Arthur_de_troy
Elle était là. A Montpellier sentend parce que sinon il ne lavait pas juste sous le nez. Lauvergnat faisait leffort depuis quil avait reçu cette lettre de sortir de sa tanière et daller en taverne. Bon pas nimporte laquelle bien sûr ! Celle de Gabrielle. Mais le joli minois roux quil voulait voir ne passait pas la porte. Alors finalement, il ne put que baisser les bras, car les gens qui venaient le saluer lennuyaient profondément. Elle avait écrit quelle serait surement plus souvent à la plage ou
Où ça dailleurs ? Arthur vérifia la lettre. La place du village ! Mais il nétait pas fifou lanimal ! Il savait très bien que fatalement en tant que jeune femme surement toute romantique et rêveuse, ben y avait de grande chance quelle traine à la plage.
Et elle était là. Bien sous son nez cette fois-ci. Avec son cheval à lui Leur cheval. Le sien à elle maintenant. Pour plus de sureté le jeune seigneur avait laissé le sien dans les écuries de sa grandeur. Cest quil y tenait à sa nouvelle bête, il avait vaincu, et était devenu Champion sur la lice Saint Antoine avec Roentgen ! Et si certains vantards oubliaient la part du cheval dans leurs victoires, lui était conscient que son destrier lavait mené à la victoire en agissant parfaitement bien, répondant au moindre coup de talon, ne fuyant pas la rencontre, gardant un rythme régulier, et surtout ne cherchant pas lui-même à désarçonner son cavalier.
Mais comme vous navez surement rien à faire de léloge du cheval, retournons à nos moutons. Le blondinet aurait bien voulu ne pas faire de bruit, et pouvoir attaquer dans les règles la rouquine, mais à chaque pas le sable bruissait trop. Bientôt la rousse impatiente se leva commençant à déambuler, son regard balaya la plage, il crut un instant quelle allait le voir, mais elle regarda partout sauf dans sa direction. Alors, pendant quelle bataillait avec la jument, le garçon sélança en courant vers la jeune femme. Et dès quil fut à portée doreille, avant quelle ne soit alarmée par le bruit de ses pas galopants dans le sable, il ajouta la surprise.
YYYYYYYYYYYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH SUS A LENVAHISSEUR !
Oui certes c'était malin, le cheval moitié effrayé tirait que le diable sur ses rênes, mais bon, ça évitait l'arrivée toute mièvre. Le blond vint au secourt de la rousse, attrapant les rênes, et caressant doucement l'encolure de l'animal.
Chuuut, tout va bien ooooooooh ooooooooooooh. Voilà, c'est bien mémère. Alors il t'a manqué ton papa ? Elle est gentille la méchante rouquine avec toi ?
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Et elle était là. Bien sous son nez cette fois-ci. Avec son cheval à lui Leur cheval. Le sien à elle maintenant. Pour plus de sureté le jeune seigneur avait laissé le sien dans les écuries de sa grandeur. Cest quil y tenait à sa nouvelle bête, il avait vaincu, et était devenu Champion sur la lice Saint Antoine avec Roentgen ! Et si certains vantards oubliaient la part du cheval dans leurs victoires, lui était conscient que son destrier lavait mené à la victoire en agissant parfaitement bien, répondant au moindre coup de talon, ne fuyant pas la rencontre, gardant un rythme régulier, et surtout ne cherchant pas lui-même à désarçonner son cavalier.
Mais comme vous navez surement rien à faire de léloge du cheval, retournons à nos moutons. Le blondinet aurait bien voulu ne pas faire de bruit, et pouvoir attaquer dans les règles la rouquine, mais à chaque pas le sable bruissait trop. Bientôt la rousse impatiente se leva commençant à déambuler, son regard balaya la plage, il crut un instant quelle allait le voir, mais elle regarda partout sauf dans sa direction. Alors, pendant quelle bataillait avec la jument, le garçon sélança en courant vers la jeune femme. Et dès quil fut à portée doreille, avant quelle ne soit alarmée par le bruit de ses pas galopants dans le sable, il ajouta la surprise.
YYYYYYYYYYYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH SUS A LENVAHISSEUR !
Oui certes c'était malin, le cheval moitié effrayé tirait que le diable sur ses rênes, mais bon, ça évitait l'arrivée toute mièvre. Le blond vint au secourt de la rousse, attrapant les rênes, et caressant doucement l'encolure de l'animal.
Chuuut, tout va bien ooooooooh ooooooooooooh. Voilà, c'est bien mémère. Alors il t'a manqué ton papa ? Elle est gentille la méchante rouquine avec toi ?
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