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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

---fromFRBelombre
[Le gratte cul]

Sous le regard de la petite voleuse, Belombre la gratifia d'un charmant sourire.

Une fois l'homme assis, il laissa la dague à quelques pouces de sa virilité.


Buvez un coup vous me semblez pâle. Quelque chose ne va pas?

Euhhh, nn... non...tout va très bien.

Il bu goulûment une gorgée.
Belombre adorait sentir la panique, l'angoisse chez ses proies. Il regarda les yeux captivant de la jeune femme, puis lui fit un clin d'oeil.


Bon ce n'est pas que votre compagnie nous dérange mais j'ai....comment dire...j'ai bien envie d'une caille!

Belombre se mit à rire.

Vous venez ma chère amie?
Babette, je suis heureux de vous avoir rencontrer, peut être un jour je reviendrais et savourais le menu que vous m'avez proposé.
Il lui sourit puis se penche vers l'homme.

Ne tentez même pas de nous suivre sinon une de mes dague vous fera un sourire perpétuel.

Sur ses paroles il imprima une légère entaille sur le bras du voleur volé.

Puis se levant prestement, il prit la taille de Rebeccah, la souleva légèrement et prit la direction de la sortie.

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---fromFRRebeccah
[Le gratte cul]

Rebeccah rendit son sourire à Belombre, puis elle regarda un instant l'homme qui buvait.
Elle avait malgrès tout un sentiment de pitié à son égard : si il en était arrivé là, c'était quand même un peu à cause d'elle.
D'un autre côté ce léger sentiment était balayé par le fait que si tout cela ne s'était pas passé ainsi, elle n'aurait jamais connu cette trépidente soirée.

Perdue dans ses pensées, c'est la voix de Belombre qui la fit revenir sur terre, enfin, plûtot une phrase... Envie d'une caille ? Mais la caille avait-elle envie ? Cela restait encore à voir...


- Avec plaisir, Messire.

Elle hocha la tête en direction de Babette, puis se sent soulevée et en moins de temps qu'il ne faut pour le dire, ils se retrouvèrent dehors.
Belombre avait soufflé mot à l'homme qui, elle en était sure, ne croiserait plus leur route.

La nuit était tombée, faisant apparaître un Paris mystérieux, labirynthe de ruelles faiblement éclairées, résonnant d'éclats de voix et de musiques lointaines.
Rebeccah sourit à la nuit.
pnj
[A l'étage]

L'homme se réveille en sursaut. Sueurs froides le long du dos, drap à moitié serré dans sa main. Il se passe une main sur le visage. La serveuse n'est toujours pas venue lui amener de l'eau. Qu'importe, il dévale les escaliers, et demande à une des personnes présentes en cuisine de lui fournir un seau d'eau chaude et un savon. Les employés hésitent, quelques pièces apparaissent dans leurs mains, et il remonte avec la denrée tant convoitée. La toilette est rapide, les cheveux sont encore mouillés quand il nettoie un peu ses vêtements. Regard dans la glace. Cela fera l'affaire. Il descend quatre à quatre les escaliers, bouscule une femme marmonne une excuse et se dirige vers la sortie. A la recherche d'une nouvelle vie. Si les dieux le veulent
Kad
[Salle Commune]

Longtemps absent. Trop longtemps. Des mois complets s'étaient écoulés sans que le tenancier de la Rose et du Gratte Cul n'ait trouvé le temps de rallier Paris. Les combats en Suisse l'avaient cloué au lit des semaines durant. Une large cicatrice ornait désormais son bas ventre. Son visage, blanc comme un linge immaculé, témoignait de la faiblesse qui l'inondait toujours.

Passant le seuil, il adressa un salut à l'homme de main. Le slave se tenait la, fièrement dressé, à l'affût du moindre geste suspect. Non loin de la s'affairaient Roland, le fidèle tavernier à la moustache fournie, ainsi que la jeune serveuse portant le doux nom de Madelon.

L'archidiacre de Narbonne prit place à la tablée la plus proche. D'un oeil dur, il s'adonna à l'observation de la clientèle. Du Gratte Cil résonnaient les voix portantes de quelques fols et marauds, abreuvés plus que de raison. La Rose semblait calme, comme à l'accoutumée. Il s'y rendrait sous peu, afin de déguster quelques vins de qualité.

L'instant présent, il se laissait bercer par le doux fumet des plats chauds quittant les cuisines. L'ambiance paraissait des plus détendues. Il entreprit de chercher du regard quelqu'un avec qui converser. Pour passer le temps, simplement.

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---fromFR* Errol *
[Salle commune]

Ouais ! Ça sortait, ça rentrait, mais il avait toujours faim et soif, il n’était pas plus propre ni plus reposé. Manifestant son impatience par une vive agitation des extrémités digitales, l’homme finit par se lasser d’estre nerveux et se calma. Faisant volte-face, il avisa celui qui – lui semblait-il – estait le tenancier de l’establissement. Désireux à l’abord de lui faire savoir ce qu’il pensait d’un rade qui laissait ainsi ses clients mourir de faim et de soif, couverts de crasses et exténués par leurs galopades nocturnes et leurs exploits matinaux, il se ravisa et s’assit simplement face à lui en le saluant.

Le bon jour, monsieur. Il y a bien longtemps que je ne vous avais point vu ici. Vostre voyage s’est-il bien passé ?

Poli, il s’enquiert de nouvelles de son interlocuteur, avec l’air si distrait qui ne semble jamais le quitter. Et puis il remarque la pasleur de l’homme.

Eh bien, mon ami, vous m’avez l’air bien fatigué ! Vous avez, semble-t-il, autant besoin que moi d’un bon repas et surtout d’une bonne bouteille de vin !

Gai, le bretteur rit, posant sur la chaise à costé de lui son ballot de vestements et son couvre-chef.

Serait-ce la mollesse de vos employés qui vous donne tant de souci ?

Nouveau rire, léger.

Pour le gros lard derrière le comptoir, je ne dis pas, mais vous devriez garder les demoiselles.

Un éclat dans son regard vint peut-estre trahir sa pensée… mais son interlocuteur, il en estait persuadé, la partageait, et n’avait pas engagé les jeunes femmes pour des prunes.
Kad
[Salle commune]

D'un regard sombre et terne, il considère celui qui vient de prendre place à sa tablée sans même en demander l'autorisation. Décidément, les bonnes manières de la Rose ne semblent de mise dans le compartiment commun. Mais bon, comment apprendre à un cochon que l'on ne plonge pas le groin dans la fiente qui lui sert de pitance. Alors qu'il ouvre la bouche, avec une lenteur extrême, les souvenirs convergent et le ramènent à la raison. Cet homme, il le connaît bel et bien. Un client des plus fidèle, munit d'une bourse bien pleine qui ne quitte jamais sa ceinture.

Ravalant le mépris soudain qui l'assaillait l'instant précédent, le voici répliquant d'une voix un tantinet gazouillante :


Messire... Errol, si je ne m'abuse ?

Oui, effectivement, ces dernières semaines ne furent point des plus faciles à traverser...


Il s'interrompt bien vite, puis profite qu'un autre sujet soit amené pour ne pas s'attarder sur celui qui lui coûte. La guerre pèse sur son esprit troublé. Ressasser les coups d'épée encaissés n'est guère favorable à la guérison. Et il le sait.

Certes, le lourdaud de Roland n'est pas le tavernier parfait.

Il développe plus fort, afin que sa voix porte jusqu'au comptoir.

Probable qu'il vive la son ultime heure de service, s'il poursuit de se vautrer de la sorte devant les clients !

Les traits plissés, Kad dévisage crûment son employé, puis reporte son attention sur son hôte.

Je crois avoir tant faim que vous. Mon estomac gronde.

Le plat du jour, et une bonne bouteille !
renchérit il vers "La Chope"

Dites moi, Messire. Comment se porte Paris ? Il m'a semblé entendre que les plumes offriraient sous peu une représentation place de Grève, mais je ne sais qu'en penser, n'ayant reçu de missive de Wiatt à ce sujet.
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---fromFR* Errol *
[Salle commune]

Oui-da, monsieur. C'est bien mon nom, et je loue vostre mémoire.

Tout à son enthousiasme, notre homme en oublie les formalités. Il ne s'est point présenté, n'a rien demandé... diable, comme il s'en moque ! Il s'est assez annoncé pour la journée. Il renchérit, sur la commande du tenancier.

La mesme chose, tavernier !

Puis, se tournant vers Kad.

Eh bien, vous savez, Paris est calme en cette saison, chacun profite de la douceur de l'air pour visiter ses domaines, et Paris est bien vide. Moi-mesme me suis offert un petit voyage en Languedoc, et je ne suis rentré que depuis peu, aussi ne puis-je vous en dire plus au sujet des plumes...

Moue désolée, il lisse son bouc, distrait, comme saisi par une idée.

Mais enfin, je dois me rendre tantost à Margency pour visiter dame Wiatt, j'en saurai certainement davantage alors, vous n'avez qu'à m'accompagner !
---fromFRRoland la chope
[Salle commune]

Affalé sur le comptoir, un gros porc ronfle à moitié. Une morve visqueuse s'étire de son pif rebondit pour chatouiller les godets qui sommeillent sur le bois massif.

Soudain, une voix familière s'élève. "La Chope" bondit, tente de camoufler un rot nauséabond puis rétorque d'une voix tremblotante :


Ah, qu'c'est bin bon d'vous r'voir, M'ssire Kad.

L'amabilité du tenancier était connue de tous. Mieux valait abdiquer à se dires que renchérir. L'été arrivait à terme. Fini la branlette et le souillage des cuisines incognito.

Le Roland vide d'un trait une bière entamée traînant sur le comptoir, puis file dans les cuisines pour ressortir les mains pleines. D'un pas pressé, il rejoint la table de l'archidiacre et y dépose deux volailles aux champignons de Paris. Munit d'un tir bouchon, il éjecte le liège de la bouteille, renversant par mégarde de précieuses gouttelettes sur les chausses de son patron.

Plus par volonté de ne point perdre ce nectar que par celle de s'accorder le pardon de Kad, "La Chope" s'agenouille et lèche les basques pour absorber le bon vin...

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Kad
[Salle commune]

Et son poing de venir marteler le bois de la table pour que cet idiot de Roland cesse ces agissements des plus dégradants.

File, tonnelet sur pattes !

Tandis que l'autre s'éloigne, Kad reporte son attention sur Errol. L'archidiacre plonge une fine cuillère dans la sauce, puis la porte doucement à ses lèvres. Le dîner semble fameux. Si le tavernier n'a guère de classe, nul ne peut lui reprocher la qualité de ses mets.

Le Languedoc, vous dites ? Ma terre natale, ma patrie.

L'homme aborde ensuite Margency. Ses mots sonnent juste, tintés de noblesse. Kad se demande à qui peut il bien faire face. Etrange que cet individu fréquente la salle commune s'il peut se prélasser dans le luxe de la Rose. Mais après tout, il est bien la également.

Soit, finissons nos assiettes, et mettons nous en route sans perdre une minute. Il me tarde de retrouver le domaine et le verbe des plumes.

Et Kad de se focaliser sur son repas, jetant régulièrement quelques éclairs au personnel de son regard antipathique.
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---fromFR* Errol *
[Salle Commune]

Si vite ? Mais…

Oh, et puis zut ! Ils auront bien un baquet d’eau chaude à Margency. Plus vite il y serait, plus vite il serait anobli, et plus vite il serait anobli, mieux cela serait. Enthousiasmé par cette pensée, Errol s’appliqua à vider son écuelle.

Vous avez raison. Harro !

Et sans façon, il prit les armes. Son cuiller véloce en peu de mouvements vint à bout de la chère, la mettant au pas comme tant d’ennemis auparavant. Moins tranchante que Mademoiselle, mais certes plus adaptée, elle sut avec art livrer bataille. L’ennemi rapidement capitula, emportant avec lui l’étendard vaincu d’une faim si tenace. Victoire, mes frères ! Errol estait repu. Lors que la chère choyait, capitulante, en un vorace estomac, le vin honorable s’en alla la rejoindre.

Fameux cru, l’ami. Meilleur que celui que j’avais l’habitude de boire jusqu’ici… las ! Mais enfin, fi de plaintes, ce temps là est révolu.
A vostre santé, très cher !


Et à mesure que le vin coulait, il se faisait plus familier, trop, peut-estre… C’estait souvent ainsi qu’il en venait aux armes, mais il estait, alors, trop gai pour en tomber dans ces considérations somme toute bien rébarbatives.
Kad
[Salle Commune]

Il ne prêta point plus que cela attention aux dires de son compagnon, absorbé par la mixture qu'il avalait à grandes bouchées. Kad se contenta d'acquiescer d'un signe de tête lorsque Errol évoqua la qualité du vin. Puis il leva son verre et trinqua :

Louons le Tout Puissant pour ce pain si noble, et pour cette viande fraîche. Que notre amitié naisse de ce repas partagé.

A la votre, très cher, ainsi qu'a la vie.


Et il plongea de nouveau le fer dans l'assiette, jusqu'a ce qu'il soit totalement repus. D'un geste de la main, il renvoya la serveuse qui apportait sur un plateau richement décoré quelques fromages opulents. Mieux valait éviter tout mal de ventre pour chevaucher jusqu'a Margency. Cette pensée lui fournit un nouveau de sujet de conversation, qu'il développa sans attendre :

Mon fils, possédez vous une monture ? La maison en loue, et les écuries comptent de belles bêtes, que nous serions disposés à monnayer.
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---fromFR* Errol *
[Salle Commune]

Repas fini et bouteille tristement veuve, Errol essuya rapidement ses lèvres, sourit à l'accorte serveuse et répondit à son hoste.

Point, l'ami. J'avais justement le projet d'en quérir une, et votre proposition tombe fort à propos.

Un sourire, l'homme se lève, tout aussi pressé que l'autre de filer vers Margency, étonné simplement qu'on l'appelle "mon fils". Un prêtre qui tient une taverne... Etrange. Enfin, il allait entrer dans le monde, et il n'estait certainement pas au bout de ses surprises.
Agité d'impatience, l'homme serre son baudrier, s'assure de la rassurante présence de son espée, récupère son ballot de vestements et attrape son couvre-chef, puis laisse une poignée d'écus sur le comptoir pour payer son repas.


Monsieur, allons nous ?
Kad
[Salle Commune]

Kad prit le temps de laisser quelques consignes au Roland, puis à Madelon, espérant rétablir un semblant de sérieux dans l'établissement. Le service laissait à désirer, ce qui demeurait tout simplement inconcevable.

Puis il entraîna à sa suite le Sieur Errol, et les deux hommes se dirigèrent vers les écuries.


[Ecuries, puis Place de Grève]

Ils durent patienter quelques minutes, afin que l'on scelle leurs montures. Kad expliqua alors à son hôte qu'il lui laissait tout loisir de chevaucher gratuitement celle ci afin qu'il puisse la tester. Les deux palabreraient plus tard au sujet d'une éventuelle transaction.

Les rênes claquèrent timidement, et les sabots des destriers martelèrent le pavé de la place de Grève en direction de Margency...

A l'autre extrémité de la Grand place, le Bureau de la Ville (Qui deviendra l’Hôtel de ville) semblait étrangement animé.

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---fromFRBelombre
[dehors]

Belombre sort dans la nuit, il regarde la jeune voleuse, ils marchent quelques pas, arrive près d'une ruelle.
D'un geste vif, il l'entraîne dedans et la plaque contre le mur. Sort sa dague droite et la lui dépose sur son cou fin, sa dague gauche quant à elle va appuyer juste au bas des côtes, là ou la lame ne rencontrera aucune résistance.
Il cale sa jambe de manière à l'empêcher d'utiliser les siennes. Puis approche son souffle de son visage.


Vous connaissez l'histoire de la petite caille qui se croyait plus forte que le renard?
Non?
Quel dommage!

Pour résumé la caille se fait manger.


Belombre sourit.

Il remonte sa dague gauche vers les lacets de la chemise de Rebeccah, les sectionne laissant apparaitre une poitrine délicate et blanche. Il les caresse de sa lame puis coupe la bourse se trouvant entre ses deux seins.


Merci


Il la fait glisser le long de sa lame et celle si disparaît dans sa manche.

La caille toujours à sa merci et profitant de sa stupeur et de sa rage, l'embrasse, insinuant lentement sa langue entre ses lèvres. Puis se détache de sa proie. Il ne fallait pas abuser des bonnes choses.


Si un jour vous avez envie d'être mangé regardez dans votre ombre.

Il avait repéré un groupe s'avançant à leur hauteur dans la rue adjacente, il fit un pas sur le côté et se fondit dans la foule.

Décidément cette soirée avait été enrichissante par bien des côtés. Il marchait tout en soupesant la bourse qu'il venait de prendre à la voleuse. Il sourit à la nuit et disparut.

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---fromFRRebeccah
Quelques pas dans la rue et soudain, l'homme la palqua contre le mur, chuchottant à son oreille. La rousse esquiva un sourire, au fond d'elle même elle savait que ce la se terminerait ainsi... Pourquoi n'avait-elle rien fait pour l'éviter ? Pourquoi n'avait-elle pas fui en sortant de l'auberge ? Par curiosité sans doute, cette curiosité qui n'avait de cesse de la mettre en danger.

Rebeccah aimait savoir, connaître les gens, bon ou mauvais, mais elle devait savoir, c'était plus fort qu'elle.
En attendant elle était bien avancée... Dans une ruelle sombre et déserte, immobile et à la merci de la lame de Belombre, dont elle sentait la pression à son cou.

Son coeur battait à tout rompre, lui donnant ce qu'elle aimait, cette montée d'adrénaline, allait il la tuer ? Cette question cogna dans son esprit lorsque elle sentit la lame du deuxième poignard remonter le long de son buste et sectionner les lacets de sa chamise.
Un long frisson parcourut son échine...

L'homme prit alors la bourse si bien dissimulée... Le regard de Rebeccah prit alors une teinte de rage, moment que choisit Belombre pour un ultime baiser avant de disparaître.

La jeune femme resta un moment appuyée au mur tout en rattachant les lacets, il ne faisait pas bon trainer découverte dans les ruelles sombres, et elle avait eu son compte d'émotions pour la soirée.
Il était temps de trouver un coin où dormir, il fallait être en forme demain, d'autres bourses l'attendaient.

La rousse, se faufila comme un chat dans les ruelles, et disparut.
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