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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

---fromFRgalahad69
Galahad prit l'arc et posa 30 ecus sur le comptoir, s'appretant a suivre la serveuse, il entendit que l'on s'adressait à lui.
Devant lui, un homme en piteux etat lui tendait sa main,Galahad la serra vigoureusement et dit



Galahad,pour vous servir! sa serait un honneur de boire en votre compagnie,mais avant toutes choses j'aimerais me baigner si vous le permettez..

s'adressant à la serveuse

je reste trois jours,je prolongerais surement

[MODO ON] C'est mieux, merci. Perseverez et attention à l'orthographe. Temperence. Bon RP et bon jeu. [MODO OFF]
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---fromFRDededemortecouille
[Extérieur]

Nous arrivâmes Therion et moi après moultes aventures toutes aussi trépidantes les unes que les autres, rechercher un peu de paix dans ce monde de brutes. Nous atteignîmes la place, lorsque je vis la batisse qui s'offrait à notre vue, je ne pus retenir une exclamation.

- C'est donc cela, la Rose et le Gratte-cul ! Hum son apparence réelle n'a rien à envier avec les légendes dont il en est le décor. Viens ma douce entrons nous restaurer, mon ventre crie famine.

Puis je rajouta :

- Même si mon coeur est plein d'allégresse ! Mais ce doux sentiment ne remplit pas un estomac et il me faut plus que de l'amour et de l'eau fraiche

Je souriais et lui baisa le front.
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Z'avez dit SOS RP ?
pnj
[Extérieur]

Therion découvrait Paris pour la première fois. Ses ruelles, ses places... et ses catins. La jeune femme ouvrait de grands yeux ronds. Paris... La ville où tout le monde souhaitait se rendre.... Paris, que dire d'autre? Elle n'avait jamais été dans de grandes villes, aussi était elle impressionnée de circuler dans la fameuse capitale, dont tant de gens parlaient avec une lueur dans les yeux.

Ils traversèrent différentes ruelles, jusqu'à s'arrêter enfin devant une auberge. A la vue de celle-ci, André poussa une exclamation. La Rose et le Gratte-cul... Charmant nom aux consonnances évocatrices. Elle sourit en se demandant quel était le sens caché de ce nom. Elle n'en avait jamais entendu parler.


- Il est vrai que j'ai faim.

Elle sourit quand il l'embrassa sur le front, et l'entraina vers l'entrée.

- Si on ne vivait que d'amour et d'eau fraîche, il y aurait en ce monde le paradis plutôt que l'enfer.
---fromFRBabette du Lys
[Le Gratte Cul]

Discussion inutile jusque là, enfin les mots attendus sont prononcés. Elle accepte sans fausse minauderie le verre qui lui est offert et sourit, aguicheuse, à la proposition si facilement formulée. Repoussant la chope sur la table crasseuse, elle se penche vers lui jusqu'à sentir son souffle sur ses lèvres.

Tous les mets ont un prix mon biquet.

Un doigt gracile s'envole dans les airs pour venir, léger, caresser la bouche, promesse de brûlures. Elle coule un regard en coin pour vérifier que personne ne soit assez près pour entendre l'échange de paroles. Le patron de l'établissement se trouverait fort colère si jamais il apprenait le commerce qu'elle continue à mener chez lui. Mais personne n'est là pour s'occuper de ses affaires. Trop occupés que sont les clients à entretenir leur ivresse.
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---fromFRDededemortecouille
[Extérieur]

Avant d'entrer, je dis à Therion d'une voix amusée :

- J'ai déjà un joli aperçu de ce qu'est le paradis grâce à toi.

[Salle commune]

Ils entrèrent par la grande porte, et déboulèrent dans une grande salle. La salle commune. J'adressais un salut d'un signe de la tête au personne présente. Quelques trophées de chasse ornaient les murs un peu ancien de la salle. Ormis ces quelques carcasses d'animaux morts, la pièce semblait accueillante. Je me dirigeais vers une table, tira la chaise galament de Therion et m'assis à mon tour.

- Tu connais un peu les lieux ?
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---fromFRBelombre
[Le Gratte Cul]

Belombre passe la langue sur ses lèvres, puis éclate de rire.

Je ne pensais pas vous croquer de cette façon, du moins pas de suite.

Il prend une expression pensive. Puis baissant la voix.

Mais peu importe en faite l'ordre, je vous croquerai de mon fusain après avoir savouré le met délicat de vos hanches.

Il se met à carresser délicatement la peau velouté de sous ses jupons, promesses de volupté et de sensualité.

Les plaisirs de la bonne chair ont effectivement toujours un prix à payer, quel qu'il soit. Dite moi le tarif du menu, et j'envisagerai de le déguster. Je sais déjà que le repas sera fameux et sera consommé bouchée par bouchée jusqu'à satiété.

Belombre lui sourit de ses yeux gris tout en se demandant pourquoi elle prenait autant de risque pour quelques écus.
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pnj
[Salle commune]

Elle rougit du compliment et ils entrèrent. La première chose qui impressionna Therion, ce fût le nombre de personnes, soit attablées, soit accoudées au comptoir. Elle suivit André et une autre chose la percuta de plein fouet. Les odeurs. Elle n'avait jamais sentit autant d'odeurs mélangées à la fois, odeurs de sueur, de parfum, de cuisine, d'alcool. Elle vacilla un peu, et s'asseya avec reconnaissance quand André lui présenta galamment un siège.

Tandis qu'il prenait place, elle observa mieux les lieux. Des trophées de chasse, des gueux qui cotoyaient des nobles, la pureté et le purin, la beauté et la laideur, La Rose et le Gratte-cul. Elle comprit mieux enfin le sens du nom de cette taverne. Certains nobles se dirigeaient vers une porte à gauche, tandis que les gueux allaient vers celle qui se trouvait à droite. Chacun dans son milieu ou bien ici. Elle ne pensait pas que les nobliaux accepteraient de se mélanger au petit peuple. Un de ses préjugés venait de s'effondrer.

Quand André lui posa la question, elle rougit violemment, ayant l'impression de passer pour une imbécile :


- Nnnnonn, non, je ne connais pas cette taverne. Je n'en ai jamais entendue parler, je ne savais même pas qu'un tel lieu existait.

Honteuse de son igorance, sa voix mourrut sur les derniers mots. Elle baissa la tête, croisa les mains sur la table et se mordilla la lèvre.

- Je ne connais pas vraiment les grandes villes, c'est même la première fois que j'en vois une. Et toi, tu as l'air de connaître cet endroit, au moins de nom, racontes moi ce que tu sais.
---fromFRDededemortecouille
[Salle Commune]

Je commanda deux verres de vin frais. Puis je souriais à Therion et lui répondit :

- Tu es vraiment très jolie lorsque tu fais l'ingénue.

J'éclatais de rire. Puis je pris à nouveau la parole :

- Je n'ai jamais mis les pieds à Paris, mais on m'a raconté beaucoup de chose sur ce lieu. Par exemple, il y a deux portes qui mennent à deux salles complètement différentes. L'une s'appelle le Gratte-Cul et lautre la Rose. Leurs noms évocateurs dévoilent déjà leurs intérieurs. Dans celle de la Rose, le beau-parler est roi et la courtoisie reine. Tandis que celle du Gratte-Cul a sur son trône la beuverie et la luxure. Choisis dans laquelle tu veux passer la soirée...
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Z'avez dit SOS RP ?
---fromFRMadelon
[Salle Commune]

En voilà encore un à réclamer un bain ... De suite se présente à son esprit les marches à monter les bras pesants d'eau vicieusement clapotante. Constatant la libération de son comptoir de toute invasion massive d'arme de jet, elle reprend sa plume et emplit encore une fois le grimoire d'encre savamment disposée. Saisissant une seconde clé derrière elle, elle s'extirpe de l'arrière du bar et invite du geste et de la voix les messieurs à la suivre. Un arrêt, le temps qu'ils se décident lui offre le loisir de saluer d'un geste de la tête l'arrivée de nouveaux clients.

Messieurs, si vous voulez bien vous donner la peine ...

Soulevant ses jupes, elle grimpe les marches au devant du duo masculin. Un escalier violemment éclairé mène à l'étage où s'alignent les chambres. Un couloir tout recouvert de tapis distribue des portes comme un joueur de bonto ses cartes. Les chambres sont ouvertes et elles déposent les clés dans les mains de leurs nouveaux locataires. Chambres quasi identiques, qui font la part belle à des lits suffisamment grands pour que même à deux on ne s'y sente pas à l'étroit. Quelques babioles glanées sur le marché viennent égayer les lieux et chacune a sa couleur dominante. Verte l'une, l'autre toute rutilante d'ors. Une armoire de bois ouvragé, un secrétaire et l'indispensable miroir pour les dames.

J'espère que cela vous convient, l'eau de vos bains ne saurait tarder. Veuillez m'excuser mais mon service me rappelle en bas, n'hésitez pas à demander s'il vous manquait quoi que ce soit.

Les abandonnant à leur logement provisoires, elle redescend l'escalier en maugréant mentalement sur tout le travail qui s'accumule.
pnj
[Salle commune]

Il éclate de rire aux propos de l'homme. Oui, le bain d'abord, le verre ensuite.

- Je suis d'accord avec vous, un bon bain et le réconfort après.

Sa clé en main, il suit la demoiselle, ne pouvant s'empêcher de jeter un regard appréciateur aux charmes que les jupons laissent deviner. Arrivé à l'étage, elle montre deux chambres. Il entre dans la première, aussi verte qu'une forêt de sapins. Il soupire, et n'a hâte que d'une seule chose : se laver, se débarrasser de cette puanteur intenable, de cette crasse accumulée depuis trop longtemps, de ce sentiment de n'être qu'un tas de fumier ambulant, qui a perdu toute dignité. La chambre comporte un lit très grand, aguichant la fatigue qui commence à s'accumuler. Une armoire vient également compléter le tableau mais, n'ayant que peu de bagages, il ne s'en soucie guère.

Avant que la serveuse ne redescende, il attrape son épaule, plus un effleurement qu'une poigne, il a peur de la briser si il serre trop fort. Il la regarde, une lueur de reconnaisance dans les yeux.


- Encore merci pour tout Mademoiselle, j'espère un jour pouvoir vous rendre la pareille.

Son regard est sincère, du moins l'espère-t-il. Il postulera à ce travail mais même si il n'est pas prit, il la remercie de lui en avoir parlé, elle n'était pas obligée. Il retourne dans la chambre, salue son compagnon d'un soir, ferme la porte, s'assied sur le lit avec un soupir de soulagement. Il se laisse choir sur le dos, les mains croisées derrière la tête et ferme les yeux, une larme roulant sur sa joue.
pnj
[Salle commune]

André commanda deux verre et lui demanda où elle souhaitait se rendre. Observant le comportement des uns et des autres, elle pensa que le dicton chacun chez soi et les moutons seront biens gardés, pouvait s'appliquer ici. D'ailleurs c'était la première fois qu'elle cotoyait autant de nobles et de gueux réunis dans la même pièce.

- Je pense que l'on ferait mieux de rester ici. Je n'ai pas envie d'aller dans un endroit que l'on vient de quitter. Et pour La Rose, je n'ai pas le rang autorisé.

Elle sourit à la serveuse qui s'occupait de deux hommes et attendit que l'on vienne les servir.

- Que sais-tu de Paris?
---fromFRgalahad69
Galahad sourit aux rires de l'inconnu puis il monta les escaliers accompagné de la jeune serveuse et de sa nouvelle connaissance,il decouvrit la chambre spacieuse,qui vallait peut etre bien,les dix écus qu'il avait donné,marmonnant un vague merci,il s'installa et deposa ses maigres affaires,il pensa aux siens qu'il avait quitté,et se coucha sur le lit...Il posa son arc dans un coin ou l'on ne pouvait le voir que si on observait la chambre dans tout ses ecoins,mais facile à l'accèes en cas de besoin,il laissa son épée en bandoullière,sortit sur le balcon,pour voir Paris,et patiement il attendit l'eau chaude....Il pensa à son ancienne pauvreté,il pensa à celui qu'il avait perdu et à qui il tenait le plus,il soupira et marmonna pour lui

Eh ben Lictos si tu avait vu sa...

Il quitta le balcon faisant les cents pas en attendant l'eau chaude,il detestait la sensation de sentir mauvais et ne voulait pas rester encore longtemps sale..

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---fromFRMulot...
[Salle Commune]

La porte s'ouvrit doucement sur un petit garçon aux cheveux blonds, âgé d'à peine 12 ou 13 ans. Les mains sales, la figure barbouillée, les vêtements usés jusqu'à la corde, sans nul doute que ce petit bonhomme ne sortait pas d'une des belles chaumières de Paris.

Il venait d'au-delà de la Seine, de ces quartiers où la misère est le lot de tous, où, en hiver, les mendiants crèvent par dizaines dans la rue, et où les gosses abandonnés ou orphelins sont légion.

Il venait de la Cour des Miracles.

Mulot s'avançat au milieu du tumulte de la taverne, ignorant les quelques regards méfiants qui se tournaient vers lui, et s'approcha du comptoir, avant de commander un verre d'eau.

La commande passée, il jeta un regard circulaire sur la salle, réfléchisant à la manière avec lquelle il allait accomplir ce qu'il avait à faire.

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---fromFRRebeccah
La jeune femme arriva éssoufflée, mais libérée de son poursuivant devant la porte de l'auberge. Elle reprit un instant son souffle, dissimula la bourse dans une de ses poches, s'épousseta pour enlever toute cette satané poussière et remettant un peu d'ordre dans ses cheveux, poussa la porte, prenant un air détaché.

[Salle commune]

Rebeccah entra alors promenant son regard dans la grande pièce éclairée et bruyante, elle fit la moue... Trop de monde, trop de bruit, trop... De tout
Elle avança un peu plus, se frayant un passage parmi tout ces gens et aperçut deux autres salles. Curieux, pensa-t-elle.
La première était emplie de gens de condition nettement supérieure à la sienne, elle trouva l'endroit pire que la pièce principale, et c'était pas peu dire.
La deuxième par contre attira son attention, il y faisait sombre, les gens y parlaient et y riaient fort, on sentait d'ici les effluves nauséabondes et l'alcool semblait y couler à flots.

- Voilà un endroit bien agréable souffla-t-elle.

Rebeccah se retourna par précaution et vit entrer son poursuivant.Elle soupira, décidément il ne la lacherait pas !
Ni une ni deux, elle s'engouffra au gratte cul sombre et malodorant à souhait. Avec un peu de chance, il ne s'aventurerai pas ici.
A dire vrai, elle n'y croyait pas beaucoup...


[Le gratte cul]

Jetant un oeil, elle vit d'abord le comptoir, et ses tabourets. Il y avait du monde accoudé, mais elle y serait bien trop visible.
Il lui fallait trouver plus discret, comme une table dans un coin sombre.
Ces endroits, très prisés étaient déjà bien occupés.... Que faire ?

L'homme avançait en la chercant, il ne l'avait pas encore repéré... Son coeur battait la chamade, encore une fois elle chercha désespérément un endroit où disparaitre...
Les tables étaient toutes occuppées par de gros bras menaçants ou bien par des groupes qui n'avaient pas l'air très «accueillants»...
Toutes... Non ! Pas toutes... Une esquisse de sourire se peignit sur ses lèvres.

Elle eut soudain une idée... Oserait-elle ?

Il y avait dans le fond de la salle une table occuppée par un homme discutant avec une femme, et il n'était pas difficile de voir qu'ils n'avaient rien en commun. Elle les observa un instant, cette dernière devait travailler ici, seveuse ou bien un peu plus proche des clients... Cette dernière réflexion la fit imperceptiblement sourire. Quand à l'homme il semblait être le genre à fuir la foule et la lumière, peut-être avait-il quelque chose à se reprocher, mais son regard avait quelque chose de très plaisant, un air de mystère.

De toute façon Rebeccah n'avait pas vraiment le choix, elle devait disparaître.
Pressant le pas elle se glissa entre les tables, s'excusant à maintes reprises, elle ramassa un chapeau tombé au sol, puis prenant une inspiration pour se donner du courrage, elle posa son posterieur sur la chaise attenante celle de Belombre, enfonçant la coiffe sur ses longs cheveux de bronze.
La jeune femme leva les yeux vers l'inconnu, ne pretant aucune attention à la femme, et d'un regard effronté qui se voulait suppliant lui sussura :


- Je m'excuse de faire ainsi irruption, c'est une question de vie ou de mort, je vous en prie messire, faites comme si je n'étais pas là
---fromFRBelombre
[Le gratte cul]


Belombre se sentait à l'aise dans ce type d'endroit, malgré tout il ne pouvait pas s'empêcher d'être à l'affût de ce qui l'entourait. Pourtant il le savait mieux que personne, c'était dans l'antre de la fange elle même qu'on était le plus en sécurité, même les pires scélérats protégeaient un temps soit peu leur havre de repos.

Il voit arriver une femme, de suite il pense à une petite caille flamboyante. Son pas pressé, ses yeux inquiets, sa démarche incertaine, tout laisse à penser que ce gibier là est traqué.
Un regard à la porte, une lueur de panique dans le regard, voilà le chasseur qui rentre en scène. Belombre observe la suite des évènements.

Il regarde d'un oeil amusé la jeune femme se faufiler à travers les tables, se pencher mine de rien, s'excuser...Il rit sous cape en la voyant s'approcher d'eux d'un pas décidé et poser ses jambes graciles sur la chaise laissée vacante près de lui. Décidément il aimait les rencontre hasardeuse. Le menu était en train de s'étoffer et ce n'était pas pour lui déplaire, loin de là! Gibier au menu.


La petite caille posa un regard qui feignait l'éffarouchée, Belombre n'était pas dupe, au paroles susurrées il répondit dans un souffle tiède à son oreille.

Il va m'être difficile de faire comme si vous n'étiez pas là belle demoiselle. .... Il appuya ses mots par un sourire franc..... Et je vais vous sauver d'une mort certaine par la plus délicieuse des manières.

Il glisse doucement sa main sous la nuque de celle ci, attirant son visage prés du sien et déposant sur ses lèvres entrouvertes un chaud et doux baisé...Belombre ne pouvant pas s'en empêcher tout en embrassant la charmante audacieuse pose son regard coquin sur Babette.
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