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[RP] L'Unique et Légendaire Lac de Fougères...

Samuel13
Sam avait entendu quelqu'un s'approcher... un pas qu'il aurait reconnu entre mille... un pas léger tout en douceur et ce léger parfum... il la reconnut instantanément...Lem.
Il ne bougea pas, elle s'allongea à côté de lui et il tendit la main pour prendre sa main dans la sienne...
Pailettedargent
Pailette se promenait le long des bords du lac ,elle s'ennuyait,ne savait que faire ...Elle se pencha pour essayer de voir le fond du lac et s'asseya un instant a contempler la nature,tout en réfléchissant....
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Lempickam
Lem n'était pas venue au lac depuis quelques jours déjà. Elle avait du temps devant elle et décide d'y aller. Elle était toujours autant émerveiller par la beauté de cet endroit et surtout du calme qu'il y règne...
Elle s'installe dans un petit coin au soleil et s'allonge dans l'herbe.
Elle pense beaucoup à sa sœur qui ne va pas très bien en ce moment... Elle pense aussi a la vie qui l'attend ici, bientôt elle emménagera à Fougère et y fera sa vie du moins elle l'espère...
Elle reste ici allongée dans l'herbe a profité un peu du soleil...
Samuel13
Sam décida de se rendre au lac très tôt, il avait besoin d'air frais et de calme et c'était l'endroit idéal pour ça. Profitant du fait qu'il n'y ait personne il ota sa chemise et ses bottes et plongea dans l'eau glacée du lac, l'eau froide lui ferait surement du bien.
Il sortit quelques minutes plus tard, se sécha et se rhabilla, puis s'allongea sur l'herbe. Autant profiter des premiers rayons de soleil, il n'était de toute façon pas en état de travailler ni de faire quoique ce soit.
Il laissa aller ses pensées à celle qu'il aimait, à ses amis qui étaient partis en Provence et qui lui manquaient déjà, à son fils qui était sûrement quelque part, à son frère parti trop tôt... encore à elle, elle représentait tant à ses yeux, elle était tout pour lui. C'était la femme de sa vie il le savait, il voulait passer chaque seconde avec elle et il espérait que c'était reciproque...
Lempickam
Lem se promenais et passe pas le lac, elle n'avait pas l'intention de s'y arrêter mais elle était curieuse de savoir qui était en train de se baigner de si bonne heure... Intriguer elle regarde de plus prêt et s'aperçois que c'est Sam qui est dans le lac. Elle s' avance doucement, le regarde et hésite un instant à le rejoindre...
Elle s'avance doucement sans faire de bruit et s'allonge dans l'herbe contre lui...
Titi18
Titi arriva au lac, elle n'été pas venu depuis la derniere fois avec Josi,
elle se promena pendant un long moment,
puis decida de s'allonger dans l'herbe en pensant a lui,
il lui manquer enormement, elle avait des larmes qui couler sur son visage,
elle resta la pendant des heures a penser qu'il valait peut etre mieux qu'elle reprenne la route,
et faire un tres tres long voyage...
Elsie.
Un lac... le visage de la rousse s'illumina lorsqu'elle sortit du sous bois et découvrit l'étendue d'eau. Elle pensa à celui de St Brieuc, et aux dernières aventures qu'elle y avait vécu, un sourire accompagnant chacune de ses pensées. Elle s'approcha, s'accroupit et plongea sa main quelques secondes dans l'eau fraîche, un long soupire de contentement accompagnant son geste.

Elle se redressa légèrement puis prit place sur la berge. Nul doute que si il était là, il prendrait le même plaisir qu'elle à cet instant. Elle le savait affairé, et un peu de détente ne lui aurait pas fait de mal. Les bottes otées, posées près d'elle, elle s'aventura à barboter un peu, battant des pieds, créant des remous, qui l'éclaboussèrent plus qu'elle ne l'aurait souhaité.

Le temps était des plus agréables, malgré quelques nuages qui cachaient parfois le soleil printanier. Prenant appui de ses mains sur le sol derrière son dos, elle ferma les yeux, profitant de l'instant.

Une légère brise la sortit de ses songes, et elle retira ses pieds de l'eau. Elle allait le retrouver sous peu et ne voulait perdre une seule seconde de temps passé à ses côtés. Et si il était...

Le temps d'enfiler ses bottes et elle reprit le chemin de la ville, de ses rues animées, de ses tavernes.

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***************Les Doigts d'Or De Gloria Regni (RR, NK, SK)***************
Alwyn
Fin d'après midi. Une silhouette encapuchonnée se dessine sur les bords du lac. Un sac de toile noirci a son coté il s'assoit lentement une grimace de douleur sur le visage. Se maudissant interieurement pour avoir tant forcé pour sa première sortie, il ouvre son sac et pose une mandoline et une cage a coté de lui. Alwyn s'allonge lentement, en évitant de forcer sur certaines zones de son dos. Il scrute le ciel esperant voir revenir point de croix, son pigeon.

Lassé d'attendre, alwyn se lève et, relevant sa manche, il prend conscience que ses cicatrices sont a vif. Il soupire et retire rapidement sa cape. La chemise tombe aussi peu après. Le tisserand s'approche de l'eau et regarde son reflet. Les marques rouges vif dans sa chair, qui avait failli l'emporter plus d'une fois, perçait son corps de milliers d'épines de douleur. Il s'immergea lentement dans l'eau du lac. Le froid le mordit mais chassa, la douleur qui menaçait de le rendre fou. Il ferma ses yeux et se laissa bercer par la présence de l'eau. Quelque instant plus tard, il rouvrit les yeux et parti s'allonger au bord du lac. A moitié dans l'eau et a moitié en dehors.

Bercer par le vent, le flux et le reflux de l'eau il somnolait esperant que cet instant dure aussi longtemps qu'un tel instant pouvait durer. MAis il se prit a penser a Titca, a Alrune, a Lyes et a tout ceux qui l'attendait autour de Cahors. Jamais il ne pourrait entreprendre un tel voyage dans son état. Ce serait courir a la mort. Et il s'interrogea sur la possibilité de refaire une vie ici. nouveau départ, nouvelles personnes, nouvelle vie. Toujours somnolant il attendit un signe quelconque. Quelque chose, ou quelqu'un qui pourrait lui montrer la voie.
Roselucie
Lentement, très lentement Rose se promenait au bord du lac. Elle avait au passage arraché une brindille à un arbuste et inconsciemment elle la détruisait petit à petit. Pas de méchanceté aucune, pas de rage, juste une langueur.
Elle se mit face au lac, regarda la surface de l'eau friser sous la poussée de la brise legère. Rose resta debout un long moment, puis se décida à s'asseoir. Elle ramena ses genoux sous son menton et les entourra de ses bras. Elle partait ce soir, pour la première fois elle quittait Felger pour quelques jours ... pour quelques jours seulement. Quand elle reviendra Lempinou sa soeur tant chérie sera de retour elle aussi à Felger.
Elle avait besoin d'elle, elle avait besoin de lui parler.
Tout se bousculait dans sa tête, elle ne savait plus quel combat mener.
Rose laissa son corps s'allonger sur l'herbe, ferma les yeux quelques instants et prit la décision de n'en prendre aucune, de se laisser mener ou son destin choisira de la mener.
Un chatouillis sur son bras la réveilla. Elle ouvrit les yeux, se redressa vivement et chassa d'un revers de la main l'araignée chatouilleuse.
Elle se leva rapidement et prit le chemin du retour chez elle.
Laceter
Journées ensoleillées, cadre naturel trés agréable, il y avait bien longtemps que le lac ne l'avait pas attiré. Pourtant, profiter d'un peu de repos ne pouvait être de refus. D'autant plus qu'il n'y avait pas trop de monde et cet endroit suffisamment vaste pour ne pas priver quiconque de sa bouffée de liberté et de sérénité. Il s'approcha du lac avec Solen et Zélia, la petite pousse qu'il portait dans son couffin. Trés vite, il se cala sous un arbre à l'ombre pour êviter que la petite ne prenne trop de soleil sur sa peau fragile. Une couverture bien sur l'herbe, le couffin déposé doucement contre lui, et il s'adossa contre le tronc de l'arbre. Les jambes allongées, les bougeant de droite à gauche, il se pencha sur Zélia pour venir lui déposer un bisou sur son front et caressa la louve entre ses deux oreilles avant qu'elle ne se couche de tout son long, le museau au bord du couffin. Il sourit à cette image.
Son regard se posa lointain sur l'horizon. Il savourait toutes ces choses simples. Le vent léger sur son visage, cette légére fraîcheur des branches et des feuilles qui bougent au-dessus de lui. Quelques rayons qui filtrent et viennent éclairer le petit groupe. Il farfouilla dans sa besace à sa taille, et en sortit un fruit. A pleine dent, il croqua dedans puis il resta là, l'esprit perdu dans ses rêves et ses pensées. Une plume dans la main et un parchemin dans l'autre, il releva ses jambes pour servir de pupitre et il se mit à laisser sa plume dérivait sur ce bout de papier:




Demat Mon Amour,

Nous sommes Samedi, et là je viens d'emmener Solen et Zélia faire un tour au lac. Elles sont calmes et adorables. Les nuits de la pousse sont devenues plus calmes mais elle a cependant encore quelques crises d'anxiété. Son sourire est toujours aussi présent mais à la tombée de la nuit, Zélia parait souffrir du manque de ton absence. Elle pleure pendant une demi-heure, une heure et s'endort petit à petit. Cela me fait mal au coeur de la voir ainsi et de ne pas pouvoir l'aider à surmonter cette passe. Je tente de lui expliquer, de lui chuchoter doucement que tu es toujours avec nous et que tu gardes un oeil sur nous. Cela semble l'apaiser mais chaque jour, je me dois de la rassurer. Je présume qu'elle comprends ce que je lui dis. Elle commence petit à petit par changer. De petits changements dans la couleur de ses cheveux, et certains traits de son visage semblent se dessiner encore mieux. Elle se nourrit trés bien, devient trés gourmande, je trouve. Maintenant, c'est elle qui de ses mains appuie sur sur le lait pour qu'il s'écoule plus vite. Elle en raffole. Son corps évolue. Elle aussi mince que toi. Je me demande où elle met tout ça. Je lui ai confectionné une petite poupée. Elle est habillée en bleu et rose comme toi avec la même couleur de cheveux. Ton sosie. Comme ça, elle t'aura sous les yeux à chaque seconde. Zélia la prit comme doudou et ne la lâche plus. La poupée a même une grande cape.

J'espére que tu vas bien et que le monastére n'est pas trop triste. J'aime bien t'apercevoir au clair de lune à ta fenêtre, c'est comme, si on faisait le mur et qu'on s'échappait. J'ai pensé à une nouvelle idée. Peut-être pourrait-on cacher une échelle dans les buissons en bas et que je vienne te rejoindre dans ta chambre avec le couffin de Zélia ? Ou bien un systéme de corde avec un panier juste pour que tu puisses prendre la petite dans tes bras et profiter de câlins avec ta fille. Je vais y réfléchir. Je passe mon temps à travailler au musée, je poursuis quelques unes de mes activités mais sans grande conviction ni entrain. Tu me manques. Les journées sont longues et les nuits si froides sans toi. J'ai décidé d'accorder plus de temps à Zélia. Cela me donne du courage et surtout, elle me fait rire avec ses mimiques. Vivement que tu reviennes et que tu voies tout ça. J'ai une surprise pour toi aussi, tu la verras à notre prochaine entrevue de nuit au monastére.

Fleure, je me sens si seul. J'ai besoin de toi, de ta présence et de ton Amour. Je t'aime trés fort.

Je t'embrasse trés fort...

Ton Laceter à Toi...

Ps: j'essai de venir une nuit avec une échelle...


Il plia le parchemin, garda entre les commissures de ses lévres la plume. Hop, enroulé à la patte du pigeon, et zou vol petit oiseau...

Zélia commença à bouger ses petites mains. Ses petits potons s'agitérent dans les airs. La pousse se réveillait. Solen la louve esquiva un peton, et s'assit devant le couffin. Laceter s'agenouilla, se pencha et vint prendre dans ses bras la petite. Puis il se mit en tailleur. La prenant trés délicatement contre lui, il sortit de sa besace une fiole de lait, enveloppée dans un linge bien chauffé. Il la découvrit, senti encore la chaleur trés présente, la déboucha et la porta trés doucement à la petite bouche. Zélia tourna la tête dans le sens inverse et sans faire exprés, elle fouetta les airs avec son doudou qui vint s'écraser sur les oreilles de la louve. Il jeta un regard amusé vers Solen. L'animal se passa juste la patte derriére son oreille en signe d'opposition. Aprés plusieurs refus, la puce accepta enfin le lait et se mit à le boire d'un trait.

La fraîcheur commençait à apparaitre. Il lui fera faire son rot, un câlin bien emmitouflé dans une couverture et ils rentreraient à la maison.

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--Le_revenant


Le revenant revint de la ville, aussi discrètement que possible, son âme vagabondait le long de ses pensées.
Un de ses compagnons, Runi, appuyait contre un des arbres, l’observa, comme lui il possédait une grande cape sombre et une capuche qui lui recouvrait le visage, on pouvait malgré tout deviner un visage d'une beauté incomparable à tout les gens des Duchés et des autres Comtés.
Il laissa passer le revenant près de lui, s’en dire un mot.
Le revenant se dirigea vers son fidèle destrier, lui flattant l'encolure ...Qu'allait t'il faire maintenant? Il ne pouvait pas réapparaitre comme çà, au milieu de sa vie, elle l'avait surement oublié depuis ces nombreuses années...Il sentit une présence derrière lui, Runi s’était approché sans un bruit, tel un loup surprenant sa proie.
Pas besoin de paroles entre eux, ils se comprenaient par de long silence, leurs regards s’exprimaient pour eux .Runi l’observa à nouveau, le fixant de son regard métallique, hocha la tête en tournant les talons et s’éloigna vers les autres compagnons.
Le revenant quitta l’ombre des arbres pour faire face au lac, lui pourtant grand, se sentait petit face à ce lieu. Il s’approcha de l’eau, regardant l’horizon comme pour trouver des réponses à ses questions.
Pailettedargent
Pailette alla au bord du lac pour prendre l’air, se changer les idées en compagnie de sa p’tite chienne. Marchant les yeux posés sur ses bottes, elle ne vit pas Orphée virer d’un coup, le poil hérissé, elle réagissa quand elle entendit aboyer.
Pailette releva la tête et aperçut Orphée entrain de s’acharner sur les bottes d’un homme.

Rhhooo...Mais ce n’est pas possible çà !...Encore une fois….Ppffff…Orphée vient ici au pied !

La chienne ne semblait pas vouloir démordre de sa prise, Pailette leva les yeux au ciel en soupirant.
Elle s’approcha du Messire

Heuuu...Excusez moi, je vais finir par croire que mon chien n’aime pas les bottes !

Pailette récupéra son chien, en se relevant, elle fut surprise par le bleu de ses yeux.

Je vous souhaite une bonne journée !

Elle s’éloigna d’un pas rapide, jetant un coup d’œil par-dessus son épaule.
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--Le_revenant
Le revenant s’extirpa de ses pensées quand il entendit un chien aboyait près de lui, un regard vers la bête et elle s’agrippa à sa botte. Il distingua une voix sur sa gauche

Citation:
Rhhooo...Mais ce n’est pas possible çà !...Encore une fois….Ppffff…Orphée vient ici au pied !


Ses yeux restèrent poser sur le chien, on pouvait entrevoir un léger sourire se dessiner sur son visage.

Citation:
Heuuu...Excusez moi, je vais finir par croire que mon chien n’aime pas les bottes !
Je vous souhaite une bonne journée !


Il l’observa de son regard bleu glacier, ne lâchant aucun mot juste un mince sourire.

Le revenant s’orienta vers ses compagnons, à couvert des arbres.
Frowin se tenait face à lui, la capuche de sa cape posait sur ses épaules laissant se découvrir un visage d’une douceur surprenante, ses traits étaient d’une finesse inattendue pour un homme, ses yeux avaient un mélange de mélancolie, de tristesse inconnue que seul lui connaissait, en le regardant de plus près on pouvait voir dans ses pupilles une flamme brûlée, une flamme de haine …Même le revenant ne connaissait pas cette haine qui habitée son ami.
Frowin, d’une voix posée mais grave :


Mon ami, je sens ton désarroi…je t’avais pourtant prévenu, mes informateurs ne se trompent jamais !

Le revenant observa un instant Frowin, et d’un signe de main rempli de légèreté lui fit comprendre qu’il ne devait pas s’en occuper.
Il se dirigea à nouveau vers le cœur de Fougères, baissant la tête et en arrangeant sa cape, ne laissant paraître que ses bottes.
Samuel13
Sam s'était soudain senti oppressé... il avait eu besoin d'air... la taverne, du monde... le bébé... tout s'était brouillé dans sa tête. Il avait fallu qu'il sorte alors il s'était mis à courrir et sa course l'avait naturellement mené au lac.
Sam s'approcha de l'eau et s'aspergea le visage, l'eau été fraiche ça faisait du bien... peu à peu il retrouva son calme.
Il resta encore quelques minutes pour finir de retrouver son calme puis retourna en taverne avant que quelqu'un s'inquiète...

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Domdom
[Petit pique nique en famille]

Domdom avait profité d'une accalmie dans le ciel Fougerais et d'une température plus clémente ces derniers jours , pour emmener sa petite tribu en pique nique au bord du lac.

Laissant la nourrice et la gouvernante occupées à surveiller les enfants , il avait déjà étalé la belle nappe à carreaux sur l'herbe et commençait à sortir les victuailles du panier en osier.


J'espère que Mary n'a rien oublié , tête en l'air comme elle est... murmura-t-il en souriant

Le brun aux yeux noisette jeta un rapide coup d'oeil vers la jeune femme qui lisait une histoire à Valerien et Adelin : gentille la petite , mais bon.. elle n'avait pas inventé l'eau tiède !
Avec Lys, ils l'avaient embauchée parce qu'elle était la fille de Léontine , fidèle servante de la défunte compagne du Normand.

Bayeux...il faudrait bien y retourner un jour , vendre le manoir de Landenoire , libérer les domestiques et quitter cette ville maudite à jamais...
Ce n'était pas encore d'actualité avec les rumeurs de frontières toujours bloquées et puis, Domdom avait encore en mémoire sa dernière tentative de passage , c'était il ya 44 jours ...

L'encapuché finit d'installer la table et appella tout le monde :


C'est prêt !

Il vit alors s'abattre sur la nappe une volée de deux petit oisillons pépiant de faim :

Poppa...on manze quoi ?
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