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[RP] L'Unique et Légendaire Lac de Fougères...

Henri_de_plumaugat
Henri serra très fort contre lui sa bien aimée. Il n'avait pour seul désir que celui de la rendre heureuse, elle et leur petite fille Violette, ainsi que tous les enfants qu'ils auront le bonheur d'avoir. C'était une joie indicible pour Henri de se dire qu'en rentrant du travail, deux bras, puis plus, l'attendront pour lui faire des baisers et que lui même pourra serrer très fort contre son cœur. Il le savait, lui même ne sera heureux que dans la mesure où sa famille sera heureuse. Il était prêt à tout sacrifier pour elle.
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Pailettedargent
Pailette jeta un oeil vers Violette

-Je pense qu'elle commence a avoir faim,on va rentrer...On reviendra au lac,avant de partir pour Vannes.

Elle se leva ,regardant où était Orphée, et la siffla

-Allez mon toutou,on y va!

Puis se tournant vers ses Amours,elle leurs fit un grand sourire.
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Henri_de_plumaugat
Citation:
- Je pense qu'elle commence a avoir faim, on va rentrer... On reviendra au lac, avant de partir pour Vannes.


- D'accord, allons-y.[b]

Henri aida Pailette à se lever et lui dit :

[b]- Tu veux la prendre un peu ? Ou bien je te la donne à l'arrivée. Elle commence à peser son poids la petite gourmande.

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Pailettedargent
-Je vais la prendre un peu

Pailette prit Violette dans ses bras,la serrant contre elle.
Au passage,elle embrassa tendrement son fiancé ,lui murmurant
je t'aime.
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La_muse
Perdue dans ses pensées, son humeur jonglant entre joie et déprime, Muse marchait, trainait les pieds... Ses bottes l'avait amenée jusqu'au lac sans qu'elle ne s'en rende compte.

Elle avait passé une excellente soirée en compagnie de Fanfan, à évoquer les souvenirs passés avec Max, elle pensait avoir refermée un peu de cette blessure de l'avoir perdu à jamais, mais non... et elle comprit à cet instant, que ce vide ne se comblerait jamais, personne n'y arriverait, il avait été pour elle le compagnon idéal, celui avec qui elle aurait voulu faire sa vie, celui avec qui elle avait des projets, celui qui savait la réconforter, l'écouter, la faire sourire, la faire rire, celui qui avait su l'aimer...tout simplement...

Comment est-ce que tout peut s'écrouler aussi rapidement ? En une fraction de secondes, elle avait tout perdu... pas tout, non ! elle avait gagnée une amie, Fanfan. Grâce à max, ces deux là s'étaient rencontrées, et là où il se trouve, parce qu'il les observait, c'était une certitude, il devait surement en être ravi, sa meilleure amie et sa compagne, réunies autour d'un verre à ne parler que de lui et rire de ces anneries, il pouvait être fier de leur faire passer de bonnes soirées, même s'il n'est plus de ce monde aujourd'hui.

Muse s'adossa contre un arbre, face au lac, une larme roula sur sa joue, elle observa le ciel bleu.

Elle eut une brève pensée pour Xeres, elle allait le faire souffrir, c'était sur, mais elle s'était rendue compte qu'elle ne saurait l'aimer à sa juste valeur, mais surtout, qu'elle ne saurait l'aimer autant qu'elle avait aimer son Max...

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Fanfan.
Fanfan cherchait son amie Muse partout. Elle avait commencé par les tavernes, c'était un bon prétexte pour s'enfiler un chouchen au passage (hips) puis elle avait pris la direction du lac.

Elle ne mit pas longtemps avant de la trouver, assise au pied d'un arbre, celui qu'elle avait presque embrassé à force de le serrer pour se remettre debout la dernière fois...

Elle s'avança sans faire de bruit et à deux pas derrière Muse, elle lui cria un gros

BOOOOUUUUUUHHHHHHHH

Puis elle éclata de rire avant d'aller s'assoir à ses côtés.


Toi, tu as les idées noires qui te trottent dans la tête. Et je devine lesquelles.


Tout en prenant la main de son amie et la serrant très fort, elle leva ses yeux vers les nuages, prit bien le temps de les observer en penchant la tête dans tous les sens puis en montra un gros du doigt à Muse

Regarde celui là. Tu ne lui trouves pas un air de ressemblance ? Regarde mieux : déjà il a un visage tout rond. Et puis.... un crane d'oeuf ! Ahhh si ! j't'assure ! regarde !! et regarde encore mieux : il nous observe.... et il rigole l'animal ! Il est en train de se moquer de nous ! si si ! j'le connais comme si je l'avais fait ! il est en train de se dire : Z'ont bel air ces deux nanas là ! L'une est amochée et ressemble à cloporte boiteux et du coup l'autre va être obligée de se la coltiner !! En fait il se venge de tous les fou-rires qu'on s'est pris hier soir en se remémorant ses "aventures burlesques".


Elle reporta son regard sur le visage de son amie et lui fit un grand sourire


Oui mais il se dit aussi qu'il a la chance d'avoir encore deux super nanas qui continuent de penser à lui et y penseront toujours chacune à leur façon et qu'en plus grâce à lui elles sont maintenant liées d'une profonde amitié. Et il est fier de ça.

Elle leva un doigt sévère vers le ciel

Oui ben prends pas la grosse tête quand même hein ma truffe parce que si tu ne prends pas plus soin de nous que ça, (lui montre ses béquilles) je te préviens que je ne vais pas continuer de penser du bien de toi ! Alors t'as intérêt à prendre ton rôle d'ange gardien un peu plus au sérieux ! parce que si je monte te rejoindre je te promet une belle empoignade !
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La_muse
Citation:
BOOOOUUUUUUHHHHHHHH


Muse sursauta, elle n'avait entendu personne arriver derrière elle, elle se tourna et vit Fanfan qui se marrait.

Rhoooo mon pauv' coeur, je t'ai pas entendu arriver, et en plus ça te fait rire. Tssss. Pourtant j'aurai du t'entendre avec tes béquilles, faire clopin clopant...

Elle l'aida à s'assoir prés d'elle et regardèrent le ciel ensemble. Fanfan s'amusait à voir les ressemblances dans les nuages.

Citation:
Regarde mieux : déjà il a un visage tout rond. Et puis.... un crane d'oeuf ! Ahhh si ! j't'assure ! regarde !! et regarde encore mieux : il nous observe.... et il rigole l'animal !


Aaaaahhhh ouiiii !! exact, j'le vois !! mais regarde... y a comme un soupçon de méches blondes... une moumoute tu crois ?! Il rigole, mais on dirait même qu'il nous tire la langue. Regarde la forme que ça lui fait, un vrai clown, moi j'te l'dis !

Muse retrouvait le sourire, elle ne pouvait, de toute façon, pas pleurer bien longtemps en pensant à lui. Elle serrait la main de Fanfan aussi fort qu'elle.

Citation:
qu'en plus grâce à lui elles sont maintenant liées d'une profonde amitié. Et il est fier de ça.


Oui, c'est sur, mais chuuutttt, faut pas l'dire trop fort, il va t'entendre et va faire le coq, va être trop fier, il va jouer les beaux^^

Muse riait de bon coeur avec son amie

Allez ma p'tite Fanfan, j'tembarque en taverne, on va aller se rincer le gosier.

Muse jeta un dernier coup d'oeil en direction du ciel et se leva. Elle tendit les mains à Fanfan pour l'aider à se relever.

Dis donc, ils t'ont pas louper quand même... Faudrait pas que tu viennes ici toute seule, je sais pas comment tu ferais pour te relever !
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Domdom
[Une insupportable attente]



Assis sur l'herbe au bord de la berge , Domdom observait la lumière irisée du soleil matinal que miroitait l'eau du lac.
Plus loin , sur la berge opposée , la brume de chaleur commençait à se dissiper en une nuée de petites écharpes , comme suspendues au dessus de l'eau , donnant à ce tableau un arrière plan diaphane du plus bel effet.
Cet endroit incitait à la rêverie , à la mélancolie.

Les yeux de l'homme fixaient ce magnifique spectacle que lui offrait la nature , mais son esprit vagabondait ailleurs , à des dizaines de lieues d'ici.
Des murs épais , infranchissables ...un lourd vantail en châtaigner qui grince...des silhouettes noires et blanches , furtives , qui vont et viennent , s'affairant comme dans une colonies de fourmis.
Et puis une forme , presque irréelle , sur un banc , fixant un point indéfini au sol , immobile au milieu de ce monde en mouvement.
Un visage tant caressé , un sourire tant admiré.
Que fais tu ? A quoi penses tu ? Tes pensées s'envolent elles vers moi ?

L'encapuché reprit ses esprits , essayant de rejeter l'insupportable souffrance de l'attente dans les limbes de son cerveau .
Il se leva , admira une dernière fois la douce et lente symphonie du soleil qui se lève sur le lac , puis se dirigea vers le village.
Une nouvelle longue journée d'attente commençait.


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ET N'OUBLIEZ PAS VENDREDI : Y A UN POT EN MAIRIE !
Vannat
Elle se retrouva au bord du lac sans même savoir comment. Plusieurs personnes s'y trouvaient déjà mais l'espace était bien assez grand pour que personne ne se dérange. D'ailleurs elle pouvait même se poser sans que personne ne la remarque et ça lui allait très bien.

Drôle de matin que ce matin............ coeur à la dérive, pensées moroses, tristesse infinie. Elle ne comprenait pas pourquoi justement ce matin elle était dans cet état là plus que les autres jours. Sa vie lui échappait, tout ce qu'elle avait s'envolait, mais pourtant au delà de tout, ce pigeon l'avait encore plus enfoncée. Pourtant elle ne pensait pas du tout que c'était possible.

Elle repensa à son amour, à son enfant, tout ce que la vie était en train de lui reprendre. Elle pensa à Lui aussi..... L'envie de s'enfoncer dans l'eau lui parut tentante l'espace d'un instant. Elle ne savait plus à qui ni à quoi se raccrocher. Sentiment de solitude infinie..... Elle s'allongea dans l'herbe, ferma les yeux et pria de ne jamais se réveiller
Eliotte
eliotte était intriguée par le lieu et avait décidé de fureter à droite et à gauche pour découvrir mieux la ville de Fougères.

Elle regardait les personnes qui s'y trouvaient et aperçut sa maman Vannat qui se trouvait seule et avait l'air bien triste. Elle décida de la rejoindre et s'allongea à côté d'elle.


coucou maman Vannat, Tit et moi avons décidé que tu ne devais pas rester toute seule alors je suis venue te rejoindre. Et puis, nous avons tous besoins de toi, Tit, le bébé et moi. Je ne veux pas perdre ma nouvelle maman. Et puis je vais te dire quelque chose, je t'aime beaucoup et Tit encore plus.

elle déposa un gros bisous sur la joue de Vannat et lui fit un gros câlin
Vannat
Elle fut sorti de sa torpeur par l'arrivée d'Eliotte. Elle sourit à ses propos et l'embrassa très fort

-tu es gentille ma puce. Moi aussi je vous aime tu sais.... Mais tu sais, pour ce qui est du bébé... je ne sais comment te le dire....Mallo et lui sont très malades, il est peu probable qu'ils survivent...

Elle respira fort pour ne pas pleurer devant Eliotte et la serra fort contre elle.

-allez , on va rentrer hein.... je vais aller te faire une bonne tarte.

Elle se leva en tendant la main à Eliotte et partit tristement
Eliotte
Eliotte était triste pour sa maman vannat et lui serra très fort sa main. Il fallait qu'elle en parle avec Tit. Maman Vannat lui avait dit que le bébé était malade, pourtant il avait l'air d'aller bien la dernière fois qu'elle l'avait vu. tit connaissait la médecine par son vrai père, peut être pourra t il aider le bébé.


Oui on rentre à la maison maman Vannat. Ne sois plus triste, nous sommes là. En plus, l'odeur de la tarte fera venir Tit encore plus vite. Je dois lui parler.

Eliotte pensa qu'il faut aussi qu'elle parle à tatie zabou.
La_muse
Muse était sortie prendre un peu l'air, elle s'ennuyait, elle avait longuement marché et était arrivée ici, au lac, endroit où elle aimait être seule pour se retrouver et réfléchir.
Elle fit le tour du lac, marchant à pas lents, les yeux rivés sur ses pieds, à cogiter.
Elle faisait croire que tout allait bien, gardait un sourire trompeur sur le visage le peu de fois où elle croisait quelqu'un. Qu'est-ce qui lui arrivait? elle même ne le savait pas. Son blond lui manquait, certes, mais plus de nouvelles de lui depuis trop longtemps, ça lui pesait, elle se posait des questions. Lui qui l'avait tant habitué à avoir des courriers chaque jour, voilà qu'il ne lui en envoyait plus depuis un bon moment, elle n'en dormait plus, restait le nez collé à sa fenêtre attendant en vain l'arrivée d'un volatil.
Qu'est ce que cela voulait dire?
Elle s'était imaginé tout un tas de choses et avait préparé ses affaires, prête à partir au cas où...

Elle s'asseya, adossée contre un arbre et ferma les yeux, tentant de penser à autre chose et fini par s'endormir.

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Ethane
Ethane arriva en ce lieu magnifique .

Ainsi il était la le lac de fougére .

Bien ce dit ethane

N'ayant trouvé aucun lieu ou courir comme j'avait avait l'habitude de le faire chaque matin et soir , je le ferais donc ici bas .

Le soleil commencait a baisser .

Ethane s'étira en exercant quelques gestes d'echauffement , puis il partis en petites foulées autour du lac ,
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ex sergent , ex aspirant , ex lieutenant d'ost , ex gouverneur , ex brigadier chef , ex conseiller a la defense .
Idana
Sortie de la mine pour la petite brune aux yeux charbon ... dans un visage tout aussi noir de la poussière de la mine ... pas question de te faire débarbouiller encore Idana ... tu seras propre comme un sou neuf dans peu de temps ...songea t-elle en longeant un chemin pris dans les hautes herbes le long du lac, et à l'abri des regards.

Le soleil était haut encore et dardait ses rayons sur le lac qui brillait comme un miroir.

Elle avait emmené avec elle les quelques vêtements propres qu'elle possédait et sans plus réfléchir, se dépouilla de ses oripeaux noircis. Elle avait 19 ans, mais son corps mal nourri en paraissait un peu moins, gracile et délicat, presque comme une enfant. Et pourtant, elle avait tous les atouts de la féminité, juste un peu comme en filigrane. Toutes les mains vicieuses qui avaient essayé de le toucher ce corps innocent, s'en étaient bien rendues compte et elle avait dû se battre pour conserver sa vertu, sa seule richesse.


Elle sortit le morceau de savon qui sentait bon et le huma avec bonheur. Jamais elle n'avait possédé un tel trésor et elle n'en finissait pas d'en frotter la douceur sur ses joues. Elle plongea dans l'eau, puis revint sur le bord pour faire découvrir à son corps la mousse onctueuse qui la délivrait du moindre grain de poussière noire.

Sa main passait sur ce corps qui n'avait jamais connu une main d'homme .. et sur sa bouche sur laquelle aucune autre ne s'était encore posée. Elle savait sa chance ... dans un monde où tout n'était que vice et brutalité, elle avait réussi à conserver l'innocence du corps. Pour l'esprit, il en était tout autre ... elle connaissait la vie pour avoir assisté à des choses ... répugnantes !


Elle replongea dans l'eau et s'amusa entre les herbes du bord ... laissant l'eau faire son oeuvre de propreté.

Elle sortit frissonnante et s'allongea nue au milieu des herbes douces, le soleil lui faisant fermer les yeux. Elle se sentait différente ... changée. Sa hargne s'était envolée, ainsi que sa colère. Restait son franc parler .
.. cui là l'est pas près de disparaitre ... murmura t-elle tout bas. Tout autant d'ailleurs que le regard mutin et ironique qu'elle jetait sur le monde autour d'elle.

Un mot lui vint à la bouche et elle l'expira presque dans un soupir ... gentil ... mot étranger jusqu'à présent et qu'elle avait découvert dans deux yeux posés sur elle.

Elle ferma les yeux sous le soleil qui chauffait son corps, et s'endormit presque sans s'en apercevoir.
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