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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

---fromFRAnonymous
[ Auberge, la Rose et le Gratte Cul / Rez de chaussé ]

Est ce que le p'tit Jess était entouré d'une chance immense pour que ce collègue est accepté de le prendre à bord de sa charrette. Il ne remarqua pas tout de suite tout le matériel posé juste derrière lui dans la charrette et qui servait justement pour ce genre de pillage.
Un petit sourire apparut sur son visage, jamais il n'eut besoin d'être aussi bien préparé pour piller une battisse de bougres de nobles.
Plus la charrette s'éloignait de l'Hostel plus le danger était éloigné jusqu'à ce que celui si devienne quasiment inexistant.

Ce fut un échec pour ces quelques pillards ainsi que pour Jess qui devait désormais trouver autre chose afin de justifier son salaire de début de mois. Aucune parole ne fut échangé durant le trajet entre les deux hommes, Jess se contentait de repérer d'éventuelles battisses qu'il pourrait à leur tour piller comme il le faisait si souvent.

Et c'est alors que la charrette s'arrêta brusquement le long d'une auberge dont il avait déjà entendu parler mais où il n'était encore jamais entré. Descendant de la charrette, retrouvant à nouveau les rues de Paris il regarda la grande battisse.


* La Rose et le Gratte Cul ! *

Tiré de ses pensées par l'autre homme qui l'invita à se poser à l'intérieur de l'auberge, il répondit d'un signe de tête avant de le suivre à l'intérieur.
Désormais hors de tout danger, il se contenta de balayer du regard la pièce dans laquelle il se trouvait, celle si ressemblait à toutes les autres auberges qu'il avait put visiter bien que celle si ne sentait pas la même odeur peut ragoutante que l'on pourrait trouver dans une auberge banale.

Il suivit donc l'homme jusqu'au comptoir et voyant que celui si était occupé à réveiller un homme affalé sur son comptoir en le secouant de part et d'autre, Jess se recula un petit peut puis il se rendit devant un petit buffet sur lequel était disposé toute sorte d'objets. Derrière ce bufet, incrusté dans le mur une fenêtre qui donnait sur la rue et sur la charrette dans laquelle il était il y a quelques minutes.
Jetant un dernier coup d'oeil aux deux hommes au comptoir non loin derrière lui, il se contenta juste après de fixer du regard de petites boites en argent posées sur le bufet.

Désormais en train de se poser quelques questions sur ce qu'il devrait faire de ces objets, s'il devait s'en emparer pour compenser l'échec tout récent de l'hostel ou s'il devait attendre encore un peut...
---fromFRMadelon
Le livre se referme, sans commentaires, inutiles, la plume et l’encre retrouvent leur place. Le regard parcourt la liste établie, rien d’exceptionnel. Un souffle pour éteindre les lampes qui n’éclaireront plus sa présence. Quelques secondes en suspens pour que l’oreille confirme à l’esprit. Un nez qui se plisse en signe d’étonnement inquiet. Une voix qui ne devrait pas se trouver en cette heure en ces lieux.

Remontée en salle, des yeux qui se croisent, une demoiselle passant derrière un comptoir, décor à une scène. Compréhension tacite, les rôles sont sur mesure. Une attention captée par un spectateur silencieux, dissimulation d'incertitude par un verre saisi, un tavernier repoussé, une phrase à la salle lancée.


Installez vous, que dois je vous ... apporter ?

Un mot appuyé, en messager échangé. Une question voilée, une interrogation sous jacente. Texte en improvisation, au petit bonheur ... la chance.
---fromFRJoseph des rouscilles
Encore mieux qu'un heurtoir, plus efficace que les clochetons des curés, tiens pour un peu, y'en aurait pour dire qu'un coup de biniou de Joseph fait apparaitre les anges. Le tavernier pour une fois a rempli son office, c'est pas si souvent que ça lui arrive alors qu'il le fasse même à son insu ce doit d'être souligné.

Le pas se déroule jusqu'à amener un battoir saisir une chaise se lamentant d'être si vide. Raclement du bois sur le sol, raclement de gorge pour ne pas être en reste. On va pas se faire moins causant qu'un meuble. Le voyage à la table est l'occasion de constater que le touriste spécialiste des gaufres se perd dans la contemplation de la fortune de l'auberge.


Alors petit, tu viens déposer ton auguste postérieur pour partager un verre et me raconter une histoire ou tu vides la baraque ?

Démêlage de moustache pensive, coup d'oeil inexpressif pour la serveuse. Choisir le pourquoi et le comment on ouvre la bouche.

Deux godets Mademoiselle, et n'allez pas me les, hmm, rater. Si vous avez une meilleure cuvée, n'hésitez pas à nous la servir.

Les mains fouillent pour dénicher les pièces à faire cliqueter sur la table. L'habit ne fait pas le moine.
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Du silence les enfants, surtout du silence !
---fromFRAnonymous
Tiré de ses rêveries par la voie de l'homme, Jess se retourna d'un coup pour voir de quoi il s'agissait.
L'homme venait tout juste de prendre place à une tablée et il invita Jess à venir s'asseoir à ses cotés. Le jeune brigand s'avança, oubliant les petites boites en argent sur le buffet qui faisaient l'objet de sa curiosité puis il vint s'asseoir à coté de l'autre collègue.

Mais il fut surpris de voir une femme ainsi présente dans la même pièce qu'eux. Bien qu'elle était fort charmante ce qui l'étonna le plus c'est qu'il ne l'avait pas vu venir...

Jess regarda alors le collègue qui venait de commander à cette même femme de quoi se faire passer la soif puis le jeune brigand ajouta de sa voie de jeune homme.


« Et si vous commenciez d'abord par me dire votre nom et ensuite... me dire ce vous faisiez derrière cet Hostel à essayer d'enfoncer la porte réservée aux employers ?! »

Le regardant droit dans les yeux comme s'il allait lui sauter à la gorge, Jess finit par laisser apparaître un petit sourire sur son visage et n'attendant pas de réponse de la part de son collègue il se présenta à lui.

« Pour ma part, je m'appelle Jess, orphelin depuis toujours et jeune brigand à mes heures. Je tentait de pénétrer dans cet hostel jusqu'à ce que la bleusaille ramène son postérieur dans mes histoires... et les vautres aussi je me trompe ?! »

L'air amusé, il se mit à fixer la femme du coin de l'oeil jetant parfois un petit regard à la fenêtre derrière lui pour voir si la charrette était toujours à sa place...
---fromFRSulian
Sa jambe était glacée par un de ces vents coulis qui vous gèlent la moitié du corps tandis que l'autre éprouve la chaleur moite des salons.
Ainsi, à sa droite, la sombre et silencieuse - pour ne pas dire trompeuse - image de la mort : La Cour ; à sa gauche, les decentes beuveries : Paris, c'est icelle. Sulian, sur la frontière de ces deux lieux si disparates, rendaient Paris la ville la plus amusante, la plus captivante.

Si icelui n'avait d'yeux que pour les femmes, c'est que sa feue mère lui eût été enlevée jadis, vivant pour ainsi dire qu'avec des hommes : son père, son frère. Décapités ensuite, Sulian eût considéré tout cela dans son ensemble. Et à chaque rencontre du feminage, il recommencait à chaque fois, et s'en repaissant à loisir, jusqu'à ce que la satiété lui fit réclamer une autre envie à goûter...

Accoutumé à marcher en ressassant pareilles futilités, en outre revolues, il quittait les venelles par trop etroites pour s'arrêter devant une Auberge.
Le nom plaisait au jeune homme. Hormis le jour où Nalyss et lui avait decouvert une trappe dans la Nef de Nostre Dame de Paris, il n'avait guère foulé ce sol-ci.

Il n'aimait pas les auberges, mais s'y voyait contraint. Cette petite godinette viendrait tôt ou tard pour l'harceler, quant à une autre arrivée fortuite, il y croyait prou. Il craignit un instant d'être brocardé pour sa présence en un tel lieu mais les gens qui l'entouraient étaient à cent lieux de tout persiflage. Après une courte embrassade visuelle, il vit deux yeux expressifs, bon-vivant, sous de gros sourcils hirsutes, et une barbe luxuriante au milieu de laquelle s'entrouve une bouche sans dents pour l'ébauche d'un sourire ; puis une dame à la peau ivoirine et à l'attitude gracieuse. Ebauche d'un sourire, puis haussement d'épaules fataliste, il s'installa sur une chaise esseulée, et, tournant des pouces, attendit qu'on vienne le voir, laissant le temps au temps.

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---fromFRMadelon
On pourrait écrire que l'air se fige et prend une consistance murale, mais ce n'est que l'impression pesant sur les épaules de Mademoiselle. Les nouvelles avaient beau être fraîches, elles n'en étaient pour autant pas d'une saveur à son goût. Trop épicées. Les verres sont servis pour être déposés d'un geste sec sur la table occupée par les deux hommes. La voix est suffisamment travaillée pour ne pas laisser transparaitre la crispation d'humeur.

Je suis désolée monsieur, mais pour une cuvée plus accessible, il faudra patienter un peu. C'est que nos délais de livraisons sont courts.

Une incohérence qu'elle laisse filtrer sciemment en empochant les pièces déposées à son intention. Un sourire tout commercial se fixe sur ses lèvres alors qu'elle utilise la distance jusqu'à l'autre table qui vient de trouver locataire, à repasser quelques conversations ici ou ailleurs entendues. Debout à ses côtés, elle songe que l'information requise n'étant pas dans sa mémoire, il fallait espérer que le filon représenté par cette auberge ne soit pas épuisé. Cela lui arrache un soupir tout destiné à cette journée de service qui se profilait.

Et pour le jeune homme ce sera ?

Le point d'interrogation flotte en fin de phrase pour s'évanouir dans un courant d'air traitre, sale temps pour les demoiselles.
---fromFRLailah
Lailah arpenta les rues. Elle avait mal dormi et était de mauvaise humeur mais heureusement n'avait qu'à tendre l'oreil pour apprendre ce qu'elle voulait savoir. La ville bruissait d'activités et les évènement de la veille étaient bien sur racontés en long, en large et en travers, surtout celui qui l' avait empeche de dormir en fait mais bon... Enfin ca n'avait pas d'importance, la seule chose qui l'intriguait était un inconnu qu'elle
pistait pas instinc.


En passant devant une étable, enfin une maison humaine, elle remarqua
une auberge de l'autre côté de la rue. Y reconnu une silouette entrer.
Heureusement qu'elle avait bonne vue, elle ne voulait pas trop se meler à la clientel et donc préféra rester discrète et ne pas trop se faire remarquer.

Lailah se plaqua contre un mur, suffisament lentement pour qu'Il ne remarque pas de geste brusque. Elle se felicita d'avoir conservé sa capuche et sa cape, ainsi pas un n'avait remarqué ce qu'elle était, Lui non plus sans doute. Sa courte lame tirée dans sa main gauche et dissimulée dans la cape, la main droite sur la poignée de son épée, elle attendit le coeur battant. IL passa sans meme tourner la tete de son coté et disparut.
" Mais quelle idiote, jura silencieusement Lailah, j'ai paniqué comme une gamine"
Elle se relaxa complètement et s'autorisa meme un sourire "pitoyable..., vraiment lamentable..."
Neanmoins, la presence de cet individu l'intrigua.
"Tu est loin de chez toi, non ?" pensa-t-elle, ce à quoi elle ne put s'empecher de repondre "et toi..."
La curiosité l'attirait irresisitiblement. Sans vraiment savoir pourquoi, Lailah se decida de le suivre, ou plutot d'arriver avant lui là où il voulait aller. Ce n'était pas bien difficile, apparement cette rue tournait et donnait sur la grand place de l'auberge. Elle accelera le pas, prit une rue tansversale et arriva avec quelque minute d'avance sur son coin.
Entra et s'assoya a une table, il était déja la, comment avait-il fait
pour être la avant elle? Elle fit mine de rien pour rester simple et se fondre dans le décor. Une mèche blonde qui dépassait de son accoutrement la traïssait.

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Épouse de Angel of the nigth et mère de Angélique.
---fromFRSulian
Inalterable patience. Mais d'observer, de dévisager l'intérieur comme l'extérieur d'une auberge ne l'interessait pas au delà de ce qui convenait.
Son regard, malgré sa bonne volonté, se dirigeait systématiquement vers la donzelle. C'était icelle, brune et délicate, qui l'attirait... Pour quelqu'un de jeune, elle paraissait décidée et particulièrement élégante dans sa mise simple. La chair d'un pur eclat eclairait ses pomettes délicates. Sulian etira ses lèvres en un sourire amusé, inconsciente du charme qu'elle possédait.

Yeux saphirs de pierre précieuse. Ses sourcils marquaient de traits brun-roux une peau d'une beauté sans défaut. Enfin, cette damoiselle conservait sur ses lèvres vermeilles un mince sourire fixe et arrêté. Silencieuse, immobile autant qu'une statue, elle fleurait une fine et douce odeur, mais aussi une feinte cordialité.

Venu en ce lieu afin d'eviter l'ordre des coursières et du féminage - ou encore des félines - payer pour entonner lui était tout simplement sorti de la tête. Il n'avait ni jaunet, ni ecus. Une expression de doute peignit son visage. Avait-il seulement verifié ?

Inclination pour la pensée ...
Et de creuser ses poches lui avait rapporté deux écus et 30 deniers. Serait-ce assez ?


Pourquoi pas un nouveau porte plume, le mien étant très usé, fait d'une pointe de porc-épic et un peu mordu par le bout ... Vous savez, le temps de reflexion est diffus ...
Sinon ...


Une Jacqueline ? Deux malheureux ecus ne suffiraient pas... Pourquoi ne pas s'adonner au vandalisme, un savoir-faire inégalable dont l'action simple aurait été de trancher les cordons des bourses et les surplis des goussets.

Sinon, un verre de vin parfumé.

Oeil roulant vers un coin sombre, intrusion fortuite - toujours avec lui - d'une joliette vuiceuse aux cheveux flavescents...à l'esprit ecartelé ou ensorcelé ... Il faudra s'en assurer. Toutefois, son attention était totalement concentrée - sinon presque - sur la donzelle en face de lui.
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---fromFRLailah
Fesant mine de ne pas trop le regarder, elle détourna ses yeux d'un
autre côté quand il daigna la remarquer de son regard glacial. Se rendit conte de sa mèche de cheveux doré qui dépassait de sa capuche et du revers de la main l'y enfonça rappidement pour la cacher. Elle était facinée par cet homme a la peau blanche, au regard glacial, a la chevelure charbonné étiré et noué derrière la nuque. Il était élégament
vêtut. Ce n'était surment pas un simple paysant ou un crasseux de
roturier. Elle remarqua qu'il observait une créature humaine assez séduisante aux pommettes légèrement rosies. Il serait donc en ces lieux pour chasser ce soir. Elle décida de rester et d'observer sa technique d'approche.

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Épouse de Angel of the nigth et mère de Angélique.
---fromFRJoseph des rouscilles
Evidement, s'aurait été trop beau qu'elle nous aligne une adresse dans la seconde. Fallait pas rêver, c'était pas non plus l'agence de tourisme du parfait monte en l'air la gamine. Ca lui tire tout d'même un soupir chagrin au Joseph, on n'était pas encore dans la mouise mais il sentait déjà ses effluves venir lui chatouiller la narine.

Qu'est ce qu'il leur restait ? A peine plus de douze heures pour mettre la main sur le paquet à livrer, sans compter qu'il faudrait aussi prendre le temps de charger le reste. Pas impossible, juste serré niveau emploi du temps. Ca promettait la nuit blanche, encore. Foutremerde, le lascar lui aura couté quelques heures de sommeil depuis le départ de cette mascarade. Il aurait intérêt à se montrer plus rentable par la suite.

La voix de son voisin de table le ramène au moment. Il l'avait déjà oublié celui là.


Hein ... Jess tu dis, c'est bien joli prénom.

Plus rien à faire ici, Mademoiselle était au courant, elle ferait ce qu'elle pourrait, eux se taperait la partie "au mieux", y'avait plus qu'à attendre. Il envoie le contenu de son godet lui réchauffer l'arrière salle du foie et se lève. Juste un salut de la tête au mioche et pour la forme un ...

J'te la souhaite bien bonne.

Les jambes s'en vont bouffer du parquet pour arriver jusqu'à la porte et se la franchir en se disant que les autres allaient pas être jouasses des nouvelles qu'il ramenait au bercail. Foutue journée pour de bon. Il pose son derche sur le siège de la charrette, un coup sec de la langue pour faire bouger le canasson et il s'enfonce dans le flot des passants.
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Du silence les enfants, surtout du silence !
---fromFRMadelon
L'oreille n'a pas perdu un milligramme de sonorité du départ de Joseph. La chaise repoussée, les deux phrases lancées, la porte qui claque et le fracas des roues engagées sur le pavé. Il disparait en lui laissant sa part d'inquiétude pressée. Si peu de temps et tant à faire. Il était hors de question d'arriver là-bas demain sans la livraison complète. Elle l'imaginait déjà, le sourire narquois, l'oeil ...

Oui amusant vraiment.

Un blagueur, c'était tout ce qu'il manquait à sa journée. Elle le gratifie d'un sourire en coin, façon on me l'avait jamais faite celle là et va s'occuper de préparer la commande.

La vision tourne et retourne, la porte qui s'ouvre, l'aveu qu'il faudrait faire du raté dans l'exécution de ses projets et ce regard qui sans l'ombre d'un doute s'allumera d'une moquerie sans mot. Parfait dans la simplicité du geste, effroyablement agaçant dans la grâce silencieuse d'une réplique volontairement tue. Déjà un nerf lui titille la nuque à si bien jouer avec l'idée, les gestes se font saccades, l'énervement pointe son nez. Et cette bouteille qui refuse de s'ouvrir.

Elle est comme lui, l'écrin de quelque chose de plus précieux qui ne veut se dévoiler. Oui, mais toi bouteille, tu feras comme ce chat équilibriste, tu te plieras à ma volonté. Enfin, la verroterie cède à l'exaspération de la demoiselle, et s'en va remplir le verre réclamé.

Les quelques enjambées nécessaires à porter le fruit de sa petite lutte avec l'oeuvre d'un souffleur de verre sont effectuées en louvoiement entre les tables. Le vin rejoint le bois, le sourire matois qu'elle prévoit être sien, elle l'offre la première, en vengeance anticipée. Et si c'est mesquin, tant pis, ça la soulage.


Et avec ça, un napperon neuf pour remplacer celui de votre grand-mère peut être ? Un écu.

Elle tend la main en guise de dépôt de paiement, non ce n'était pas moment bien choisi pour qu'un bouchon lui résiste.
---fromFRwilow
Et pourquoi pas tout oublier dans cette auberge??
Wilow poussa la lourde porte du pied, jeta un rapide coup d'oeil et s'engouffra dans la salle.
S'accoudant au bois encrassé elle s'adressa à une jolie brunette qui tentait vainement e déboucher une bouteille:

Pour moi également s'il vous plait.

Puis, comme d'habitude, sans s'en rendre compte, elle commenca à dévisager la personne la plus proche, une jeune homme à l'air vagabond.
Son regard semblait celui d'un animal en chasse, à l'affut de tout ce qui pourrait lui faire profit. Ses coup d'oeil répétés vers la fenetre l'intriguerent, qu'avait il donc à craindre?
Wilow se surprit à sourire.

Voulez vous un peu d'aide demoiselle? voyez vous, j'ai grand soif.
---fromFRAnonymous
L'autre homme avait à peine répondu à sa question et voila qu'il était déjà partit, laissant Jess seul à la tablée au beau milieu du rez de chaussé...

Le regard posé sur la porte derrière lui, ses yeux suivant petit à petit la charrette qui s'éloignait, rien de bon pour notre jeune brigand qui n'avait encore rien récolté, pas un écu de la soirée, rien à revendre pour justifier son salaire de fin de mois, rien qui vaille la peine de se donner tant de mal dans cette si grande Cité de Paris.

Mais il finit par lever son derrière avant de s'étirer. Il remarqua alors que de nouvelles personnes étaient entrées dans l'auberge, enfin quelque chose de bien pour Jess qui avait déjà une idée derrière la tête...

Profitant des arrivées des nouveaux venus pour se diriger vers le même bufet proche de la fenêtre, il s'empara d'une petite boite en argent qui avait fait l'objet de sa curiosité avant de finir par à son tour sortir de l'auberge.

Il ne gagnerait peut-être pas grand chose avec cette petite boite mais Jess connaissait des acheteurs prêt à tout pour avoir le moindre objet aillant de la valeure sur le Royaume...
Maelisse@
Cela faisait un bon moment déjà que Maelisse errait dans les rue a la recherche d une auberge et non pas d un bordel. Elle avait soif et besoin de se poser, apres le coup qu elle avait reçu de ce jeune homme, qui ne perdait rien pour attendre. Ses jambes avaient du mal à la porter, cela devenait a chaque pas un supplice. Puis devant elle la délivrance, une porte, un enseigne enfin une auberge. Les rue de la citée étaient bien tortueuses la nuit, on pouvait tout imaginer tout rêver.

Ses cheveux étaient mouilles sous l humidité de la nuit, elle tremblait si elle avait continué ainsi c était la consomption qu’elle aurait attrapée. D une main serra son col, encore un peut et elle serait enfin à l abrit du froid de la nuit ou du petit matin, elle ne savait pas vraiment.
Maelisse arrivée devant la porte, poussa celle-ci pour s y engouffrer, elle ne fit pas attention au départ des personnes présentes, elle prononça un bonjour distinct et se dirigea vers une table vide, et affala son Corp. sur une chaise. Elle garda un peut sa capeline sur elle, ses mains la brulaient un peut, du a leur réchauffement.

Elle avisa la jeune demoiselle qui semblait servir dans cette auberge, semblait embêté par une bouteille, elle sourit légèrement.
Son regard fit un court inventaire des lieux, mais il se stoppa presque malgré elle sur une silhouette qu’elle reconnue. Il était la… bon sang mal chance ou providence, elle se trouvait dans le même lieu que lui. Elle avait une bosse qui lui rappelait sa bienveillance envers elle, c était ironique bien sure.

Elle fit tomber sa capeline sur le dos de la chaise et le regarda sans baisser les yeux. Elle passa une main dans ses cheveux, se qui lui dégagea le visage et se mordit les lèvres.
Elle attendrait que la demoiselle ai finit avec sa bouteille, pour lui demander un verre de fée verte.

Ne prêtant guerre attention aux autres clients, qui étaient la, Maelisse entendait les scènes différentes qu’il peut y avoir dans ce genre d endroit, et était surprise qu’une si jolie jeune fille serve seul ici. Elle posa son coude sur la table, leva la main et y mit son menton, refermant ses doigts sur sa joue. Son assaillant avait le regard occupe, mais il la verrait bien, on se rend conte très vite que l on est observe. Elle patienta.
---fromFRwilow
Ho ho, avait elle revé ou le jeune vagabond avait empoché quelque chose alors qu'il faisait mine de s'approcher du buffet?

Il lui avait jeté un coup d'oeil rapide en se levant, et s'etait rendu d'un pas nonchalent vers ce qui l'avait tant attiré.

Wilow le vit quitter les lieux, elle lui emboita le pas, discretement.

Où allait elle encore mettre son nez? bah! peu importe, elle ne faisait que suivre son instint comme à l'accoutumée.
Et son instint lui disait de ne pas le perdre de vue. Elle se faisait aussi discrete que possible, sautillant sur ses petites chausses de feutre, se cachant dans l'embrasure des portes lorsque le jeune homme s'arretait.
Il ne semblait pas s'etre rendu compte de la filature.

Alors qu'elle tournait à l'angle d'une échope, elle embroncha une pile de vieilles caisses de bois dans un fracas assourdissant.
Malgré son agilité de chat elle ne put se rattraper à temps, et atterri au pieds du jeune vagabon, sur les genoux.
Une belle écorchure dégoulinait sur les pavés.
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