Brennus_des_senons
[Il y a quelques mois en Anjou]
Fraichement élu maire de la flèche, Brennus navait pu gouter bien longtemps au plaisir dadministrer sa ville. Il avait en effet du faire face à une horde de mainois sans honneur profitants dun autre conflit. En peu de temps, un de ces gredin avait prit le pouvoir, désorganisant la petite bourgade réputée pour son calme.
Cest ce jour que tout commença, Brennus se fit la promesse que le Maine venait de soffrir son pire ennemi.
Les choses se tassèrent pendant quelques mois, Brennus effectua même dautres mandats, mais lidée était toujours là Ils doivent récolter maintenant...
[Mayenne]
Arrivé à Mayenne depuis quelques jours, Brennus et sa véritable petite armée de Fléchois en colère, se terraient en épiant tout de leurs ennemis. Ils avaient décidé de frapper fort et en une fois, prendre littéralement une ville en otage pour demander réparation. Quel temps perdu au bout du compte, ils se rendirent compte que ces idiots de première, ne laissaient chaque nuit quun simple garde devant la porte du bâtiment principal de la ville. Cest donc dans la nuit de mercredi soir que lassaut fut donné. Tout juste le temps de se ruer sur le malheureux qui roupillait pendant le travail que la porte de la mairie tombait au sol. Les choses prenaient une excellente tournure, les mainois forts en gueule, ne valait en réalité pas un pet de lapin.
Bien évidemment, se contenter de prendre d'assaut une mairie ne suffisait pas à assouvir leur vengeance. Le préjudice financier était largement réparé, Brennus fut même très surprit de découvrir un tel stock dans une ville qui pourtant quémandait des dons. Pour terminer le travail, il fallait une tête maintenant. Qui mieux que la cruche, comtesse en place pourrait symboliquement essuyer l'affront fait aux fléchois.
Après avoir soigneusement vidé tous les étales de marchandises de la ville, ils se barricadèrent dans la mairie, prêts à tenir le siège. Brennus confortablement installé dans le fauteuil du maire, rédigea une lettre au peuple et aux dirigeants de cette misérable contrée.
Fraichement élu maire de la flèche, Brennus navait pu gouter bien longtemps au plaisir dadministrer sa ville. Il avait en effet du faire face à une horde de mainois sans honneur profitants dun autre conflit. En peu de temps, un de ces gredin avait prit le pouvoir, désorganisant la petite bourgade réputée pour son calme.
Cest ce jour que tout commença, Brennus se fit la promesse que le Maine venait de soffrir son pire ennemi.
Les choses se tassèrent pendant quelques mois, Brennus effectua même dautres mandats, mais lidée était toujours là Ils doivent récolter maintenant...
[Mayenne]
Arrivé à Mayenne depuis quelques jours, Brennus et sa véritable petite armée de Fléchois en colère, se terraient en épiant tout de leurs ennemis. Ils avaient décidé de frapper fort et en une fois, prendre littéralement une ville en otage pour demander réparation. Quel temps perdu au bout du compte, ils se rendirent compte que ces idiots de première, ne laissaient chaque nuit quun simple garde devant la porte du bâtiment principal de la ville. Cest donc dans la nuit de mercredi soir que lassaut fut donné. Tout juste le temps de se ruer sur le malheureux qui roupillait pendant le travail que la porte de la mairie tombait au sol. Les choses prenaient une excellente tournure, les mainois forts en gueule, ne valait en réalité pas un pet de lapin.
Bien évidemment, se contenter de prendre d'assaut une mairie ne suffisait pas à assouvir leur vengeance. Le préjudice financier était largement réparé, Brennus fut même très surprit de découvrir un tel stock dans une ville qui pourtant quémandait des dons. Pour terminer le travail, il fallait une tête maintenant. Qui mieux que la cruche, comtesse en place pourrait symboliquement essuyer l'affront fait aux fléchois.
Après avoir soigneusement vidé tous les étales de marchandises de la ville, ils se barricadèrent dans la mairie, prêts à tenir le siège. Brennus confortablement installé dans le fauteuil du maire, rédigea une lettre au peuple et aux dirigeants de cette misérable contrée.
Citation:
A la Cruche régnant sur le Maine,
A ses misérables conseillers,
Aux raclures mainoises venues à la flèche,
Et aux malheureux, administrés par cette bande dincapables
Cette nuit, une compagnie de fléchois en colère a prit le contrôle de la ville de Mayenne.
Cet acte fait suite aux événements survenus en la ville de La Fleche il y a déjà quelques mois.
Laffront doit être lavé, mainois vous allez frotter !
Nous voici désormais barricadés dans la mairie, avec vivres et armes pour plusieurs semaines.
La ville de Mayenne est désormais totalement isolée et la famine sinstallera sous peu dans la population.
Nous demandons donc tout naturellement dédommagement.
Nous exigeons que la tête de votre immonde comtesse, nous soit jetée devant la porte au plus vite.
Deux choix soffrent a vous, venir crever comme de petits cafards sous nos fenêtres en tentant de reprendre le bâtiment par la force, ou bien débarrassez vous de cette sangsue en nous donnant sa tête.
Peuple mainois, avec un minimum de réflexion, vous devriez comprendre que ce nest pas une si mauvaise affaire pour vous.
La bouffe ou la tête, telle est la question.
Brennus des Sénons.
A ses misérables conseillers,
Aux raclures mainoises venues à la flèche,
Et aux malheureux, administrés par cette bande dincapables
Cette nuit, une compagnie de fléchois en colère a prit le contrôle de la ville de Mayenne.
Cet acte fait suite aux événements survenus en la ville de La Fleche il y a déjà quelques mois.
Laffront doit être lavé, mainois vous allez frotter !
Nous voici désormais barricadés dans la mairie, avec vivres et armes pour plusieurs semaines.
La ville de Mayenne est désormais totalement isolée et la famine sinstallera sous peu dans la population.
Nous demandons donc tout naturellement dédommagement.
Nous exigeons que la tête de votre immonde comtesse, nous soit jetée devant la porte au plus vite.
Deux choix soffrent a vous, venir crever comme de petits cafards sous nos fenêtres en tentant de reprendre le bâtiment par la force, ou bien débarrassez vous de cette sangsue en nous donnant sa tête.
Peuple mainois, avec un minimum de réflexion, vous devriez comprendre que ce nest pas une si mauvaise affaire pour vous.
La bouffe ou la tête, telle est la question.
Brennus des Sénons.
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ABUSUS NON TOLLIT USUM