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[RP]La cathédrale Saint-Mammès de Langres

---fromFRpatricius_1er
Eowynn et Patricius s'inclinérent devant le diacre .
Puis mains dans la mains se dirigérent vers la sortie,tout en n'oubliant pas de faire un petit coucou à leurs amies(Aylla,Tinki,Caro et manu).
(Patricius jeta une dernière fois un oeil pour voir si l'enfant de coeur de Guidonius n'était pas entrain de préparé encore un mauvais coup)
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Patricius_1er fou amoureux D'Eowynn depuis qu'il l'a rencontrée.
Entre mes bras mon coeur bat pour toi.

Sergent Maréchal de Langres
Manu95
Et voila, deux baptiser de plus à Langres. les deux amoureux sortent de la catédrale sans ometre de saluer l'assemblée. manu leur adresse un sorire et un hochement de tète en guise de félicitation.
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---fromFRAnonymous
Là devant elle, la porte lourde et massive de la cathédrale se dresse. Claverina doucement pose ses mains sur le bois, et un instant ferme les yeux. Toutes les portes ne se ressemblent pas mais toutes les églises sont refuge et havre de paix pour qui s’y arrête.
La jeune femme ne pouvait vaquer à autre occupation, en ces premières heures dans son nouveau village, que celle de venir prier. La fatigue du voyage lui avait fait prendre plus de repos qu’elle ne le souhaitait et elle avait ratée les matines.

Non sans s’être signée, Claverina regarde autour d’elle, curieuse de découvrir les lieux et avance vers la nef.
Debout au milieu de l’allée centrale, elle lève les yeux vers le cierge qui brûle sur l’autel et les mains jointes murmure les premières paroles d’une prière


Padre nuestro, que estas en el cielo, santificado sea tu Nombre…..

La jeune femme se mord les lèvres en souriant, elle a plus souvent prié dans sa langue maternelle qu’en françoi. Pour ne pas chercher ses mots, c’est en latin, comme on le lui a enseigné, qu’elle poursuit le Pater.

Adveniat regnum tuum, fiat voluntas tua sicut in caelo, et in terra……
C’est les yeux fermés qu’elle achève sa prière.

Tout en regagnant le parvis, la jeune femme se dit qu’elle devrait songer à rencontrer le prêtre de Langres pour faire reconnaître son baptême.
---fromFRmarie33c
Marie en arrivant à langres et après toute une nuit de voyage seule terrorisé dans la nuit. Alla à la cathédrale pour prier Aristote. Lui demanda son aide pour se voyage qu’elle devait effectuer dans une totale solitude et détresse morale. Elle avait besoin de réconfort et se posa plein de question comment avait-on pus l’abandonner ainsi sur les routes par les temps qui court. Pourquoi toutes cette malchance trouvera t’elle un jour le Bonheur. Elle commença sa prière ainsi.

Sous le poids de la douleur, j'ai recours à toi Glorieux Aristote. Si puissant que tu es, avec la certitude d'être exaucé. Libère mon pauvre cœur des angoisses qui l'oppressent et rend la paix à mon esprit accablé. Si mes péchés constituent un obstacle à l'accomplissement de mes désirs, obtiens-moi la grâce du repentir et le pardon, moyennant une sincère confession. Ne permets pas que je répande plus longtemps des larmes d'amertumes. Oh Aristote, récompense mon espoir en toi et je ferai partout connaître la grandeur de Ta miséricorde envers les affligés. aide-moi à bien vivre et à bien mourir. Ne permets pas que je me détourne de toi avant d'avoir été exaucée. Amen

Marie sortie de la cathédrale le cœur gros mais rassérénai après cette prière. Elle avait foi en Aristote plus que tout
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---fromFRmarie33c
C'est le cœur profondément ému et troublé qu'aujourd'hui Marie arrive à l’église. La veille al'heure du danger, au moment où son bonheur et sa vie était menacé. Elle était venue implorer Aristote l'âme affligée et remplie d'appréhension….Elle était venue le supplier le refuge de sa dernière chance, sa confiance en lui ne fut pas déçue. Elle revint à lui aujourd’hui, non plus les larmes de la souffrance aux yeux, mais la joie et la sérénité au cœur, pour lui offrir sa reconnaissance infinie. Elle se signe et se mit à prier ainsi.

Cette joie, cette sérénité, c'est à Vous que je la dois, Aristote, à Vous qui êtes intervenue en ma faveur, et m'avez obtenu la grâce que je désirais. Je voudrais mieux Vous exprimer le profond sentiment de reconnaissance dont mon cœur est rempli, ô Aristote, ô consolateur des affligés, mais le trouble même provoqué par le bonheur d'avoir obtenu cette grâce paralyse mes expressions, et je ne sais plus que murmurer : Merci… merci… merci… Aristote !... Alors, pour Vous démontrer d'une façon plus réelle ma reconnaissance infinie. Je Vous promets d'aider, autant que mes possibilités me le permettent, à l'entretien de votre culte, et d'assister autant que possible aux offices célébrés en votre honneur. Veuillez enfin ne jamais m'abandonner, et continuez à me garder votre sainte et active protection afin qu'après en avoir profité sur cette terre, je puisse un jour Vous retrouver au Ciel et Vous dire mieux toute ma reconnaissance. Amen

C’est le cœur gonflé de joie que marie sortie de l’église.
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---fromFRmanisajo
Mani de passage à Langres, avait emprunté les jolies rues de la ville et se rendit à La Cathédrale...
Elle avait froid, était fatiguée, et se sentait un peu faible mais en entrant dans l'edifice elle fut envahit d'une douce chaleur, d'une même sérénité que la dernière fois où elle était passée par ici.
Manisajo s'assit un moment sur un banc et fermant les yeux confia son Coeur à Aristote ainsi que tous ses amis.
Elle resta là unlong moment, priant, et regardant aussi autour d'elle, écoutant le silence....
AU bout d'un moment, le froid la reprenant, elle se leva et sortit, se decidant à rejoindre ses amis en Taverne pour y passer un bout de soirée...

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Ambassadrice de Bourgogne en Lyonnais-Dauphiné.
Iseult_la_douce
Manisajo avait dit à Iseult combien la cathédrale de Langres était belle. Elle était en voyage pour la première fois de sa vie et avec ceux qu'elle aimait le plus au monde! Elle ne voulait donc pour rien au monde partir sans avoir visité ce lieu saint.

Elle gravit les marches du parvis et poussa la lourde porte. Ses pas résonnèrent sur le marbre froid et ses jupes bruissèrent lorsqu'elle remonta la nef vers le choeur.

Ses yeux voyagèrent partout, prenant possession des lieux, s'émerveillant sur l'architecture de la cathédrale. Finalement elle s'agenouilla devant les marches, ferma les yeux et pria le Saint Aristote.

Elle pria pour son aimé, pour ses amis qui les accompagnaient dans leur voyage... Elle pria pour ceux restés à Joinville qui attendaient avec impatience leur retour. Elle pria pour cette douce ville qui les accueillait pour un soir...

Une fois rassénérée par ses prières, elle se leva pour allumer une bougie près de l'autel.


---fromFRbagacum
Bagacum était déjà passé à Langres à maintes reprise mais il n'avait jamais pris le temps de visiter la ville et encore moi sa cathédrale.
Mais Dame Manisajo qu'il accompagnait leur en avait parlé et n'en avait dit que du bien.

Il arriva donc sur le parvis et entra sans bruit dans ce lieu saint.

Il en fit le tour en silence afin de regarder cette merveilleuse architecture.
C'est là qu'il apperçut Dame Iseult près des cierges à coté de l'autel.
Il s'en approcha à pas feutrés.
Il posa sa tête sur son épaule, mit ses bras autour de sa taille pour l'enlacer et lui murmura:


Ce n'est que moi mon amour, je ne vous ai pas fait peur au moins.
Mani avait raison ce lieu est manifique.


Ils restèrent ainsi quelques instants à prier devant les bougies qui scintillaient devant eux
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Iseult_la_douce
Iseult sourit lorsqu'elle sentit sa présence et prit ses mains dans les siennes. Elle sourit.

J'ai hâte d'être à Dijon! Cette cathédrale est admirable. Mais rentrons, il fait froid et nous partons de bonne heure demain...

Elle lui prit les mains et ils sortirent en silence, le coeur en paix.
Guidonius
L’heure de la messe était arrivée et Guidonius alla sonner les cloches à toute volée pour appeler les fidèles à le rejoindre à la prière dominicale.



Il alla jusqu’à l’autel, fit une génuflexion, récita une prière à voix basse

Citation:
Dieu tout puissant, et vous Aristote et Christos, pardonnez mes péchés et donnez moi la force de bien vous servir en cet office dominical. Que mes paroles sachent atteindre le cœur de mes fidèles.


et se tourna vers les paroissiens assemblés dans la nef.

Bonjour mes frères, mes soeurs,
Nous sommes réunis ce jour pour marcher ensemble sur le chemin de la vertu et de l’amour entre les hommes. J’aurai l’occasion de vous en parler durant l'office, toutefois avant d’écouter la lecture, nous avons besoin de nous faire pardonner pour nos péchés.
Demandons pardon au Très-Haut ! Répétez après moi mes amis.




Mes frères et mes sœurs, il ne suffit pas d’espérer le pardon de Dieu par le simple acte de contrition. Nous devons tous les jours réfléchir à nos actes, nos paroles et nos pensées. Tout ce que nous avons pu faire de contraire à la loi divine, nous devons en demander pardon à Dieu. Il nous faut aller nous confesser régulièrement si nous voulons avoir l’indulgence de Dieu au moment du jugement dernier.

Professons ensemble notre Foi :




Guidonius fit un signe à la Maîtrise qui entonna un très beau chant de Victoria



Pendant ce temps, Guidonius se dirigea ensuite vers l’ambon où il ouvrit le Livre des Vertus



Une fois le chant terminé, Guidonius lut le passage qu’il avait choisi pour ce dimanche :

Citation:
“Afin que vous remplaciez par de nouvelles générations celles dont la vie se termine, je vous fais un cadeau bien plus beau encore. Cet amour que j’attend de vous, Je vous permet aussi de l’éprouver également envers vous, en couple. La tendresse et le désir mutuels seront les composantes de ce pur sentiment. La procréation en sera le but. Mais seul l’amour que J’aurai béni pourra permettre l’acte de chair, afin que votre espèce perdure dans Mon amour.”


Guidonius referma le livre après s’être signé, puis il le commenta :

Nous venons d’écouter un passage très important du livre des Vertu, et je vous invite à le méditer profondément. Vous êtes tous de jeunes femmes et de jeunes hommes avides de plaisirs et pour certains, de pouvoir. N’oubliez pas qu’à chaque instant vous pouvez y perdre votre âme. Les plaisirs sont certes, choses bien agréables et je ne vous dirait pas le contraire. Mais les plaisirs doivent trouver leur concrétisation dans les paroles que je viens de citer. Passer d’une relation à une autre, comme si l’on consommait des fruits, n’a rien à voir avec l’amour, le véritable. Celui qui se gère dans le respect d’autrui et le respect des paroles divines. Nous avons d’excellents exemples dans notre ville. Observez les, et tirez en des leçons. Voyez combien est beau l’amour de notre maire et de sa gracieuse épouse. Un foyer, agrémenté des joies de la famille, avec un beau garçon, voilà tout ce que je vous souhaites à vous tous. Mais cela implique des efforts. Il faut oser s’investir, donner sa parole, mais la vrai. Vous les garçons, soyez attentive aux jeunes femmes qui vous donnent cet amour, sachez les surprendre avec votre amour. Vous les filles, soyez attentives aux garçons qui vous donnent également cet amour. Sachez que rien n’est acquis et que c’est tous les jours que vous devez remercier le Très Haut de cette grâce qu’il vous fait. Je ne demande que cela, à unir des jeunes amoureux. Mais n’oubliez jamais que c’est pour la vie et que vous devez vous engager pleinement, et non en pointillé, un jour sur deux, selon vos humeurs. Je vous laisse méditer cela.

Guidonius prit quelque temps de silence, puis il alla à l’autel préparer l’offrande pour la communion des fidèles.

Mes frères et mes sœurs, comme l’ont fait avant nous les hommes autour du tombeau d’Oane, partageons ensemble et communions :




Une fois la communion terminée, Guidonius rangea les objets du culte. Pendant ce temps là, la Maîtrise chanta un très beau chant grégorien

Puis Guidonius revint à l’ambon pour une dernière prière :


Quelques petites annonces pour notre paroisse. Je signale à toutes les personnes non encore baptisées que je vais commencer une nouvelle session de catéchisme. J'espère vous y voir nombreux.

Prions encore.
Seigneur, Toi qui voit tout, Toi qui peux tout, aide nos frères à marcher dans le chemin que nous ont tracé Aristote et Christos, aide les à bien respecter tes enseignements pour qu’ils deviennent de vrais Enfants de Dieu. Amen.


Guidonius s’agenouilla devant l’autel puis gagna la sacristie pour ôter ses habits sacerdotaux et gagner le porche de l’église pour s’entretenir avec ses amis et tous les paroissiens.
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---fromFRbagacum
Bagacum avait voyagé toutes la nuit avec sa douce iseult et ses amis.
Il s'était endormi en arrivant à Langres et c'était les cloches de l'église qui l'avait sorti de ses doux rêves.
Il se prépara en vitesse et courrut jusqu'à l'église.
Comme il le faisait déjà à Joinville, il entra par une porte de coté afin d'âtre le plus discrêt possible pour ne pas dérranger l'office.
Il resta dans le fond, jeta un oeil aux paroissiens déjà là puis s'agenouilla pour prier.

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---fromFRmanisajo
Mani arrivée avec le Capitaine Bagacum et ses ami(e)s dans la nuit s'était réveillée de bonne heure et était partie faire un tour en ville.... lorsque les cloches avaient sonné, elle se trouvait de l'autre côté de Langres et elle arriva donc un peu en retard en la Cathédrale.
Se glissant par une porte de côté, elle aperçut Bagacum juste là et le saluant discretement s'assit près de lui et se recueillit.

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Ambassadrice de Bourgogne en Lyonnais-Dauphiné.
Iseult_la_douce
Iseult n'avait pas entendu les cloches sonner dans son profond sommeil. La route avait était longue et difficile avec les premiers flocons de neige. Et malgré le bras et l'épaule de Bagacum, les conversations enjouées de ses amis, elle était arrivée épuisée à Langres.

A son réveil, surprise de l'heure tardive, elle courut prestement à l'Eglise, ne voulant point rater l'office!

Elle ralentit le pas en passant le seuil et entra, les joues rouges, cherchant ses amis du regard. Apercevant Bagacum et Manisajo, elle s'empressa de les rejoindre le plus discrètement su'elle put pour ne point troubler les paroles de l'officiant.

Elle salua Manisajo d'un sourire et embrassa Bagacum puiss'agenouilla et se plongea dans ses prières.
---fromFREloÿse
Lundi, un jour nouveau. Eloÿse venait de quitter le domicile familial. Elle s'installait seule, ce qui n'était guère courrant pour l'époque lorsqu'on avait pas de mari. Les problèmes d'argent, le travail difficile, tout cela elle connaissait, c'est pourquoi elle avait vaqué un moment au gré des chemins avant d'apercevoir cette vieille bicoque, tenant à peine debout, mais dans un environnement muni de tant de charme, qu'elle avait décidée d'y élire domicile, du moins le temps des rudes froids hivernaux. Quatre murs branlants voila qui étaient toujours mieux que l'abri d'un arbre assiégé par les vents.

C'est donc en ce jour qu'elle arrivait à Langres, où elle démarrerait sa nouvelle vie.

Après avoir fait le tour du marché, se munir de quelques pains et d'une bouteille de vin du peu d'écus qu'il lui restait, Eloÿse avait trouvé refuge dans l'une des tavernes de la ville, où, dès son premier jours, elle avait fait la rencontre de gens importants, et forts sympathiques. L'accueil chaleureux promettait une vie agréable dans le village. Dommage qu'elle n'y resta pas, s'il n'était ce contrat sur le point d'être signé, et ces voyages en perspectives ...

Mais pour l'heure, le repos était de mise. La jeune femme se baladait au hasard des rues de la ville lorsqu'elle déboucha sur une grande place. Elle n'en vit tout d'abord pas l'intérêt, car la façade immense lui en cachait la raison ... Pourtant siégeait là une église assez belle, aux grandes portes de bois dont les gravure lui rappelait vaguement d'autres ...

Eloÿse s'avança sur le parvis, et entra sans bruit. Si elle avait pu en voir l'officiant, peut être aurait elle le bonheur d'arranger un rendez vous, dans la vue d'un baptême que ses parents assez distraits, avaient négligés.

Par chance, un badaud qui se trouvait là à prier, pu lui indiquer où se trouvait la salle concernant ce qu’elle recherchait.
Guidonius
Guidonius vint poser une affiche sur le porche de la cathédrale St Mammaes. Il espérait bien que ses fidèles langrois assisteraient nombreux à ses cotés, à l'office de Noël de l'archevêque de Reims.


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