entreprenait, Mel réussissait...
C'est sur cette idée de satisfaction, que Mel afficha un grand sourire en direction du néant, de l'horizon inconnu, qu'un jour elle découvrirai en bateau...
Une envie de bain la prit, elle se déshabilla restant en chemise et braies, pliant correctement ses linges qu'elle posa sur ses bottes.
Puis dans un brusque élan, elle fonça dans l'eau et plongea... Des bulles se formaient à la surface, elle resta un moment sous l'eau, s'impregnant de sa douceur, de sa chaleur avant de remonter à la surface...
Ses cheveux trempés, tombaient sur ses épaules en masse bouclées, le soleil les rendant plus roux que d'habitude, sublimant sa beauté naturelle...
Mel nagea de longues minutes, savourant la sérénité de ce moment de parfaite communion avec la nature, avant de sortir de l'eau et de s'allonger sur le sable, laissant les doux rayons de fin d'aprés midi, dorer sa peau...
Une heure était déjà passée, mince, elle se releva à la hate, récupéra ses affaires et s'habilla, et aprés un regard plein de mélancolie jeté à la grand bleue, Mel retourna à ses fonctions au village ....


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Espoir
Espoir, toutes nouvelle dans la ville de Montpelier, se décida d'aller pour la première fois de sa vie, à la plage! Elle ôta ses chausses, et se mit à marcher dans le sable chaud en cette période de l'année, traînant les pieds, le sable lui procurait une douceur certaines, son regard en direction de cette immensité qu'était la mer, elle se laissa à rêver et réfléchir à son avenir à Montpelier, doucement elle avança vers cette eau d'un bleu comme elle n'avait jamais vu, ses pieds frôlant doucement cette eau, qui pour elle était d'un douceur certaine, elle s’enfonça doucement dans cette mer, puis s’arrêta quand elle arriva au niveau des genoux, une peur panique lui prît d'un coup, elle eut un recul ne sachant pourquoi!! Pourquoi cette panique soudaine! Espoir la boule au ventre retourna en direction de la plage, installa un linge propre puis s’allongeât dessus, relava ses braies afin de faire un peu bronzé cette peau opaline! Espoir resta un long moment allonger sur ce sable, ses mains s'en amuse, elle rêvasse en se disant qu'un jours peut être elle ne sera pas seule sur cette plage!
Lunatik
La journée s' annonçait belle, le soleil brillait , Lun qui s' ennuyait décida d' aller visiter la ville .
Au détour d' un petit sentier, qu' elle suivit sans se faire prier , elle arriva à la mer.
Lun regardait au loin, un ciel bleu azur, un soleil luisant, une mer qui semblait calme , et cet immense étendue de sable
Elle continua à marcher, elle se déchaussa, et posa son pied sur le sable chaud.
Elle sourit , tout en s' approchant de l' eau, regardant les vagues venir mourir a ses pieds, pour revenir de plus belles danser avant de repartir dans leur course folle .
Lun entra dans l' eau jusqu' au genoux, marchant un bon moment, fixant l' horizon.
Elle pensait à lui, qui occupait toutes ses pensées ...

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Soligan
Ses pensées étaient troublées, non pas pour elle, ça surement pas, il y tenait! Mais plutôt par l'attitude qu'il pouvait parfois constater des autres. Un bon bol d'air frais, la douceur des vagues, lui chatouillant l'oreille feraient le plus grand bien à soli.
Sans plus tarder, il prit la route en direction de la plage.

Au loin, le ciel était bleu, le soleil déposait une douce lumière sur la surface des vagues, rêveur, il aurait aimé savoir peindre, elle, qu'il venait de voir, celle qu'il aimait tant, si belle dans ce beau paysage.

Oui il aurait aimé avoir quelque chose, pour immortaliser ce moment.

Il enleva ses chausses, le sable était chaud, il s'avança , souriant de la voir si rêveuse.
La rejoignant doucement, quelque peu embêté que le sable lui rentrait dans les orteils,
et arrivant derrière elle, il posa délicatement ses bras près de son cou et lui murmura :

Il y aaaa le ciel, le soleil et la mer, et surtout il y a ma Lun!
Oui, c'est moi, tu sais quoi? Ce paysage est magnifique, et tu l'améliore d'avantage!
Si je le pouvais, ce moment, je le garderais éternel....On est pas bien là?
Lunatik
Lun toujours occupée a observer l' horizon , sursauta , sentant les mains de Soli dans son cou
Elle se retourna et lui sourit


Ah mais moi aussi, j' aimerais immortaliser ce moment
Qu' il reste gravé dans ma tête


Elle lui prit la main, croisant ses doigts dans les siens, ils marchèrent sans se soucier du temps qui passait
Lun s' arrêta net, se retourna face à lui et lui dit


Ohh j' ai une idée !!!
Enfin, une envie pour être plus précise
Ce soir, nous viendrons , voir le soleil se coucher sur la mer
Passer un bon moment tous les deux en amoureux
A l' abri des regards des curieux
Nous profiterons de la fraîcheur de la nuit
Mmmm qu' on va être bien mon Soli !!!


Excitée comme une puce, Lun sautillait sur place, les pieds dans l' eau , éclaboussant Soli qui n' avait pas l' air d' être perturbé par les facéties de Lun
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Soligan
Il souriait, la voyant sautiller de joie à l'idée de profite d'une douce soirée sur la plage. Il est vrai qu'une douce soirée , serait certainement mieux sur la plage, qu'en taverne!


Oh quelle belle idée, enfin ...envie!
Eh bien oui, nous viendront, en profiter, voir le soleil se coucher.
Nous passerons un agréable moment, comme à chaque fois!
Et au diable les curieux, je ne me cacherai pas pour eux
Nous profiterons de la nuit, de sa fraicheur, de ta douceur et de la mienne.
Et oui on va être bien, moi je te le dis!


Il se releva et l'embrassa avec douceur et grande passion, avant de s'éloigner, histoire de gagner , quelques écus à dépenser, en aller travailler!
Philipdebelrupt


Louis s'était assit sur le doux et fin sable de la plage de Montpellier. Il n'y avait personne aujourd'hui, ce matin plutôt. Il regardait l'eau bleue, scintillante, de la méditerranée. Au large, loin, les voiles d'un navire marchand semblaient disparaître au fur et à mesure que le bateau s'éloignait, vers l'inconnu certainement. Progressivement, il se laissa tomber sur le sable. Toutes ses pensées tombèrent aussi sur le sable, en même temps que lui. Vidé de toutes préoccupations, il allait bien. Extrêmement bien. Cela faisait si longtemps qu'il n'avait pas pu goûter à un tel calme. Aujourd'hui, le vent ne faisait plus de bruit, la mer non plus. Doucement, ses paupières se refermèrent. Les élections, la chancellerie, ses amis, plus rien n'existait pour lui, dorénavant. Il était seul sur cette plage, ou sur ce morceau. Devant lui, la mer, le vide absolu, l'insouciance. Derrière lui, la ville, tout, les élections, les problèmes. Et là, juste où il était, le milieu de tout cela. Mi-chemin du vide, mi-chemin du tout.

Alors que le niveau de l'eau augmentait, lui glissait, inconsciemment, sur la plage, s'approchant de la mer, arrivant près du vide. Loin derrière lui, un ressemblant de musique des troubadours qui jouaient et chantaient comme souvent sur la place. Des cris, des énervements, des rires. Les bruits des roues de charrettes, des sabots de chevaux, des poulaines. Il s'était déchaussé. Elles étaient déjà un mètre au-dessus de lui, lui en dessous d'elles. Ses cheveux, assez long pour un homme, étaient dorénavant partis dans toutes les directions possibles. Lui si souvent critiqué amicalement pour être « bien coiffé », ou surtout se recoiffer en taverne négligeait ses cheveux sur cet apaisant sable du sud. Rien de comparable au sable normand, en soit. Ici, il faisait chaud. Là-bas, froid. L'eau se faufilait dorénavant entre ses orteils. Elle avançait, progressant sur lui. Ses bas, mouillés, lui collaient à la peau, mais il était imperturbable. Il s'arrêta de glisser, mais la mer, elle, ne stoppa pas son avancée. Mais tous les moments heureux ont une fin ...

De légères pulsions remuaient au loin le sable. Elles s'approchaient, tout comme l'eau de la chemise de Louis. Une silhouette, au loin, arrivait, en courant. Elle parlait, criait même. On ne peut décidément pas être tranquille, même ici. Une voix reconnaissable, mais il restait intransigeant. Il ne se réveillerait pas. Le soleil tapait dans ses paupières. Les pulsions et les voix s'arrêtèrent, alors que le soleil venait de disparaître.


« Ah, vous voilà messire ! S'exclama un homme. Je vous cherchais dans toute la ville, afin ... »
L'homme s'arrêta de parler en voyant que Louis ne répondait pas, n'ouvrait pas les yeux, ne bougeait plus. « Messire ? Messire ! Cria-t-il. » Le prenant par les bras, il le remonta, alors que l'eau lui était déjà à hauteur de sa cicatrice de bataille. L'homme gifla Louis.

« - Messire ! Vous êtes fou ma parole ! Que faites-vous aussi près de l'eau, vous vouliez mourir noyé ? »
« - Ma foi ...
répondit doucement Louis. Si seulement je le pouvais ... »
« - Vous avez une mairie à gagner, messire,
rétorqua l'homme. »
« - Qu'avez-vous pour me réveiller ainsi ? Je croyais vous avoir dit de rester à la demeure, Enzo Blackney doit passer me voir ... »
« - Une lettre messire. Dois-je vous la lire ? »
« - Allez au diable. Laissez-moi la lettre, je verrais. »


Louis, à moitié trempé, se releva et enfila ses poulaines. Son serviteur restait à côté de lui, en le regardant.

« - Et bah alors ? ! Qu'attendez-vous ? Filez à la maison bon sang ! Vous avez mieux à faire que de me regarder, non ? »

L'homme tourna rapidement les talons, repartant en vitesse à la maison. Louis regarda une dernière fois la mer. Le navire avait disparu, dorénavant, parti, mais où ? Jérusalem ? Constantinople ? Naples ? Aucune idée... Dans quatre jours, les élections. Une victoire, une défaite ? Qu'importe, au final. La défaite, il connait. La victoire, que partagée, avec des amis. Et déjà, toutes les préoccupations qui reviennent. Il regarda la lettre et la sentit. Une femme venait de lui écrire, ou lui répondre, plutôt. Ah, douce odeur ...
Isora
Voilà, elle y était ! Face à la mer !....Sur la plage…!
Enfin surtout sans inconnu autour d’elle, elle allait enfin pouvoir faire ce dont elle rêvait depuis fort longtemps : enlever ses poulaines et marcher dans la mer !
Elle avait discuté avec ses deux petites amies du matin, leur avait annoncé qu’elle retournerait chercher son chapeau, un panier comportant quelques fruits, une gourde d’eau bien fraîche, sa couverture et se rendrait I.C.I. !
Pour l’occasion elle s’était habillée différemment, des braies…..…. bof bof mais bien pratiques pour ce qu’elle avait à faire, mais cette tenue était loin d’être sa préférée. Alors autant avoir un peu d’intimité autour d’elle.
Elle scruta l’horizon, elle aperçut quelques personnes qui tout comme elle profitait de l’endroit et de l’instant, mais elle ne semblait pas les connaître et puis elles étaient……..assez éloignées, oui fort heureusement.
Isora sourit, d’habitude c’était en forêt qu’elle s’installait ainsi, et cela lui manquait car il faisait un peu trop chaud pour elle. Mais bon à cette heure légèrement tardive et l’air maritime c’était exquis !
Elle posa de suite son panier et tout son équipement, ses poulaines et couru jusqu’au bord. L’eau était t.r.a.n.s.p.a.r.e.n.t.e et du bout de son orteil sentit qu’elle était chaude ! Elle décida d’y mettre les deux pieds, puis avança juste pour avoir de l’eau…. jusqu’aux mollets ! STOP !, prudence Isora, rappelles toi à Cosnes tes mésaventures, ici il n’y pas de campement juste à côté pour te changer. Elle marcha ainsi un certain temps, c’était très agréable. Verrait-elle un magnifique coucher de soleil comme au bord de son lac ? Enfin ce n’était absolument pas le sien…….
AH ! Mais attention, elle avait entendu dire qu’un certain tavernier Montpelliérain se transformerait en loup garoup le soir. Plaisanteries d’un soir en taverne avec deux dames.
Elle s’installa, prit une pomme et la croqua à pleines dents. La conversation avec ses deux petites amies du matin lui revint, elles étaient adorables. Demain elle avait promis d’amener Epargne avec elle, elle avait l’autorisation de son maître donc elle leur présenterait son ami de la forêt. Ces deux charmantes demoiselles s’étaient mis en tête durant un moment de lancer un avis de recherche pour lui trouver un, ah mais zut elle avait oublié de demander pourquoi il l’avait nommé Epargne !
Le temps était doux, le vent léger, cette journée se terminait fort agréablement. Elle mit sa tête sur son panier, s'allongea et regarda le ciel. Isora était contente en plus elle avait vu comment l'appellerait-elle ce soir, le furtif....!, il fallait avouer qu’il lui avait manqué un peu, mais bon c’était ainsi et puis la journée n’était pas encore terminée non loin de la, oui elle attendrait le coucher de soleil et ensuite elle rentrerait sagement, comme d’habitude.
Tiens Dame Mouette a trouvé elle aussi une petite place confortable !
Lunatik
Une soirée a deux face à la mer sous un clair de Lun ...

Avec Soli, Lun avait convenu, qu' ils allaient venir passer la soirée sur la plage.
Ils avaient repéré , une crique isolée des regards indiscrets, l' endroit parfait pour passer un long moment tranquille en amoureux
Lun qui savait son ver à soie très occupé, prépara une malle dans laquelle elle mit une couverture, serviette, un panier avec de quoi se désaltérer , un pain , du saucisson et une bonne bouteille de vin.
Elle vérifia qu' il ne manquait rien et se dirigea vers la plage
Après tant d' effort elle arriva enfin dans ce petit coin de paradis, elle souriait heureuse .
Elle se reposa un instant, fatiguée de la route, se sachant seule, elle profita pour se mettre à l' aise, enlevant son col qui l' empêchait presque de respirer, se déchaussant, et ôtant ses bas ..
Lun plia ses vêtements qu' elle rangea sur un rocher, prit la couverture qu' elle étendu sur le sable, posa le panier qui contenait le pique nique
La voila prête, il ne manquait que Soli.
Lun savait qu' il allait la rejoindre, alors elle se coucha sur son lit de fortune, fixant les vagues , pensant à lui , celui qu' elle aimait plus que tout.
elle s' endormit paisiblement

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