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Info:
Forge et domicile de Ensomulv, son principale lieu de vie à Tarbes.

[RP-IG] Au Loup Ardent (Forge de Ensom Ulv)

Ensomulv




Bienvenu à la Forge "Au Loup Ardent", propriétaire : Ensom Ulv.

Voilà ce que l'on pouvait voir affiché devant cet atelier se trouvant un peu en retrait de la ville. Un petit endroit calme et où semblait régner la paix, entre deux coup de marteau.

Ulv était dans ses plus simples habit de Forgeron, son bouclier était entreposait sur une parois du bâtiment et son épée n'était plus là. L'épée de Ulv, celle qui l'avait si souvent protégé avant qu'il arrive en Béarn, celle qui avait pourfendu moult hérétiques du Lion de Judas pendant cette période sombre de l'Histoire du Béarn. Elle n'était plus là. Pour quelqu'un ayant connu Ulv avant, le voir sans son arme était fort étrange... La vérité était qu'il l'avait donné à l'Ost, il ne la méritait plus, il pensait ne plus la mériter.

Maintenant, ce jeune homme n'avait que deux envi : ne plus se mêler à la politique et vivre en artisan pouvant être utile aux autres. A l'entrée de sa Forge se trouvait une affiche avec une liste de ce qu'il pouvait faire.



  • Liste des Produits Finis :

    • Couteau
    • Seau Cerclé
    • Casque
    • Hache
    • Épée

  • Liste de Produits Intermédiaires :

    • Kilo de fer brut
    • Lame non forgée
    • Lame de hache
    • Lame d'épée
    • Hache non aiguisée
    • Épée non aiguisée

Volontairement, aucun prix n'étaient affiché. Ils dépendaient de la raison de la commande, de la taille de la commande et du commanditaire. Avec où sans commande, Ulv travaillait tous les jours dans son atelier.

Son corps s'était habitué à la chaleur de la Forge, ses yeux s'étaient habitué à la danse des flammes dans le foyer. Inlassablement il façonnait tout ce qu'ils pouvaient, son marteau fessant toujours jaillirent des explosions d'étincelles aux moments où ils frappaient le métal.
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Annamaeva
Anna se rendait au Lac, lorsqu'elle aperçu un jeune travaillant à sa forge, les flammes dansaient tout près de lui...elle l'observa un moment ...
il était absorbait par la lame qu'il façonnait...
Anna s'approcha plus près et osa interpeler l'homme...

Bonjour, je suis Annamaëva, je suis de passage à Tarbes...
pour une semaine environ...ma hache est émoussée...
Auriez-vous le temps de me l'aiguiser???
Combien d'écus vous faudra-t-il???

Anna regarda l'homme en lui souriant...attendant sa réponse...
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Ensomulv
Le marteau continuait frénétiquement à frapper la lame en feu. Ulv n'avait pas entendu la dame entré, ce ne fut qu'après un moment qu'il se rendit compte qu'il n'était pas seul dans sa forge. Déposant sa lame entre deux peaux trempées, il se retournât, essuyât la sueur de son visage et s'approchât.

"Mes excuses, gente Dame, je ne vous avez point ouïe entré. Vous avez parler d'une hache, il m'a semblé ? Votre lame est émoussé, c'est cela ?

Et bien, je ne suis pas un homme de mercantile, je peux m'occuper de votre hache en une journée, me semble t-il. Quand au prix... j'ai de quoi manger, je ne prendrais donc que peu de vos écus. Le prix qui vous semblera le plus juste, je dirais.

Puis-je la voir, s'il vous plait ? Ma dame... pardon, je n'ai pas bien entendu votre nom, mille excuses."
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Annamaeva
Anna était vraiment ravie qu'Ulv puisse s'occuper de sa hache en une journée...
Elle décrocha sa hache de sa ceinture et la tendit à l'homme...

Voici messire...
Je suis Annamaëva...charpentière à Lourdes ...
Je vous propose 20 écus...
Cela vous convient-il???

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Ensomulv
Ulv sourit et saluât son hôte.

"Enchanté, Dame Annamaëva", dit il tout simplement. "Vous permettez ?" Cette dernière question fut accompagné du geste machinal du maître observant le travail d'un autre maître.

Ulv prit délicatement la Hache que lui tendait Annamaëva. Le Maître Forgeron semblait faire preuve d'une délicatesse de chirurgien en observant la lame émoussé de la Hache. Les rudes mains d'Ulv devenait aussi délicate qu'une tisseuse de soie. D'un oeil expert il observât la finesse de la lame. Sans quitter la hache du regard, il parlât.

"Et bien, et bien... je ne prendrais qu'une journée à la remettre en état, elle sera comme neuve. Un salaire de 20 écus me suffit largement, merci ma dame."

Ulv allât poser la Hache sur des peaux sèches, il la portait et la déposât à la manière d'un père avec son bambin.

"Le Maître qui l'a fait à très bien réussit son oeuvre, c'est une très belle hache... si ce n'est indiscret, puis-je savoir son nom, si vous l'avez baptisé ?"

La question pouvait sembler fort étrange, mais Ulv ayant toujours nommé ses outils avait la curiosité de connaître le nom de sa "patiente".
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Annamaeva
Anna était très heureuse de confier sa hache à Ensomulv...
il était si aimable...et si délicat avec son outil de travail...qu'elle en était presque surprise...elle l'observa et l'écouta sans bouger...comme figée..

puis l'homme l'interpella....comment pouvait-il se doutait qu'elle avait donner un nom à sa hache...tellement étonné elle mit un certain temps avant de répondre...

Et bien ...en effet elle se nomme "Audace"...
Je vous la confie donc ...pendant que je vais pêcher sur l'Adour...
je vous laisse travailler...

Anna repris donc le chemin du fleuve pour y rejoindre son ami Canh qui devait déjà être en place sur le fleuve depuis l'aube....


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Ensomulv
"Audace...", répétât Ulv presque à mi voix au moment où Annamaëva quittât sa forge.

Il allât vers la cheminée et appuyât suffisamment sur le soufflet pour réveiller un feu qui menaçait de s'éteindre. Il y rajoutât du bois, et encore et encore, il en rajoutât suffisamment pour que les flammes créent une chaleur encore supérieur à celle qu'il fessait jusqu'à présent.

Il se retournât ensuite vers sa "patiente" et délicatement la sortit de l'amas de peaux sèches où il l'avait posé. Il lui sourit, comme à une vieil campagne et la mis dans les flammes.

Ses yeux étaient depuis longtemps habitué à la danse et la lumière des flammes, tout comme il ne fessait plus attention à la chaleur de sa forge. Pendant que le métal se chauffé suffisamment, il allât aux puits d'à coté pour étancher sa soif et prévoir celle qu'il aura très rapidement mais dont il ne devra pas succomber.

Ulv retournât immédiatement après dans sa forge. Environ une minutes dans la chaleur des flammes et la lame de Audace était entièrement rougit. Les mouvements qu'Ulv connaissait bien se firent donc mécaniquement. Il posât la hache sur l'enclume et, de son marteau, frappa. Une... deux... trois fois, il l'a remit au feu. De nouveau sur la forge, on change de coté, une... deux... trois coups de marteau et on remet la hache au feu. Changeant à chaque foi le coté de la lame, changeant à chaque foi l'endroit où le marteau tombait. Ulv continuât, encore et encore, une journée durant.

Le soir arrivât enfin trop vite pour Ulv, il n'avait pas encore fini son travail. Alors que la plus part des Tarbais et Tarbaises quittaient les champs pour rejoindre une Taverne, le bruit du choc du marteau sur le fer chaud résonnait encore dans la forge d'Ulv.

Ce fut, justement, au moment où les tavernes se vidaient qu'Audace se voyait la récompense d'être plonger dans des peaux trempés. Ulv le savait depuis bien des années, que quelque chose, appelé dioxcine, qui se trouvait dans les peaux trempés permettait de donner plus de force à la lame au moment où le métal avait la chance de refroidire.

Ulv fermât les conduit de sa cheminée afin que le feu puisse s'éteindre plus tôt et il allât au puit pour boire un bon sceau d'eau. Pour se rafraichir, il en prit un second qu'il se versât sur la tête avant de, finalement, partir manger dans sa propriété.

Après ce repas bien mérité, Ulv retournât dans sa forge. Déjà les taverniers et tavernières fermaient boutiques pour rejoindre leur lit. Ulv était-il le seul encore debout ?

Il allât à sa forge, comme prévu le feu du foyer n'était plus que quelques braises. Sans compustible et peu d'air, le feu allait vite à mourir. Ulv tira Ardeur des peaux d'où elle était. A la lueur de la lune, la lame était brillante, comme neuve. Ulv la prit donc avec ses deux mains avec la délicatesse d'une sage femme venant de sortir une vie d'une mère, puis il allât la poser sur son bureau de fortune. Une simple planche de bois possé entre deux traiteaux. Il déposât Ardeur et la couvrir d'une peaux sèche afin que, durant le nuit, aucune poussière ne puisse s'y déposer.

Fier et heureux de son travail, Ensomulv allât donc rejoindre sa chaumière, juste à coté de l'atelier, afin de pouvoir se plonger dans son lit. Il s'endormit imédiatement.
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Annamaeva
Anna s'était levé au aurore...la fraicheur de l'aube était appréciable...
Anna aimait errer dans les rues quasi désertes de Tarbes...
elle profitait du calme ...flânait en observant le levé du soleil...moment si agréable...fort en sérénité.....
Anna se dirigeait vers l'Adour...en chemin comme convenue elle s'arrêta à la forge de Ensomulv...
Elle s'approcha de la porte qui était fermé...elle n'osa pas frappé ...
elle se rendit compte qu'il était vraiment tôt...
Anna sortit de sa besace un morceau de vélin , sa plume et son encrier...
et nota:


Bien le bonjour Ensomulv,
il est un peu tôt...
je reviendrais plus tard pour récupérer ma hache
amitiés
Annamaëva


Elle décida donc d'aller à l'Adour et de repasser plus tard pour reprendre sa hache...sa belle Audace..qui devait être prête...
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Annamaeva
Anna avait pêcher toute la journée...il faisait encore une chaleur étouffante...pourtant la forge était en pleine activité...

Elle entra cette fois...salua Ensomulv... dès qu'il vit Anna il lui sourit, il était tout transpirant...s'essuyant du revers de sa manche...
il se tourna pour saisir la belle "Audace"...elle attendait soigneusement rangée entre des peaux...
Anna appréciait la délicatesse avec laquelle Ensomulv traitait sa hache...elle n'avait jamais vu un forgeron si doux...
Anna lui donna les écus pour travail fournis...

Merci beaucoup Ensomulv...
de vous être si bien occupé de ma hache...
A une prochaine fois peut-être!!!

Anna mis sa hache à sa taille et s'en alla jusqu'au village retrouver son ami qui était venu la chercher depuis Lourdes...
elle avait hâte de le revoir...de lui sauter au cou...
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Ensomulv
Ulv s'était levé tard ce matin là, il avait bien vu le mot de Dame Annamaëva. Elle était venu à l'aurore et allait revenir plus tard pour récupérer Ardeur. Il allât donc se prendre un bain matinal dans l'Adour et profiter de l'eau fraiche de ce fleuve. Il en profitât pour réfléchir.

Il se souvenait de sa vie d'avant. Celle du défenseur honorable du Béarn. Il avait rendu son épée au Comté, cela avait été le prix de son crime contre le Comté. Il en était encore sous le choc, il ne trouvait plus la force de faire autre chose maintenant... juste vivre calmement et aisément. La justice l'avait puni pour sa faute. Il avait vendu son champ de maïs et maintenant ne vivait que de sa forge et de la pèche. Il n'allait même plus à la mine. Il avait perdu le gout à tout ça. Peut-être était-ce tout simplement une présence à ses cotés qui lui manquait pour reprendre gout à sa vie.

Il se souvenait alors de cette femme, en Limousin... une ancienne vie pour lui... qui n'avait été avec lui que pour profiter des avantages qui lui offrait en étant Bourgmestre, à l'époque. En apprenant qu'elle se servait de lui, il avait perdu l'envi de trouver une campagne et avait émit le souhait de rester célibataire... ça fessait un an maintenant.

Il se rappelât les noms des femmes qu'il avait rencontré et qui, avec elles, auraient put changer sa vie d'avant. Il avait perdu beaucoup de ce qui fessait de lui. Il avait changé. Être accusé de Trahison l'avait profondément perturbé. Maintenant il n'avait plus l'âme de ce battre pour le Comté, il n'avait plus le gout à aider le Comté du Béarn. Il n'avait que le souhait de vivre tranquillement sur ces terres qu'il aimait tant.

Si la politique et les gens avaient changé en un an, la terre restait la même. L'Adour traversé toujours Tarbes et on pouvait toujours voir les Montagnes à l'horizon. La terre n'avait pas changé. Elle restait la même. Elle restait belle et douce.

Après avoir nagé plusieurs longueur d'une rive à une autre. Ulv sortit du fleuve et repartit vers sa forge. C'était la seule propriété qu'il avait maintenant, c'était chez lui. Il avait tant de mal à comprendre l'envi des Nobles de posséder toujours plus de terre alors qu'avoir un simple atelier ou un simple champ pouvait assuré le bonheur plus que mille hectares. La Noblesse... quelque chose d'à part pour Ulv. Quelque chose sans réel intérêt.

Après avoir manger une bonne viande ce midi là, Ulv reprit le travail dans sa forge. Il avait en tête de construire des casques et le fit. Il allumât le feu dans la cheminée, vérifia s'il avait bien tout ce qui lui était nécessaire et, lorsque le foyer était suffisamment ardent, commençât le travail.

Sa forge tournée à plein régime et avec la chaleur de l'été, le taux d'eau dans le corps d'Ulv partait rapidement par tous les bords de sa peaux. C'est à ce moment là que Dame Annamaëva arrivât.

Lorsqu'il vit la jeune femme, Ulv arrêtât momentanément le travail sur le casque. Il lui sourit lorsqu'elle le saluât et s'essuyât le front qui était ruisselant de sueur. Il allât prendre la Hache Audace, poser entre des peaux sèches afin de la préservé de la poussière. En la voyant, Ulv ne pouvait que être fier de son travail. Audace était réellement comme neuve et sa lame semblait brillé à la lueur du feu.

Avec la délicatesse habituelle qu'il donnait aux objets, Ulv prit Audace et l'emmenât vers sa propriétaire.

"La voilà comme neuve, comme promit."

Dame Annalmaëva lui donnât donc les 20 écus de salaires promit. Ulv la remerciât et mis les écus dans sa poche, sans les compter. Ce qui l'importait plus, plus que le salaire, c'était le travail bien fait.

"Merci à vous de m'avoir fait confiance pour ce travail. C'était un plaisir, ma Dame.

Aux aléas des chemins, gente Dame."

"Aux aléas des chemins"... cette formule, Ulv l'avait inventé lors de son premier voyage, celui qui lui fit découvrir le Béarn à l'époque où il vivait encore en Limousin. Cela signifiait "à bientôt, qui sait, sur les chemins nous nous reverrons".

Il observât cette jeune femme partir rejoindre son ami. Il était fier de son travail sur Audace et était certain que la hache durerait longtemps avant d'être à nouveau émoussé.

Après que Dame Annamaëva fut partit, Ulv reprit le travail du casque qu'il avait commençait. Même la chaleur des jours ne l'empêchait pas de travailler avec plaisir dans cette forge qui était devenu, en quelques sortes, sa compagne.
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Coco6889
coco aller ce promener en ville quant elle passer devant une forge elle se disait qui lui fallait une hache

elle frappa et elle entra elle voyait que le messire ce diriger ver elle bonjour messire je suis coco de tarbes il me semble qu'on cet déjà rencontrer en taverne il y a un moment de sa je voit que vous êtes bien installer
je suis passer vous voir si vous pourriez me fabriquer une hache?et a quel prix?
Ensomulv
Ensomulv travailler hardiment dans sa forge lorsque Dame Coco entrât dans cet atelier. La chaleur y était étouffante, le feu dans la cheminée avait atteint son apogée. La voyant entrer, Ulv cessât son travail et allât vers elle.

"Bien le bonjour Dame Coco. Oui en effet, nous avons eu loisir de partager quelques bonnes choppes de bière en Taverne. La dernière foi, Sat était encore Bourgmestre me semble t-il.

Vous souhaitez une hache ? Ma foi, je viens de commencer le travail sur une lame. Ce qui fait donc que je pourrais vous l'avoir prête avant la fin de la semaine. Pour le prix... je ne suis pas très à l'aise avec ces questions monétaire ... disons, 150 écus, cela vous irez t-il ?"

Ulv était un artisan, pas un commerçant. Lorsqu'il s'agissait de fabriquer quelque chose, une arme en l'occurrence, cela allait sans problème. Mais une foi qu'on devait parler du prix... là il ne savait plus trop. Son estomac lui rappelait qu'il fallait prévoir de quoi manger et sa forge lui rappelait qu'il lui fallait du matériel. Mais quoi qu'il en soit, il était toujours prêt à négocier le prix de son travail Il considérait que ce n'était pas à lui de juger de la valeur de son travail, mais plutôt à sa cliente, Coco en l'occurrence.
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Coco6889
sa me convient pour la fin de la semaine prenez votre temps avec cette chaleur il fait très chaud pour le prix je suis désolée de vous demander j aurait du vous demandez par pigeon pour le prix sa me convient le prix

je doit y aller messire Ensomulv car je travaille dans les champs pour m acheter la hache je repasserait en fin de semaine

bonne journée

oui tout a fait on c était vu avec messire satolas en taverne ce jour la on avait soif a vrai dire sa me manque ses journées la
Ensomulv
"Ne vous inquiétez pas, Dame Coco. Dans le monde dans lequel on vit, il est tout à fait normal d'aborder la couteuse question des écus, à un moment ou un autre.

Je me mets au travail immédiatement, soyez certaine que ça ira vite. Bonne journée ma dame, à plus tard. Je vous préviendrais lorsque le travail sera achevé."

Lorsque Coco partit, Ulv retournât dans la chaleur ardente de sa forge. Heureusement pour lui, il avait déjà commencer à travailler sur une lame avant l'arrivée de Dame Coco, il n'avait plus qu'à continuer son travail afin de fabriquer une hache digne de cette Dame de Tarbes.

Ainsi lorsque Coco fut partit en champ comme elle l'avait dit, Ulv retournât prêt du foyer de la cheminée. Il prit quelques bons rondins de bois qu'il lançât dans le foyer, puis il prit son soufflet et commençât à faire prendre d'avantage ce feu d'enfer dans son petit paradis. Il fessait bien plus chaud dedans que dehors, il mit la lame non forgé dans le foyer et partit au puy afin de s'y désaltérer, le temps que le fer chauffe, en avalant un bon sceau d'eau qui devrait lui suffire pour la journée. Il partit ensuite dans sa forge et continuât le travail sur la hache qui serait bientôt celle de Coco.

En revenant, le fer de la lame non forgé était rouge. Il se sortit du foyer et commençât son travail. La lame rouge sur l'enclume, il frappât le fer tant qu'il était encore chaud. Voilà que commencer cette danse de fabrication qu'il connaissait et aimé tant.
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Ensomulv
Après trois jours de dures labeurs, Ulv sortit de la chaleur étouffante de sa forge, un sourire ravie aux lèvres.

Il avait frappé le fer, trempé la lame, assembler le bois de la hache et voilà que sa commande était terminée. Alors que la nouvelle hache était amoureusement lové dans des peaux sèches, Ulv sortit de son atelier pour aller se baigner dans l'Adour. C'était véritablement son petit plaisir après avoir accomplit un travail dans sa forge. Un bonne baignade dans la plus beau fleuve du Béarn et du Sud de la France. L'Adour descendant des Pyrénées.

Comme d'habitude, il y fit plusieurs longueurs afin de permettre à son corps, encore suintant de sueur de se voir rafraichir de la plus douce des caresses. Dans ces moments là, Ulv comprenait les moines... seulement d'une façon.. sur ces plaisirs simple de la vie.

Revenant en sa demeure, Ensom Ulv prit une feuille et une plume afin de prévenir Dame Coco de la fin de sa commande.



Chère Dame,

Je vous informe que votre Hache est fin prête, elle vous attend actuellement à la Forge "Au Loup Ardent".

Demain, dimanche, étant Jour du Seigneur, je ne réouvrirai l'atelier que lundi. Date à laquelle vous pourrez venir rechercher votre nouvelle arme.

Avec mes remerciements les plus sincères pour votre confiance,
Ensom Ulv.


Le travail était accomplit, la lettre partait par pigeon et Ulv regagnât son lit où, seul, il s'endormit épuisé.
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