Erwelyn
Na mais cest pas possible, il avait gobé ça le vieux ! Était-il assez idiot pour croire que Lynette navait jamais eu loccasion de goûter aux plaisirs charnels ? De penser quaucun homme navait jamais posé la main sur elle ?
Ah ben oui, il létait, tiens
En plus, elle sentait de plus en plus son intérêt grandissant pour la chose et la révélation que la mainoise venait de faire. Fianchtre, voilà bien une tournure quelle navait pas prévu. Le bourguignon ne semblait même plus simuler une quelconque envie, voilà quil se prenait au jeu !
Du côté de Lynette, cétait la débandade, si je puis dire. La châtain foncée mais non elle est pas blonde se liquéfiait sur place, tétanisée par le corps du Duc qui se rapprochait de plus en plus, jusquà sentir son souffle tout contre son cou. Alors quil partait dans une série de léchouilles dont son oreille mettrait beaucoup de temps à se remettre, elle essaya de reprendre ses esprits et de réfléchir posément à la situation présente.
Bon, lannonce de sa viergitude lavait tout simplement émoustillé, le vieux. Mauvais plan Lynette. Elle ne pouvait quand même pas songer à aller jusquau bout là. Dune parce que le corps plaqué contre le sien ne lui provoquait aucune envie. Et de deux ben y avait pas de deux en fait, elle avait pas envie de lui épicétou. Cétait quand même pas à son âge quon allait la forcer à senvoyer en lair avec lhomme quelle piffrait le moins non !
Grimaçant, elle réussit à glisser ses mains sur son torse et le pousser quelque peu. Mais vu son poids et létat de santé de Lynette depuis sa chute, autant dire quelle ne réussit que peu à le repousser.
Il avait parlé de crainte, mais cétait évident quune jeune ahem vierge devait mourir de trouille lorsquelle perdait son hyménée ! Fin, cétait loin là, pour elle, mais sûrement ne devait-elle pas être au mieux de sa forme quand Meiryl et elle sétait laissés aller la première fois
Crainte, crainte mais voyons !
Ouais, cétait peut-être ça la solution Aller Lynette, courage ! Fallait bien ça pour attaquer ce à quoi elle venait de penser.
Zyeux de biches effarouchés, elle papillonna des paupières alors que les lèvres de Vaxilart se rapprochaient dangereusement des siennes.
Mon cher Duc, il est évident que perdre ma virginité me cause une peur insurmontable ! Voilà donc pourquoi je vous repousse depuis si longtemps.
Faisant fi de la répulsion que lui causait le chambellan pis à force de faire semblant devant les ponettes, elle arrivait presque à faire abstraction de la bile qui lui montait à peine était-elle en sa présence - elle posa ses lèvres sur les siennes, lui mordillant, prolongeant le baiser et essayant dy mettre un minimum de passion.
Surpris le Duc ? Peut-être, peut-être pas, mais elle y comptait franchement. A voir, encore une fois, qui irait le plus loin dans le petit jeu auquel ils sadonnaient depuis quelques semaines.
Vous comprenez que je ne peux décemment me donner à vous dans ce coche. Pas là, pas maintenant, et surtout pas avant notre mariage.
Un nouveau frisson de dégoût lui remonta le long de léchine alors que les mains de Vaxilart descendaient de plus en plus le long de son corps. Peut-être celui-ci serait-il pris pour un semblant dexcitation, mais là elle essayait surtout déviter de lui vomir dessus. Pour une fois quelle lévitait, justement Elle ne pouvait pas non plus empêcher les tremblements de son corps provoqués par la proximité du Duc, et surtout, du petit jeu dans lequel elle sétait embarquée .
Doucement, elle remonta son genou tout contre ses cuisses. Si lidée lui prenait tout de même daller plus loin, elle attaquerait directement à la source, et ça lui passerait lenvie de la faire passer à la casserole pendant un bon moment !
Et dans un souffle quelle bonne comédienne hein ? frottant la joue caressée contre le dos de sa main :
Marions-nous, marions-nous ! Je nattends que ça.
Mais notre première nuit se fera dans une chambrée, après bénédiction de lévêque et avoir prononcé nos vux devant Aristote.
Enfin, elle attrapa sa lèvre du bout de ses dents.
Vous me comprenez, nest-ce pas ? Je sais que vous me comprenez, vous êtes homme de foi, et ne pouvez que respecter votre future femme
Bon, elle jouait quitte ou double là. Le cur battant à tout rompre de ce petit manège complètement inhabituel chez elle, Lynette nespèrerait quune chose : quil enlève enfin ses sales pattes et que le voyage puisse reprendre calmement, les ponettes assisses à ses côtés.
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Ah ben oui, il létait, tiens
En plus, elle sentait de plus en plus son intérêt grandissant pour la chose et la révélation que la mainoise venait de faire. Fianchtre, voilà bien une tournure quelle navait pas prévu. Le bourguignon ne semblait même plus simuler une quelconque envie, voilà quil se prenait au jeu !
Du côté de Lynette, cétait la débandade, si je puis dire. La châtain foncée mais non elle est pas blonde se liquéfiait sur place, tétanisée par le corps du Duc qui se rapprochait de plus en plus, jusquà sentir son souffle tout contre son cou. Alors quil partait dans une série de léchouilles dont son oreille mettrait beaucoup de temps à se remettre, elle essaya de reprendre ses esprits et de réfléchir posément à la situation présente.
Bon, lannonce de sa viergitude lavait tout simplement émoustillé, le vieux. Mauvais plan Lynette. Elle ne pouvait quand même pas songer à aller jusquau bout là. Dune parce que le corps plaqué contre le sien ne lui provoquait aucune envie. Et de deux ben y avait pas de deux en fait, elle avait pas envie de lui épicétou. Cétait quand même pas à son âge quon allait la forcer à senvoyer en lair avec lhomme quelle piffrait le moins non !
Grimaçant, elle réussit à glisser ses mains sur son torse et le pousser quelque peu. Mais vu son poids et létat de santé de Lynette depuis sa chute, autant dire quelle ne réussit que peu à le repousser.
Il avait parlé de crainte, mais cétait évident quune jeune ahem vierge devait mourir de trouille lorsquelle perdait son hyménée ! Fin, cétait loin là, pour elle, mais sûrement ne devait-elle pas être au mieux de sa forme quand Meiryl et elle sétait laissés aller la première fois
Crainte, crainte mais voyons !
Ouais, cétait peut-être ça la solution Aller Lynette, courage ! Fallait bien ça pour attaquer ce à quoi elle venait de penser.
Zyeux de biches effarouchés, elle papillonna des paupières alors que les lèvres de Vaxilart se rapprochaient dangereusement des siennes.
Mon cher Duc, il est évident que perdre ma virginité me cause une peur insurmontable ! Voilà donc pourquoi je vous repousse depuis si longtemps.
Faisant fi de la répulsion que lui causait le chambellan pis à force de faire semblant devant les ponettes, elle arrivait presque à faire abstraction de la bile qui lui montait à peine était-elle en sa présence - elle posa ses lèvres sur les siennes, lui mordillant, prolongeant le baiser et essayant dy mettre un minimum de passion.
Surpris le Duc ? Peut-être, peut-être pas, mais elle y comptait franchement. A voir, encore une fois, qui irait le plus loin dans le petit jeu auquel ils sadonnaient depuis quelques semaines.
Vous comprenez que je ne peux décemment me donner à vous dans ce coche. Pas là, pas maintenant, et surtout pas avant notre mariage.
Un nouveau frisson de dégoût lui remonta le long de léchine alors que les mains de Vaxilart descendaient de plus en plus le long de son corps. Peut-être celui-ci serait-il pris pour un semblant dexcitation, mais là elle essayait surtout déviter de lui vomir dessus. Pour une fois quelle lévitait, justement Elle ne pouvait pas non plus empêcher les tremblements de son corps provoqués par la proximité du Duc, et surtout, du petit jeu dans lequel elle sétait embarquée .
Doucement, elle remonta son genou tout contre ses cuisses. Si lidée lui prenait tout de même daller plus loin, elle attaquerait directement à la source, et ça lui passerait lenvie de la faire passer à la casserole pendant un bon moment !
Et dans un souffle quelle bonne comédienne hein ? frottant la joue caressée contre le dos de sa main :
Marions-nous, marions-nous ! Je nattends que ça.
Mais notre première nuit se fera dans une chambrée, après bénédiction de lévêque et avoir prononcé nos vux devant Aristote.
Enfin, elle attrapa sa lèvre du bout de ses dents.
Vous me comprenez, nest-ce pas ? Je sais que vous me comprenez, vous êtes homme de foi, et ne pouvez que respecter votre future femme
Bon, elle jouait quitte ou double là. Le cur battant à tout rompre de ce petit manège complètement inhabituel chez elle, Lynette nespèrerait quune chose : quil enlève enfin ses sales pattes et que le voyage puisse reprendre calmement, les ponettes assisses à ses côtés.
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