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[RP]La cathédrale Saint-Mammès de Langres

Guidonius
Guidonius lut le passage qu’il avait choisi pour ce dimanche :

Citation:

Livre 1 le mythe aristotélicien Partie II : la préhistoire Chapitre 1 :


Oane était ravi que sa quête soit enfin arrivée à son terme. Il admirait la plaine du regard lorsqu’il s’effondra. Tous s’attroupèrent autour de lui pour lui venir en aide. Quelques uns tentaient de le maintenir dans une position presque assise, mais il était clair pour tous qu’il vivait ses derniers instants. Mais, malgré le tragique de l’événement, alors que tous étaient effarés, Oane arborait un sourire plein de sérénité.

Il dit: “N’ayez crainte, car ma mort n’est qu’un passage pour rejoindre Dieu. J’ai atteint la place que Dieu m’a réservé dans le monde et ait accompli ce qu’Il attendait de moi. La mort n’est pas pour moi la perte de la vie mais le passage vers une autre, bien meilleure. Il en sera de même pour vous si vous savez vivre dans la vertu. Alors, que vos larmes ne soient pas de tristesse mais de joie, car le Très Haut me fait le plus beau des cadeaux. Aimez Le et Il vous aimera. Adorez-Le et Il vous bénira. Vivez dans la vertu et Il vous accueillera à Ses côtés.”

Alors, il rendit son dernier soupir. Et tous se regardèrent les uns les autres, ne comprenant pas cette sérénité qui s’affichait encore sur le visage de leur guide. Ils enterrèrent son corps au milieu de la vallée, là où ils vivraient dorénavant. Ils firent le serment que, chaque semaine, ils se réuniraient autour de sa tombe, afin qu’il les accompagne et les guide lorsqu’ils rendraient hommage à Dieu.

Mais aucun ne comprit l’amour qu’avait Oane pour Dieu lui fasse accepter la mort avec autant de sérénité. Mais personne ne voulait lui faire le moindre reproche, à lui qui avait tant fait pour eux. En hommage à sa vie au service des humains et de Dieu, ils décidèrent de nommer la cité qu’ils allaient construire Oanylone, “la cité d’Oane”.


Guidonius referma le livre après s’être signé, puis il le commenta :

Nous venons d’écouter un passage très important du livre des Vertu, et je vous invite à le méditer profondément. Surtout par les temps qui sont les notre.
Chacun, ici bas, à son chemin à poursuivre. La quete que nous avons tous entrepris, n'est pas un chemin facile et aisé, à l'exemple d'Oane, qui vécu des temps difficiles, mais ne perdit jamais sa foi envers le Très Haut.
Prenez exemple sur ce prophete, il sut accepter les épreuves que le Très Haut lui envoya, sans se poser de questions. Il vécu son chemin difficile sans rien reprocher à qui que ce soit. Nous aussi, nous devons, tout comme Oane, rester fidèles à nos engagements, en accepter les joies comme les moments difficiles sans jamais les remettre en quiestion. Nous nous sommes tous engagés, devant Aristote, à marcher sur le chemin de la vertu, et pouvoir ainsi un jour, esperer atteindre le paradis. Alors, continuons à marcher ainsi, même si la Créature sans nom s'acharne à nous mettre des cailloux sur ce chemin difficile. Restons ainsi fidèle aux enseignements d'Oane, et, à l'heure de notre mort, le Très Hau-t saura regarder notre persévérence à marcher sur le chemin de la vertu, et seulement là, il pourra nous accorder une place pour l'éternité, auprès de Lui.



Guidonius alla se rassoir pour méditer quelques instants sur ces paroles, et tenter d'observer quelques réactions devant son sermon.
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Aurelien87
Aurelien avait écouté attentivement le sermon de son diacre. Il n'avait pas tout très bien compris mais quelques paroles le chifonnaient. Il n'aimait pas trop qu'on parle de mort, celà lui rappelait trop qu'il n'était qu'un orphelin et son diacre comptait trop pour lui, pour qu'il puisse imaginer sa fin prochaine. Il lui murmura:

Mais c'est pas pour demain, hein, la mort, Guido ??
Guidonius
Guidonius sourit à Aurélien. Il trouvait ce jeune garçon décidément très pertinent.

mais non Aurélien, tu es encore jeune et tu as toute ta vie devant toi, mais il ne faut pas oublier qu'un jour tu paraitra devant ton Createur, et tu dois y arriver avec le plus de pureté possible.

Puis il se leva, et alla à l’autel préparer l’offrande pour la communion des fidèles.[/i]

Mes frères et mes sœurs, comme l’ont fait avant nous les hommes autour du tombeau d’Oane, partageons ensemble et communions :




Une fois la communion terminée, Guidonius rangea les objets du culte. Pendant ce temps là, la Maîtrise chanta un très beau chant grégorien
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Aurelien87
Aurelien aida son diacre à préparer la communion. Puis, il prit lui aussi l'hostie, et fit quelques prières dans sa tete pour que Christos lui laisse son diacre le plus longtemps possible. Il alla ensuite l'aider à ranger les objets sacrés pendant que ses copains chantaient un très beau chant.
Guidonius
Puis Guidonius revint à l’ambon pour une dernière prière :

Prions encore. Unissons nos voix pour prier Dieu de nous aider à marcher sur les voix que nous ont tracés Oane, Aristote et Christos, sans avoir peur des embuches que la Créature sans Nom met sur notre chemin. Prions pour que nous arrivions, au terme de notre courte existance, l'esprit dégagé de toute contrainte, et l'ame pure de tout péché.

Seigneur, Toi qui voit tout, Toi qui peux tout, aide nos frères à marcher dans le chemin que nous ont tracé Aristote et Christos, aide les à bien vivre les épreuves que tu leur impose, et à suivre tes enseignements pour que tous, nous soyons de vrais Enfants de Dieu. Amen.


Guidonius s’agenouilla devant l’autel puis gagna la sacristie pour ôter ses habits sacerdotaux et gagner le porche de l’église pour s’entretenir avec ses amis et tous les paroissiens.
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Manu95
Jamais, il n'a été autant souiller par le pècher. jamais il n'aurait cru que c'est puéril actes puisse avoir de si redoutables conséquence. La tentation fu autrefois bien trop forte, et un enfant, un enfant en à résulté. une fille du pècher, dont la présence sur ce monde fait de manu un pècheur, ui se doit de dmeander le pardon au tout puissant.

La mort, le suget de cette messe treaite de la mort. Manu pennse au derniers évènement, la mort de saska, par exemeple, qui ne le touche point, mais qui doit etre une vrai déchirure pou la petite fille. saska s'est t'elle réjouis elle de partir pour l'au dela? meme se sachant pècheresse? a t'elle demander le pardon au seigneur? tant de question qui se bousculent dans la tète de manu.

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Caro68130
Encore un dimanche de passé, mais cette semaine j'étais souvent venue à la cathédrale pour prier, afin qu'Aristote guide mes pas.

Aujourd'hui la messe était différente. Je ne savais comment interpréter le passage du livre des vertus choisis, ni même le commentaire de Guido. Pour une fois j'étais restée assez en retrait.

Jérôme était plus en avant. Il était grand maintenant. Quant à Clément un peu refroidis j'avais préféré le laisser à l'auberge avec Clémence.

A la fin de la messe, je sortais sur le perron, attendant Jérôme qui sans nul doute s'en est allé voir son papa

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Guidonius
Guidonius avait pris son temps pour se changer. Dans la cathédrale, il avait cherché du regard son épouse mais ne l'avait pas vue. Il se dirigea vers la porte de sortie du trancept pour éviter de croiser les autres villageois, lorsqu'il entendit des petits pas courir dans l'église.

Papaaaaaaaaaaaaaaaa


Guidonius se retourna et vit son fils lui sauter dans les bras. Il enserra son garçon, en lui faisant des bsous. Des larmes coulaient sur les joues de Guidonius.

Mon fils...... voila, papa est revenu.... ne t'inquiete pas. Tu sais, j'avais besoin de prier un peu seul le Tres Haut. Ces derniers temps, les évenements ont été tres pénibles pour maman et moi. Alons voir maman, je suppose qu'elle doit t'attendre sur le parvis.

Guidonius alla jusqu'au porche de la cathédrale, son fils toujours dans les bras.
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Caro68130
J'attendais Jérôme sur le parvis saluant Manu au passage, quand je vis arriver mon fils dans les bras de Guido.

La joie de Jérôme pouvait se lire sur son visage. Je savais que son papa lui avait énormement manqué. J'attendais qu'ils viennent vers moi


Bonjour, comment vas-tu ?
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Guidonius
Guidonius était très embarassé. Il ne savait comment se comporter mais les évenements étaient là.

Mieux mon coeur. Je sais que tu ne comprends pas bien, mais j'ai réellement besoin de repos. J'ai l'impression que ma cervelle va exploser. Tous ces évenements m'ont fait un mal considérable, et m'ont déprimé totalement.
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Caro68130
Guidonius venait de me répondre, mais ce qui me choquais le plus est qu'il n'ait même pas songé à me demander comment j'allais. Vexée du manque d'intérêt à mon égard je lui répondais tout en gardant mon calme

Je vais bien merci. Et il est vrai que je ne comprends pas mais bon tel est ton choix. La vie est ainsi faite tu sais et ce qu'il se passe actuellement entre nous, n'est que l'accumulation de beaucoup de choses.

Enfin bref, je pense qu'ici n'est pas l'endroit pour en parler. Ni devant Jérôme, ni devant les paroissiens d'ailleurs.

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Guidonius
La secheresse de la réponse de son épouse désempara Guidonius. Décidement, elle ne saisissait pas à quel point il était mal et à quel point la vie meme lui devenait de plus en plus insupportable.

Je sais, mon coeur, Aurélien me faisait un rapport journalier. Mais allons à l'auberge, un repas nous fera le plus grand bien.
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Caro68130
il savait que j'allais bien ? soit sans doute mais même si l'on sait poser cette simple question qui pour beaucoup n'avait pas grande signification, comptait beaucoup pour ma part.

Je savais que j'étais en partie la cause de son mal être, mais tout de même......


Aurélien te faisait un rapport ? hum belle attention en effet, mais tu sais, même si tu savais que j'allais bien, cela n'empêche pas de demander directement à la personne concernée comment elle va, de demander des nouvelles de son fils cadet.... Guido, je ne suis pas censéee savoir qu'Aurélien te faisait un rapport....... mais oui allons à l'auberge

Je regardais Guido, ne préférant pour le moment ne plus rien dire et marchais vers l'auberge
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Guidonius
L’heure de la messe était arrivée et Guidonius alla sonner les cloches à toute volée pour appeler les fidèles à le rejoindre à la prière dominicale.



Il alla jusqu’à l’autel, fit une génuflexion, récita une prière à voix basse

Citation:
Dieu tout puissant, et vous Aristote et Christos, pardonnez mes péchés et donnez moi la force de bien vous servir en cet office dominical. Que mes paroles sachent atteindre le cœur de mes fidèles.


et se tourna vers les paroissiens assemblés dans la nef.

Bonjour mes frères, mes soeurs,
Nous sommes réunis ce jour pour marcher ensemble sur le chemin de la vertu et de l’amour entre les hommes. J’aurai l’occasion de vous en parler durant l'office, toutefois avant d’écouter la lecture, nous avons besoin de nous faire pardonner pour nos péchés.
Demandons pardon au Très-Haut ! Répétez après moi mes amis.




Mes frères et mes sœurs, il ne suffit pas d’espérer le pardon de Dieu par le simple acte de contrition. Nous devons tous les jours réfléchir à nos actes, nos paroles et nos pensées. Tout ce que nous avons pu faire de contraire à la loi divine, nous devons en demander pardon à Dieu. Il nous faut aller nous confesser régulièrement si nous voulons avoir l’indulgence de Dieu au moment du jugement dernier.

Professons ensemble notre Foi :




Guidonius fit un signe à la Maîtrise qui entonna un très beau chant de Victoria



Pendant ce temps, Guidonius se dirigea ensuite vers l’ambon où il ouvrit le Livre des Vertus



Une fois le chant terminé, Guidonius lut le passage qu’il avait choisi pour ce dimanche :

Aujourd’hui je voudrais vous lire quelques passages de la vie de Saint Martin. C’est un Saint de notre Eglise Aristotélicienne qui vécut du coté du Poitou, là où des escarmouches ont lieu régulièrement.

Citation:

Livre des Vertu, Livre 3 : Des Archanges et Saints Aristotéliciens : Hagiographie de Saint Martin :

A 15 ans, Martinus ayant fait montre d'un goût prononcé pour le métier des armes, son père décide de faire engager son fils comme soldat dans la légion.
Il va y connaître la discipline militaire et la vraie vie de soldat.
Pendant ses temps de repos militaire, on lui confie, ainsi qu'à d'autres légionnaires, un petit lopin de terre pour qu'il le cultive.
Martin commence par annexer, de gré ou de force, les lots de ses voisins, munit son domaine d'une forte palissade de piquets et en fait un sanctuaire où personne ne peut approcher sans risquer son courroux.
Toutes les fois que l'on essaye de le déranger, il sort comme un furieux et se défend pied à pied contre les intrus, si nombreux soient-ils.
La guerre il l'aime et gare à celui qui croisera son glaive !
Il participe à une campagne contre les Germains païens et barbares où il se distingue par son courage et par le nombre d'ennemis qu'il tue de sa main.
Affecté en Gaule, peut-être pour sa connaissance du gaulois, c’est lors d’une de ces rondes de nuit qu’un soir d’hiver 338 à Amiens, il est touché par la grâce.
Sa route croise en effet un vieil homme transi de froid dans la neige. Martin s'approche de lui, doucement. Et Martin le guerrier, celui que tous redoutaient comprend. Il comprend que l'Amitié est plus forte que tout. Devant cet être misérable et résigné à la mort, il connaît l'émerveillement.
Il s'approche du vieillard, tire l'épée du fourreau. Il défait son manteau et le tranche afin de le partager. Sa vie sera désormais consacrée aux pauvres et à Christos.
Mais cette époque est troublée par les incessantes incursions barbares.
En mars 354, Martinus participe à la campagne sur le Rhin contre les Alamans à Rauracum.
Ses nouvelles convictions religieuses lui interdisent de verser le sang et il refuse de se battre. Pour prouver qu’il n’est pas un lâche et qu’il croit à la protection divine, il propose de servir de bouclier humain. Il est enchaîné et exposé à l’ennemi et, pour une raison inexpliquée, les Barbares demandent la paix.
L’année suivante il se fait baptiser à Pâques et entre ainsi dans la grande communauté aristotélicienne.


Je voudrais vous citer encore quelques paroles de Saint Martin :

Citation:
Les batailles perdues se résument souvent en deux mots : trop tard
- J'ai trop aimé la guerre
- Je suis né pour partager l'Amitié et non la haine
- Plus on partage et plus l'on possède


Guidonius referma le livre après s’être signé, puis il le commenta :

Nous venons d’écouter un passage très intéressant du livre des Vertu. Il concerne le premier Saint ayant diffusé la Vrai Foi dans notre Gaule antique, et je vous invite à méditer profondément sur la vie édifiante de ce personnage. Et principalement par les temps qui sont les notre. Voila quelqu’un qui naît dans une famille très aisée, l’argent n’y manque pas. Il peut être promu à tous les postes les plus prestigieux de par sa naissance. La richesse lui est déjà acquise. Or ce jeune homme, guerrier de formation dans sa jeunesse, va nous montrer quel est le vrai chemin que le Très Haut veut que nous empruntions. Il aime la guerre et n’hésite pas à envahir le territoire de son voisin pour aller lui dérober quelque hectare de terre ou quelque ville. C’était un Romain, mais il aurait tut aussi bien put être Artésien. Et cet homme qui passe sa vie à voler, convoiter ce que ses voisins possèdent, qui n’hésite pas à porter le glaive, la désolation et la mort dans les contrées voisines, cet homme va comprendre un beau jour quel doit être le vrai chemin. Il partage son bien avec un malheureux poussé sur les routes par la guerre qui lui-même a mené. Il le réchauffe et lui donne plus que ce qu’il avait pris. Tout comme les Artésiens pourraient nous rendre la mine de Péronne par exemple.
Oui je vous le dit, le chemin de la Vrai Foi passe par le partage avec les autres, et l’abandon de toute envie du bien d’autrui. Méditez la vie merveilleuse de Saint Martin. Ne portez pas le glaive pour voler les terres de votre voisin, sinon le Royaume des Cieux vous sera définitivement fermé. C’est là la leçon de la vie de Saint Martin.

Protégeons donc nos biens, combattons nos ennemis, mais sachons faire preuve du véritable Amour Aristotélicien envers ceux qui ont péchés. Dieu saura leur faire payer au centuple les misères qu’ils apportent.


Guidonius prit quelque temps de silence, observant les quelques réactions des fidèles, pensant que certains auraient du mal à entendre son sermon et à accepter d’aimer des bourguignons ou des artésiens. Puis il alla à l’autel préparer l’offrande pour la communion des fidèles.

Mes frères et mes sœurs, comme l’ont fait avant nous les hommes autour du tombeau d’Oane, partageons ensemble et communions :




Une fois la communion terminée, Guidonius rangea les objets du culte. Pendant ce temps là, la Maîtrise chanta un très beau chant grégorien

Puis Guidonius revint à l’ambon pour une dernière prière :

Prions encore. Unissons nos voix pour prier Dieu de rendre raison à nos agresseurs d’où qu’ils viennent. Et méditons encore ces phrases qu’a prononcé Saint Martin :
-Les batailles perdues se résument souvent en deux mots : trop tard
- J'ai trop aimé la guerre
- Je suis né pour partager l'Amitié et non la haine
- Plus on partage et plus l'on possède


Seigneur, Toi qui voit tout, Toi qui peux tout, aide nos frères à marcher dans le chemin que nous ont tracé Aristote et Christos, aide les Artésiens à retrouver la raison et abandonner leurs envies guerrières. Amen.


Guidonius s’agenouilla devant l’autel puis gagna la sacristie pour ôter ses habits sacerdotaux et gagner le porche de l’église pour s’entretenir avec ses amis et tous les paroissiens.
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Manu95
Les cloches sonnent de bon coeur, tandis que Manu entre dans l'édifice divin accompagner pour la toute première fois d'une petite fille pas plus haute que trois pomme du verger. En silence, tous deux s'installent sur un banc. Le diacre, Guidonius, appel alors les croyants à se repentir de leur pècher, tout en récitant le crédo. Manu fait de même, puis une fois fini il chuchotte à la petite.

Tu voit, c'est très important de se faire pardonner ses fautes par le seigneur.
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