*bombadil*
Les fidèles arrivaient et s'installaient sur les bancs de la cathédrale. La messe allait pouvoir commencer.
Chers fidèles, une nouvelle fois, je vous souhaite la bienvenue en ce jour si particulier, en la cathédrale Saint Mammès. Aujourd'hui, est le jour de la Saint Noël, et un jour si particulier dans la calendrier aristotélicien.
Mais avant de commencer, proclamons notre foi, en récitant le credo.
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait
Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés En la Vie Éternelle.
AMEN
Je ne m'attarderai pas sur la vie de Saint Noël, dont vous connaissez tous l'histoire ; la manière dont cet évêque mis sa vie à la disposition des autres ; du bois et du pain qu'il ramenait pour les plus démunis ; et le miracle des cadeaux qui a fait ce qu'il est aujourd'hui.
Si ce jour est si particulier, c'est parce qu'il est l'anniversaire conjoint de nos deux prophètes. Aristote est né le 24 décembre à midi, tandis que Chrisos naissait à minuit. Et c'est cela que je voudrais que vous gardiez également en mémoire. En ces temps troublé pour la Champagne, où les paroles des prophètes peuvent être perveties, je vous demanderai à vous, fidèles de Langres de ne pas corrompre le message des prophètes, et de ne pas lui donner un sens autre que celui qu'il ont voulu faire passer, qui n'est autre que la volonté divine. Aristote par ses paroles, et Christos par ses actes ont su nous montrer la voie. A mon tour, il m'appartient, avec l'aide du clergé de la paroisse de vous guider vers le Paradis.
Chers fidèles, pour en revenir tout de même à Saint Noël, et aux festivités qui ont été organisées à cette occasion, j'ai une nouvelle à vous annoncer. La buche que vous voyez trôner sur cette autel a été réalisée par une paroissienne.
Bombadil se tourna vers Margaux, et sa mère Myrielle.
Margaux, c'est là un très bel ouvrage que tu as réalisé, et j'ai le plaisir de t'annoncer qu'il a été désigné, par les paroissiens du diocèse (de Langres et de Joinville, donc) comme étant la plus belle bûche de Noël. Toutes mes félicitations.
Bombadil adressa un sourire à la petite fille.
Pour finir, Mes Enfants, célébrons l'Amitié, comme Christos nous l'a appris, en partageant le pain et le vin.
Chers fidèles, allez en paix, et puisse les enseignements de prophètes rester en vos mémoires.
A la fin de la cérémonie, Bombadil essaya de trouver Myrielle et sa fille, afin de leur remettre un prix, célébrant leur participation et leur victoire. Ce ne serait pas grand chose, mais ce serait toujours cela.
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Chers fidèles, une nouvelle fois, je vous souhaite la bienvenue en ce jour si particulier, en la cathédrale Saint Mammès. Aujourd'hui, est le jour de la Saint Noël, et un jour si particulier dans la calendrier aristotélicien.
Mais avant de commencer, proclamons notre foi, en récitant le credo.
Je crois en Dieu, le Très-Haut tout puissant,
Créateur du Ciel et de la Terre,
Des Enfers et du Paradis,
Juge de notre âme à l'heure de la mort.
Et en Aristote, son prophète,
Le fils de Nicomaque et de Phaetis,
Envoyé pour enseigner la sagesse
Et les lois divines de l'Univers aux hommes égarés.
Je crois aussi en Christos,
Né de Maria et de Giosep.
Il a voué sa vie à nous montrer le chemin du Paradis.
C'est ainsi qu'après avoir souffert sous Ponce,
Il est mort dans le martyr pour nous sauver.
Il a rejoint le Soleil où l'attendait
Aristote à la droite du Très-Haut.
Je crois en l'Action Divine;
En la Sainte Église Aristotélicienne Romaine,
Une et Indivisible;
En la communion des Saints;
En la rémission des péchés En la Vie Éternelle.
AMEN
Je ne m'attarderai pas sur la vie de Saint Noël, dont vous connaissez tous l'histoire ; la manière dont cet évêque mis sa vie à la disposition des autres ; du bois et du pain qu'il ramenait pour les plus démunis ; et le miracle des cadeaux qui a fait ce qu'il est aujourd'hui.
Si ce jour est si particulier, c'est parce qu'il est l'anniversaire conjoint de nos deux prophètes. Aristote est né le 24 décembre à midi, tandis que Chrisos naissait à minuit. Et c'est cela que je voudrais que vous gardiez également en mémoire. En ces temps troublé pour la Champagne, où les paroles des prophètes peuvent être perveties, je vous demanderai à vous, fidèles de Langres de ne pas corrompre le message des prophètes, et de ne pas lui donner un sens autre que celui qu'il ont voulu faire passer, qui n'est autre que la volonté divine. Aristote par ses paroles, et Christos par ses actes ont su nous montrer la voie. A mon tour, il m'appartient, avec l'aide du clergé de la paroisse de vous guider vers le Paradis.
Chers fidèles, pour en revenir tout de même à Saint Noël, et aux festivités qui ont été organisées à cette occasion, j'ai une nouvelle à vous annoncer. La buche que vous voyez trôner sur cette autel a été réalisée par une paroissienne.
Bombadil se tourna vers Margaux, et sa mère Myrielle.
Margaux, c'est là un très bel ouvrage que tu as réalisé, et j'ai le plaisir de t'annoncer qu'il a été désigné, par les paroissiens du diocèse (de Langres et de Joinville, donc) comme étant la plus belle bûche de Noël. Toutes mes félicitations.
Bombadil adressa un sourire à la petite fille.
Pour finir, Mes Enfants, célébrons l'Amitié, comme Christos nous l'a appris, en partageant le pain et le vin.
Chers fidèles, allez en paix, et puisse les enseignements de prophètes rester en vos mémoires.
A la fin de la cérémonie, Bombadil essaya de trouver Myrielle et sa fille, afin de leur remettre un prix, célébrant leur participation et leur victoire. Ce ne serait pas grand chose, mais ce serait toujours cela.
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