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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

Kad
Mais bonté Didiouuuuuuu ! qu'il hurlait intérieurement en rageant. Voila qu'il venait d'embaucher un imbécile incapable de comprendre deux mots de françois. Le tavernier observe la scène sans même intervenir. Son homme de main empoigne l'une de leurs seules clientes pour la reconduire à la porte...

Et vive le commerce, souffla t'il, tintant sa réplique d'une once d'ironie. Les conséquences étaient simple. Si Lev en venait à dégager la cliente, les profits que celle ci aurait pu générés - Jugés à la seule appréciation subjective du patron - seraient immédiatement déduits de son enveloppe.

Car c'est ainsi que l'on apprend, et que fonctionne la vie.

Retournant la tête vers son précieux godet, Kad réalisa alors que se tenait face à lui une frêle donzelle. Plutôt bien formée la mignonne... Celle ci mande à le rencontrer. Le tenancier se présente entreprend de se présenter l'instant suivant :


Bonjour 'Demoiselle. Kad ? C'est moi même. Prenez donc place sur ce tabouret, ajouta t 'il en pointant un siège du goulot de sa bouteille.

La 'Demoiselle semblait soignée. Au premier regard, elle avait ravivé en lui quelques souvenirs. La petiote... Qu'il avait enterré à la force de ses bras suite au dramatique incendie ayant ravagé son ancienne auberge... Le Piège à Ours. Il n'avait jamais réembauché de donzelles depuis. Mais... Le temps passe...

Il se dit alors qu'il va bien vite en besogne. Rien n'indique que celle ci soit à la recherche de travail.

Remplissant à moitié un petit verre à gnôle, il lance alors à la Demoiselle :


Faites moi dont part de ces nouvelles que vous me portez ?

Dame Wiatt, il y a bien longtemps que je ne l'ai point vue. Etes vous l'une de ses proches ?
J'ai entendu dire qu'elle rassemblait quelques plumes pour achever l'hivers réchauffée par les mots.

Mais je parle trop... Dites moi donc, je vous écoute
, acheva t'il en faisant glisser le cul du godet sur le bois massif du comptoir en direction de son interlocutrice.
_________________
---fromFRMadelon
Elle leva à peine un sourcil étonné quand il lui annonça qu'il était le patron de l'établissement. Drôle de mise tout de même ... Se hissant sur la pointe des pieds, elle prit place sur le tabouret qu'il lui indiquait et croisa lentement les jambes. Geste devenu une simple habitude que celui de caresser ses chevilles l'une contre l'autre. Elle posa ses mains sur le comptoir et joua quelques secondes avec le verre qu'il venait de lui passer. Elle ne tenait pas plus que cela à l'alcool. Elle avait vu trop de filles se laisser aller à ce penchant et s'empâter en quelques années. Tournant le godet entre ses doigts fins, elle dévisageait l'homme derrière son comptoir. Aurait elle envie de travailler pour lui ? Ses doigts viennent frôler son cou et elle prend sa décision. Même si pour l'heure, elle n'a guère le choix.

Je ne sais si dame Wiatt réunit des plumes, mais elle m'a demandé de vous communiquer deux messages.
Elle vous fait dire qu'elle va bien, qu'elle est saine et sauve, que le Messie soit remercié, d Aristote et de Christos.
Et ensuite ceci. La fiancée de Messire Ujio est chez elle, ce dernier y est attendu. Et elle a ajouté que c'était très important.


Elle avait débité son texte comme on récite une leçon, les yeux plongeant loin derrière l'épaule de l'homme. Puis comme elle était maintenant lancée et qu'il fallait se décider.

Et ... elle m'a laissé entendre que vous chercheriez du personnel, messire Kad. Il se trouve que j'arrive juste à Paris, j'avais quelques économies de côtés mais ... j'aurais besoin de travailler le temps de trouver ...

D'un geste de la main, elle envoie promener au loin le restant de sa phrase. Petite idiote, qu'as tu à trop parler ainsi ?! Ses yeux clairs se reposent sur son potentiel employeur, sa poitrine se soulevant à un rythme plus accéléré en attendant le verdict qu'il va lui asséner.
---fromFRujio
salle commune



Ujio était tout bonnement perdu dans ses pensés, autour de lui, la vie continuait, des femmes sortaient tandis que d'autres rentraient, des verres allaient et vennaient, mais en lui, rien ne bougeait, le temps semblait s'etre arreté..
Une grande partie de sa vie defila devant ses yeux, et soudainement le poid de la realité s'ecrasa sur lui..

Jamais..il ne la retrouverai jamais..
Qui sait seulement si elle était encore vivante, et si elle l'était, qui dit qu'elle était sortie, peu etre croupissait elle dans les geole humide de cette maudite cour, peu etre le vers avaient deja commencé leur macabre repas..
Peu etre aussi etait elle sortie, mais elle n en était pas sauvé pour autant, seule dans la cour,elle avait pu tomber sur d autre malfrat, se faire detrousser, souiller...
Sa vie passé et futur semblaient ne faire plus qu'un, des images d'antans se croisaient avec d'autres, qui n'était que pure propheties..
La vie sans elle, sans motarde, ne valait plus la peine d'etre vecu le sourire au levres...
Long moments s'étaient passés avant qu ils ne puisse partager la meme couche, et maintenant qu ils avaient enfin pus se reunir, le destin les separaient..
Bien piètre Chevalier que celui ci, pensa t il
Meme pas capable de veiller sur sa femme, quel Homme de ce nom pourrait seulement s'assumer apres cela?
Ujio Di Césarini, Chevalier templier, capitaine de la garde épiscopale, meritait il encore seulement ce nom et ces titres?
Il n'était rien..
Absolument rien..
Il n avais pas de titre, pas de nom...
Comment s appelait il deja?




Citation:
La fiancée de Messire Ujio est chez elle, ce dernier y est attendu




Le brouillard se leve, Ujio leve la tete d'un coup, les yeux grands ouvert?
A t il bien entendu?
N'est se pas simple selection de son imagination.. L'esprit aime a se fiare peur...
Non il a bien entendu, motarde est en vie, elle est chez une femme, et elle me fait appeler...
Jubilation..
Puis méfiance...
Tout semble si simple, quel heureuse coincidence...
Les démons lui tendrait il une quelconque ruse?
Pas de précipitation, la jeune fille semblait bien candide, apparement pas une habitué de la cour..
Surement pas une courrienne
definitivement pas une courienne..
Elle n'est que messagere qui n a pas idée des nouvelles qu'elle apporte..
Mais de qui sont ces nouvelles..
Amis ou ennemis?
Restons sur nos garde, prudence est mere de sureté..
Une main distraitement posé sur le pommeau de son épée, il se leva et se presenta..


Veuillez m'excuser, je sais qu il est pure goujaterie de s'insinuer dans une conversation, mais j'ai pu entendre un nom qui m'était familié..
Je suis en effet un ami du Sieur Ujio, je dois le rejoindre dans un moment au centre de Paris, je pourrai lui apporter le message..
Vous dite que sa fiancée l'attend?
Ou?, et chez qui est elle?
Si vous pouviez me donner le plus de renseignement possible, afin que ce brave bougre n'ai pas trop a chercher avant de trouver

_________________
Kad
[La salle commune]

Le tenancier fixe d'un sombre regard la donzelle qui vient à l'instant de prendre place face à lui. Celle ci à déposé son arrière train sur le tabouret avec classe. Kad ne doute point qu'elle ait reçu bonne éducation. Une fille aux traits pour le moins charmants... pour servir à la salle commune... Pourquoi pas...

Laissant tomber ses coudes sur le comptoir, il laisse alors reposer sa tête sur les paumes de ses mains. Ainsi affalé, il prête oreille attentive aux dires de la mignonne. Wiatt... Il espérait qu'elle ait pu fuir de ce piège à rat...

Le premier mot de la petiote l'extirpe violement de ses songes pour le ramener à cette terrible réalité : S'ils avaient étés braves, il faudrait désormais se préparer à subir représailles... Dans le cas ou l'on parviendrait à remonter jusqu'a eux.


Elle vous fait dire qu'elle va bien, qu'elle est saine et sauve, que le Messie soit remercié, d Aristote et de Christos.

La voix tonne, puissante, par réflexe !

Loué soit le Très Haut !

Ainsi allait elle bien. Quittant sa position attentiste, Kad se servit immédiatement un bon godet de vin rouge et se l'envoya dans la seconde afin de célébrer cette nouvelle.

La seconde information semblait particulièrement intéresser l'homme à la dague... Aussi le tavernier s'effaca t'il un instant afin de laisser loisir aux deux concerner de palabrer de ce propos.

Kad avait alors volontairement occulté de répondre à la demande de la Demoiselle... Méditant sur le test qu'il proposerait sous peu à celle ci...

_________________
---fromFRMadelon
[Salle commune]

Elle sursaute à peine, l'air étonné, quand le patron de l'établissement tonne en direction de notre seigneur. Au moins, elle apportait de bonnes nouvelles. Une voix de mâle consommé vint la distraire de sa conversation et lentement elle se tourne sur le tabouret pour dévisager le corps qui héberge une telle tessiture.
Il n'a guère l'étoffe d'un chevalier, guenille et saleté. Elle fronce le nez, redresse la tête, un peu hautaine et après un temps de réflexion répond la voix lointaine.


Messire veuillez m'excuser, mais je ne crois pas pouvoir répondre favorablement à votre requête. La dame qui m'envoie m'a demandé de transmettre une information à messire Kad. En aucun cas, je n'ai été autorisée à divulguer plus de choses à quiconque. Et je ne sais guère ce qui me pousserait à vous croire sur de simples allégations.
Kad
[La salle commune]

En retrait, le tavernier méditait sur les dires de la Demoiselle. Messire Ujio, dont il n'avait jamais entendu parler, serait attendu chez Wiatt. Il ne savait pas réellement ou résidait actuellement la plume blonde, tant ils s'étaient quittés à la va vite. Le principal semblait être qu'elle sache ou le trouver.

L'homme insinue être un proche du Sieur en question et s'empresse d'assaillir le Demoiselle de questions. Kad apprécie le répondant de celle ci. Elle ne semble aucunement décontenancée par les requêtes du pauvre homme aux frusques pittoresques.

Se tournant vers celui ci, le tenancier répliqua :


Et quels gages pouvez vous nous apporter pour appuyer votre propos mon bon Monsieur ?

Non que je doute de votre parole, mais il va faloir prouver qu'un défroqué de votre genre, si courtois soit il, connaisse ce Sieur.

Vous me pardonnerez l'allusion, mais avouez que votre accoutrement...


Un haussement de sourcil à Lev pour qu'il reporte son attention vers eux. L'homme prétend beaucoup... Ils ont l'habitude des vauriens au Gratte Cul, et il était hors de question de révéler des informations pouvant nuire à Dame Wiatt ou à la fiancée en question.
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---fromFRujio
salle commune


Une preuve qu il connaissait le sieur Ujio, il allait devenir fou..
Que faire, leur devoilé sa réelle identiré?
Non il le prendrai pour un fou..
Que faire, que faire...
Soudain il eut une idée..
Sa médaile de chevalier..
Le grand maitre l'avait fait gravé a son nom..
Il passa une main sous sa chappe, la pris, et la posa sur le comptoire


Mon ami, le Chevalier Ujio Di Césarini, a recu cette medaille des mains du grand maitre de l'ordre du temple..
Il me la confié en attendant que l on se retrouve, pour s assurer que je ne risquerai pas de me faire embeter par une quelconque garde, et en preuve de ma bonne foi.
Comme vous pouvez le voir, elle est gravé de son noms a l'arriere.
J aurai donc besoin de savoir ou mon ami est attendu, par qui, et le chemin qui permet d'y acceder


Son regard se fit plus sombre...

s'il vous plait
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---fromFRMadelon
[Salle commune]


Pressé comme il l'était par eux deux de prouver ses dires, l'homme parut décontenancé quelques instants. Puis lentement, il fit apparaître une chose brillante qu'il déposa devant eux. La saisissant, elle la tourna lentement entre ses doigts. Elle lut l'inscription gravée et leva un sourcil étonné. Elle passa l'objet à l'homme derrière le comptoir et garda son regard fixé sur lui, une question dans les yeux : qu'est ce qu'on décide ? Après tout, il s'agissait d'une connaissance à lui, la décision de parler ou non lui appartenait. Les mains posées sur les genoux, elle attend qu'il prenne la parole.
L'homme debout à côté d'elle semblait fébrile, elle le sentait sans même avoir besoin de tourner son regard vers lui. Il avait l'air d'extrêmement tenir à obtenir des réponses à ses questions.
---fromFRLev
[La salle commune]

Au signe du tavernier, le cosaque s'approcha d'eux, tout sourire d'avoir diligemment accompli sa besogne. Une fois la fille dehors, il n'avait plus eu de regard pour elle et s'était posté, escopette en main, à l'entrée du bouge pour contempler l'animation de la place. Désormais, sa présence rassurante allait certainement calmer les ardeurs de l'homme qui semblait bouillonner comme si on avait calé son derrière sur une gamelle de bortsch.

Zakwiczeć tak, jest pewno zdradzony.

Murmure distingué, notre homme sourit à sa réflexion et s'assit dans le dos du quidam. Il ne comprenait rien à ce qui se passait, et ignorait si l'homme était une menace, un ami, un rigolo, un pochard ou le Roy de France. Autant dire, amis lecteurs, que Lev ne savait rien.
Mais il était là, et c'était déjà bien.

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---fromFRRoland la chope
[Salle commune]

Pinté du nez au plus petit des orteils, Roland la chope franchit la porte de l'établissement, une chanson paillarde accrochée aux lèvres. Tiens, il n'est jamais venu ici. Une taverne qu'il ne connait pas. En voici une chouette nouvelle pour commencer cette maudite journée. Roland va pouvoir se forger de nouvelles relations, et de nouvelles amitiés.

A peine rentré qu'il remarque un homme balèze empoignant un drôle d'engin de guerre.

Roland lui envoie une bonne claque dans le dos et lui beugle de sa maudite haleine de saoulard :


Tu l’as vu ?

Hein ?

Mon CUL !


Roland s'emporte dans un rire affreux avant de répliquer :

Bon t'as perdu, tournée générale à tes frais !

Et Roland la chope file en direction du comptoir, en bon habitué qu'il est des tavernes Parisiennes...
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---fromFRMr Niclounivis&Mr Tui
SALLE COMMUNE

Les deux comperes, bras dessus dessous toujours, l'un n'allant pas l'autre pour raison d'equilibre.
Sont greffés en somme, partenaires de boulot, de virées, de naissance meme!! Frerots lurons et joyeux toujours. Gais à perpetuité!!
Tel est leur credo de vie, ils entrent sur un chant de chez eux, à faire rougir les oreilles delicates, voix nasillardes, timbres brinqueballant mais l'enthousisame est tel...Que meme si la chanson est massacrée, on leur en veut pas!!

Ils stoppent de concert, vacillants toujours comme au sortir d'une traversée, le pas inaccoutumé à la terre ferme. Regards fouinards, trognes rouges, nez en phares et grand sourires niais, ils decouvrent cette taverne. La derniere sur le chemin, leur demander pas sur le chemin de quoi, ils savent plus vu l'etat...Ils reviennent des quartiers noirs, qui sentent à peine plus fort que els autres d'ailleurs mais bon, ici ça à l'air plus tranquille!! Et puis de toute façon ils sont insoucients, leur tresor on pourra jalais leur voler aux frangins, aux comperes bricoles!!
Le savoir faire est chose sûre et acquise, impossible à derober.
C'est donc plein de joie, dejà entamés, qu'ils s'avancent vers l'un des leurs. Oui le gros là au bar, l'a bien la degaine. Celle des bons vivants, des chopeurs de haut vol!!!
Ils saluent au passage la demoiselle en otant couvre chef crasseux, gestes emphasés, cannes mal assurées, baraguouinent un vague compliment.


J'olie Dame, salut!! Z'etes Bienvenue à'l comperes Bricoles!! Enchantier!!!
Et à l'autre de surencherir:

Avot'service!!M'dame!! Sieurs bien le bsoir!! Hein ? C'est le matin ? Dejà ? HAHAHAHA le frero sait plus, avance donc!! Triple nouille!

Les voilà passant devant le trio du comptoir, sous l'oeil avisé du tavernier, s'en vont rejoindre au bout, l'enorme client, promesse d'ivresse; avec un tel reservoir pour sur, rien ne tarira!

L'ami on peut ?

Ils s'installent sans attendre, faute de quoi...Lourdement, l'air egrillards, et se mettent a taper sur le plan de travail, reprenant chants et beuglant::

A boire!! Aboire!! C'est la margooot qui disait, que l'marchand l'avait un gros, hohiho!!

Tavernier, fait soif, faites pleuvoir, un fût!! Parait que l'homme là, regale, c'est sa tournée!! Vive toi l'ami!!
La Margooot s'y entendait en outils! hohiho!!


S'interrompent les gaillards en saluant bas le vigile, si genereux. Les tabourets hauts, hazardeux, pleurent sous l'effort et les coudes ancrés, assurent le maintien et puis quittes a mourir noyés, rien ne vaut une mer ethylique. Sourires beats ils attendent la commande, soir ou matin ils s 'en fichent, pourvu ça tourne rond et liquide hohiho!!...
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---fromFRRoland la chope
[Salle commune]

A boire!! Aboire!! C'est la margooot qui disait, que l'marchand l'avait un gros, hohiho!!


Le bon Roland prête l'oreille à la magnifique chanson des ouvriers qui viennent d'entrer à sa suite dans la taverne. Aussitôt, notre homme suit le mouvement, égayant le lieu de ses nobles paroles :

Faut croire!! faut croire!! Que la margooot elle f'sait pousser l'poireau hohiho!!

Tavernier !

Ma picolle, pour mes deux amis et moi. Mettez tout cela sur le compte du grand bougre.


D'un geste chaleureux de la main, Roland la chope invita ses deux compères à prendre place à ses côtés au comptoir...
_________________
Kad
[La salle commune]

Il avait beau fixer ce médaillon en prenant un air intéressé, il n'y connaissait fichtre rien en babioles de ce genre. Que celui ci fût vrai ou factice, il était incontestable qu'il constituait toutefois un bel objet. Et le nom d'Ujio gravé en son dos vint à bout des doutes du tenancier déjà fort échaudé par les godets du jour. Kad échangea un bref regard avec la Demoiselle. Il perçu une once d'hésitation chez celle ci...

Quoiqu'il en soit, ils ne pouvaient laisser patienter l'homme plus longtemps. Le tavernier entreprit tout d'abord de lancer un regard calme à Lev afin de lui intimer que l'inconnu ne présentait aucun risque. Il est vrai que l'homme s'était plutôt montré correct dès lors qu'il avait franchit la porte de la taverne. Certes, il avait beuglé un peu mais il n'y avait la rien de bien dangereux.

Envoyant le cul de son godet claquer contre le bois du comptoir, Kad lança au prétendu ami du Sieur Ujio :


La fiancée de votre connaissance semble se trouver en ce moment même en compagnie de Dame Wiatt puisque ces maudits encap'...

Sur ce dernier mot, il ravala sa salive.. Trop de mauvais souvenir dans cette grotte. Son combat contre le colérique, puis l'explosion... Christos vivait, et c'était bien la l'essentiel.

Prier. Il priait son Dieu chaque jour afin qu'ils ne le retrouvent jamais. Ce Dieu qu'il sert depuis tant d'années... Et au nom duquel il oeuvra en cette grotte.


Bref, vous les dégoterez toutes deux chez cette dernière.
Je ne puis hélas vous en indiquer le chemin, n'ayant fichtre aucune idée de celui ci.

Mais peut être la D'moiselle pourra t'elle éclairer votre lanterne sur ce point.


Kad tendit la main afin de recevoir son du. Le client n'avait pas encore payé pour ses godets, et il espérait sous tirer de ces informations un pourboire conséquent. Si l'ami du templier n'avait point le sou, il irait faire la plonge en cuisine, sort réservé depuis des lustres à ceux qui vivent au dessus de leurs moyens.

Trois drôles de zouaves pénétreraient alors dans la salle commune. Gardant la main tendue vers le client, Kad s'envoya un une nouvelle rasade... un peu de calme... avant d'apprendre à ceux la comment se tenir. Evinçant leur question avec un royal dédain, il resta concentré sur son hôte.

L'ami du chevalier daubait la mort... Plus encore que Le Vert lorsqu'il jouait sous terre avec ces satanés capes noires adoratrices de la créature sans nom.

_________________
---fromFRPhilippe Moulin
[Salle Commune]

La porte de l'auberge s'ouvrit d'un coup songeur, un homme songeur entra dans la Salle Commune. L'acteur venait de recevoir une missive de celle qu'il aimait, venait de s'enerver, encore une fois, avec Giovanni, le vieux acteur de sa troupe et avait decidé que, au moins cette nuit, il ne dormirait pas avec eux. Il avait ebsoin de reflechir et de boire en paix. En moins de trois jours ça serait la répresentation de sa pièce de théâtre et Gaia était malade, puis, il avait cette histoire, avec Wiatt...

Mélancolique, songeur, dans les nuages, Philippe approcha le bar pour aller y demander quelque chose a boire, une chambre pour la nuit et peut-être des renseignements pour celui qui avait emporté le coeur de celle qu'il aimait...

Il approcha d'un homme qui par dessus tous avait l'air de connaitre le mieux l'endroit... Non, enfaite il approcha juste l'homme derrière le comptoir. Un gros buveur, sans doute, le tavernier.


Bonsoir bon homme...
Servez moi un verre de fée verte, j'ai de quoi payer, cherchez moi une chambre pour ce soir et dites moi qui est votre maître, s'il vous plait.
---fromFRujio
Enfin une réponse, par Dieu il était temps..
Il avait cru apercevoir le moment ou il aurait du se presenter sous son vrai nom pour enfin se faire entendre



Citation:
puisque ces maudits encap'...



Par Dieu, voila qui changeait la donne..
Ces "maudits encap'"
On ne retenait pas ce genre d'information pour rien, et surtout la mine déconfite que le serveur arbora tout de suite apres, etait plus claire que n'importe quelle phrases..
Il devait etre à cette soirée..
Comment aurait il pu savoir que motarde avait été prise pas les Diables..
Il devait y etre..
Surtout qu apparement ne sachant pas ou habitait la dame wiatt, ca n'était pas cette derniere qui avait pu le renseigner..
La dame wiatt etait elle aussi a cette ignoble soirée?
Qui sait..
il y avait beaucoup de monde, et tous masqué, qui aurait pu savoir les réelles identités de chacuns..
y aurait il eu plus de cachotiers que prévus?

Mais tout ceci ne pouvait etre que foutaise, peu etre ne parlait il meme pas des encapuchonnés..
Trop de pensés se bousculaient dans le cerveau du chevalier, il lui fallait avancer, retrouver motarde, le reste viendrait en son temps..
Le tavernier tendait la main...
Le moment de payer les consommations..
Pas de problemes, de l or, il en avait, assez pour acheter la taverne, meme.
Mais l emplacement de la demeure de la Dame Wiatt restait inconnue..
Il lui fallait ce renseignement, sans quoi tout cela ne servait a rien..
Il posa sa bourse ( à écu) sur la table, et en tira de quoi payer ces consomations..
Puis il tira quelques pieces supplementaires, et les posa dans la mains du tavernier..
il en tira encore cinq supplementaire, hésita un moment, sans bouger, puis les replaca dans sa bourses, avec une mine de dépit..


Quel dommage que vous ne puissiez me donner l'emplacement de la maison de dama wiatt...

Puis se tournant vers la jeunes femme..

Et vous, pourriez vous me dire, ou je pourrait trouver cette dame wiatt?

En attendant la réponse, il reprit sa médaille, la fortta contre son torse, et la replaca sous sa chappe..
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