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[RP]Plage de Montpellier.

Melandrine
La mer, son air iodé , les embruns, le sable, et ce spectacle sans cesse répété,
des vagues déferlantes , s'écrasant sur les rochers.....ô, oui, Mel, avait tant
parcouru de chemins pour voir cela.....!
La nuit était claire, la lune pâlissante brillait au firmament, pas un seul bruit, juste le bruissement des vagues sur le sable finissant....
Mel s'assoie, respire l'air pur, elle vient de voir la mer, et déjà lui fait ses adieux.....


" Adieux donc, ô mer,
Mais je n'oublierai jamais
Ta majesté, ni tes splendeurs,
Et longtemps, longtemps, en moi,
J'entendrai, ton lourd bruissement
Aux heures du soir....! "

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Aelanne
Le regard bleu se perd un instant vers une barque non loin du bord, puis se lève au passage d'une mouette. Le minois s'éclaire d'un sourire. Il ne manque que les falaises, les rochers où viennent s'écraser les vagues.. Elle tourne le visage vers l'ours et sourit encore davantage devant ses traits qui laissent deviner qu'il n'oubliera pas cette vue de sitôt.
Ael se détache de lui et s'approche du bord, relevant le bas de sa jupe entrant lentement dans l'eau. Elle jette ses poulaines dans le sable à l'abri des vagues et tend la main vers l'ours.


- Mmh c'est divin.. Tu viens Abel
Cebyss
[Quelque part à Montpellier... en direction de la plage...]

Elle avait besoin d’air la brune, elle étouffait entre les 4 murs du château, les quatre murs de cette chambre… Elle avait besoin de s’aérer la tête et quel meilleur endroit que la plage pour ça. Voilà des semaines qu’elle n’avait pas mis les pieds sur le sable… le sable s’est emmerdant… il parait… Cette pensée la fit sourire légèrement. Oui il fallait qu’elle sorte. Mais pas seule, tout allait de nouveau se bousculer dans sa tête sinon à tout ressasser toute seule… Partir, rester, fuir,… l’attendre…

Elle attrapa un châle qu’elle enroula autour de ses épaules, donna des ordres pour faire seller deux chevaux. Elle en connaissait un autre qui avait besoin d’air… elle s’en alla donc frapper à une porte…

Soc ! Prépare-toi vite ! Je t’attends dans la cour, j’ai fait seller Celsior !

Elle dévala l’escalier et se retrouva en selle en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, faisant trépigner les sabots de son cheval sur les pavés de la cour en attendant son filleul.

Discuter des heures de tout et de rien, rire, une folle chevauchée sur la plage, le vent fouettant son visage, le froid mordant ses joues, tout laisser derrière elle, voilà ce dont elle avait besoin. Des projets , il y a bien longtemps qu’elle n’en faisait plus. Juste profiter de l’instant et l’instant justement c’était cette journée calme, fraiche, son filleul, la plage… Et lui qui malgré l’absence, elle n’arrivait pas malgré tout à chasser de ses pensées et qui l’accompagnait à chaque instant même lorsque comme ce jour, elle tentait de le fuir.

Socrate arriva rapidement, il la rejoignit sur sa monture et tous deux quittèrent le château… direction… la plage.

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Abelamos
Perdu dans ses pensées, devant cet environnement qui n'avait rien à voir de ce qu'il avait déjà vu, il en sortie quand il vit Ael dans l'eau lui tendre la main. Elle était magnifique dans ce paysage, et il pensait à un long et doux rêve, qu'il avait peur de quitter.
Il se leva alors, laissa ses bottes et releva ses brais, et se dirigea vers Ael, mettant un pied dans l'écume frémissante, et s’enfonça un peu plus dans l'eau. Elle était fraiche, même très fraiche, mais la caresse des vagues sur ses jambes avait quelque chose de mystérieux.
Une fois à coté d'Ael, il tourna ses yeux vers l'infini bleuté et en eu le vertige. Comment pouvait-on espérer prendre la mer, et se dire que l'on peut revenir sans s'y perdre.

-"Tu avais raison, c'est divin. J'ai même pensé à Aphrodite sortant de l'écume quand je t'ai vu dans l'eau."
Socrate86
[derrière une porte ]

Socrate, se rongeait le sang , l 'ennuie commençait a le gagner .On lui avait demander de renoncer a se présenter a la mairie, ce qu il avait fait de mauvaise grâce , pourquoi voulait on l empêcher de s occuper ?

Un certain laisser-aller le gagnait ,une lassitude ,quand soudain , on frappa a la porte de la chambre que ,il occupait durant son séjour en la capitale.


Citation:
Soc ! Prépare-toi vite ! Je t’attends dans la cour, j’ai fait seller Celsior !


Cette voix, il l'a reconnaissait , aucun doute possible c était celle de sa marraine ,mais que ce passait il ?

-Marraine ? Oui ..Oui ..! J'arrive , mais que ce passe il ?

Soc enfila rapidement ses bottes , saisi son épée et descendis rapidement l 'escalier de la maison pour se retrouver dans la cour ou, l' attendait la comtessa , cette femme magnifique qui lui faisait l 'honneur de lui donner son amitié et pensa -t-il une certaine marque de tendresse.

-Bin quoi ? les bandits attaque ? tu es malade ? pourquoi tant de précipitation ?
Et tu m 'emmène ou ?


Enfourchant Celsior , le meunier attendait des réponses ,sachant bien que de toute façon , ou aller sa Comtesse , il irait,Même les flammes de l enfer ne l aurai empêché de la suivre ou elle voudrai.

-Voila je suis prêt , je te suis !

-Vers la plage ! entendu en avant..!!
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Cebyss
La brune était contente, la journée s’annonçait légère pour une fois. Voilà des jours voir même des semaines qu’elle n’avait pas pris le temps de passer une journée avec son filleul, et chaque jour ça lui manquait un peu plus. La brune sourit devant l’enthousiasme de Socrate et donna un petit coup de talon sur le flanc de son cheval et les deux complices arrivèrent au trot sur le sable humide de la plage de Montpellier.

Une autre plage, mais le même horizon, cette même odeur iodée, ce même petit air qui laissait ce léger gout salé sur les lèvres et cette même force qui refaisait souvent naitre le sourire de la brune. Le souvenir de cette autre plage, d’un après-midi, de confidences, de mains qui s’effleurent… de liens qui se resserrent… de Lui encore qui hantait son esprit… d’un frisson qui lui parcourt l’échine…

La plage était presque déserte en cette saison, seules quelques barques au loin, un couple d’amoureux, une jeune femme… et la plage… Face à la solitude, aux contraintes et au vide de sa vie, la brune se sentait prisonnière, comme dans une cage lui avait un jour dit une blonde amie avisée et avait envie de liberté. L’immensité du paysage lui donnait cette envie d’évasion qui l’avait déjà prise au printemps dernier. Elle regarda, d’un air taquin, son fillot qui chevauchait à ses côtés, tout en flattant l’encolure de son cheval.

On fait la course jusqu’à la digue là-bas au fond ?

A peine eut-elle dit ses mots qu’elle planta les talons dans les flancs de son cheval qui partit aussitôt au galop. Un large sourire aux lèvres, elle se retourna en criant à son filleul

Rattrape-moi si tu peux !

Ses paroles et le rire qui suivi s’envolèrent dans le vent, alors qu’elle poursuivait sa course très certainement suivie de très près par le cavalier émérite qu’était Socrate.

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Socrate86
[Sur le chemin de la plage ]

Les faubourgs de la capitale, disparaissaient peux a peux derrière eux ,devant ,une immense bande de sable, ou les premiers rayon de ce soleil de novembre , faisaient scintiller les million de cristaux en un immense tapis de petits éclats.

La journée s annonçait prometteuse,loin des intrigues du château ,des cérémonies a ne plus finir.Ici dans cet endroit ou seul le bruit des vagues et des oiseaux marin,ne rivaliseraient avec les rire de la comtessa et du meunier.


Citation:
On fait la course jusqu’à la digue là-bas au fond ?


-Bin voyons!
Pensa Socrate .

Citation:
Rattrape-moi si tu peux !

-J 'allais justement te le proposeeerrr......!!!! hé!! tricheuse!! attend moi!!
Socrate n 'avez pas eu le temps de répondre que Cebyss,plantant les talons dans les flancs de son cheval, parti au galop.

Le meunier , un peu surpris par la rapidité du démarrage de sa marraine, cabra Celsior , et parti lui aussi dans un galop effréné.


-Je vais pas te laisser gagner facilement Marraine ! Lui cria -t- il ! En talonnant son cheval.


Les deux chevaux ,crinières au vent, galopaient maintenant cote a cote en direction de la petite digue .
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Lolesi
Après plus d'un mois de voyage, les voici rentrés chez eux...

Un tour de la cité plus tard, c'est avec plaisir que Lolesi emprunte le chemin isolé qu'elle a tant de fois suivi jusqu'à la plage... "sa" plage...
Peu importe le temps qu'il fait, elle s'y sent toujours bien, surtout dans ce petit coin tranquille.

Avec délices, elle ôte ses bottes, les tenant à la main pour laisser glisser ses pieds dans le sable...
Un sourire aux lèvres, elle parcourt la distance la séparant des vagues...

Coup d'oeil à droite, coup d'oeil à gauche pour s'assurer qu'elle est bien seule...
et en un tour de main elle se dévêt, ne gardant que sa tunique légère qui lui sert de dessous... (pas question d'être nue, si d'aventure quelqu'un avait la mauvaise idée de passer par là...)

Et c'est avec un plaisir indiscible qu'elle plonge dans les vagues...
mordue par le froid de l'eau, elle en perd un instant le souffle, mais s'éloigne aussitôt du bord à grands moulinets de bras et battements de pieds...
Au bout d'un moment, elle fait demi-tour, surveillant de loin ses affaires ainsi que la solitude de l'endroit.
En brasses légères, elle rejoint le rivage, gelée mais revigorée...
Prête à voir ce que la cité et ses habitants leur réserve...

Après s'être séchée et rhabillée, elle jette un dernier regard aux vagues, semblant leur parler... murmurant doucement...
Puis sur un signe de la main, comme lorsqu'on quitte un ami, elle reprend le chemin du centre de la ville...

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Morganenn
La mer à perte de vue, voilà bien longtemps qu'elle n'avait pas profité de ce spectacle. Le sourire aux lèvres elle ferma les yeux et inspira une grande bouffée d'air frais, cet endroit était parfait pour se ressourcer. Le souffle chaud de sa jeune jument dans son cou la réchauffait et elle posa sa tête tout contre l'encolure de l'animal.

-Regarde ma belle, c'est la mer je t’emmènerai faire des promenades ici de temps en temps. Nous avons méritées un peu de repos toutes les deux.

Assise sur le sable elle releva ses genoux et y déposa son menton, ses yeux détaillaient une chevalière dans le creux de sa main. Une sensation étrange l'envahie et elle s'allongea sur le dos observant le ciel la mine rêveuse.
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--La_ribaude_itinerante





Johanna s'installa sur le sable. Doux, réchauffé par le soleil. Elle soupira un instant. Allait-elle arrêter de fuir un jour? Voyager, fuir, s'arrêter, reprendre sa vie où elle s'était arrêtée... Elle observa les promeneurs, les oisifs. Vaquer à leurs occupations, saines et moins saines.
Des fous, des nobles, des amoureux, des orgueilleux, des humbles, des vainqueurs. Des faibles et des forts. Johanna ne rentrait dans aucune petite case de cette société policée. A vrai dire, elle n'en avait cure. Elle préférait vivre pleinement sa vie.

Voyager, rencontrer des gens. Parfois, certains la touchaient, comme sa rouquine d'Auch. Une petite qui cachait bien son jeu, qui refuse elle aussi les carcans de la société. Pour moi, se disait Johanna, les hommes, je m'en sers. Pour elle, on s'en passe. La liberté n'a pas de prix! Même si cette vie, Johanna ne l'avait pas choisie. Elle avait suivi la seule solution qu'on lui avait laissé, et en retirait plus d'agrément qu'une femme rangée.

Elle se souvint d'un brave homme qu'elle avait croisé, un jour, avant cette vie libre qu'elle menait. Un marchand, avec sa charrette rouge, parcourant les routes, jusqu'en bourgogne.
Bel esprit, belle philosophie, et parfois poète. C'est pour rencontrer ce genre de personnes que Johanna battait les routes. Converser avec un bel esprit est rare et cher.
Elle avait le secret espoir d'en rencontrer d'autres, pour le plaisir d'échanger, peut être des ménestrels, ou des poètes, des voyageurs, qui auraient gardé leurs yeux et leur âme d'enfant.
Elle resta assise, là, à profiter du soleil, et du bruit des vagues. Carpe diem.




Melandrine
Mélandrine de bonne heure et de bonne humeur, prépara la p'tiote pour une escapade a la plage...
Il faisait doux en cette journée, la gamine, le chien, déambulaient sur le rivage, Mel songeuse, regardait vers le large.....
Les souvenirs, du passé, lui voilait le visage...!

Mel fouilla dans sa besace et trouva une lettre, un message de son tendre passé!

Paroles sous la lune, d'une mésange a une hirondelle....!

Au détour d'un chemin, un sourire et un regard bouleversé
Paroles, promesse jamais oubliées
Les oiseaux pourtant se sont envolés
Mais jamais ne se sont égarés
Et la terre ne s’est point arrêtée de tourner
T’ai-je à nouveau aperçu dans l’œil de l’été
Du printemps, dans un champ d’écoliers ?
Bien des feuilles ont chanté, les saisons sont tombées
Mais en vérité, souvent tu m’as manquée
Parfois, face au soleil, enveloppé de clarté
Vient s’éveiller sur mes lèvres comme un goût sucré,
Saveur, caresse que je ne peux effacer
Deux enfants qui se souriaient !
Temps suspendu, figé
La douceur de ta main
Désormais résignée, à ne point se lever
Mon cœur tape toujours le sais-tu ma divine
Qu'importe nos devenirs
De quel matière sera l'avenir
Ton prénom je me souviendrais, Mélandrine....


Mel songeuse, assise sur la plage, ramène les nuages, au plus profond de ses yeux.....
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Evanne
Evanne arriva à la plage, quelques personnes étaient là... elle chercha du regard et apperçu la Puce qui s'en donnait à coeur joie avec Briscard, elle se dirigea vers eux...

Tu vas attraper froid la Puce...viens ici et ramène le chien aussi

La blonde s'approcha de Mel afin de lui demander si elle avait choisi un prénom pour la gamine

Bonjour Mel, je ne vous ai pas entendu partir ce matin... ah tant que j'y pense il faudrait donner un prénom à la gamine... on ne va pas l'appeler Puce toute sa vie...
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Melandrine
Mélandrine vit arriver, sa cousine accompagnée de la gamine et du chien...trempé!

Bonjour Mel, je ne vous ai pas entendu partir ce matin... ah tant que j'y pense il faudrait donner un prénom à la gamine... on ne va pas l'appeler Puce toute sa vie...


Mel se leva, regarda Eva, puis la p'tiote, avec un sourire...

" Oui, tu as raison, j'y ai déjà pensé...!"

Se retournant vers la gamine, et la regardant d'un air attendrissant....

" La puce, que penses-tu de, Flore, c'est un joli prénom, il symbolise, le renouveau, le printemps, les fleurs dans les champs, et tu es la plus belle chose, qui me soit arrivé.....!"

La gamine eu un hochement de tête, et un joli sourire illumina sa bouille, cela voulait dire que, oui elle acceptait......
"Et bien damoiselle Flore, rentrons a la maison.....!"
Tout ce petit monde quitta la plage, prit le chemin, vers le port, et le village.
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Akashia
Akashia marchait tranquillement sur la plage ... regardant l'horizon en cette belle journée automnale. Bientôt il lui faudrait reprendre la mer. Bientôt il chercherai à nouveau à atteindre l'horizon lui paraissant si loin même si inaccessible !

Il se dit que quand on l'atteint ... on atteint la fin du monde et qu'on tombe dans les abysses !
Il n'avait pas encore du aller assez loin pour atteindre ce point !

Comme toujours il était impatient de reprendre la mer ... Néanmoins il reviendrait avec plaisir pour avoir rencontré des gens vraiment agréables ... et une sirène tout ce qu'il y avait d'hypnotisant !

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A vaincre sans peril ... On triomphe sans gloire ...

Oderint Dum Metuant
Morganenn
Assise sur le dos de sa jument elle longeait la mer qui de temps à autre venait taquiner les paturons de sa monture. C'était la première fois que Prunelle goûtait à la morsure de l'eau glacée et se laissant parfois surprendre elle s'échappait par un brusque pas de coté. Sa main gantée flatta son encolure pour l'encourager et la rassurer, il fallait être patient.
Ses émeraudes balayèrent l'étendue de sable, viendra-t-il ? Ne viendra-t-il pas ? Elle se pinça les lèvres, elle devait être folle d'être venue jusqu'ici et en plus elle se retrouvait avec une dette de noisette sur le dos et un jupon souiller, pour sur cette fois elle allait le s...aaaaah, son buste partis en avant les mains entraînées par les rênes elles-même entraînées par un violent coup de tête de sa jument.

-tu vas pas t'y mettre non plus ho !

Et elle continua sa promenade le long de la plage.
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