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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

---fromFRMadelon
[Salle commune]

Le tavernier s'était tout compte fait décidé pour donner ce qu'on lui demandait, à partir de là, elle se sentait dédouanée de tout. Puisqu'il n'y voyait pas d'inconvénients lui même, pourquoi devrait elle s'en faire, pour des gens, qu'après tout elle ne connaissait pas.
Une lueur dorée vient éclairer son oeil, elle suit le cheminement des pièces de la main à la bourse. Ho alors comme ça, le miséreux ne l'était pas tant que ça ... Voilà qui devenait autrement intéressant. Quand il se tourna vers elle, elle affichait son air d'ange juvénile, le sourire aux lèvres et lentement tendit la main vers l'homme dans un geste sans équivoque.


Messire, ces informations que vous me demandez vont me coûter. C'est que cette dame m'a fait confiance voyez vous ....

Phrase en suspens, geste arrêté dans l'attente de la réapparition de l'aura dorée trop brièvement entr'aperçu.
Kad
[La salle commune]

Ramassant les piécettes, Kad servit ensuite une bonne chope. La mousse s'échappait du dessus de celle ci. Kad la chassa et s'employa à combler le vide de bière. Il empoigna alors la chope et la vida contre le coin de la tronche du gros lard qui beuglait au comptoir.

Ici, on se la joue poli, ou on va promener son cul un peu plus loin ! qu'il balança à l'homme en question et à ses deux compères.

Lev, calme moi donc ces bonshommes !

Il restait à espérer que le polak ait comprit son nom. Le geste de la main vers la porte était explicite et laissait entendre aux hommes qu’il faudrait baisser d'un ton sous peine de se faire rapidement raccompagner...

Kad reporta alors son attention vers l'individu qui venait de pénétrer dans la taverne. Sur un air plus détendu, il lança alors à celui ci :


Pas d'autre patron que moi même en ce lieu.
Aucun problème pour la chambre du moment que vous en avez les moyens. Les draps sont propres et le service de chambre est assuré.

Une verre de fée verte ?

Et vous voulez qu'on secoue des grelots et que l'on fasse pleuvoir la poudre magique pendant que vous le sirotez ?


Le tavernier arbora une mimique amusée. Loin d'être irrité, il avait ce coup ci répliqué avec humour. C'est toutefois une mixture douteuse qu'il servit au client, laquelle n'avait de fée verte que la couleur. Certes, il connaissait la liqueur d'absinthe portant ce nom, mais l’allusion à sa modeste condition de sous fifre ne lui avait guère plus. C’est pourquoi il préféra passer pour un inculte et offrir au client son étrange rogomme.

Kad se tourna alors vers la Demoiselle et le curieux. La conversation tournait en rond. Et le tavernier n'aimait guère l'idée que sa potentielle employée chaparde des sous qu'il pourait lui même gagner. Il ne pu toutefois s'empêcher de poser une nouvelle question à l'homme :


Messire, si vous nous expliquiez enfin comment une personne de votre condition a t'elle été amenée à côtoyer un chevalier templier ?

Nous y gagnerions tous en temps...

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---fromFRRoland la chope
[Salle commune]

Tout bonnement incroyable. Le patron venait de l'arroser de la tête au pied d'une pleine chope de bière. Roland la chope allait hurler au gâchis lorsqu'il réalisa qu'il n'y avait probablement rien à gagner à énerver un peu plus le tavernier et le gaillard bien monté.

Quelle malchance, lui qui se réjouissait d'avance à l'idée d'avoir découvert un nouveau bistrot. Non, le patron ne lui pourrirait pas sa journée. Ainsi entreprit il de formuler sa requête de manière plus courtoise afin de se rincer le gosier.

Roland la chope se grandit en se levant à moitié sur le calle pied de son tabouret, afin de se donner un peu plus de prestance, puis déclama d'une voix modeste et enrouée :


Mon bon sire, c'est votre homme de main qui nous a proposé un canon alors que nous pénétrions a peine dans ce lieu.

Loin de moi la volonté de vous offenser, mais comprenez que je trouve vos manière fortes abruptes.

On a la même passion, mais mon maillot à moi est trempé...
Remédions donc à ce mal en partageant une bonne chopine.


Roland la chope n'était qu'un gros benêt, mais il n'avait pas mit longtemps pour comprendre que le zigoto qui faisait office de gardien ne comprenait pas un mot de français. Et La Choppe, tel qu'on le surnommait aux comptoirs Parisiens, entendait bien se faire payer son canon en compensation de la douche froide.

Roland retira alors son gilet et le pressa au dessus de sa bouche afin d'ingurgiter le divin liquide... Qui coulait plus noir encore qu'un tas de charbon de ses vêtements crasseux.

Le spectacle était tout simplement affligeant.

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---fromFRLev
[La salle commune]

Une claque dans le dos. Des cris qui peuvent bien être des insultes doublés d'une haleine pire que la sienne. D'autres compères. Le signe du patron. Beh, il les foutrait bien vivement et diligemment à la porte, des zigues. Mais s'ils payaient, c'était des écus dans la caisse, et c'était son salaire dans la poche. A plus long terme, c'était une bonne cuite.
C'est pas qu'il était intelligent, le polaque, mais quand il était question d'alcool, il avait la vue longue. Aussi foudroya-t-il les trois rigolos d'un regard à te refroidir une catin échauffée avant de s'asseoir à leur côté, main sur le sabre, prêt à les coller à la lourde au premier pet ou rôt de travers, parole de cosaque !
N'empêche, elles étaient bien chouettes, leurs chansons, même s'il n'y bitait rien le pauvre, et il avait hâte d'apprendre cette langue de lavette qu'était la leur pour chanter avec les poivrots qui rempliraient quotidiennement le rade.
Ah, la vie de taverne, quelle vie !

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---fromFRujio
salle commune

Regard d'ange, Ujio l'aurait parié...
Il était tellement amusant de se deguiser, et de laisser surprise au fur et a mesure que l on se devoilait..
Premiere pièce s'envole dans la main de la jeune dame


Certe, mais c'est moi qui décide de la valeur de chaque informations..
Je ne suis ni ingrat, ni stupide..
Vous recevrez se que vous meritez..
Alors je vous écoute, ou puis je trouver la dame Wiatt..


Déjà une deuxieme piece roulait sur chaque phalange de la main du chevalier, attendant d'être donnée, ou reposée dans la bourse...


Citation:
Messire, si vous nous expliquiez enfin comment une personne de votre condition a t'elle été amenée à côtoyer un chevalier templier ?



Regard amusé vers le tavernier...

De ma condition?

Vous avez vu ma bourse, N avez vous pas envie de reflechir a nouveau sur votre point de vue de ma " condition"


Puis a nouveau un regard vers la jeune femme..

Je vous ecoute..
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Kad
[La salle commune]

Le sale à la bourse pleine pensait mener le jeu à coup de piécettes. Si Kad était certes un gros radin, il n'avait nul besoin de cet argent pour s'enrichir encore plus, car fortune il avait fait, depuis bien longtemps, en bâtissant en son pays natal l'une des plus raffinées auberges du comté. L'homme lui semblait sincère la minute précédente. Mais Kad doutait désormais de son propos, pour la simple et unique raison que les conséquences seraient lourdes si certaines informations arrivaient aux oreilles des capes noires.

Si lui n'avait pu être démasqué, il en était autrement pour Christos. Et jamais il ne laisserait quelqu'un mettre en danger la blonde. Du moins ferait il tout son possible pour l'éviter.

L'ami du Sieur Ujio les prenait de haut. Celui ci semblait également peu bavard, ce qui inquiétait fortement le tenancier.

Posant ses deux coudes sur le comptoir, Kad plongea son regard dans celui de l'inconnu, cherchant à déceler s'il faisait partie des adorateurs de la créature sans nom. Non... l'autre paraissait las et énervé, mais aucun signe ne laissait entendre qu'il était lié aux princes démons. D'autant plus qu'on ne travaille pas pour ceux ci lorsque l'on a les poches bien remplies. Du moins Kad le pensait il...

Ne sachant que dire ou que faire, il tourna le dos pour reporter son attention vers celui qui mandait une chambre :


Alors, c'est d'la bonne ?

Qu'est ce qui vous amène donc dans le coin messire ?


Tandis qu'il se servait un verre de muscat, Kad lâcha soudainement sa bouteille qui roula sur le comptoir en déversant son contenu. Ses deux mains vinrent immédiatement compresser son nez qui pissait le sang.

Le tavernier aux pommettes gonflées disparu alors dans l'arrière boutique en lançant :


Bordel de bordel de saleté d'Leviathan !

Un jour viendra...


Il n'en revint qu'une bonne dizaine de minutes plus tard avec un bout de tissu fiché dans le naseau.
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---fromFRMadelon
[Salle commune]

Des soiffards animaient l'air vibrant de la salle, couvrant de leur boucan les bruits de la rue. Elle ferme les doigts sur l'or qui trône au creux de sa main. Quelques instants, elle jette un regard lointain sur le petit peuple qui envahit l'auberge et d'un geste vif, récupère la pièce qui voyage dans les doigts de l'homme. Un sourire malicieux et un clin d'oeil pour remercier le mécène, l'or disparaît déjà dans son corsage.

J'assure moi même le paiement de mes renseignements monseigneur. Vous trouverez votre belle dans la rue de L'Ecrin. La première maison sur votre gauche en entrant dans la rue. Vous ne pouvez vous tromper, il y a une enseigne au dessus de la porte. C'est la seule dans ce cas là.

Le tenancier renverse une bouteille d'un geste trop brusque. Elle tend la main et relève le litron sans même y poser les yeux. La tête légèrement penchée sur le côté, elle se demande combien de jolies pièces encore il peut bien dissimuler.
---fromFRujio
L'adresse enfin...
Nul autre besoin de rester ici
Affichant un grand sourire, Ujio se leve, prend une grande aspiration,et prend le chemin de la sortie sans se retourner..
Arrivé devant la porte, il se retourne, et envoy une piece supplementaire a la demoiselle..


Ca en valait bien une de plus



Sur le point de partir, Le tavernier poussa un cri..


Citation:
Bordel de bordel de saleté d'Leviathan !


Le voyant revenir, apparement le nez blessé, Ujio eut un doute, l'espace d un moment...
Serait-ce...
Curieux, Ujio voulait savoir si cet homme etait bien celui auquel il pensait..
Mais comment en etre sur..
Une idée...


Messire tavernier.. dit il en sortant une fiole de sa poche Peu auriez devriez vous vous procurer de cet elixir, il peut arreter les ecoulement sanguins..
Par contre si vous le jetez a terre, une grande fumée s'en degagera..


Ujio attendit sa réponse
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---fromFRPhilippe Moulin
La Salle Commune

Philippe fut servit, le tavernier-parton présenté dans son titre. L'acteur posa ses lèvres sur le verre et y goutta quelque chose d'incconu, pas de l'absinthe en tout cas, en encore moins quelque chose de bon, mais, a la question du parton il ne fit qu'un signe de tête, comme il l'avait fait lors de ses moqueries discrètes et sans méchancetés. Il n'était pas joyeux, il avait de plus en plus la mine triste, les pensées embrouillées. Demain la répresentation, Wiatt n'avait toujours pas accepté les rôles de Gaia, puis en plus il avait passé de papillon aimé de tous et aimant tous a un amant passioné mais rebuté.
Soudain il sursauta. Non qu'il avait écouté la conversation près de lui, mais au nom de celle qu'il aimait, il ne pouvait s'eviter de rougir. Wiatt! Ils parlaient de la plume libre!
Philippe se redressa, soudainement, d'un pas hesitant et pourtant théâtrale il approcha la jeune fille, il s'inclina, une courbette distinguée, une courbette comme celles sur scène, pendant que le parton s'en allait, le nez en sang et qu'un homme fesait des questions. L'homme qui avait prononcé le nom d'or.

L'acteur s'inclina face a l'homme mais garda son attention sur la fille. Oui, elle était bien du genre a plaire a Wiatt, et vu sa mine, ce n'était pas Wiatt qui avait des soucis... mais quelqu'un d'autre, peut-ètre...


Bonjour gente d'ame
Ne forcez pas la soufrance a mon ame
Vous semblez revenir de l'ecrin
Dites mois si tout va bien?
Wiatt, sa belle et douce Plume
N'a t'elle donc prit aucun rhume?


Manque de rimes, d'inspiration, tristesse, mélancolie, que la pensée de Wiatt l'avait fait sortir de sa morosité quelques instants, revenir au théàtre, pour replonger, après avoir cherché longetemps le mot "rhume", qui n'allait guère bien avec sa question, il avait quitté l'Ecrin il n'y a pas deux jours et Wiatt ne semblait pas prête a avoir un rhume... sinon, il l'aurait su!
Le parton revint, en s'excusant d'un signe de tète Philippe s'inclina, semblant demander pardon pour l'avoir ignoré.


Au fait, je ne me suis pas présenté, Philippe Moulin a vostre sevice, Roy d'un troupe, Plume Libre.
Kad
[La salle commune]

Un instant je vous prie !

La réponse était sèche et tranchante, adressée au porteur de la fine moustache trempée affalée sur son comptoir. Celui ci commençait à l'exaspérer royalement. Mais il fallait prendre soin de chaque client, et plus encore des pénibles, car ce sont souvent ceux qui rapportent le plus.

Kad écouta attentivement la réponse de l'homme aux poches fournies tout en pestant intérieurement contre celui ci. Car le tenancier voyait d'un mauvais oeil que l'on engraisse si facilement les membres de son personnel... Alors que ces trois pièces d'or ci auraient tout aussi bien terminer leur course dans SES mains.

C'est alors que l'inconnu répliqua de manière bien étrange à la vue du nez rafistolé du tavernier. Kad bondit aussitôt, arrachant la fiole des mains de celui ci tout en le tirant virulemment par la manche.

Les mots fusèrent derechef, doux et ambigus, simplement prononcés afin de quérir précisions. Car des fioles permettant à leur détenteur de fuir dans l'instant, Kad n'en avait que peut vu dans sa vie... Et il se trouve que la dernière fois qu'il avait assisté à tel spectacle, il était Vert et sous terre...


Homme, votre attention me touche !

Mon nez coule tant que je ne ferme plus l'oeil de la nuit. Peut être cette potion pourrait elle me... sauver... la vie...

J'extrapole... mais... il est vrai que lorsque survient la nuit et que les démons nous hantent, il n'est guère plaisant de se réveiller toutes les heures pour stopper un vulgaire saignement...


Le tavernier lance à l'inconnu un regard glacial, tressaille un instant, chancelle pour s'appuyer finalement sur le comptoir et recouvrer vigueur. L'ambience devient pesante...

Les mots ne jouent plus.

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---fromFRujio
[salle commune]


Sauver la vie?
Ces fioles ont déja sauver la vie à bien des ames...
Prenez la je vous en prie, j'en ai d'autres...
J'ai du en utiliser une il y a fort peu de temps, mais il m'en reste suffisement pour pouvoir vous en faire cadeau...


Pas de doute possible, cet homme était a la fête..
Il chercha rapidement qui il pouvait etre...
il se rememora la scene, et se souvîn alors d un homme vert, qui s'était battu avec un des péchés...Leviathan..
Visiblement l'homme l'avait reconnu..
Ujio cru bon de faire comprendre que la connaissance était réciproque...


Pour revenir sur les mots que vous avez prononcés il y a quelques instants, je ne fait pas de trafics d'arme, mais je suis a la recherche d'un outil en particulier...
Un trident, je ne sais si vous connaissez cet instrument..
Savez vous ou je pourrait en trouver?


un rapide rictus parcouru le coin de la bouche d'ujio, bien peut de mystere étaient tombés, mais jusqu'ou continuerai le petit jeu..
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---fromFRBruce_Wayne
Bruce pénétra l'auberge. Il observa. C'était la première fois qu'il se rendait sur Paris. Il lui fallait bien prendre un peu de temps pour ses affaires, et pour la fête qui se préparait.

Il approcha un aubergiste.


Bonsoir aubergiste. Vous reste-t-il une chambre de libre?
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Kad
[La salle commune]

Un trident ? Bigre, il n'y avait plus aucun doute à avoir. Cet homme ci devait être présent le grand soir... Mais qu'y était il allé faire... Si la fiole fracassée n'était certes pas passée inaperçue, Kad ne possédait que peu d'autres renseignements. Il s'était principalement atteler à organiser le piège et à lutter dans le même temps pour sa survie.

Il lui fallait en savoir plus.
Bon nombre de démons avaient du subir les foudres du Très Haut, mais il était fort probable que nombre d'entre eux aient survécu à l'explosion. Et il importerait alors d'être assez pour faire face.

Kad pensa alors accompagner l'inconnu chez Dame Wiatt pour en apprendre plus sur lui, et retrouver dans le même temps son amie qu'il n'avait eut loisir de revoir depuis leur sinistre escapade.

Pour l'heure, il importait de répondre convenablement à l'ami du Sieur Ujio, ce à quoi le tavernier s'attacha sans attendre :


Un trident ? Ma foi, ces babioles sont plutôt rares, et se révèlent complexes à manipuler.

Croyez moi, je parle d'expérience... J'en ai possédé un... Qui repose désormais sur le seuil des Enfers !


Le moment des présentation était venu. Aussi le tenancier se lança il :

On me nomme Kad.

Il me fallait rendre visite à Dame Wiatt sous peu. Nous pourriez faire route côté à côté afin de partager quelques anecdotes... souterraines...


Partir, il le faudrait. Pour rien au monde il n'aurait manqué cette occasion. Mais dans son dos venait à l'instant de siffler un nom... Philipe Moulin. Il devait s'entretenir avec celui ci...Au propos de la petiote....

Une homme pénétra brusquement dans l'auberge, extirpant Kad de ses songes. Tendant un chope à celui ci, il lui rétorqua derechef :


Des chambres, je ne sais guère... Il me semble que nous sommes presque complets...

Cela dépend du prix que vous seriez prêt à mettre...


L’établissement était vide, et le tableau à clé camouflé sous le comptoir croulait sous le poids de celles-ci.. Mais il n’y avait jamais de petits profits avec Kad…

Le tavernier se retourna aussi sec vers son compère à la fiole.

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---fromFRujio
Faire route ensemble?
Ma foi pourquoi pas, il semblerai que nous ayons plusieurs choses a nous dire en effet..


Visiblement , le tavernier avait a faire avec le nouveau venu..
Par chance, cela venait au moment des présentation, ainsi il n'aurait pas a mentir une fois de plus...


Enchanté messir Kad, apparement, vous semblez occupé par ce monsieur..
Prenez le temps de tenir vos obligations, j avoue ne pas connaitre l exacte position de la rue de l'Ecrin..
Je tacherai de nous trouver un guide..
Et avec votre permission, j'ai déjà une idée..


Posant un coup d oeil sur la dame madelon, Ujio lui lacha un petit sourire, et s approchant d'elle:

J aimerai une derniere fois avoir recour a vos..services.
Apparement avec vous ,tout a un prix, pourriez vous me donner celui d'un allez simple en votre compagnie pour la rue de l'Ecrin?
J avoue ne pas avoir la connaissance des lieux suffisante pour me reperer jusqu a cet endroit..

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---fromFRBruce_Wayne
BRuce acquiesça de la tête.

J'imagine bien, que les festivités doivent remplir votre établissement. Mais je ne suis point trop dérangé par un prix un peu élevé, si vous avez des chambres en conséquence.
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