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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

Kad
[La Rose]

C'est d'un grognement qu'il acquiesce au récapitulatif de son hôte. L'affaire lui parait des plus honnête, bien qu'il ne soit guère dans ses habitudes de stopper les négoces tant qu'il reste quelques sous à grappiller. Il demeure satisfait, espérant pouvoir faire confiance à la qualité exposée de sa future monture.

L'archidiacre ne souhaitait livrer l'information désirée, conscient qu'il ne connaissait que peu celui qui lui faisait face. Cependant, si le conseil se voulait fiable, il n'y avait pas la affaire d'état. Il préféra émettre quelques réserves :


Vous bénéficierez de cette information si, et seulement si vous daignez vous laisser conduire par ma jeune serveuse, dont vous ne cessez de reluquer les monts.

Il n'était point fou. Certes, sa confiance à l'égard de la petiote ne pouvait être qualifiée d'aveugle, mais il aurait été mensonge de prétendre qu'il n'avait pas foy en elle. Madelon guiderait le Sieur, et pourrait le tenir informé des agissements de Valandil. Il saurait ainsi à quoi s'attendre si celui ci n'était finalement qu'un vaurien.

L'autre semblait contempler de nouveau l'arrière train de son personnel... Il commençait à bouillir intérieurement.

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Fauconnier
Je réfrénais alors un irrépréssible fou rire qui me prenait au creux du ventre, me donnant envie de me plier en deux de rire sur la table. Je croyais tellement être discret, comprenez vous, dans mon reluquage! Je croyais tellement être discret, et controler la situation! Forcément que cela devait se voir, que Madeleine ne me laissait pas indifférent. Mais j'étais completement pris de cours et rougissais comme un gamin...

Mon pauvre maitre...s'il avait vu cela...

Rougissant et cachant mon trouble, je me raclais bruyamment la gorge, rompant le silence qui venait de se créer durant ces quelques instants.


Hum...erf...oui...et...alors?

Dieu, monseigneur, n'aurait-il pas...hem...créé cela dans le but que nous en profitions? Comme il nous fit cadeau du règne animal pour que nous l'exploitions à notre guise?

J'avais déjà projeté que votre jeune serveuse m'accompagne dans les rues de la Grande Ville, dont je ne connais absolument rien. Cela ne me dérangera guère.

Mais pourquoi ne pas nous accompagner? J'imagines que les occasions pour vous de vous promener dans Paris doivent etre rares, compte tenu de vos...responsabilités...n'est-il pas vrai?

Qu'en pensez vous?


Et se faisant, je me fends d'un grand sourire rougissant, et prenant le verre qui m'appartenait sur la table, je le levais et le vidais d'un trait avant de le reposer, dare-dare. Finalement, la situation ne m'échappait pas tant que cela...Et meme si la perspective d'etre suivi par ce personnage qui ne m'était pas forcément sympathique actuellement dans ma promenade avec cette superbe jeune fille ne m'était pas forcément très agréable, elle pouvait s'avérer importante pour en faire un appui à Paris, car j'espèrais bien pouvoir avoir un pied-à-terre stable dans la capitale pour y revenir régulièrement...
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Kad
[La Rose]

Certes, Dieu crée les choses pour que nous en profitions, mon fils. Toutefois, il faut prendre garde à ne pas sombrer dans le pêcher et la luxure en aspirant aux volontés du Sans Nom.

Mariez vous, puis consommez votre union, mais ne cédez pas à la tentation avant d'être lié aux yeux du Tout Puissant !


L'homme lui avoue avoir fait connaissance de sa petiote. Kad n'apprend rien sur ce point, compte tenu de l'oeil baladeur du Sieur qui ne lui avait point échappé, ainsi que de la mine renfrognée de Madelon lorsqu’il tentait de négocier crûment le destrier.

Valandil lui propose une visite en Paris. Kad connaît sommairement la capitale. S'il n'a guère eu le temps de la parcourir en tous sens, il possède nombre de cartes qu’il a longuement étudié. Il se repère aisément en les murs Parisiens. L'archidiacre ne se sent pas prêt à rallier le Languedoc. Pensant qu'un bon bol d'air lui procurerait le plus grand bien, il acquiesce d’un hochement de tête.

Face à lui, le jeune coq, rouge comme du sang d’hérétique, semble avoir stoppé de reluquer sa serveuse.


Messire, je dois vous avouer que cette promenade me tente. Il se fait tard et je n’ai point soupé. Je vous propose donc de vous joindre à moi pour le repas. C’est fort d’une bonne nuit de sommeil et d’une panse remplie que nous pourrons ensuite nous rendre, dès l’aube, au pied du Louvre.

Son hôte accepte. Les deux hommes dînent alors. Passe la nuit, puis ils se lèvent aux aurores. Aux côtés de Madelon, ils prennent ensuite la direction du Louvre...


[Les Portes du Louvre]


Terré dans un coin, les trois patientent. Kad d'ajouter d'une voix basse tout en observant les environs :

Bientôt les commis quitteront le palais pour rejoindre le marché. Un ras de marée humain déferlera. A nous de profiter du passage important pour nous glisser dans le Palais en déjouant le guet royal.

L'agitation naît enfin, une bonne heure plus tard. Ils se faufilent, traversent la foule avec chance et...



HRP : Suite au Louvre. Désolé, je ne voulais pas faire écouler une nuit à la taverne mais il le fallait... Continuez la veille, nous poursuivons notre truc de notre côté.
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pnj
Le Diacre de Ventadour arriva à la porte de l'auberge. La route avait été longue, il pleuvait, les rues étaient glissantes et l'odeur des pots de chambres jetés dans les rues était insuportable. La nuit était déjà avancée quand le Diacre franchit la porte de l'auberge. L'antre était acceuillante, un feu se consummait dans la cheminée, les feauteuils étaient en velour et le les discussions vives et entrainantes. Le visiteur se dirigea vers le comptoir pour y trouver l'aubergiste.

Bonjour l'ami, je crois bien que vous êtes diacre vous aussi? Ma foi, pourriez-vous me loger quelques jours dans une chambre modeste. J'ai les moyens de payer, ne le craignez pas. Je suis à Paris pour règler quelques affaires, cela devrait prendre quelques jours. Il n'est pas exclut que je reste aussi pour visiter.
---fromFRRoland la chope
[Salle commune]

Tout en ret'nant un rot d'enfer, l'Roland apporta l'assiette à le petite dame, comme le lui avait mandé la Madelon. "La Chope" appréciait la compagnie de celle la. Il faut dire qu'elle disposait d'atout pour convaincre... Le tavernier savait bien qu'il lui ferait visiter la cave à l'occasion, mais il préférait ne pas aller trop vite en besogne.

Bon apétit ma jolie, qu'il lanca à la cliente.

Il se dirigea ensuite vers la nouvelle venue, qui sommeillait tranquillement dans un coin sans trop se faire remarquer.


App'lez moi donc quand vous aurez fait votr' choix, j'susi la pour ca.

Regagnant son comptoir, il se cala le gosier sous la tireuse afin de refaire le plein de bièr fraîche. C'est alors qu'un homme poussa la porte de l'établissement et vint vers lui au comptoir.

L'bonjour, M'ssire.

Diacre ? V'la ti point qu'j'suis diacre maint'nant ! Que neni mon joli ! C'est l'patron qui donne dans c'truc la. J'ai l'regret d'vous dire qu'il papote à côté, à la Rose, et qu'l'a fait savoir qu'il voulait pas qu'on l'dérange.

Pas d'problème pour la chambre, faites comme chez vous. Pis vous croiserez ben l'tenancier d'ici que vous soyez repartit, vous en faites donc pas.

J'vous sert un chtio canon ?


(Il est partit le Kad, voir son post précédent, donc je ratrappe en espérant que ca convienne à tous.)
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pnj
L'homme que Zabouvski avait croisé en sortant était bel et bien le patron. Que de questions qui viennent de trouver leurs réponses. Tout ça pour dire que le sympathique, quoique puant, tavernier qui venait de l'acceuillir lui offrait gentiment à boire. Zabou, qui a un penchant pour l'alcool, et oui, tout le monde n'est pas parfait, accepta volontier.

Merci mon brave, servez moi votre meilleur alcool, une choppe.

Zabou prit alors la choppe que le tavernier lui donnait puis but d'une traite. Lorsqu'il eut fini, il laissa quelques écus pour la choppe, pour le paiement de la chambre puis pour le pourboire. Sur ce, il remit son sac sur son épaule puis partit rejoindre sa chambre.
pnj
[ Salle Commune ]

Une silhouette de femme, une jeune femme blonde entra dans le fameux Gratte Cul. Immédiatement, elle sourit face a l'amiance. Des gens parlant fort, les insultes qui fusent, un bruit incessant, des gens entrant, sortant...
Pas de doute, un lieu parfaitement approprié a sa petite protégée. D'ailleurs, ou était celle ci ? La blonde lui avait envoyé un courier dans la journée, afin qu'elles se retrouvent pour parler... Affaires.
Mais avant de blablater de choses ennuyantes, elle se dirrigea vers le comptoir. La soif était plus urgente que le reste.
D'une voix fatiguée elle demanda a boire...


Du chouchen s'il vous plait !
---fromFRtitloup
Titloup avait fini par s'assoupir,sombrant dans un sommeil sans rève.
Elle se réveilla en sursaut et en sueur.
Elle jeta un rapide coup d'oeil ou elle se trouvait et reprit petit à petit ses esprits.Elle se remémora les derniers événements ce qui la plonges dans un prfond mutisme.Sa plaie à l'épaule recommençait à s'ouvrir et cela acheva de lui faire ouvrir les yeux pour de bon.
Elle souleva sa cape laissant apercevoir brévement son corps meurtri et placa un peu d'herbe qu'elle avait trouvé dans la cape sur la plaie.
Elle se réemmitouffla dans la cape et appela le tavernier.

Une peinte de bière forte siouplait

Passée sa comande,titloup observa la salle.La jeune fille qu'elle avait aperçu en entrant était toujours là.Titloup l'observa
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chacun ses limites tant que les miennes restent infinies!
---fromFRAnonymous
Une silhouette de garçon, de jeune garçon brun entra dans le fameux Gratte Cul. L'arsouille vadrouillait très souvent, et avec son coq, petit à petit, il repérait les coins les plus enchanteurs du royaume pour pouvoir s'y plaire plus tard, quand il sera grand. Il aperçut une blondeur se mouvoir dans l'ambiance chaleureuse et manante. Qu'est-ce qu'elle était grande! (Enfin, tout est relatif hein... Vu depuis la toute petite taille du mioche) Et belle! Et blonde!

Il la zieutait depuis le coin de la porte d'entrée, son vaillant coq près de lui, et elle lui semblait éreintée... Quand tout à coup, elle demanda d'une voix fatiguée du chouchen (quoi que c'est encore cette boisson barbare?!). Il avait une bonne vue sur elle. Pis il était petit, donc on ne le remarquait guère. Donc il s'adossa à un mur et la regardait faire.
---fromFRAelann
[Salle Commune]

Près de la fenêtre, Aelann, la tête dans les chaussettes, ne regarda même pas les autres. Elle en avait marre, elle se plaisait vraiment pas en face du tavernier, une saleté de dégueulasse. Elle ne le disait pas mais elle avait peur, la jeune femme tardait à se rendre à l'auberge. Elle se demandait s'il elle avait l'information. En plus, elle était sale, et elle n'avait pas de jupe à fleurs, un désastre. Une fois de plus, elle entendit du monde vers l'entrée. Elle n'en avait que faire, elle n'y faisait pas attention. A dire vrai, elle regardait à la fenêtre mais elle regardait dans le vague.

Puis, une voix connue. Puis, un mot : chouchen. Puis, une blonde. La gamine s'arrêtait la respiration, elle n'en revenait pas, elle était là. Elle balança la chaise sur le passage et elle sauta dans les bras de la jeune femme.
Ahh, l'ange ! T'es là ! Elle faillit l'embrasser mais elle se ravisait, il ne fallait pas faire dans les sentiment en face des autres. Avant de se détacher d'elle, Aelann remarqua un truc reluquant l'ange. Elle le regarda de travers et elle murmura. Chasse gardée ! Puis, la gamine lui fit une grimace avant de regarder l'ange. J'ai eu peur ! Juste un peu, vu ?
---fromFRAnonymous
Alors qu'il était en pleine contemplation, à voir blondeur pareille, l'arsouille vit qu'elle n'était pas seule. La truc-muche qui l'accompagnait était plutôt brune et pis elle faisait une grimace... Pas très jolie ça... Le jeune garçon eut un mouvement de recule quant à sa tête, et la cogna contre le mur, derrière lui.

Aie!

Il fronça les sourcils et se frotta l'arrière de sa tête avec sa main, péniblement. Son coq le regardait de profil, en se demandant certainement ce qu'il lui était arrivé. L'arsouille fit les gros yeux au coq, mais celui-ci ne faisait même pas semblant d'avoir la trouille... Bon...
Le mioche releva la tête vers l'ange blond, et sourit. Et si, en fait, elle ramassait les rigolos sans toit, puants et affamés, pour les accueillir dans sa demeure? Si c'était le cas... Alors l'arsouille pouvait aussi tenter sa chance, lui aussi...


Oh, toi, le coq, tu vas voir ailleurs si j'y suis.

Quelques coups de pied dans le vent pour éloigner le coq. Puis il se redressa fièrement et s'approcha (plutôt) timidement de la jeune femme, parfois caché par un passant ou deux, et leurs chopes de bière, parfois dévoilé aux yeux de celle-ci. Par contre, la petite n'avait pas vraiment l'air commode... Il s'arrêta net, et ferma très fort les yeux pour trouver une feinte...

Euh... J'avais des fourmis dans les jambes... ah non, nul! Alors... Euh... Je voulais prendre un verre au comptoir... Ah oui, voilà! Un verre au comptoir...
pnj
Db attendait toujours le tavernier qui était apparemment, un as du service rapide. Elle poussa un long soupir. A quoi servaient les tavernes si ce n'était pas pour boire ?

Elle fulminait interrieurement quand elle sentit quelqu'un se jetter sur elle. Elle baissa les yeux et vit la bouille sale de sa petite Aelann...


Bonjour demoiselle... Elle se penchait pour lui coller un gros poutous sur son front noiratre quand la gamine tourna la tete poiur faire des grimaces a... A un petit.

Un petit qu'elle n'avait pas remarqué. Un petit homme, pas très grand, surement très jeune, qui semblait intimmidé.


Aelann, c'est pas très poli tout ca. J'espère que tu ne fais pas le travail que je t'ai donné comme ca ! Elle regarda le petit avancer vers elle d'un pas faussement fier puis, elle le vit parler tout doucement... Personne n'entendais rien. Que dis tu ? Viens ... Elle sourit au minot et se pencha vers Aelann pour lui murmurer... Soit gentille, tu étais pareil a une époque. Puis leva la tte pour crier : Trois chouchen en fait !

C'était bon pour les morveux ca ?
---fromFRAelann
[Salle Commune]

Elle haussa les épaules face aux remarques de la jeune femme. Elle n'avait que faire, le gamin n'avait pas la chance d'être dans les bras de l'ange. Elle le narguait en lui faisait des grimaces. Mais elle se ravissait en l'entendant qui parlait travail. Arf, l'ange va m'faire la guerre. J'ai pas fait l'travail. L'gland m'a tabassé, me retenant dans l'auberge ! Quelle saleté ! Et, j'ai pas la jupe à fleurs. La catin s'est fait la malle ! S'pas d'chance. Elle cracha parterre. La gamine savait qu'elle la manipulait, faisant la parfaite victime. Remarque, un peu la situation de l'Opalescente sauf qu'elle n'avait pas eu la crainte de perdre la vie ici.

Elle s'avança d'un pas menaçant, et elle se planta devant le truc puant. Elle n'avait que faire de la remarque de l'ange. Pareil, la gamine n'est pas pareil. Elle pense fièrement qu'elle est bien pire. Elle n'appréciait pas que l'ange le regarde, car elle la savait prête à l'aider.
Arg, j't'aime pas l'gamin. Elle s'avança en face, et marcha sur les pieds de ce dernier. Aelann murmura. 'Tention, j'te surveille. Tu risques de t'prendre le mur, vu ? Elle se redressa et s'en alla près de la jeune femme. Elle aimait faire la vilaine, la gamine.
---fromFRAnonymous
L'arsouille était éberlué! La dame blonde lui avait causé... Même qu'elle était très douce et très gentille avec lui... Il eut un moment d'éblouissement... Puis la réalité revint, brutale, sale, fâcheuse, lorsque la môme cracha par terre. Entendre la glaire de celle-ci, puis le bruit sec du crachat parfaitement mûr, ne choquait pas le moins du monde les oreilles de l'arsouille. Sa nourrice de Léocadie avait le même savoir-vivre. Cela venait plutôt de la différence de tenue entre les deux inconnues.

L'arsouille se tournait vers la jeune femme et semblait à son aise maintenant. Malgré la couleur rose qui apparaissait fortement sur ses joues.


'jamais goûté du chouchen...

Puis cette petiote qui s'avançait, l'air menaçant, la narine dilatée, prête à la moindre fourberie... Et franchement, l'arsouille en avait vu des vertes et des pas mûres. Alors elle lui montre tout son affection et lui écrabouille le peton (nan, nan, surtout, ne pas laisser s'échapper une grimace de douleur, malgré le poids de la rigolote).

T'es plus petite que moi et tu frimes comme un dindon, non mais oh eh hein bon! Je crois rêver.

Il la détaillait comme une malpropre et fit mine de rester poli, en face de la grande personne. Le marmouset ne voulait pas qu'elle le juge trop mal. Après tout, il savait être courtois et aimable, quand il ne filoutait pas. Un instant il toisa la petite rigolote, quand tout d'un coup... HORREUR ! Il se rendait compte à l'instant que si la jeune dame allait lui demander son nom, il ne saurait quoi lui répondre... Merdouille, se disait-il... Il fallait absolument trouver un nom, un joli et pimpant nom, parce que l'arsouille... Elle n'allait pas être conquise avec un sobriquet pareil! Il réfléchissait, et souriait soudainement à la brunette, changeant de tactique. Il la regardait cette fois avec gentillesse.

Mais toi je t'aime bien. Même si t'es moche. Et que tu pues. Je t'aime bien malgré tout ça!
pnj
La blonde regardait les deux mouflets se toiser. Un combat de poussins.
Elle souriait, completement sous le charme de ces petiots, tous deux crades, tous deux fiers, tous deux caractériels, tous deux puants.
Néanmoins, pas très patiente, elle les interrompit.


Hum ! Les enfants ... Elle se croirait dans une garderie la blonde ! Vous avez fini de faire les présentations c'est bon ? Non car j'ai a parler a Aelann moi ... Se tourne vers la gamine A moins que ca ne dérange pas mademoiselle que son nouvel ami vienne ? Elle fit un sourire taquin a sa protégée. Elle avait vite compris la rivalité qu'elle avait instauré entre eux... Sans attendre de réponse, elle lui colla un gros poutou sur le front, lui prit la main et l'entraina vers une table... Une fois assise elle fit signe au petit de les rejoindre. Puis, elle se leva et se mit a crier, en bonne assoifée. Bon ca vient ces boissons oui ?!
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