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[RP]Intronisation du Roy d'armes de France

Jason


[A la suite du RA]

Mes frères et soeurs, je crois que c'est le moment.
Allons y et faisons honneur à sa Majesté le Roy.
AVANTI !


Maine avait suivit le Roy d'Armes et avait un peu bousculé les rangs des hérauts, pour être au plus près du Roy.

Veuillez m'excuser chers collégues, protection rapprochée du Roy qu'il donnait pour être au plus près.

Les Hérauts lui laissaient la place, tous connaissait son statut de Lieutenant de la Garde Royale et de la protection qu'il devait assurer.

Maine fut ainsi au plus près, la main prête a défourailler au cas ou, un importun s'aventurait de trop près

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[url=http://www.heraldique-europeenne.org]en cours de modifiation
Llyr


Le Roy est là !
Le silence l'a précédé
Si ce n'est la salle, Je suis en émoi
C'est le jour, c'est le moment de vérité

Souffler un bon coup
Ne pas tergiverser
Etre solennel de bout en bout
Voici le roy face à lui pret à sceller

Son destin est maintenant entre ses mains
Pas question de repas ou de faire le malin
Attendre qu'il prenne la parole
Comme ivre d'émotion comme épris de gnôle.

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Llyr


Sourire en coin.
Un coup d'oeil a droite
Un coup d'oeil a gauche
Tout le monde est là.

C'est que sa Majesté manie parfaitement l'Art du suspens.
Ou alors celui de ce faire désirer.
Ce qui l'un dans l'autre revient peu ou prou au même pour l'occasion.

Vivement qu'on en finisse !

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P3r3v3rt
Au moment ou il allait répondre à la Duchesse d'Amboise, on annonça l'arrivée du Roy et demanda le silence...Pas de chance.
Il la regarda d'un air désolé, mais tout en laissant sous entendre qu'il ne fallait surtout pas qu'elle s'éloigne.
La Roy ne semblait point arriver, un joyeux plaisantin aurait il fait une farce en annonçant sa majesté?

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Thibaud
Les secondes paraissaient être des heures, et son corps ne put que se résoudre à souffrir en silence. En effet, des fourmillements vinrent se faire ressentir à l'intérieur de ses muscles, et son cou connaissait une douleur assez dérangeante. Thibaud secoua la teste tout en craquant avec légèreté ses doigts, contempla avec ennui son collègue de l'Assemblée, puis attendit patiemment à ce que la cérémonie commence.

Et on dit que la patience est une vertu : c'est surtout de la connerie à l'état pur.
Arnaut_de_malemort
Le beau Arnaut avait vu sa mère quitter prestement le lieu de la cérémonie pour se rendre dans un endroit inconnu de son fils. Pour que sa mère se déplace, il fallait que ça soit important. Mais le plus beau dans l’histoire, c’est que son parfum sublimait tellement les autres, qu’en virevoltant, on ne pu percevoir dans la salle plus que son unique et douce effluve malemortienne. Ah y-a pas à dire, elle est vraiment trop forte cette Nebisa. Plus que jamais, il était fier d’être son fils. Finalement, tout était rentré dans l’ordre. Le roy n’était toujours pas là. Le temps ralentissait, et la cérémonie s’étirait en longueur, alors que le roi d’arme et son équipe de héraut étaient prêts.

Enfin… Si la nature a doté les enfants d’une plus grande innocence que les adultes, il n’en vaut pas de même pour la vessie. Arnaut approcha sa main de son bas-ventre, légèrement gonflé. Ciel serait-il enceinte ? Non. Quand on est enceinte, on est chiante. Enfin le pensait-il après la longue expérience de sa mère niveau grossesse. Arnaut était loin d’être odieux. Après avoir éliminé cette piste, il ne restait donc plus que la vessie pleine. Déduction tout à fait surprenante si on prend en compte le fait qu’Arnaut ignore tout de l’appareil urinaire, jusqu’à l’existence même de la vessie. Comme tous les garnements de sont âge, pas très organisé, très impulsif, l’idée ne lui était même venu de prendre ses précautions avant. Et là BAM ! ça arrive d’un coup. Ce n’est pas la première fois. Dimanche dernier, ce fut à la messe. C’est souvent quand il s’ennui d’ailleurs. Bizarre. Posté à coté de sa mère, en première ligne évidemment, au coté de tous les membres de la maison du roi, il tracta légèrement sur la robe de sa mère, lui faisant signe de s’abaisser à son niveau. Une fois fait, il lui murmura :


-« C’est quand qu’il arrive le roi, j’ai envie d’pissoyer moi ! »
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Felian
Tous les membres présents du collège s'étaient mis en place pour le cortège. L'on n'attendait plus que le Roy fût prêt. Dans la salle, où il n'y avait plus suffisamment de place pour que tout le monde s'assît, l'on discutait, et la rumeur des voix passait les portes pour bourdonner autour du cortège. Chacun vérifiait qu'il fût présentable : vêture sans défaut, couvre-chef bien posé. Ce jour, la cour en son entier poserait les yeux sur chaque héraut, sur chaque garde, et surtout, sur le Roy. Et chacun sait qu'un roi est plus beau lorsqu'il est accompagné des ors de la royauté, de la même façon que les servants d'autel en surplis, serviteurs inutiles du divin Roy, comme tout homme sur Terre, participent du mystère de la divinité par la beauté de la liturgie. Felian ressentait ainsi participer, pour une petite part, de la grandeur de la royauté, qui s'exprimait, justement, au travers de telles représentations du pouvoir royal.

Le Roy était prêt, les huissiers de chaque côté de la porte l'ouvrirent et le cortège royal commença d'avancer. Le maître de cérémonies annonça, comme d'usage, l'entrée du Roy. Un silence presque religieux tomba sur l'assemblée qui s'inclinait en respect pour le souverain, tout en gardant la tête de telle sorte que chacun put voir le visage du Roy. Au fond de la salle se tenait déjà Llyr, fier comme Artaban, revêtu des insigne de son office. Les hérauts s'avançaient. Les deux colonnes s'écartèrent pour former une haie en l'honneur du Roy qui passait au milieu d'eux. Lorsqu'une personne reçoit un honneur extrème, il est souvent dans un état second : il conserve ses capacités d'action, mais sa réflexion est inhibée par un état d'enchantement. Felian, droit dans son tabart, arborant le caducée aux armes de France, était dans cet état lorsque le Roy passa devant lui. L'enchantement passa et se mua en une certaine allégresse. Les hérauts reprirent leur marche, une fois le Roy passé, et s'installèrent aux places qui leur étaient réservées, au premier rang.

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Levan
Le silence. Quel plaisir plus grand que celui de pouvoir engendrer le silence par sa seule présence, et l'augmenter par la seule puissance de son propre silence ? Un roi a ses petits loisirs : celui-ci en était un, et non négligeable. Le second étant de savoir de façon certaine que les gens se demandaient si c'était dû à de la distraction ou à une sorte de préméditation.

Mestre Llyr, à vous qui si souvent avez choisi le vin que nous buvions, ce jour, c'est nous qui allons vous en verser... Sur la tête. Nous attendons votre serment.

Un page s'avança, tenant une auguillère, laquelle était accompagnée d'un bref message qu'il remis à Llyr, comme il en avait reçu l'ordre.

Citation:
Si de corps ne suis ici, acceptez que je le sois par délégation, dans ce vin que mes terres engendrent.

AdM


L'aiguillère contenait, on s'en serait douté, du Corton Charlemagne.
Llyr


Lecture du bout de papier, sourire amusé.
Nous y sommes se dit le Cygne.
Une grande inspiration, un moment de latence
Il se jette à l'eau, où plutôt au devant du vin.

Genou en terre.
Main droite sur les saintes écritures.

Nous, LLyr di Maggio et d'Astralgan, connu jusqu'à ce jour en chapelle Saint Antoine le Petit sous la dénomination de « Touraine », Duc du Lavardin, Baron du Gault-Perche, Premier Maistre d'Hostel de votre Majesté, devant vous et cette noble assemblée, faisons sur les Sainctes Ecritures Aristotéliciennes notre serment de remplir féalement et loyalement notre office.

Ainsi, nous promettons de veiller à être objectif, droit, neutre, diplomate, érudit, assidu à notre tâche, et, bien sûr, fidèle à Vostre Majesté, Roy de France, vous, Lévan le troisième de Normandie.

Egalement, nous assurons que nous continuerons à défendre les droits de la noblesse françoise, de veiller à ce qu'elle puisse pleinement profiter de ses droits et à ce qu'elle ne faillisse pas à ses devoirs, et enfin, nous faisons également le serment de toujours sauvegarder le haut mérite de la Noblesse du Royaume de France.

Dieu m'en soit Témoin.



Ca y est tout est dit ?
On peut mourir après ça ?

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Thomasdeclerel
Le Maréchal d'armes mêlé au groupe des hérauts suivait la cérémonie d'un œil attentif afin de ne pas rater son tour.
Regardant tour à tour le Roy d'armes et le Roy de France, qui faisait mentir ce jour la sagesse populaire qui disait "jamais deux sans trois" , car il n'y avait que deux Roy, et les personnes présentent.

Bref, le Duc de Dun-le-Roy s'approcha à pas lent du Roy d'armes, lui retira tout aussi lentement son tabard de héraut de Touraine, lui reprit ses caducées de petit héraut tourangeau et finit son œuvre, les bras chargées, en se reculant d'un pas.

La cérémonie aurait été plus assurément plus distrayante si les Roy d'armes étaient ensuite baptisé avec un vin infect du Languedoc, mais malheureusement l'idée n'avait pas encore fait son chemin.

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Evvela
Est-il nécessaire de dire que la simple vu de la haute stature familière réconforta la gamine au delà de toute espérance ? D'ajouter que les vibrations de sa voix dans sa poitrine furent comme de ces massages impalpables qui vous apaise ?

Est-il utile de préciser que cette embrassade la secoua comme de ces marques d'affection dont elle avait même oubliée la possibilité ? Sans oublier l'extrême impression d'être pile poil à l'endroit où il ne faudrait pas quand tomba sur elle le regard d'une cohorte curieuse à l'annonce de paternité de Llyr, la faisant presque autan rougir que sa fièvre et les vingt-cinq plaques rouges qui lui grillaient la peau.

Est-il superflu de trahir la pudeur de la mioche qui, une fois placée en salle par les bons soins d'Auvergne, hoqueta de sanglots à cette figure paternelle retrouvée, une enfin, qui après des années à présent remplissait ce rôle comme il se doit, non plus en simple pitié ou commisération mais peut être en amour véritable ?

Est-il digne de palabrer sur la délicate attention du sus-nommé Auvergne qui les fit placer au premier rang, sans quoi les filles n'auraient rien vu de la cérémonie et auraient manquées l'occasion de se trouver en pleine ligne de mire du reste de l'assemblée, qui put, à loisir, constater de l'extrême désobligeance esthétique du duo ? On ne change pas de Cour si aisément, celle des Miracles n'ayant guère la même échelle de valeur que celle du Louvre.

Est-il raisonnable d'en rajouter en disant que de la présence royale, la grande ne s'en aperçût guère d'entre ses cils en rideau et que la petite n'en eut cure à tel point qu'elle ne compris pas qui était le bonhomme en robe bleue qui parlait si fort ? Certes cela changeait des ripaults attroupés derrière n'ayant fait le déplacement que dans le simple but de dire '' Je l'ai vu ! ''

Serait-il correct, enfin, de les accabler d'avantage, alors que la cérémonie s'étirait en longueur, Evvela au bord d'un précipice de torpeur et Miette baladant le regard alentours sans lâcher la main de sa comparse, balançant ses gambettes dans le vide sous son banc, faisant ainsi trembloter toute la rangée ?...

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J'ai 10 ans ! Si tu m'crois pas, hé !...

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