Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 45, 46, 47, 48, 49, 50   >   >>

[RP]Plage de Montpellier.

Allen69
Allen écoutait avec attention ce que lui disait Espoir. Il pu retenir qu'elle avait confectionné de ses mains une tarte, curieux de savoir si elle est bonne cuisinière ou non il décida d'y gouter.

Rien ne me ferrait plus plaisir que de partager ce pique nique avec vous, vous avez tout à fait raison ! Votre tarte attire toute mon attention, j'aimerais beaucoup y gouter...
Je saurais ainsi si vous avez des talents de cuisinière
dit-il en souriant

Il garda ce sourire, content d'être là, si bien accompagné.
Espoir
Espoir regarda Allen gentiment, puis sortit donc de son panier pique nique cette tarte qu'elle avait confectionné le matin même. Une bonne tarte aux fraises. Puis elle sortir également deux verres ainsi qu'une bonne bouteille de vin, Espoir le regarda et commença à servir les verres, puis coupa la tarte et lui tendit sa part ainsi que son verre. Voilà j’espère qu'elle vous plaira cette tarte, je ne suis pas très grand cuisinière,mais ma tarte parait t'il est très bonne! Espoir le regarda, attendant ce qu'il allait en pensé, pris à son tour un morceau puis son verre de vin, commença par morde doucement un petit morceau de sa tarte
_________________
Isora
[Hasta la vista Long hair ! (au revoir cheveux longs)]
Isora suivait plus ou moins celui qu’elle nommait en silence «l’Etrange», car elle aurait bien voulu lui chiper sa bouteille avant de s’enfuir, mais il la gardait bien serrée contre lui. Ah zut, sans doute ce serait une mission impossible pour notre Tonnerroise. Elle essayait de trouver un moyen quand tout à coup elle entendit les cloches retentir, mince elle avait oublié. Il lui fallait rentrer sans plus tarder ! Mais elle ne le pouvait pas « l’Etrange », lançait de temps en temps un œil pour voir si elle était toujours là ! Comment faire ? Elle ne pouvait pas se rendre à sa chambre, non. Que dirait ….. si par malchance Isora la croisait et qu’elle l’a voyait ainsi habillée ! Un grand sourire lui vint, la prochaine rue, oui, elle se faufilerait dans le plus grand silence et elle irait la bas voilà, elle enverrait un pigeon pour prévenir de son absence et personne ne s’inquiéterait. Oui la solution était trouvée.
Elle attendit et hop silencieusement Donnola s’esquiva et voilà « l’Etrange » était semé !


Allen69
Espoir avait pensé à tout, elle avait même apporté du vin, Allen était ravis de voir l'application avec laquelle cette femme avait préparé ce pique nique. Il avait rarement l'occasion de partager ce genre de moment sur la plage de Montpellier, il affichait donc un large sourire, heureux d'être avec une personne dotée d'une si grande bonté.
Il prit alors le bout de tarte que lui tendait Espoir, ainsi que son verre.

Vous dîtes que vous n'êtes pas une grande cuisinière alors ? Laissez moi donc gouter à votre tarte que je puisse vous dire ce que j'en pense...

Il croqua un bout dans la part, mâcha doucement et apprécia ce qu'il vint de manger.

Et bien je vous le confirme... votre tarte est effectivement très bonne, je ne regrette pas d'en avoir mangé dit-il en rigolant

Il but ensuite une gorgée du doux breuvage tout en terminant son morceau de tarte. Une fois terminé, il s’allongea doucement sur le sable puis s'adressa à Espoir

Couchez vous à mes cotés et voyez comme nous sommes bien ici !
Espoir
[ Après quelques jours ]

En ce samedi ensoleillé, Espoir après avoir quelque peu airé dans les rues de la ville, prit la décision de nouveau d'aller sur la plage avant son départ, elle marchait sans but jusque cette plage merveilleuse, elle ôta ses bottes, laissa traîné ses pieds dans ce sable blanc et fin, doux et chaud déjà en cette heure matinale. Elle marchait, marchait sans but précis à vrai dire. Le regard plongeait vers l’immensité de cette mer qui ébloui grandement sont regard. Puis se dit " quel merveille! Je n'ai jamais rien vu de si beau!" Puis elle continua de marchait, les bottes à la main et le regard vide, et pensif. Elle trouva un lieu dans les dunes où elle s'y installa, après avoir attendu une couverture et avoir défait ses vêtements. Posait sur cette couverture, elle se mit à pensé à son grand voyage, en laissant apparaître un de ses sourire les plus expressifs. La matinée passait à grand pas, elle s'était assoupie quelque peu, elle se réveilla d'un sursaut. "Hé Espoir, tu devrait tout de même te dépêcher à trouver du travaille". Elle se leva d'un bond, remis tous ses petites affaire en sa besace, puis reprît son courage pour aller cette fois fois sur le marché de l'embauche.
_________________
Hema
Les yeux grands ouverts sur l'étendue qui se trouvait devant elle, la bouche béante, les bras ballants, Hema avait sauté de la roulotte dont elle avait laissé Sca tenir les rênes pour se précipiter sur la première plage croisée sur la route de Montpellier. Une plage qui, visiblement, menait jusqu'à la capitale.

Hema avait les yeux brillants de joie en observant l'eau, le sable, les mouettes, la végétation ; elle ne savait plus où donner de la tête.

Ca y est... j'y suis arrivée... J'y suis arrivée...

Elle se retourne vivement pour voir Sca puis lui crie :

Sca, on y est arrivés !! On y est arrivés !!

Plus d'une année... plus d'une année entière pour te découvrir, toi, la mer du sud...


Ses pensées s'égaraient, faisant la synthèse de cette année écoulée depuis qu'elle s'était enfuie de Bourgogne.
Elle repensait au début du voyage, à la découverte de la mer du nord, celle de l'ouest, puis le voyage jusqu'au sud.

J'y suis vraiment... J'rêve pas...

Se laissant lourdement tomber les fesses dans le sable, elle ne quitte plus des yeux la mer.
Comme hypnotisée, elle restera là longtemps pour apprécier ce projet qui lui tenaitt à coeur depuis des mois, jusqu'à ce qu'elle se rende compte qu'elle avait soif !
Ah là, là... Cette Hema, on la refera pas !

_________________

http://www.lesroyaumes.com/FichePersonnage.php?login=hema
--Georgie
Et voici un pauvre pigeon accomplissant sa première mission : apporter ce message sur les rochers de la plage de Montpellier.
Un rocher bien précis, toutes les indications lui avaient été données et il se les répétait sans cesse depuis son départ »surtout ne pas se tromper, faire attention à la marée…..une histoire de voleur….enfin il n’avait pas tout compris, mais là n’était pas son problème….. « et surtout attendre sur place, surveiller de loin pour rapporter la réponse si toutefois il y en avait une.
Il déposa donc sa missive bien en évidence, l'immobilisant à l’aide de petites pierres trouvées sur place,il surveillait de loin la missive pas question qu'elle s'envole au moindre coup de vent.
Ah en espérant que le destinataire passa par là, oui car I..enfin Flora ne savait pas où l'envoyer, il espérait surtout que son attente ne soit pas trop longue, car notre pigeon (Bourguignon habitué à la douce fraîcheur) n'aimait pas la chaleur et là le soleil était à son zénith. Tout en bougonnant, il se demandait pourquoi l'avoir envoyé là maintenant, au moment ou il faisait presque le plus chaud, certes il était valeureux, mais bon il y avait des limites à la vaillance.




Messire Dazibaan,
Je voudrais récupérer mon bien, cet objet a pour moi une valeur que vous ne pouvez comprendre sans aucun doute.
Je l’ai trouvé par le plus grand des hasards et il est injuste que vous l’ayez gardé, après tout j’ai rempli ma part de l’accord conclu entre nous à savoir vous avoir révélé mon ........ nom !
Il vous faut donc respecter votre promesse. Une parole est une parole, non ?
Il ne vous reste plus qu’à remettre l’objet en question là où vous l’avez pris, je viendrais récupérer ma belle bleue dès que je serais sortie de chez ces chers moines.
Je pensais n'y rester que quelques jours, mais dans l’immédiat ils ne veulent absolument pas me laisser sortir et je ne sais pas pourquoi.
Si vous pouviez me confirmer le dépôt de mon bien en répondant à cette missive, je vous en serais reconnaissante.
Mon courageux pigeon se chargera lui-même de me rapporter vostre réponse.
Merci,
« Flora de Montpellier »

Georgie rentra donc la tête dans ses ailes pour se protéger légèrement des rayons, bientôt il espérait repartir pour se mettre à l'ombre, manger quelques graines, retrouver ses amies dans son joli pigeonnier.....
Allez Messire Dazibaan ne tardez pas trop je vous en prie ! Ayez pitié de moi !! roucoulait-il tout bas !
Dazibaan
Daz relisait le courrier, assis nonchalamment sur une des roches surplombant la plage, la chemise ouverte sur la musculature fine qui n'avait pourtant rien à envier aux montagnes barbares. Lui privilégiait la souplesse et l'habilité à la force pure. Distraitement, il faisait tourner son butin entre ses doigts, hésitant, guettant aussi afin de voir si la donzelle se pointerait ou pas. Lui avait-il fait peur? Fallait qu'il y aille plus doucement, fallait croire.

Les coudes posés sur les genoux, il finit par passer une main dans sa tignasse qui ne tenait pas en place à cause du vent de la mer, et il finit par poser la bouteille qu'il tenait de l'autre, accompagnant le mouvement d'un haussement d'épaules. Il aurait au moins tenté! Puis pensait-il vraiment qu'elle se serait pointé à la taverne? Ouais p't-être... Dommage...

En un geste souple, il se déplia et se releva, frottant le tissu de son froc pour en retiré le sable qui avait pu y rester accroché. C'tait parti.... Faisait soif et le ciel s'assombrissait drôlement.
--Georgie
Enfin un homme était arrivé et s’était installé à l’endroit même qu’il devait guetter donc c’était le destinataire ! Georgie l’observait, il lisait la missive de sa maitresse !
Mais bon pourquoi restait-il sur le rocher à attendre. Il ne semblait pas écrire en retour, enfin de là Georgie ne voyait pas très bien. Pas clair tout ça ! Il voyait bien que l’homme attendait.
Les consignes avaient été claires, attendre sur place, surveiller de loin mais là ça va quoi, après le soleil voilà que le ciel devenait légèrement noir, le vent s’était levé et la pluie allait sans doute arriver.
C’est alors que l’homme descendit de son promontoire et après hésitation, disparu enfin !
Il lui fallait aller jeter un œil, voir, avait-il laissé une lettre là-bas ? En s’étirant tout d’abord, et bien oui depuis le temps il était légèrement rouillé, enkylosé. En deux coups d’aile le voilà sur le rocher, il chercha et bien non, rien, absolument rien que le volatile ne pourrait rapporter à Flora, pas le moindre bout de papier, juste une jolie bouteille bleue !

Il n'y avait rien à comprendre avec ces humains, alors il décida de rentrer, sa mission était enfin terminée !
--Donnolae
Quelle belle journée, splendide ! Quoique la plage ne soit pas son lieu de prédilection. Elle préférait de loin la forêt et peut être le lac qu’elle avait aperçu de l’autre côté de la ville. Mais ce jour il lui fallait se rendre ici. Elle était très légère, donc le sable n’était pas un problème pour celle que l’on surnommait « la jolie Brindille », oui car elle était fine, souple et vive comme l’éclair ! Munie d’une très jolie besace offerte pas Flora elle partit donc en direction des rochers qui se situaient un peu plus loin. Elle avait hâte d’y parvenir, elle se sentait un peu trop harnachée, et Donnolae était habituée à une liberté de mouvement sans entrave. Elle avait hâte donc de prendre la belle bleue et de rentrer au plus vite dans le si beau domaine où sa maîtresse résidait en tant qu’invitée, enfin elle y était fortement bien reçue. Ah le sable toutefois lui brûlait légèrement les coussinets alors elle fila encore plus vite, chippa la bouteille, la mit bien en place, l’arrima afin qu’elle ne tombe pas et la roussette s’enfuit telle une jolie bourrasque !
Stromboli
Stromb et Matou étaient arrivé à Montpellier accompagnés de quelques personnes que le brun considérait déjà comme des amis. Il avait promis à Matou, quelques mois auparavant, de lui montrer la mer. Il avait vu l'état d'agitation et d'impatience de sa belle augmenter un peu plus chaque jour, jusqu'à aujourd'hui.

Les deux amoureux foulaient enfin la plage, la main dans la main, et l'immensité azurée de l'eau s'offrait à eux dans une senteur d'iode mélangée à celle de la végétation environnante. Les derniers beaux jours étaient là, la chaleur toujours présente. Ils avaient bien l'intention d'en profiter avant de repartir vers le nord. Il sentait Matou au comble de l'excitation. Il la regarda l'air amusé et ravi.


Et bien, nous y voila ! Je sais pas toi mais moi j'ai trés envie d'y sauter dedans !

Et sans attendre d'avantage, il ôta sa besace, sa chemise, ses braies, ses chausses et posa le tout derrière un buisson. Complètement dénudé, il cacha ce qu'il y avait à cacher avec ses mains, l'air taquin. Il observa Matou et attendit qu'elle fut prête pour pouvoir se jetter à l'eau avec elle.
Matouminou


Ils y étaient!! Enfin!! Elle avait tellement attendu ce moment! C'est Stromb qui avait eu cette idée, l'emmener voir la mer, mais pas n'importe quelle mer, la mer Méditerranée, celle où l'eau est toujours chaude, et qui ne se retire jamais. Pas comme la Manche au bord de laquelle se trouvait son village, la Manche qui obéissait aux cycles des marées, en n'en piégeant plus d'un se croyant à l'abri sur le sable ferme.

Elle avait écouté des récits de voyageurs qui lui avaient vanté la beauté de cette eau bleu qui se confondait souvent avec le ciel du même bleu intense. Et cela l'avait fait rêver.
Et voilà que Stromb avait tenu sa promesse, comme toujours du reste, et qu'ils étaient arrivés à Montpellier.
Ils ne s'étaient pas longtemps attardés en taverne, tout à leur impatience de la voir, la grande bleue!!

Matou n'oublierait jamais ce sentiment de bonheur qu'elle avait ressenti en la découvrant devant eux, à perte de vue. Elle enleva ses chausses afin de sentir ses pieds s'enfoncer dans le sable fin, doux et tiède et poussa un cri:


- Qu'elle est grande!!

Elle tenait fermement la main de son volcan, parce qu'il faut dire qu'elle se sentait un peu impressionnée devant tant de beauté. La mer était d'un bleu azur et l'on pouvait distinguer parfois, à sa surface, un peu d'écume. Les mouettes tournoyaient dans le ciel de la même couleur, en poussant des cris qui donnaient l'impression qu'elles se moquaient.

Ce qui surprit aussi Matou, c'était l'immensité de la plage de sable fin. A Fécamp, les plages, bien souvent, étaient faites de galets, et elles n'étaient pas aussi larges. De plus, la mer et le ciel n'avaient jamais donné une telle luminosité.

Elle cligna des yeux, puis les ferma un instant pour s'imprégner de la chaleur du soleil qui lui caressait le visage et des bruits des vagues, douce musique à son oreille, interrompue parfois par le cri des oiseaux blancs.

Elle les rouvrit en entendant Stromb s'exclamer:


Citation:
Et bien, nous y voila ! Je sais pas toi mais moi j'ai trés envie d'y sauter dedans !


Elle hocha la tête et balbutia:

- Elle est immense... et si belle...

Elle ne put poursuivre. Son rêve se concrétisait, et c'était au-delà de ce qu'elle avait imaginé. C'était bien plus que découvrir la mer, c'était la découvrir avec lui, lui qu'elle aimait par-dessus tout.
Il lâcha sa main et commença à se déshabiller. Elle ouvrit de grands yeux quand elle vit qu'il enlevait tout, se retrouvant très vite dans son plus simple appareil. Elle sourit, ne pouvant s'empêcher d'admirer le corps musclé et bronzé de son volcan. Alors, ne faisant ni une, ni deux, à son tour, elle enleva sa jupe. Elle ne garda que son corsage qui recouvrait son petit ventre déjà bombé, signe d'une grossesse de bientôt cinq mois.

Elle lui sourit, resplendissante dans sa presque nudité, femme porteuse de vie, femme heureuse et comblée, c'est ainsi qu'elle se définissait, et elle mesurait pleinement combien elle avait de la chance.

Elle le regarda cacher ce qu'elle connaissait bien, et lui dit moqueuse:


- On fait le timide??


Pour autant, elle ne put s'empêcher de regarder autour d'elle, ils semblaient seuls.
Elle envoya ses affaires rejoindre celles de Stromb dans le buisson, et tout en remontant ses cheveux sur la tête, elle lui dit en riant:


- Le dernier à l'eau a un gage!!


Et elle s'élança vers la mer.

_________________




















Stromboli
Citation:
- Le dernier à l'eau a un gage!!


Groumfff... Il n'en fallait pas plus. Stromb s'élança dans l'eau, se fichant pas mal de la présence ou non de baigneurs ou promeneurs. Cette mer là était bien plus chaude que celle en Normandie. Il y sauta dedans jusqu'à l'avoir sous le menton. Sa tête s'enfonca un moment sous l'eau, et il pris plaisir à se rafraichir aprés une journée si chaude.

Il sortit la tête de l'eau et chercha instinctivement Matou. Elle avait suivi, plus belle que jamais, semblant comme un poisson dans l'eau dans cette mer qu'elle voulait tant connaitre. Il avait pris sa main sous l'eau et l'attira à lui. Glissant ses bras autour de sa taille, il joignit ses lèvres au siennes dans un baiser salé. Son corps avait une douceur différente dans l'eau. Il appréciait pleinement ce moment.

Il finit par se détacher doucement d'elle et lui désigna une masse un peu plus loin, un sourire en coin.


- Regarde là-bas. Tu as vu ? Encore une baleine ! Y'a pas que dans la Seine hein !

Stromb rigola. Ce n'était évidemment pas une baleine, mais une grosse dame qui profitait manifestement de l'eau pour se rafraichir, ou se laver, mais l'eau de mer pour ça n'est pas trés conseillée... Il repporta son attention sur sa belle et déposa ses lèvres dans son cou. Il avait étrangement chaud, malgré la fraicheur bienfaisante de la mer. Et ce corps chaud et doux qu'il aimait tant, qui le mettait dans tout ses états, y était pour beaucoup.

Alors avant qu'elle ne décide de le noyer, il profitait de sa peau... de ces envies qui le lançait sous le soleil du Languedoc.
Matouminou


Elle courut aussi vite qu'elle put, un grand sourire sur le visage, ils étaient fous, mais dieu que cette folie était douce. Elle n'eut aucune hésitation à se lancer dans l'eau la tête la première. L'eau était bonne et bien plus chaude que la Manche, c'est vrai. Elle remonta à la surface et repéra Stromb, non loin d'elle. Elle le rejoignit en nageant. C'est toute seule qu'elle avait appris. Habitant au bord de la mer, elle avait trouvé utile de savoir nager. Ça pouvait servir et ça avait servi, comme ce jour où, sur sa barque, pour chasser une mouette facétieuse, elle s'était mise à faire de grands gestes désordonnés et s'était retrouvée à l'eau.

Elle sourit à son volcan, il lui rendit son sourire et, lui attrapant la main sous l'eau, elle se retrouva tout contre lui. Ils échangèrent un baiser salé qu'elle prolongea un peu, faisant jouer leurs langues, et transformant ce baiser en un baiser fougueux. Déjà, elle sentait son corps réagir et son cœur battre un peu plus fort. Elle ne savait pas faire taire ses sens. Il avait le don pour la mettre en émoi.

Fort heureusement, il se détacha un peu d'elle et en lui désignant une masse au loin, il s'exclama:


Citation:
- Regarde là-bas. Tu as vu ? Encore une baleine ! Y'a pas que dans la Seine hein !


Elle tressaillit...quoi? une baleine? Puis, elle regarda dans la direction qu'il lui indiquait Arffff...il l'avait encore eu! En fronçant les sourcils, elle lui dit:

- Rhoooo...mais c'est une grosse dame, encore une...pffff...toi et tes baleines...et moi, je tombe dans le panneau...pfffff...tu mérites que je te noie!

Elle prit alors un air menaçant, en essayant de ne pas éclater de rire, ce qui affichait sur son visage, une drôle de grimace, plutôt cocasse.
Mais déjà, il l'avait prise dans ses bras et l'embrassait dans le cou. Elle frissonna, ses lèvres étaient douces et l'eau donnait à son corps une sensation nouvelle. Elle laissa échapper un soupir de bien être.
Le temps sembla s'arrêter, il y aurait pu avoir foule autour d'eux qu'elle n'aurait vu personne, juste lui...lui qui était en train d'embraser tout son être. Elle se serra contre lui, sentant que lui aussi la désirait autant qu'elle le désirait.

Elle passa ses mains sur son dos, doucement, s'attarda sur cette peau si douce que jamais elle ne se lassait de caresser, passant sur le relief de quelques petites cicatrices,vestiges de vieilles blessures, puis remonta vers le haut de sa nuque, jouant dans ses cheveux avec ses doigts, sensuellement.

Elle lui murmura à l'oreille:


- Je vais un peu attendre avant de te noyer...j'ai l'impression qu'un autre projet se dessine à l'horizon...


Lentement, elle fit glisser ses lèvres sur la joue de l'homme. Elles vinrent effleurer sa bouche, s'attardèrent un instant au coin.
Matou écarta alors son visage et plongea son regard dans celui de Stromb. Un petit sourire se dessina sur sa bouche et elle se mordit la lèvre.

_________________

















Stromboli
Le corps blanc et doux de Matou était vissé à celui rude et hâlé du rouergat. Il sentit les doigts fins qu'il connaissait bien l'effleurait le long de son dos, lentement et avec une insolence délicieuse. Il frissona quand ses doigts se posèrent sur sa nuque, jouant avec les petites pointes de ses cheveux bruns. Son nez et sa bouche toujours nichées dans son cou, il ferma les yeux. Ses lèvres parcourèrent sa peau, se délectant de ce gout familier auquel venait s'ajouter une pointe iodée, une délicieuse gourmandise marine que la chaleur de sa peau rendait encore plus savoureuse.. Il savourait chaque centimètre de son cou. Le ciel aurait pu leur tomber sur la tête qu'il n'en aurait pas fait cas. Il sentait le corps de la jeune femme frissoner contre le siens, à mesure qu'il s'enivrait d'elle.

Citation:
- Je vais un peu attendre avant de te noyer...j'ai l'impression qu'un autre projet se dessine à l'horizon...


Il sourit et garda son regard ancré au siens. Ses mains glissèrent le long de son dos, l'une d'elle s'aventura sur son fessier. Un sursaut de désir, il la pinça.. Il vint happer sa lèvre inférieure, jouer avec, avant de mêler sa langue à celle de sa belle... Long baiser langoureux où l'esprit du brun s'enfiévra complètement. Il voulait succomber à l'appel de son corps, la chaleur qu'elle dégageait lui brûlait les doigts sous ses caresses. Grisé.. Grillé peut-être, le cerveau, sous le soleil du sud... Celui là même qui avait vu le ventre de Matou s'arrondir à force d'amour entre les deux amants.

Mais pour l'heure, il laissait son corps le guider, réagir au contact de celle qui le rendait fou. Un frisson lorsqu'il sentit une cuisse l'effleurer, justement là où ça chauffait le plus... Ses yeux s'enflamaient, ses caresses se perdaient..
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 45, 46, 47, 48, 49, 50   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)