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[RP]Intronisation du Roy d'armes de France

Majda_eulalie
Les murmures enflaient puis s'estompaient, la Cour dans toute sa splendeur. Certains se faisant voir, paradant tels des paons, donnant de la voix et s'amusant à des jeux de mots pour mettre mal à l'aise certaines personnes moins habituées. Sourire amusée de la jeune maure.

Vêtue de blanc, assise parmi les élèves, elle tente de passer inaperçu surtout. Llyr... un ami de feu son père... La jeune maure a hâte de le voir paraître. Son père lui en avait parlé mais elle ne l'a jamais rencontré. Peut-être avec un peu de chance, pourrait-elle le voir de sa place, et même qui sait, échanger quelques mots avec lui.

Bref soupir de la jeune baronne. Peu de chance que cela arrive, et ils sont là à perdre leur temps, pour "se montrer" et montrer les élèves du Collège Saint Louis, tels des marionnettes que les professeurs dirigent. A quand les vrais cours utiles ? Le paraître n'est pas son fort. La languedocienne dont le sang des Shaggash coule dans les veines, n'est pas du genre à faire dans la dentelle, mais plutôt à trancher dans le vif. Elle étouffe un discret bâillement derrière sa main gantée de blanc, attendant que la cérémonie débute enfin. Ils sont arrivés trop tôt, Sa Majesté ne pouvant évidemment pas être en retard, c'est que tous sont arrivés trop tôt...

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Aranwae


Il partageait son ironie, luy quy aimait à se moquer sans jà maudire de ses ouailles. Il considérait le rire comme salvateur et outil vers l'amitié aristotélicienne sy tant menacé par moment.

Je suy fort contri d'avoir à vous décevoir car non, ma foy, je n'ai jamais eu l'onnour d'encontrer le Roy de France. Aussy serai je bien mal avisé de vous porter quelques conseils nous portant au hontage.

Aranwaë n'aimait poinct estre prit en défaut mais l'homme estoit charmant et luy rappelait ses débuts, lorsqu'il n'hésitait poinct à piétiner ses ennemis. Avec le temps, le prélat eut tost fait de comprendre que c'estoit ces marauds là quy faisoient les héros d'Eglise, les hommes inscrits en le marbre, ceux quy faisoient et défaisoient l'Histoire. Aussy composait il avec eux orain afin d'amener humblement sa pierre à la lourde oeuvre qu'estoit l'Histoire de l'Eglise Aristotélicienne Romaine.

Et vous ? Est ce la première foys que vous venez à Paris ?

Il se remembra alors son encontre avec Beeky et un voile noir de tristesse passa fugitivement en son regard. Leur séjour en son hostel particulier, non loin de Nostre Dame, à mi-chemin entre la tour Saint Jacques et l'Isle, avoit esté un délice et pourtant autre que luy en jouïssait jourd'huis. Le temps passant luy arrachait ses amitiés, ses amys, ses amours aussy. Qu'en estoit il de ce terrain en la forêt helvêtique ? La maison estoit elle encor habitée ? Nul ne le savait.

Hum... Quy doit faire ses preuves... Ouy, certes, chaque jour nous devons nous y employer...

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Arnaut_de_malemort
Nebisa le lova de son regard ; puis, d’un de ces gestes tendres et discret qui, en public, révèlent la prime nature d’une mère, elle lui caressa la joue et lui chuchota des mots à l’oreille. La gaieté d’un oiseau en cage chantait dans sa voix. Ses yeux, victime de cette douce mélodie, y répondirent d’un éclat sans pareil. Avant de laisser sa mère retirer, il lui glissa lui aussi tout bas :

-« C’est un grand privilège que vous me faites là mère, et cela mérite bien une flopée de baiser dont seul votre fils a le secret. Je vous en garde pour plutard. »

Un petit sourire malicieux pour clôturer ce moment intime et sincère, qui n’aurait d’égal que la suite, malheureusement plus tardive. Reprenant une posture plus convenable, il dit :

- « Le collège ? Et bien tu vois… »

S'interrogeant un peu plus chaque jour de la présence de certains élèves, il désirait vivement aborder le sujet avec la plus haute responsable. Mais il s’agissait aujourd’hui d’un jour de fête. Sa tendresse était infinie pour cette mère, dont la personnalité avait marqué un tournant décisif dans sa vie. Lui qui se croyait empli de si rare qualité, mais muni de si noble inspiration, il ne se résolvait pas à contrarier sa mère. Il repris :

- « Et bien tu vois, j’en suis fort satisfait. Dame Nennya, notre rectrice fait preuve d’un incroyable professionnalisme, tout comme les professeurs. Je goûte les leçons avec grand plaisir, mais j’attends impatiemment d’entrer dans le deuxième ou le troisième trivium, qui seront assurément plus exigeant. Mais dites-moi, suis-je assez digne d’être votre fils ? »

Il afficha un petit sourire espiègle. Ne pouvant profiter de la douceur de sa mère, il se retrancha sur des paroles rassurantes.
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Aymeric_de_saunhac
Nous voila arrivés à l’endroit où devrait avoir lieu la cérémonie. Forcement, comme à chaque fois qu’il doit se passer quelque chose d’important, j’ai le droit à un petit discours que je commence à connaitre par cœur. Enfin presque… non pas du tout en fait je l’oublie à chaque fois. Étrange comme ces choses entre et sortent par une oreille.

« Il y aura beaucoup de gens importants à cette cérémonie, Aymeric. Tiens toi droit, ne te fais pas remarquer, ne te mouches pas dans ta manche. Si quelqu'un te parle, fais la révérence et réponds en baissant les yeux. »

Gniagniagnia toujours la même chose, Aymeric fait pas ça, Aymeric fait pas si. Aymeric ne fait surtout pas ça, il ne faut pas, c’est mal. Quoi que je fasse, je le fais mal de toute façon. Mieux vaut rester droit et ne pas bouger. Au moins je ne serai pas privé de viande au retour cette fois-ci…

« Va rejoindre tes camarades sur le banc réservé, je t'attends ici à la fin de la cérémonie, et nous reparlerons de cette prochaine chasse. »

Comment ça « va rejoindre » pourquoi « va » et pas « on » ? Je ne veux pas entrer seul ici moi… et encore rejoindre mes « camarades ».

- (Aymeric) : Tu ne viens pas avec moi ? Si tu restes ici j’y reste aussi. Hors de question que j’entre tout seul ici ! (baisse la tête)

À coup sûr si j’entre seul ici on va me regarder étrangement comme d’habitude… Au moins à deux je me sens moins seul puis les regards peuvent être tournés vers la personne qui m’accompagne, pas nécessairement sur moi.
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Mariealice
Elle se retint de sourire à la présentation de Valnor. Non pour la liste des titres mais pour ce qui était arrivé juste après le léger temps de pause. Son cavalier, oui oui oui. Décidément elle l'aimait beaucoup cet homme là et elle avait été ravie de le voir entrer à la Pairie.

Son regard se reporta sur les deux soeurs devant elle, aussi semblable qu'il était possible.


J'ignore pratiquement tout ce qu'il se passe en Empire. Dès lors, il n'est nullement étrange que je ne connaisse point votre père. Et qui plus est je ne me souviens pas l'avoir jamais rencontré où que ce soit. Comme vous le voyez, rien d'étonnant à cette situation.

Elle hocha la tête à l'information concernant Daresha.

Voici longtemps que je n'ai vu votre grand tante mais votre oncle Adrian, son fils donc, lui je le croise régulièrement.

Enchantée demoiselle Héloise. Cependant je crains qu'une chose vous ait échappé. Un chaperon est une personne adulte. Dès lors vous ne pouvez point l'être l'une de l'autre. Avec qui êtes-vous venues toutes deux?


Regard se reportant sur la foule, se demandant de plus en plus où se trouvaient les responsables de ces jeunes filles.
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Heloise_marie
Héloise se rapprocha de sa sœur et serra son bras délicatement. Ses yeux étaient brillants et ses lèvres pouvaient presque trembler d’excitation. La jeune fille regarda le couple une nouvelle fois et inclina la tête dès lors qu’Aurore la présenta. A nouveau légère inclinaison du visage lorsque le messire qui accompagnait Marie Alice se présenta. C’était son cavalier. A ce mot, ses yeux se tournèrent vers l’arrière de la salle où se trouvait Jehan qui l’accompagnait apparemment à cette soirée ainsi qu’Hervald qui désirait être son cavalier.

En quelque seconde elle les chercha de ses yeux bleus mais ne vit personne. Ses mains prirent les dentelles du bas de son corset et elle écouta les dires de Marie Alice. Elle non plus ne savait point ce qu’il se passait en franche Comté, elle y avait passé si peu de temps. Oh oui certes étant jeune elle en avait sans doute passé plus qu’elle ne se l’imaginait, mais aussi loin que remontaient ses souvenirs, elle ne parvenait plus à se revoir petite, avec ses parents et sa sœur ci et là. Ni même des événements qui s’y passaient. Son précepteur avait été un moine en Savoie. Pourquoi là-bas elle ne le savait, mais depuis ce moment les événements de la Franche Comté et donc, ceux de son père, n’avaient été que brièvement expliqués dans les lettres que sa mère lui envoyait.

Daresha en plus, Héloise ne l’avait jamais vue. Encore moins son oncle… hein ? Mais Adrian n’était point leur oncle. Simplement leur petit cousin. Qu’elles n’avaient jamais rencontré non plus, ou alors dans un lointain passé et elle ne s’en souvenait pas. Malgré ça il fallait faire bonne figure. Se raclant légèrement la gorge, Héloise replaça une mèche de ses cheveux qui s’était échappée du filet derrière son oreille et glissa ses doigts le long de son collier d’un air totalement distrait.

Accompagnant sa parole d’une légère révérence, la jeune fille sourit.
Je suis enchantée aussi de faire votre connaissance...

Pardonnez-moi, votre grasce, mais Adrian est notre petit cousin. Nous n’avons point encore eu la chance de le croiser hélas.
Nous sommes élèves du collège Saint Louis. Mais nous sommes également ici pour représenter Le Prince de Condé, notre grand oncle le prince Uruk De Margny- Riddermark qui ne peut pas nous faire profiter de sa présence ce soir. Nous sommes donc notre propre chaperon, bien que comme vous nous l’avez expliqué, la tâche incomberait ici au prince…
puis ajouta un peu plus bas, plus forcée par sa conscience qu’autre chose… ou à la rectrice Nennya. Une légèrement grimace. Non pas qu’elle n’ait point du respect pour la rectrice loin de là. Juste que devoir les forcer à rester tout derrière alors que le Roy allait venir. Alors, voyant que la Dame d’Alterac semblait chercher du regard une échappatoire, la jeune fille pris sa sœur par le bras et lui montra deux places à l’avant de la foule juste apparemment parfaites pour elles.

Mais nous n’allons point vous importuner plus longtemps votre grasce…
Elle inclina poliment la tête et salua tant la Dame que son cavalier.
Je vous souhaite une bonne soirée.
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Llyr
Suite à la remarque du héraut Mnémosyne, l'on vint le chercher pour l'amener au futur Roy d'Armes de France

Lorsqu'il appit la boulette, la bévue, pis l'outrage fait à la Hérauderie il ne put que s'exprimer vertement contre le Maistre de cérémonie et sur le fait qu'il faut toujours faire les choses soit même si elles veulent être bien faites si l'on ne connait pas les compétences des gens et donc la confiance qu'on peut leur preter.

Un coup de semonce qui du fait de sa voix de stentor porta, mais tout de même pas au point de surpasser le brouhaha ambiant de la salle voisine.

Il demanda à
Mnémoysne de faire diligence pour qu'un maximum de Hérauts puissent être présent.

Après tout cette cérémonie étaient d'abord la leurs bien avant d'être la sienne ou celle des autres. Il était tout bonnement inconcévable et déraisonnable que les hérauts ne soient pas là en nombre et aux premières loges. Surtout en présence du Roy. Un esprit chagrin y verrait un camoufler pour sa Majesté de la Part de la Hérauderie. une honte ni plus ni moins, une affamie.

Si sa Majesté venait ce n'était pas pour lui, enfin pas que, mais surtout pour montrer son soutien à cette institution héraldique.

En remercier son héraut de l'avoir prévenu et de faire de le nécessaire avec son aval, il fit quérir le maistre dé cérémonie avec ces mots


Qu'on aille me cherche Messire Ursin le grand maistre de cérémonie, FISSA et j'espère qu'il aura la présence d'esprit de présenter des excuses franches et honnetes à l'ensemble des Hérauts de France pour cette bévue !

Il se rassit la colère l'habitait toujours, il fallait qu'il se calme avant que le chargé d'office n'arrive. Cela valait mieux, pour eux deux.

Une petite voix le tira de son état délétere.

Miette que fais tu ici ?

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Morkar
Une voix, dans la salle d'à coté... Estienne, seul alors, avec son caducée de Minerve à la main, remarqua Mnémosyne qui marchait rapidement vers l'origine de ce cri, dont le timbre était connu par Morkar. Il constata que Llyr di Maggio, en tenue d'une grande simplicité mais d'ors et déja investi par la grandeur de son rôle, peinait à décolérer. Il s'avança vers lui, un sourire non feint.

- MontJoie, votre fureur ferait écrouler presque le Louvre, si le castel n'en avait point déja vu d'autres.
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Llyr
Aaaah Minerve ! Bateleur ! Je crois que je vais trucider quelqu'un !
La salle est comble a coté, le roy proche et on m'informe que les Hérauts hors pairs n'ont pas été prevenus alors que cette cérémonie est à leur intention et que le Roy vient pour affirmer et confirmer le rôle de la Hérauderie et part la même plébisciter les hérauts.

Pis, il semble que des collèges nobiliaires entiers voir carrément des provinces n'ont pas été prevenus : la Touraine en tête, le Languedoc entre autre.

Croyez bien qu'il va y avoir des explications et des demandes d'excuses publiques pour cela. Faire cela au Roy ! Mortbleu !


La dague de lancée se figea sur la table proche. Une mouche vint par hasard total comme il convient dans ce genre de situation tendu et pour que l'air se charge un peu plus de Destin possible d'y passer...
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Morkar
Regard vers la dague, mais point d'inquiétude, ni dans les yeux, ni dans le ton...

- Le Collège n'est pas prévenu ? En voilà une sévère...

Il regarda Llyr, qui se défrisait avec son énervement

- Je n'ai aucun souvenir de comment j'ai été prévenu, je dois reconnaitre que c'est plus le Pair de France que le Héraut qui a dû être mis au courant. J'avoue donc que je partage votre... incompréhension.

Il s'approcha, et le ton finit par devenir plus amical.

- Mundo, cette journée ne saurait être gâché par quelques retards épistolaires. Sois convaincu qu'une explication, et probablement des excuses, arriveront. Et je pense sans trop me tromper que les discussions qui animent actuellement le Collège ont poussé nombres de nos collègues à demeurer dans les environs de Paris. Ils sauront probablement arrivés rapidement.

Il brandit son caducée.

- Et quitte à être seul, je ferai moi même la haie d'honneur aux caducées.

Il rit en voyant Llyr mangé par sa tension et ses inquiétudes.

- Et puis, cesse donc de te faner sous les coups de ton appréhension. Nulle femme ne voudrait d'un barbon grisonnant et en proie à des craintes sans fins. On dirait un jeune fiancé avant ses noces. Hé hé !
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Thibaud
Une terre inconnue que ce Louvre en effervescence. Les acteurs, quant à eux, restaient toujours les mesmes, se vautrant dans les bonnes manières des diners mondains et des cérémonies fastueuses. Les nobles piaillaient, les ecclésiastiques échangeaient, les gamins s'aventuraient sur les chemins de la complicité et du rire, tandis que les protagonistes principaux se faisaient attendre. Un tableau que l'on voyait souvent quand on faisait partie de la toile.

Peut-être que ce beau monde était en avance ? En tout cas, il avait haste de voir apparaître le Roy ainsi que celui qu'il allait instruire.
Peut-être un temps précis d'attente, une bévue dans l'organisation ? Tant de complications qui entraînent des dysfonctionnements.

Thibaud, lui, pouvait se contenter de la présence d'un être qu'il connaissait. Imaginez un seul instanct celui qui n'aperçoit aucun visage familier dans une cérémonie de telle envergure. Le temps lui paraîtrait long et la fatigue gagnerait ses yeux à une vitesse considérable.

L'Archevêque de Malines conversait avec le prélat de Lisieux. En fin de compte, leurs circonscriptions n'étaient pas lointaines l'une de l'autre. Celui-ci lui avoua n'avoir jamais rencontré le Roy, ce qui mit à plat le possible enseignement protocolaire. Tant pis, il improvisera et fera comme tout le monde.


Et vous ? Est ce la première foys que vous venez à Paris ?

Ce n'est point la première fois, mais nous n'y sommes pas resté longtemps. Paris ne fut qu'une étape pour nous rendre à Ségur, afin de participer aux fiançailles d'une Malemort. La visite s'est cantonnée qu'aux alentours de Nostre Dame, mais nous comptons pénétrer en son sein avant de rentrer en Flandre, et ce, après la fin de cette intronisation cela va de soit. *Léger sourire, regard interrogateur se posant sur son interlocuteur, puis questionnement* Et vous cher confrère ?
Ursin
Le grand maitre des cérémonies de France voyait se succéder les entrées, des petits groupes se constituaient, et discutaient alors que le Roy allait faire son entrée lorsqu'il eu connaissance que e le futur Roy d'Arme tonnait à son encontre.
Il quitta la salle pour se rendre auprès de llyr


Messire Roy d'arme que me vaut donc votre colère ?
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Flex
Une réunion de noble à Paris-même ? Enguerrand n'avait reçu aucune invitation. Par-fait ! Dans ce cas là, autant s'incruster, tout comme il avait eu la même audace à la chasse de Ségur. Rien de tel pour se montrer auprès des autres, et de se changer les idées avant de quitter la France pour rejoindre Arles et la guerre en Provence.
« - Je veux rencontrer des nobles. De la belle noblesse, autant femelle que mâle qu'il approcherait sans gène. Sa fille avait l'âge de se marier, il ferrait d'une pierre deux coups. Il mettrait les deux pieds à cette prestigieuse cérémonie sans réellement se préparer, bien qu'il avait soigné sa tenue vestimentaire et complètement rasé son visage mutilé, le jeune Mirandole partait à l'aventure de l'inconnu.

La langue du Parisien résonnait pittoresque : elle n'était pas autant chantée que le patois du Sud, ou hurlée comme en Bourgogne. Ça l'agaçait énormément, et de ne pas suffisamment se faire saluer quand il quitta sa calèche pour rejoindre l'entrée du Louvres. En effet, des tas de paysans lui avait bloqué l'avancée et il dû continuer à pied.

Dégagez les pécores ! Plaaaace ! Plusieurs fois ses bottes venaient s'essuyer sur des visages pleins de boue.

Le jeune Mirandole connaissait que de peu le duc du Lavardin. Mais il ne demandait qu'à le découvrir, en dehors des festivités que Llyr préparait dans son domaine. Il songeait à se présenter convenablement, quand un garde vint s'interposer sur son chemin. Le premier poste qu'il fallait franchir pour passer le pont-levis est qui donnerait immédiatement sur la cour. Un brouhaha se dégageait des fenêtres, comme si une dispute commençait.
De Mirandole se signa, et l'air odieux qui s'affichait sur son visage, en plus d'être borgne et balafré, lui permit d'entrer sans crainte au lieu dit. Son regard attiré par un comte porteur de caducées aussi noires que la peau de son esclave Africain, Enguerrand péta plus haut que son cul et, d'un geste gracieux du chef, puis de sa main qui se voulait du salut, demanda.

Si vous pourriez annoncer la présence de Enguerrand de la Mirandole et de Dublith, vous me rendriez service en faisant le vôtre. »
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Llyr
Citation:
On dirait un jeune fiancé avant ses noces.
Pour le coup la boutade le déride ou plutôt le décolère.
Parles pour toi mon vieil ami.

De la colère on passe au taquin
On verra dans quel petits souliers tu seras d'ici peu. mais tu as raison même si la sitaution m'ennuie au possible, tous les hérauts sont sur Paris actuellement au vu de la refonte héraldique. C'est une chance que nous soyons dans cette affaire.

Puis vint l'arrivée du Grand Maistre de Cérémonie.
Vous tombez bien oui. Point de colère, juste de l'incompréhension.
L'on m'informe que les Hérauts, membres plus qu'importants et indispensanble n'ont pas été prevenus. Je ne parle pas ici d'invitation mais bien de les prévenir que leurs présence est clairement ici.

Lorsqu'on me dit "votre intronisation va avoir lieu, nous nous occuponbs de tout" dans le "tout" dois je comprendre hors hérauts, roy, gardes et autres noblesse de France ? Ou ai je mal compris et c'est donc à moi de faire les invitations et autres acte de présence demandée pour l'ensemble des offices royaux ?

Je ne sais pas si vous vous rendez vraiment compte de la panade dans laquelle nous sommes. Le roy va arriver d'ici peu et les hérauts sont au compte goutte pour la cérémonie.

Que va donc penser sa Majesté ? Que la Hérauderie le conchie ? Diable ! Morbleu ! Pisse sang froid !

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Ursin
votre grâce comprenez bien mon embarras, les invitations ont été lancées aux Pairs de France, Grand feudataires et grands officiers de la couronne.
Les hérauts n'ont par ailleurs pas à êtres invités à une cérémonie à laquelle ils ont le devoir de se rendre de par leur fonction
Pour ce qui est des membres de la gardes Royale vous comprendrez j'en suis certain qu'il ne m'appartient pas de convier des personnes qui se doivent de connaitre aussi bien que moi les activités de leur souverain et qui ne relèvent pas de mon office mais de celui du Grand Prévôt de France, et je ne doute pas un seul instant et d'ailleurs ne me permettrait pas de douter de la bonne tenue de son office.
Pour ce qui est de la noblesse de France elle est présente de part les feudataires du Royaume.
J'espère vous avoir éclairé votre grâce, et croyez bien que nous ferons ce qui est de notre office pour pourvoir au bon déroulement de cette cérémonie.

Permettez moi de retourner promptement dans la salle ou la cérémonie va se dérouler.
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