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[RP]Plage de Montpellier.

Arthur_de_troy
Elle était là. A Montpellier s’entend parce que sinon il ne l’avait pas juste sous le nez. L’auvergnat faisait l’effort depuis qu’il avait reçu cette lettre de sortir de sa tanière et d’aller en taverne. Bon pas n’importe laquelle bien sûr ! Celle de Gabrielle. Mais le joli minois roux qu’il voulait voir ne passait pas la porte. Alors finalement, il ne put que baisser les bras, car les gens qui venaient le saluer l’ennuyaient profondément. Elle avait écrit qu’elle serait surement plus souvent à la plage ou… Où ça d’ailleurs ? Arthur vérifia la lettre. La place du village ! Mais il n’était pas fifou l’animal ! Il savait très bien que fatalement en tant que jeune femme surement toute romantique et rêveuse, ben y avait de grande chance qu’elle traine à la plage.

Et elle était là. Bien sous son nez cette fois-ci. Avec son cheval à lui… Leur cheval. Le sien à elle maintenant. Pour plus de sureté le jeune seigneur avait laissé le sien dans les écuries de sa grandeur. C’est qu’il y tenait à sa nouvelle bête, il avait vaincu, et était devenu Champion sur la lice Saint Antoine avec Roentgen ! Et si certains vantards oubliaient la part du cheval dans leurs victoires, lui était conscient que son destrier l’avait mené à la victoire en agissant parfaitement bien, répondant au moindre coup de talon, ne fuyant pas la rencontre, gardant un rythme régulier, et surtout ne cherchant pas lui-même à désarçonner son cavalier.

Mais comme vous n’avez surement rien à faire de l’éloge du cheval, retournons à nos moutons. Le blondinet aurait bien voulu ne pas faire de bruit, et pouvoir attaquer dans les règles la rouquine, mais à chaque pas le sable bruissait trop. Bientôt la rousse impatiente se leva commençant à déambuler, son regard balaya la plage, il crut un instant qu’elle allait le voir, mais elle regarda partout sauf dans sa direction. Alors, pendant qu’elle bataillait avec la jument, le garçon s’élança en courant vers la jeune femme. Et dès qu’il fut à portée d’oreille, avant qu’elle ne soit alarmée par le bruit de ses pas galopants dans le sable, il ajouta la surprise.


YYYYYYYYYYYAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA
AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH SUS A L’ENVAHISSEUR !


Oui certes c'était malin, le cheval moitié effrayé tirait que le diable sur ses rênes, mais bon, ça évitait l'arrivée toute mièvre. Le blond vint au secourt de la rousse, attrapant les rênes, et caressant doucement l'encolure de l'animal.

Chuuut, tout va bien ooooooooh ooooooooooooh. Voilà, c'est bien mémère. Alors il t'a manqué ton papa ? Elle est gentille la méchante rouquine avec toi ?
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Morganenn
Sa monture semblait être revenue au calme et elle put tranquillement continuer à profiter de l'air marin Oui Mais, parce que c'est toujours au moment où tu crois que tu va pouvoir prendre ton pied tranquille qu'il se passe un truc. Un truc un peu comme ça en fait...

Elle n'eut pas le temps de réaliser ce qui était en train de se passer, il lui semblait avoir entendu un hurlement barbare puis les choses avaient été très vite son cheval prit, et à juste titre, de panique s'était mis à tirer comme un diable sur les rênes auxquelles elle s'accrochait fermement et suivait les douloureux mouvements. Et puis tout d'un coup la tempête s'arrêta, une vague de chaleur lui monta à la tête et sa vue se troubla, était-ce la fin ? A coup sur elle venait de se faire poutrer par une armée de viking en furie nourris exclusivement au yogurt pendant des semaines.

Quand elle reprit connaissance elle était avachie sur sa monture et sa tête lui tournait affreusement. Elle tourna la tête et eut la vision d'un ange, en fait elle était complètement sonnée mais dans l'état actuel elle n'en avait pas tellement conscience. Elle sourit un peu béatement et demanda innocemment,

-On s'connait non ?
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Keliade
En se beau matin ensoleillé,


je me levai de mon lit afin de tenir ma promesse à Tara d’allez à la plage afin qu’elle comprenne pourquoi, je trouve se lieu si magnifique, puis en me rappelant son beau sourire angélique.

Je m’enfila une tenu de convenance avec le temps qui était plutôt doux avec un léger vent de littorale quelques nuage blanc survolé le ciel , mais rien de vraiment soucieux .

Je pris mon bâton de marche et un panier en osier remplis de deux beau poisson cuit à la cheminé par mes soin et deux belles miche de pain avec une motte de beurre et un bon morceau fromage de chèvre quelques Noix de cajou, avec une grappe de raisin noir ainsi que deux bouteille de lait, des chopes et assiette et couverts.

Mettant une belle Nappe à carreau rouge et blanche dans le panier en osier puis je filai de la maison, allant cherché Tara chez les Darc.

J’attendis quelques temps devant l’auberge que Tara vienne me rejoindre puis je l’aperçus a la porte, je lui fit une bise sur la joue afin de la saluer, elle me demanda si comment j’allais toute radieuse de son beau sourire, je lui répondis que j’allais à merveille que le temps nous étais clément , elle me demanda se que j’avais dans mon panier , je lui répondis que s’était une surprise et qu’elle verrais bien cela quand le soleil serais au zénith et puis toute en discutant nous nous dirigions vers la plage elle me tenez bras toute joyeuse , elle était toute bien vêtu et guillerette , Nous passions donc dans les rue qui descendais vers le bord de plage , plus on descendais et plus le parfum unique et iodé de la mer nous enivra .



Enfin nous arrivions donc devant la mer, le rivage était magnifique des mouettes était entrain de voler ensemble dans le ciel à crier après le poisson, un vent délicat nous caressé le visage, le sable était d’une fine apparence les rochers qui faisait face à la mer était d’une forme particulièrement unique chaque partie des roches était comme des habitations pour toute ses petite créature qui si accrocher chaque rocher me faisait pensé à plusieurs petit monde à par entière accroché l’un l’autre vraiment magique .




J’étais heureux de partager cette Vu avec Tara qui avez un regard vraiment épanouissant en voyant tous cela, elle demanda si s’était sa la mer, je lui dis que oui, elle avança mettant ses mains dans le sable pour en savourer la texture elle regarde de partout l’air étonné et vraiment je ne l’avais jamais vu si heureuse et souriante depuis que je la connaissais.


Le soleil nous réchauffer le nez et le visage toute en ayant des petits courant d’air maritime, nous commencions donc à s’avancer devant cette grande étendu d’eau notre regard essayer de perçai le plus loin possible l’horizon le soleil donné mille paillette étincelante sur l’eau nous somme resté comme cela pendant longtemps comme si le temps s’arrêter , elle était devenu très pensive le regard fixe et puis nous nous somme promener tous les deux à coté de l’eau en écoutant les flux et reflux de la mer qui chanté dans nos oreilles toute émerveillé Tara me regardai de temps à autres toute silencieuse nous marchions vers le sillage .


Nous nous approchions du monticule de roche qui formé comme des petites montagnes, et toute montagne donne l’envi d’atteindre son sommet donc je lui proposai d’allez escalader les rocher afin de se trouver le petit coin ou je voulais l’emmener elle était d’accord en me disant que j’étais son guide dans se merveilleux paysage toujours avec ses belle étoiles les yeux.


J’étais vraiment dans un état de bien-être intérieur en compagnie de mon amie. Escaladée une roche puis lui donnais les mains à chaque fois afin de l’assurer pour évité qu’elle ne tombe, nous arrivions enfin au sommet près cette petit escapade physique.


Nous avons regardé le rivage nous étions encore plus éblouis par ce paysage à coupez le souffle à cette hauteur ont pouvais distinguée encore plus les petits détails de se rivage quelques Ilots rocailleuse sortait de l’eau qui ressemblez à des têtes de loin.

J’étais comme en plein rêve, puis je déclarai à Tara qui était encore très silencieuse certainement entrain d’apprécier et de mémorisé chaque instant elle était belle à voir son visage exprimez son bonheur, ses yeux en disais beaucoup sur sa joie qu’elle avait en se moment, que nous devrions allez rejoindre l’endroit qui se trouver un peu plus bas je pointas l’endroit avec l’index, elle me répondit d’un signe de tête avec un grand sourire , endroit était une sorte de petit crique avec un grand arbre cela se trouvais à quelques mètre de nous alors toute en descendant la pente rocailleuse en surveillant les pas de Tara pour l’aidé en cas de chute , j'aperçu dans un troue d’eau crée par la roche un Crabe de taille moyenne , je l’attrapa par le dos pour le montrer à Tara qui en le voyant a faite une drôle de grimace et des gestes de refus pour que je m’approche d’elle avec cette bestiole bizarroïde , j’avais un grand sourire en lui disant que s’était pas la petit qui va mangez la grande est d’approché pour regarde le crabe que remué les pattes dans tous les sens pas très ravi que je le prenez par le dos , Tara approcha contre bon cœur prenant un peu de courage , et je lui expliquai que les crabes vivait en bord de mer dans des endroit avec peu de passage humain et surtout pour évité toute sorte de prédateur mais que j’en savais pas plus je reposas la créature et Tara se cacha derrière mon dos toute en étant passionné par le crabe, puis nous continuions notre route arborant algue et rocaille afin de rejoindre le milieux de la crique ou il y avait le grand arbre.


Enfin arrivé nous étions un peu fatigué par cette marche en terrain naturel, je proposai à Tara de ce s’installer ici pour mangez il avait une belle hauteur avec une belle vu surplombante de toute la crique et de la mer , je dressa la nappe juste a coté de l’arbre ou il avait un petit terrassement d’herbe , puis en mettant le panier en milieux sortant les fruit , le fromage , les deux poisson cuit , les deux bouteille de lait et le reste en les étalant sur la nappe je servis un verre de lait a Tara et moi-même afin de trinquer avec .

Sirotant notre Lait et en mangeant les victuailles, je les expliquais que je venais souvent ici, le matin afin de dessiner où même écrire elle me répondit que s’était vraiment splendide.

Toute en continuant notre pique nique nous discutions de tous et de rien.

Juste être la tous les deux seul devant la Mer, le chant des mouettes et
autre volatile et les éléments.



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Arthur_de_troy
S’ils se connaissaient ? C’était une blague ? Oui, ça devait être ça… Le mélange entre humour et séduction, le truc vieux comme le monde, que des hommes n’hésitaient pas à ressortir à tout va. Bien sur Morganenn était du genre à oser des choses comme ça, une sorte de vatferfout’ aux idées reçues, pas du tout dans le but de draguer en mode relou, of course ! Mais elle n’avait pas le regard de défi et de taquinerie, qui était le sien quand elle était en mode vatferfout’… Non elle avait l’air totalement à l’ouest. Il était évident qu’elle avait dut être surprise de façon tellement violente et au cours d’une réflexion tellement profonde, qu’elle était dans le même état qu’on se trouve au réveil quand on t’arrache, sans ménagement, de tes rêves en plein sommeil profond.

Refoulant le traditionnel « et ta mère tu la connais ? », un sourire s’élargit doucement sur ses lèvres, un peu ému par son charme innocent du moment, et elle eut donc le droit à une entrée en matière moins agressive.


Huhum ! Tout le monde me connait ! Je suis Dieu ! Mais pour toi ça sera Thur.

Le regard est joueur, le sourire amusé, les mains toujours sur l’encolure de l’animal.

Et si tu te poses la question, toi tu es l'hérétique, qui a volé à Dieu son cheval !
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Morganenn
Les paroles de l'ange blond résonnaient dans son esprit il était question de Dieu et de Thur tiens ce nom là ne lui était pas totalement inconnu et puis d'hérétique et de vole de cheval. Soudain ses idées se remirent en place et les vapeurs de l'évanouissement passé s'estompèrent enfin. Elle ne connaissais qu'une personne pour imaginer des coups pareils, mis à part elle-même : Lui. Il était venu, peut être pas exactement de la manière qu'elle espérait mais il était là et plus rien n'avait d'importance. Son regard alla du blond à la mer et de la mer au blond avant de lâcher d'un ton narquois,

-Je ne t'ai pas volé ton cheval tu me l'as offert en dédommagement, tu te souviens ou tu as besoin que je te rafraîchisse les idées ?

L'innocence laissa place à son humeur espiègle, enfin pour quelques instants seulement. Elle descendit prestement de sa monture et se campa face à lui les poings remontés sur les hanches.

-Tu es un grand malade ! Mèrda! Tu m'as flanqué une de ces frayeurs ! J'aurai pu tomber et me faire mal ! Brute ! Orsa* ! Pantés** !


Il y a des moment comme ça où elle aimerait l'empailler sur place, mais elle laissait toujours ses émotions guider ses faits et geste et il fallait bien avouer qu'elle était vachement contente de le voir le bougre ! Et sans plus chercher à se maîtriser elle s’élança vers lui et l'étreignit assez fermement en veillant tout de même à ne pas l'étouffer. Puis elle desserra l'étau de ses bras et se recula d'un pas.

-Je suis quand même contente que tu es pu venir ! Je trouvais que ça faisait un petit moment qu'on ne s'était pas retrouvé pour une journée.





*Ours
**Rustre

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Opaline.
(Une nuit comme une autre...)

Elle avait tellement tourné dans les rues de Montpellier qu’elle ne savait plus ou se trouvait le lieu ou dormait Carla. Impossible de retrouver pour la blondinette qui n’avait aucun sens de l’orientation. Cela lui avait changé de Castillon. Ici il y avait toujours du monde.. les rues grouillées de gens et parfois elle avait pas fait la fière se faisant discrète et passant rapidement malgré la presence du chien qui la suit tout le temps depuis qu'elle a quitté Nimes.

C’est alors que la nuit se fait plus sombre qu’elle arrive sur la plage. Seules un quart de lune et quelques etoiles parfois cachées par des nuages lui permettent de voir. Le vent est froid mais elle ne le sent pas. Quelques pas de plus et elle se dirige vers une souche qui lui fera un abri pour les quelques heures qu’elle avait besoin pour dormir et récupérer un peu.

Elle est épuisée et elle se laisse tomber sur le sable froid, se met en boule la tête posée sur sa besace et enfin s’endort, les larmes coulant sur ses joues comme a chaque fois depuis qu'elle a appris pour son frere. Si la journée elle arrive a contenir son chagrin et a faire semblant que tout va. La nuit, elle en est incapable. Elle sombre dans l’oubli le temps de quelques heures. Le chien est allongé pas loin comme a son habitude…veillant sur la blondinette.
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Keliade
je me promener un peu sur la plage voyant le ciel couvert de nuage qui allez sans doute annoncer une pluie passagère , je m'installe sur un petit rocher , en contemplant le rivage qui reflet le ciel nuage , quelques agitation se faisait voir par la petite brise du littorale caresser mon visage , il faisait un peu froid cela dit. Je voyais quelque navire de pêche qui revenait avec mal au port , leur voile deviné le remue des vagues, les mouettes les survoler essayant de voler le poisson du bateau , des marins faisait des grand signe afin de les faire fuir. Très drôle à voir les mouettes crié tellement fort qu'on entendez même plus le bruit des vagues , journée très agité à première vue je resta quelques heure à rêvasser sur mon rocher , à penser à l’humanité quelques imaginations sur l'eau .



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Melandrine
Une promenade sur la plage, suivant le rivage, Mel, relisait, au son des vagues, une ancienne missive, qu'un jour elle reçu.....

A toi....

Tu as éclairé ma vie,
Mon amour pour toi a grandi,
Notre entente était presque parfaite,
Nos jours étaient des fêtes,
Puis un jour la maladie,
Notre pire ennemie,
Entre nous s'est immiscée,
Nous n'avons pas su l'apprivoiser,
Chacun à notre manière,
Nous avons mis des barrières,
Pourtant nos sentiments,
Etaient bien présents...
Nous nous sommes fait souffrir,
Avons oublié nos rires,
Oublié ce lien si fort,
Qui nous uni encore,
Certes si différent,
Mais dans ce tourment,
Et malgré les reproches,
Nous restons proches,
Tes sentiments ont changés,
Les miens sont restés,
Je sais qu'il est trop tard,
Je suis dans le brouillard...
Je me suis renfermée,
Je me suis cloitrée,
Et je t'ai entrainé,
Je t'ai enchaîné...
J'essaie de trouver le courage,
De tourner la page,
Mais tu sais ce que renferme mon coeur,
Souvenirs de bonheur...
Et pour moi à jamais,
Le verbe aimer,
Même s'il a plusieurs temps,
Se conjuguera au présent...


Pas de signature au bas de ce vélin, mais elle savait bien sa provenance,
Mélandrine sur la plage, a fait couler ses larmes tout au long du rivage...

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Mordric
Foutu sable.
C'était toujours la même chose avec lui, il s'engouffrait dans les moindres recoins et démangeait pendant des heures.
Foutu sable.
Ce matin là, il était glacé et même le tissu épais de ses bottes ne suffisait à l'empêcher d'avoir froid.
Foutues bottes.
Elles avaient perdu de leurs superbe. Le rouge ne flamboyait plus, il était devenu terne.
Foutu terne.
Il s'était répandu. Des bottes au chapeau. Des vêtements au coeur. Du coeur à l'âme.
Foutue âme.
A croire qu'il s'en était découvert une durant son errance.
Foutue errance.
De longs mois jours, puis de longues semaines pour finir en de longs mois, si ce n'est plus.
Foutu temps.
A en croire la lettre serrée en son poing, tout avait changé.
Foutu changement.
Où était sa place maintenant...
Foutu lui.
Assis sur le sable, à lire et relire cette lettre; ces mots couchés sur le vélin par une Comtessa délaissée.
Foutu lui.
Il répondrait plus tard. Pour le moment, il regardait la mer. Pour le moment, il réfléchissait.

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Melandrine
Une balade au port, on descend vers la plage, on s'assoit, se mettant a l'abri du vent froid.....Mel ouvre son livre.....
Histoire de marin....

Un soir de tempête son bateau chavira et dans la mer, il disparut
On le chercha durant des mois, mais en vain.

Jusqu'au jour où on le vit, assis sur un banc dans un jardin.
Les gens s'approchèrent de lui hésitants, n'en croyant pas leur yeux. Tous posèrent des questions, voulant savoir où il était tout ce temps.

Alors, il se mit à leur raconter ce qu'il lui était arrivé.
Une jolie sirène lui sauva la vie et l'amena au fond des mers pour en faire son prisonnier.

Il traînait ses lourdes chaînes désespérément au fond des océans jusqu'au jour où!

Le géant des mers le libéra, mais à une condition.

Les gens s'en approchèrent et il leur dit, ne me touchez pas si non vous mourrez. Un homme s'approcha en se moquant et dès qu'il eut mis la main sur son épaule, il succomba.

Alors, le marin se leva et emporta l'homme sous son bras et disparut dans la mer.

La légende veut, que chaque jour, il devait ramener au géant une âme incrédule en compensation.

Seule condition, pour sa liberté.


Mel referma le livre, puis reprit sa promenade.....
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Isleen
La plage, étendue sableuse parsemée ça et là de rochers qu’on pourrait penser, amenés là par les flots, des flots qui furent surement un jour rapides, vivants, agités, des flots tels les mers d’Irlande, plus rien à voir avec le tout petit qui s’agite là sur cette plage. Dans un coin plus isolé de celle ci, éloigné de la ville, en contre bas des quelques maisonnettes qui la surplombent non loin de la maisonnette de l’Irlandaise, l’Irlandaise justement, assise en tailleur, près du feu qu’elle vient de faire, le regard posé sur la mer, les mains à plat sur le sable.

C’est la troisième journée qu’elle passe à pêcher, la troisième assise au bord de l’eau ainsi, la troisième à manger une partie du produit de sa pêche, à le faire griller ainsi, la troisième a essayer de trouver une solution à ce qui lui fait mal, mais tout bonnement à ne pas y parvenir, tout juste trouve-t-elle un peu de calme, de sérénité en essayant de faire le vide, en laissant son esprit aller sur l’eau, au fil du léger flux et reflux. Le vide n’est jamais total, mais elle s’y essaye, trouver un apaisement pour un temps, à peine une journée, et avec la nuit les démons reviennent, la colère, la peine…

A fleur de peau, voilà ce qu’elle est, ces derniers temps, et la situation empire de jour en jour, elle le sent, le sait, au fur et à mesure de l’arrivée des fêtes, il lui suffit de plus en plus d’un rien pour exploser. Ca lui opprime le cœur, presque constamment, à un moment tout va bien, détendue, joyeuse, et l’instant d’après un vrai volcan en éruption, il lui en faut si peu que ça en devient éprouvant pour elle, pour son entourage. Par tous les Dieux comme elle déteste cette période…

Ne pas y penser, elle ne doit plus y penser…après tout ce temps ça ne devrait pourtant pas lui faire si mal, elle devrait y être habitué, mais voilà non, toujours pas. Soupire, mains qui se plongent un peu plus dans le sable, qui remontent le laissant couler autour en fine pluie, "ne pense plus, ne pense plus… " Peine perdue, ça revient encore, et lui creuse de petites rides sur le haut du front, lui crispe le corps, les muscles se nouent, le volcan menace a nouveau. "Respire Isleen, respire calme toi, tu dois absolument te reprendre, pense à autre chose …." Esquisse d’un léger sourire, la première pensée qui lui vient, un géant et ses mèches blonds wiking, Osfrid, son danois…l’esprit s’apaise un peu, se calme, puis s’agitent à nouveau au rythme du cœur qui s’emballe. La rouquine pense trop, beaucoup trop. Soupire, c’est à elle de faire l’effort, de se contrôler, elle doit s’arrêter d’être ainsi, de menacer d’exploser pour un oui un non, même si c’est en partie inhérent à son caractère. Elle devrait se mettre à l’écart un peu, quelques temps, pour leur éviter ses sautes d’humeur, lui éviter ça, mais voilà elle n’en a pas la volonté, et assurément pas la force, pour autant elle doit prendre sur elle, stopper cela, absolument, il a beau lui dire qu’il s’accommodera de son sale caractère, un jour il finira vraiment par l’étriper quand d’un coup d’un seul sans comprendre, elle s’énervera, s’emportera après lui. Elle ne peut continuer ainsi, rajouter aux inquiétudes qu’il a déjà pour sa famille, il a déjà bien assez à faire, sans qu’elle ne lui en rajoute une couche.

L’irlandaise se lève d’un coup d’un seul, ôte ses bottes, ses bas, laisse tomber la cape de ses épaules, s’avance vers l’eau, rien n’a craindre pour ses braies ou sa chemise, elle n’y mettra que les orteils. En attendant, le regard sur l’horizon, respirer et faire le vide, essayer encore…

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Sheba93
Dans une ville qui n'est pas la leur, Sheba se promène sur cette plage ses doigts enlacés à ceux de Glen. La neige recouvre la plage. Le vent froid joue avec cheveux. Elle a le coeur léger, elle est heureuse en sa compagnie. Elle lève son visage vers le soleil qui arrive à peine à les réchauffer. C'est un sourire aux lèvres que Sheba imagine cette meme plage en plein été...

En hiver sur la plage
La neige couvre le rivage
Le ciel plein de gros nuages
Oubliez le bronzage !

En hiver sur la plage
Pas de ballons, pas de nage
Pas de châteaux, pas de murage
Fini les enfantillages !

En hiver sur la plage
Il y a peu de batifolages
Evitons l’effeuillage
Le temps de l’hivernage

En hiver sur la plage
Pas de jeux, pas de badinages
Pas de pique-niques, pas de grignotages
Rentrons à l’ermitage


Ne pouvant y résister plus longtemps, elle ota ses bottes et malgré la froideur de l'eau elle s'avance dans la mer pour y baigner ses pieds. Elle relève son manteau pour ne pas le mouiller et commence à jouer dans les vagues. Doucement au début, c'est la première fois après tout qu'elle est au bord de la mer...

S'enhardissant un peu, et comme elle ne ressentait plus le froid de l'eau elle sauta par dessus quelques vagues, puis appela Glen pour qu'il la rejoigne avant d'aller un peu plus loin, l'eau lui arrivait maintenant juste au dessus du genou. Sheba fut alors surprise par une vague un peu plus forte qui la destabilisa et.... se retrouva avec de l'eau jusqu'au cou. Elle resta un moment figee la, à ne pas savoir quoi faire. Puis avec le froid qui envahissait son corps...


Au secours!!!!

Elle se releva d'un coup. Son manteau alourdit par l'eau la fit trebucher alors qu'elle remontait vers la plage pour rejoindre Glen. C'est tremblante de froid, et avec un claquement de dents qu'elle lui demande:

Ononon renrenrentre, monmonmon Amour?
Puigaubert


[ A Montpellier fin en Decembre 1460, per una jornada assolejada ]

La matinada del ros èra passat rapidament, arribat aquel jorn a Montpellier, aviá aprofechat la jornada per anar a se passejar e visitar un pauc la vila. Aital, aquela matinada fresca e asolejada lo jove se dirigiguèt cap a una tavèrna, la primièra que vegèt, de tot biais, lo nom de la tavèrna aviá pas importància doncas que brilhavan totas per la vida que i regnava.

Restant qualque temps per se servir unes veires se n'anèt alavetz al mercat, ont trobèt quicòm per s'alimentar un pauc, de contunh, faguèt pichon torn rapida per la vila, e de contunh, direccion las plajas...

L'aire èra fresc e lo cèl blau, semiat de qualques nívols. Qualques bohadas de vent fasián revolotejar la cabeladura rossa del jove òme.

Fin finala la mar li apareguèt e un immens sorire apareguèt sus los sieus pòts quand vegèt la immensitat d'aiga, un normand coma se deu pòt pas èsser luènh de la mar o de la ocean; Puig se afanyar a retirar las siás bòtas per caminar amb los pès nuses lentament sul sable, en apreciant sentir aquel tapís en se movent jos los sieus pès e en l'obligant a forçar per avançar e s'aluenhar d'ailà ont las gents i va, e pensèt que malgrat en essent l'ivèrn e que i aviá nèu par tot arreu, l'aiga èra cauda en comparason a l'aiga al nòrd.

En un canton tranquil un vièlh soc per protegir las questions, garda a l'entorn d'el... Degun... E se despolha per se #banhar. Passa una longa estona en nadant contra corrent entre las ondas e en se daissant portar sus la plaja en fasent la planxa, en s'immergint jos l' aiga en cercant cloïsses... Abans de tornar agotat. L'aiga èra un pauc freda mas pas tròp. El se seca, escorre los sieus pels e se met contra lo soc restant ailà, l'agach perdut sus l'orizont.

Las siás pensadas plan luènh d'aicí cap a la siá familha e los sieus amics, cap a las gents qu'a crosat e qu'el veura benlèu mai endavant. El pensa en daissant lo sable fluir entre los sieus dits, e lo vent leugièr la seca


[ À Montpellier fin Décembre 1460, par une journée ensoleillée ]

La matinée du blond était passée vite, arrivé ce jour à Montpellier, avait profité de la journée pour aller se balader et visiter un peu la ville. Ainsi, c'est par une matinée fraîche et ensoleillée que el jeune homme se dirigea vers une taverne, la première qu'il vit, et de toute façon, le nom de la taverne n'avait que peu d'importance puisqu'elles brillaient toutes par le vie qui y régnait.

Restant quelque temps à se servir des verres il s'en alla alors au marché, où il trouva de quoi se sustenter un brin, puis, faire petit tour rapid par la ville, et puis direction les plages...

L'air y était frais mais le ciel était bleu, parsemé de quelques nuages. Quelques rafales de vent faisaient virevolter la chevelure blonde du jeune homme.

Enfin la mer lui apparait et un immense sourire nait sur ses lévres quand il voit l'immensité d'eau, un normand comme il faut ne peut pas être loin du mer ou l'océan; Puig s'empresse de retirer ses bottes pour marcher pieds nus lentement sur le sable, apprecie de sentir ce tapis mouvant sous ses pieds l'obligeant a forcer pour avancer et s'eloigner de là ou les gens vont, et pensa que même si c'était l'hiver et il y avait de niege partout, l'eau était chaude par rapport à l'eau au nord.

Un coin tranquille une vieille souche pour proteger les affaires, il regarde autour de lui... Personne... et de se deshabiller pour aller se baigner. Il passera un long moment a nager a contre courant dans les vagues et pour se laisser ramener sur la plage en faisant la planche, à plonger sous l'eau a la recherche de coquillages... avant de revenir epuisé. L'eau était un peu froide mais pas trop. Il s'essuye, essore ses cheveux et se pose contre la souche en restant là, le regard perdu sur l'horizon.

Ses pensées bien loin d'ici vers sa famille et ses amis, vers les gens qu'il a croisé et qu'il reverra peut être plus. Il y pense laissant le sable couler entre ses doigts, et le vent leger le seche.
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