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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

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[Salle commune - horde peu commune]

On pouvait pas lui envoyer une missive, tout simplement ! On fait ça d'ordinaire. Un parchemin fin, incrusté de fleurs de pensées séchées.
Mauve.
C'est bien mauve.
De quoi vous dire combien on est navrés. Et basta ! A d'autres les pleurs, les cris, les larmes.

C.Jane, C. pour les intimes [si] n'avait fait que ronchonner, pendant le long voyage qui les avait portés ici. Les 13. Soudés comme les 5 doigts. Sauf ... qu'ils étaient 13. Un peu bancal comme chiffre. 10 encore ... M'enfin on choisit pas. C'était tombé comme ça.
Plaf !
Treize.
Inséparables et indomptables. Même le Bon Père avait du mal à en faire ce qu'il voulait. C'est pour dire.

C.
Pulpeuse brune à la taille serrée dans une robe à rendre fou. Sa peau, halée par la vie au grand air, offrait à vos yeux quelques tâches de rousseur appétissantes, et à votre nez les senteurs exquises qu'elle déplaçait dans la pièce. Réminiscences des épices qu'elle avait utilisées le matin pour faire mariner quelque bestiole rapportée par les chasseurs.
C.
Sous le long manteau qui dissimulait ses formes, le bout d'une lanière essuyait la poussière. Queue diabolique ?
Non, imparable fouet.

Minois boudeur, elle entra à la suite de Preciosa et s'installa au bout du comptoir, près de l'entrée. Histoire de surveiller les allées et venues. Et puis, loin de la blonde qu'ils savaient ici, car ce ne serait certainement pas C. qui lui annoncerait !

Un clin d'œil suffira à faire glisser un verre. Que sa main stoppera avec assurance. S'enivrer un peu. Oublier les raisons de sa mauvaise humeur. Repos.
C'est pas trop tôt ! Plein le dos de ces cavalcades.
Voila qu'elle râle encore. Mais faites la taire !
Ou faites la boire.


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[juste dehors]

Un poil en retard, juste un poil, et encore, court, pour dire qu’elle n’était pas en avance.
A l’extérieur de l’auberge, on entendait, une délicate fleur de rosée hélé non moins délicatement un fils naturel.


Batard ! vires toi d’mes jambes !

La raison de ce mélodieux éclat de voix tenait à deux choses, d’abord, son chéri mangeait des pissenlits, si ça eut suffit à certaines pour pleurer à chaude larmes, elle voyait la chose d’une autre manière…

Il ne l’emportera pas au Paradis.


D’abord parce que ce fieffé coquin, avait eu l’outrecuidance de dévié ses yeux des siens, et ensuite, parce qu’il était mort, avant qu’elle n’ait eut le temps de lui pardonner, comme d’habitude…

Mfmmf…

Et le fils naturel se prend une fin de non recevoir, mais dans les dents. Le jour ou elle aura besoin de l’aide d’un quidam maigrichon pour descendre de cheval, c’est qu’elle sera bonne, elle aussi, pour la salade de pissenlit.

[Salle commune/horde peu commune]

La demoiselle, les cheveux nattés, affichait un air serein qu’elle était loin de posséder. Brune et coriace, elle avisa ses comparses, d’un pas élancé et cadencé, elle avisa le reste de l’assemblée.

13 qu’il fallait compter.
13 avec lesquels il FAUDRAIT compter.
Mais là il en manque pas mal.

Se mangeant la lèvre inférieure, elle partagea, quatre seconde, un regard avec C. avec laquelle elle avait en commun plus que de longues lanières de cuir tressée… Aussi une fameuse tendance à la paire de claque pour les gringos aux paluches baladeuses…


Ola !

et un petit tic nerveux tressautant qui témoignait que ce n'était pas l'jour... Et c'est pas l'jour tous les jours.

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Salle commune. Le temps de s'verser un godet et on arrive..


Les dames d'abord ! Ouais allez pas croire qu'elles sont pas accompagnées non plus .
C'est petit, c'est trapu, c'est hargneux, ça fait des bons partout et en plus ça une envie folle de s'enfiler du Rouergate à déjeuner.
Saloperie de peuplade barbare. S'attaquer à un groupe de nonnes en pleine nuit et laisser le chapeauté sur le carreau.
Pour cela Guyenne brulera, Rouergue connaîtra pire que le choléra ! La Tucopeste de folie ! Attention les Razmoquettes attaquent !!!
C'est intelligent , c'est performant, c'est discret, ça s'incrustent petit à petit et sans rien dire, à treize, ça vous pique la mairie , le coffre et le maire si il est jolie....

C'est inséparables et indomptables. Même si pour le moment c'est surtout en position intenable.

Deux blessés à bord. Un Tuco et un Irlandais qui ont dégusté. Dommage c'était sympa de voir péter Bordeaux . Mais la charge devait être trop légère ou la mèche trop longue ?
En est il que le subterfuge pour filer en douce de Guyenne en avait laissez trois brouter le sol du bazadais et que maintenant fallait se trouver une planque au nord.
La villégiature c'est sympa mais sur le coup les agences de locations vont leur demander une caution trop élevée pour s'installer dans les verts pâturages sudistes.

Alors bonjour Paname. Quel temps il fait chez toi ? Mouarffffffff ! Veux redescendre! Faut être taré pour vivre dans cette grisaille ?
Et les montagnes ? Elles sont où les montagnes ?
Tout le monde file la haut à dit Le Bon Père. Vous retrouverez la dame et vous lui annoncerez la mort du Castillan. Elle aura honneur de vous protéger et de vous dissimuler. La dame sait honorer ses dettes d'amitiés.
Et si on veut pas d'abord ?

Non mais faut voir l'état de la paroisse ?
Rien qu'à marcher dans les ruelles étroites le Tuco à eut peur d'infester sa plaie.
Il y ' a une odeur de déjection qui laisse entrevoir ce que doit donner le fleuve en plein été.
Sans parler des cloches des églises qui sonnent partout dans la ville. La quiétude du Bon Père va être soumise à rude épreuve...
Mais bon rien à péter c'est lui qu'à voulu v'nir..On est v'nus...
Il aime bien ronchonner dans sa tête comme la C.
Il se demande encore comment celle la fait pour être encore en vie à faire toujours la tronche.

La populace est pas trop curieuse et on fait place au comptoir.
La Précieuse fait les courses. C'est son coté bourgeoise qui laisse toujours croire que c'est elle qui tient les cordons de la bourse.
Les godets se présentent à l'allure du Pony express. Le gars fait le service avec sagesse.
Où il a eut une lueur d'intelligence qui l'a prévenu que la brune au chignon était pas du genre patiente.
Un peu comme l'Esperanza. ...Celle la il l'ose pas encore la regarder dans les yeux depuis qu'ils se sont retrouvés.
Puis si il le faisait il se retrouverait nez à nez avec son décoleté tellement il est grand le Tuco. Pas facile de négocier en se trouvant sous le balconnet.
Demande à Shakespeare tu vas voir si il y est arrivé lui..
Ben la c'est pareil. La famille fout le bordel. Roméo c'est fait descendre et Juliette réalise pas encore que c'est la faute à Sancho Panza
Après tout c'est lui qui a eut la sombre idée des soutanes qu'a envoyé le chapeauté dans les bras du fossoyeur.
Bon ok l 'Irlandais était avec lui mais bon...Il fait quoi dans la ruelle lui d'ailleurs ?

Pour le moment c'est l'heure de s'en rincer un. Ouais parce que les morts ont droit à un dernier verre.


A la santé des morts ! Au moins ceux-là connaitront plus les torts !

Version Tuco qui boit cul sec et qui repose le godet d'un geste vif sur le comptoir.
Vient de dire une connerie la non ? Bah les dires ou les faire. Il est plus à une près.


--Beauregard


[Dehors puis dedans]

Salle commune : ça commence à être la cohue ? Ah non c'est une horde...

L’habitude est aux grandes plaines et à la solitude ; mais ces derniers temps c’est plutôt le genre coupe gorge senteur égouts nauséabonds avec une poignée de gringos tous plus ou moins détraqués les uns que les autres.

La capitale lui c’est pas son truc. L’odeur, le bruit, les gens, tout ça cela a tendance à le rendre un poil nerveux.
S’il est venu ici c’est pour respecter les dernières volontés du chapeauté. Comme tous ceux qui l’accompagne d’ailleurs.
Après que certains soient rentrés se désaltérer lui reste un peu à l’extérieur pour s’occuper de sa monture.
Beauregard c’est le genre de type à pas se précipiter. Jamais un geste non calculé, jamais une parole en l’air, jamais une expression sur son visage.
Ses yeux azurs et perçants reflètent au plus haut point sa personnalité. Son âge ? La quarantaine tout au plus. Les marques présentes sur son visage ne proviennent pas d’une quelconque vieillesse mais d’une vie plutôt tourmentée.

Si un jour vous venez lui parler et que vous lui demandez s’il a une femme il vous répondra : personne. Des enfants ? personne. De la famille ? personne. Un ami ? Personne. Qui veut comprendre comprendra…

C’est donc sereinement et calmement que Jack Beauregard pénètre dans l’échoppe.
Certains sont déjà en train de siroter tranquillement : la Précieuse toujours aussi enjôleuse même en plein milieu d’un bordel panamien. C. comme Calamity Jane, plutôt le genre boudeuse contrairement à ce que donne à penser son nom. Esperanza… Soupir… Il paraît que l’espoir fait vivre ; il aimerait y croire. Et enfin Tuco dict le truand, le genre petit mais teigneux.

Salutation discrète puis il se dirige vers le comptoir pour s’emparer d’une bouteille de gnôle et va s’installer à une table à l’écart en attendant.



« Ceux qui te mettent dans la défection ne le font pas toujours pour ton malheur, ceux qui t'en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur, alors quand tu es dans la défection tais toi ! »
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[Dehors puis dedans, salle commune... Presqu'à l'heure]

Et voilà, toujours pressées... Bien des donzelles. Et bien que celles là qu'il supporte plus d'une nuit. L'heure est arrivée. Pas qu'il soit parti en retard, non, mais il a préféré observer avant d'entrer. Adossé dans un coin de Paris il a suivi le bal des arrivées. L'aime pas être le premier, mais le dernier, ça craint aussi.
Et puis son pote est arrivé, il est temps de se sortir les mains des poches, et d'y aller.

Démarche féline d'un gars rompu à la furtivité et l'anonymat. Le talon se pose sans bruit sur le sol parisien, jusqu'à rejoindre l'entrée d'une salle presque bondée.
A rendez-vous donné on n'oppose pas de refus, surtout quand il vient du Chapeauté. Et les Treize seront bientot réunis. La porte se pousse, et déjà le bleu métallique compte et détaille. Un réflexe. Savoir lire, c'est pas gagné, mais compter, c'est indispensable.
Sourire niché aux coins des lèvres, il le remarque à l'écart. La bouteille est déjà là, il chope deux verres et offre un clin d'oeil en échange, puis va se poser près de Jack.

Taiseux, un point commun pour les inséparables. Pas besoin de causer pour déboucher une tanche de gnôle hein. Du coup, ça en profite pour mater ce qu'il se passe.
C. qu'il a vue à l'entrée, posée en bout de comptoir, pour changer. Toujours aussi bien roulée la demoiselle, et au plissement du nez, toujours aussi boudeuse. Pas grave, elle parle moins quand elle boude, et c'est pas pour déplaire à notre gars.
La salle donne sur une autre. Le bleu frôle Esperanza, esquisse la silhouette d'un teigneux, toujours pas grand lui, mais le coude aussi leste que d'habitude. Trinquer, pas une mauvaise idée.

Personne lève le verre, il trinque. Silencieusement. D'toute façon, avec Jack, ils savent bien à quoi ils boivent, la question se pose pas. Les Treize sont liés, et ne sont pas là pour rien.
Du gratte-cul vers la Rose. La blonde doit s'y trouver, puisqu'elle n'est pas là. J'vous l'avais pas dit ? Perspicace le gars. Faudrait donc bouger.
Pour l'instant, on attend le reste de la joyeuse bande. Quand elles ne sont pas pressées, elles sont en retard...
Soupir.

Mais dans la prunelle, ça rit déjà. Parce que s'il cause pas, qu'est ce qu'il rigole. Et à voir les trognes de ses comparses, il sent qu'il en aura pour son comptant. Dans l'ombre d'un écart, deux inséparables trinquent et observent, partie d'un treize plutot bruyant.
Son nom est Personne, et il le porte bien.


_________

Et je le porte bien.
--Hellen


Quand faut y'aller, faut y'aller, comme ils disent. C'est bien, on voit du pays, ça change de paysage, d'ambiance... mais pas assez net pour Hellen. Faut que ça file droit avec elle. Et ce qui est bien, c'est qu'elle sait que certains sont déjà là. Sûrement accoudés pour certains, d'autres déjà attablés, ou encore en train de minauder... Bref. Le problème, c'est qu'elle se doute qu'il en manque encore.

Ils sont inséparables pour sûr. Et que ça se voit. Et que ça se sache. Pas un qui se défilerait chez eux. Ils se connaissent. C'est là que tout ce tient.

Inséparables et Indomptables. Certains s'en seraient bien passés mais c'est comme ça. Un point c'est tout.

Le seul truc qui cloche, c'est que les "autres" doivent avoir meilleure allures qu'elle. Des jupons. On lui a déniché des jupons. Alors que dans des rues pavées comme ici, ça prend autant de saleté qu'un mantel dans la boue. Et ça, Hellen a du mal à supporter. Et puis c'est d'un ridicule sur elle... Surtout se redresser, et ne pas baisser le menton.

Ouverture de porte franche et droite.


Salle commune - Et une de plus une !

Bière y comprit. Elle s'approche, se fond dans la masse, discrètement regarder, à gauche, à droite, au milieu, et d'un air déterminé. Elle toque sur le comptoir, apparemment, ils sont bien dressés ici. La choppe arrive vite. A moins que ça soit le regard de la blonde. Le visage est aussi sobre que les cheveux sont lâchés et virevoltent. Satané héritage maternel !

Elle sent comme un flottement dans l'air. Elle sait pas trop pourquoi, mais il semblerait que la corvée sera pour elle. Pas un qui a les couilles de parler ici ! Sauf peut être ... Bah. Elle a en horreur ce genre de nouvelles. Mais au moins sait-elle garder son sang froid dans ces circonstances. Yeux plissés, concentrée, elle attend.

Rester à trouver la cible... Entre blondes elles devraient se reconnaître non ?





--Preciosa
La main se fait fragile à se saisir du godet alors que les ombres prennent placent à ses côtés. Les mots sont dits tels qu'ils doivent l'être. Avec silence. Les regards sont échangés. Le mets est porté aux lèvres sensuelles.

Brillance dans les yeux et légère souffrance de la joue où se déverse la gnôle frelatée. L'aubergiste ne se fournit pas chez les grands crus mais elle ne lui en tiendra pas rigueur.
La brûlure qui lui enflamme le coffre était peut être exactement ce qui lui fallait à cet instant de sa vie.

Tolède comme tu es loin.Castille que sont devenus ceux restés la-bas ? Comme ton arrogance va me manquer.

Depuis qu'ils se sont retrouvés ils ont évité les grands discours. Ils sont pas fans des grands couplets.
Il y ' a bien le Tuco pour la ramener mais lui a toujours eut besoin d'extérioriser.
L'Espéranza est à l'autre bout du comptoir et chacun prend sa place avec la certitude d'être là où lui dicte ses habitudes.

Elle préfère ça la Précieuse. Elle aime savoir ses arrières sécurisées. Le blond anonyme et Beauregard vont avoir un œil sur la salle qui s'anime.
Dehors Ben et Miranda doivent surveiller les abords. Les petites portes pour filer en douce elle connait.
Avec ces deux là dehors c'est même pas la peine d'y penser.
Reste les étages qui doivent mener sur les toits. Mais ça elle s'en moque. Le vertige elle ne connait que celui que provoque son regard sur les hommes qu'elle croise.

Il faudrait pas que la blonde soit affolée à voir débarquer la troupe. Déjà que dans la salle on sent les inquisiteurs. Ils ont pour habitude de festoyer en assemblée.
Ça peut surprendre et puis après vous connaissez le dicton ? Les connaitre c'est les adopter.
Par contre il faudra prévoir une grande pièce pour sa chambre et un grand miroir. Elle adore les grands miroirs et quand elle n'a pas ce qu'elle veut ? Elle devient très vite une vilaine fille.

Les gosiers sont rincés. Le barman va pour en remettre une mais la main gantée lui enserre le poignet lui plaquant les phalanges sur le plat du comptoir.


Tu es commerçant l'ami mais boire ou écrire il faut choisir.

On a vu rentrer ici une de nos amies. La Comtesse de Brantôme. Une belle chevelure dorée à qui on doit causer. Sur que tu n'as pas pu la louper à son entrée.

Tous les hommes ont un courage qui s'estompe aux frontières d'un regard.
Selon les cas certains ont besoin d'un bon ophtalmo ou pas. Celui-ci était loin d'avoir une vue parfaite et c'est sans hésitation qu'il tourna la tête vers le passage qui semblait aller vers une autre salle.

La Précieuse relâcha la petite menotte. Il faudrait pas non plus que le quidam se sente privilégié
Puis elle tourna les yeux vers le groupe auquel c'était joint Hellen. Toujours surprenant de voir comment cette blonde faisait dépareillée au cœur de toutes ces chevelures brunes.
Puis fagotée comme elle l'était on ne pouvait pas non plus la louper.

Le Monsieur semble vouloir dire que notre placement immobilier se trouve dans l'autre pièce.

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A la bourre … ben oui, faut dire que s’trimballer fagoté comme une mystique sur l’autoroute m’nant à la capitale, y repass’ra avec ses idées l’Tuco ! A son corps défendant, l’a encore la tête bien chevillée sur les épaules, pas l’cas d’tout l’monde … Paix aient leurs âmes.

Tenue correcte exigée …

Premiers échanges avec les autochtones du coin, pas aimables les bestiaux et qu’dire d’la puanteur ambiante … c’est qu’ils r’foulent du goulot les parigots.
Bon, d’jà, l’est pas aimable d’nature l’irlandais, un peu ours sur les bords, un p’tit peu au milieu aussi, alors s’sentir agressé par les essences et les indigènes du coin, c’est sur, ça arrange pas.

Pas tout ça, pas là pour étudier la faune locale, l’avait d’aut’ chats à fouetter et 12 singes à retrouver, indomptables et inséparables ou l’contraire.

Euh … en parlant d’inséparable … l’était où l’Tuco ! À quelques encablures 30 s’condes plus tôt et là, il nous la joue Garcimore. Envolé l’oiseau.

L’doigt dans la glorieuse, mimétisme des pensées profondes de l’irlandais. L’allait bien trouver l’abreuvoir.


Salle commune … il est dit qu’il s’ra pas l’dernier

Une porte poussée et une horde d’jà accoudée au zinc ! L’godet à la main.
Des doigts qui s’déplient … un, deux, trois …sept et lui huit ! l’compte est pas bon mais qu’importe, ils arriveront …
B’soin urgent d’nettoyer le gosier et sans un mot … gagner l’comptoir. Obliquer d’la tête et faire requête au gargotier d’lui servir un truc qui pête.


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Paris.
Les plus chics quartiers. Les plus belles baraques. Un sourire mauvais sur les lèvres il avance dans les ruelles encombrées. De la bonne et belle dame en veux tu en voilà. Des épées flambant neuves. Du clinquant, du beau, du neuf. Et du cher.
Paris.
Il ne connaissait pas, de nom surtout. De réputation. De l'argent à flot. Suffit juste de tendre les doigts et récupérer quelques bourses aux passants qu'il bouscule sans ménagement. Qu'ils essayent de se plaindre, ils auront rendu l'âme avant.
Pas parce qu'il avait une réunion de "famille" qu'il fallait se presser. Après tout, ils devaient être déjà tous sur place. Et l'argent l'appelait de trop ici.
De vrais vacances. Une p'tin de bouffée d'oxygène que celle des écus fraîchement cueillis. Manquerait plus qu'il s'amène sans en avoir profité un peu.
Quelques sous de plus pour agrandir son coffre personnel. Coffre que même eux ne connaissent pas. La légende de Sentenza.

L'endroit arrive, le chapeau se baisse et l'épée est frôlée. Ralentir le pas, observer le coin. Ses yeux s'allument, le sourire prend place. Décidément il aimait Paris. Sortant de l'unique poche non trafiquée de son mentel une pipe, il se dirige vers la porte de l'auberge.
Sur le pas de celle ci, il sort de son sac de quoi remplir l'objet, herbes odorantes et apaisantes. Briquet et flammes. Il prépare son entrée. La première impression est toujours la meilleure.
Lui n'en a rien à foutre. Qu'il plaise ou pas, il est la Brute. On ne l'appelle pas comme ça pour rien.
Poussant la porte, il entre dans un nuage de fumée et s'arrête sur le seuil. Rapide coup d'oeil. Les gonzesses d'un côté, les hommes de l'autre. Bien.
Il n'aime pas trop qu'ils se dispersent les 13. Les femmes ça n'est bon qu'à rouler les hommes dans la m.erde pour mieux piller leur fric. Et celles ci étaient particulièrement douées à ce jeu.

Redressant légèrement le galurin, il s'approche des hommes et s'assied parmi eux. Apperçoit l'Irlandais accoudé au bar et tique légèrement. Il aspire un peu plus, laisse la fumée envahir sa bouche, pénétrer sa gorge et venir pourrir ses poumons. La précieuse non loin de là joue avec le tenancier. Au moins une qui semble s'amuser. Celle là, jamais la dernière à venir chercher la mouise. Elle a ça dans le sang. Pour cela qu'il ne lui reprocherait pas ses tenues d'allumeuse. Il ne craint rien ni personne, encore moins les donzelles, mais celle ci... Il s'en voudrait de défigurer un si beau visage.


Des nouvelles des autres?

Il se tourne vers la tablée, attrape la bouteille de gnôle qui semblait l'appeller, boit quelques gorgées, laissant sur le goulot une légère odeur d'herbes. Tant pis pour celui qui passera après.
Treize.
Paraît que ça porte malheur. Tant mieux. Au moins avec eux il est sûr de pas s'emmerder.


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La rose et l'gratte cul.
Ouais. Savaient bien choisir les noms par ici.
Ca faisait des plombes qu'il traînait sa carcasse à surveiller les extérieurs de l'auberge cossue. C'était plus fort que lui. L'était limite parano, fallait qu'il ait un oeil sur tout. Mais là, faudrait qu'il s'hydrate la luette.
Ca faisait des plombes aussi qu'il avait pas posé la botte sur le pavé mouillé de Paris. Ciel gris. Temps de mouise, mauvaise saison, mauvaise escale, mauvaise nouvelle, de celles qui rendent morose.


Puta madre.

Ca s'faisait pas d'crever comme ça.

Pi ça déséquilibrait. Et ça lui plaîsait pas. Superstitieux, limite maniaque mystique ésothérique.
Alors 13 ça lui foutait les j'tons. 14 c'était bien mieux. La parité y a pas...
Pas qu'y f'saient tout par deux mais presque. De quoi assurer les arrières déjà. Et c'était pas rien. D'ailleurs l'était passé où l'Ben.
Ses doigts s'attardèrent sur le rosaire accroché à son ceinturon, vestige de son éducation maternelle. Le premier qui s'marrerait...

N'empêche, ils étaient soudés. Comme les 13... Là tout d'suite l'avait pas d'exemple qui lui venait, mais finirait bien par en trouver un, histoire de s'rassurer.

13, septième nombre de la suite de Fibonacci... L'aimait les maths aussi. Ca passait l'temps qu'il parcourait à cheval. Taciturne, peu causant El Bicho. Fallait pas le chercher.

Et là ils allaient le trouver, parce qu'il avait soif.



Kad
Un carrosse arborant les couleurs cardinalices se fraie dans un chemin dans le dédale parisien. Niché en une fratrie de coussins, l'Azayes tire le rideau droit de sa cabine : vue sur la seine qui se dandine sous les bourrasques... Il reconnait les lieux, sait qu'ils arriveront bientôt à destination. Un soupir. Il échange un regard avec le major de la garde Pontificale Romaine en charge de la supervision de son escorte puis remet en place le rideau, s'enfermant de nouveau avec pour seule compagnie le projet de refonte du droit canon sur la justice d'église. Les roues de la voiture frémissent en battant le pavé de la place de Grèves. Enfin, le véhicule s'immobilise. Un valet s'en vient placer le marche pied et ouvre la porte. Le Cardinal descend à la hâte, darde un regard inquisiteur sur les alentours, distille quelques ordres à la garde, revêt sa cape noire et s'avance en direction de l'auberge d'un pas lent, appuyé sur sa crosse épiscopale.

Le Romain était de séjour en France. Courte halte à la Rose avant de rallier le domaine de Margency, vassal de la principauté de Montmorency, afin de revoir sa soeur qu'il n'avait eu l'occasion de croiser depuis si longtemps. Encore fallait il qu'elle soit la. Il n'avait pris le temps de lui faire porter un pli en vue de s'enquérir de ses disponibilités. Il savait Diane vagabonde, toujours sur les routes, en quête d'aventures plus folles les unes que les autres. Il s'étonnait même qu'elle n'ait encore mis à profit ses périples en les romançant. Peut être un jour émergeraient les Mémoires de la Comtesse de Brantôme... Qu'ils seraient passionnants !

En la salle commune règne une forte odeur de transpiration. La pièce est bondée. Le chiffre d'affaire s'annonce excellent. Le Cardinal ne s'attarde en celle ci. Il la traverse bien vite pour pousser la porte de la Rose, ce salon raffiné qu'il avait décoré avec gout. Les siens, du moins. Et qu'importe que la clientèle les partage. Tant qu'il se sentait chez lui lors de sa visite annuelle...

A peine le seuil est il franchit qu'une odeur délicate et coutumière l'enivre. Les bras lui en tombent. A quelques mètres se tient assise cette silhouette. Bien que seul son dos soit offert à sa vue, il reconnait son sang. Il prend soin de ne point s'appuyer sur sa crosse, conscient que le claquement du parquet aurait tôt fait d'éveiller les soupçons de sa sœur. Celle ci converse paisiblement avec un individu somme toute présentable, sans plus. Désireux de ne point interrompre la conversation, il s'installe à la première table venue puis chochotte quelques consignes à l'une des serveuses.

Cette dernière file en cuisine, revient le plateau chargé d'un Agonac et de quelques encas qu'elle dépose sur la table avant d'ajouter, répétant consciencieusement les paroles du Comte :


Pour Sa Grandeur la Comtesse de Brantôme, offert par le propriétaire.
_________________
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Patience est toujours payante!


Diane ignorante qu'elle etait de l'invasion hordesque en Gratte cul ecoutait ce négociant...Qui semblait être aussi fin observateur que Diane grande ordonnatrice du montrer pour cacher le reste...Dans la pièce le juste echo d 'une serveuse qui epoussete une etagère. Zélée qu'on n aurait pas remarqué. Diane vérifiait en fait la parfaite transparence du verre, lui jetant un regard curieux au travers. Il en parlait bien, avec une tournure qui evoquait ce langage qu'elle pouvait comprendre. Usant du même. Voilà qui s'engageait bien, ils se comprendraient et c'etait déjà ça.
Pour le reste...Fallait voir à voir.

Elle ecouta sans l interrompre esquissant une moue enigmatique lors il manquait le coche, une date ne venant pas...Un sourire ricocha sur la paroi de cristal et elle le reposa avec delicatesse. Elle savait bien que son vin etait ardement désiré, n avait il pas d ores et déjà oublié le nom donné en guise de présentation. Le sésame semblait l accaparer, le négociant déjà envouté. Elle ne savait que trop cet état. Une lueur espiègle s alluma tandis qu'elle approuvait en silence le choix des mets à marier et pour sublimer la rareté. Elle répondit à sa derniere question.

Et moi...Je gage que cette convoitise justement ne vous ai fermé l oreille Sieur de Lune Sombre.

L expression du visage démentait si necessaire le reproche dans le propos.Qui n etait que boutade amusée. Elle n ajouta pas que pour retrouver le nom perdu, il pouvait toujours remonter ce temps si précieux. Mais le hazard s en chargea pour elle...
Elle deposa deux verres sur la table où tronait la fameuse caisse et prit place. L'arrivée de la serveuse plateau en main marqua un suspens net.
Comme son nom resonnait dans la piece, elle haussa un sourcil surpris, reconnaissant sans doute possible la couleur chaude du vin offert. Il ne devait guere en rester qu une ou deux bouteilles en ce lieu. Et que l on ne voyait jamais sur une table que quand un Cardinal s y trouvait..
Le coeur s emballe au mot propriétaire...Il etait là. Sans qu elle s en etonne vraiment au plus profond, ils etaient de même sang et si le destin ne calquait en rien leurs pas, il faisait toujours qu'ils se rejoignent quelque part. L instinct ne l avait pas trompé. Et tous les moribonds oiseaux de mauvais augures avaient eu tort, elle le savait!
Diane aux aguets, commence à obliquer du regard et ajoute avec malice.Allusion à cette carafe...

Ce jour est à marquer d une pierre blanche et sous le signe de la chance Sieur. Il semble que la rencontre inattendue s ajoute à celle espérée. Je vous laisse le servir et si du nez vous me donnez le nom et la date...Qui sait si..Vous n y gouterez pas ? Je reviens. Et je m appelle Diane. Diane d Azayes.

Appuyant sur le nom qu il ne l oublie pas une fois encore les yeux dans l or à verser...Grande joie rend toujours prompte au partage.Elle se redresse à la hâte, regard fondant avec avidité de table en table, rebondissant jusqu a cette coiffe d un rouge flamboyant. Elle le reconnait sans faille.

Kad! Je t attendais sans t attendre, me hazardant sur le jour de ta visite annuelle..Heureusement pour moi tu es d une ponctualité et régularité de métronome suisse!

Et de sourire sans fard, elle le savait qu à merveille à mettre en cave un Cardinal n y resisterait pas. Il a toujours eu un faible et un sixieme sens pour la divine bouteille. Une bise à joue fraternelle.

Voilà pour le frere.

Elle s empare de la main, s incline un instant sur l anneau qui y regne et se redresse.

Et voilà pour mon pere.

Il semble bien portant à ce que le regard peut surprendre, voilà qui la rassure completement.

Viens donc partager ce nectar et voir ce que je t amene pour l année à venir.

Voulant deja l entrainer à sa table mais s arretant pour ajouter.

Je suis heureuse de te revoir.

Elle sait qu il le savait deja, c est l evidence même ayant assurement sourire jusqu aux oreilles.
Kad
    [Toujours à la Rose...]

Sieur de Lune Sombre ? Doux qualificatif attribué à un amant ou surnom désignant un homme dont elle ignore tout, qu'elle vient à l'instant de rencontrer ? Le doute est permis au regard de... La seconde hypothèse semble se confirmer lorsque Diane se présente à l'étranger. Les Mémoires de la Comtesse, auxquels il songeait auparavant, ne lui seraient guère futiles en cet instant. Il est trop d'épisodes de la vie de sa sœur qu'il n'a put suivre... cette dernière année, principalement. Tandis qu'elle se relève avec classe et grandeur, se met en mouvement pour le rejoindre, il demeure souriant, profondément heureux de la revoir en si bonne santé. Une vitalité certaine se dégage de tout son être. Il n'est point peu fier d'avoir pour sœur l'une des plus belles femmes du royaume de France.

Il se relève, doucement, sent son dos le tirailler, échange un baiser fraternel avec elle, si jeune. Terrible contraste entre jumeaux, dont l'un compte déjà les cheveux blancs pullulant au sommet de son crâne, aussi nombreux que les cafards au Gratte Cul. L'on vieilli vite, à Rome, comme elle le lui fait si bien remarquer lors de leurs retrouvailles.


Tu es absolument magnifique.

Déjà, il lui tarde de la soumettre à un rude interrogatoire. Ses amours, les potins de Margency, ses dernières compositions poétiques, son lieu actuel de résidence, et Lucas, son neveu. Il chemine à sa suite...

Jamais je n'aurais imaginé te retrouver à la Rose. Tu me fais la une bien belle surprise qui me comble de joie.

Lui emboitant toujours le pas, il rejoint la table à laquelle elle l'avait invité. Son regard se porte vers l'inconnu qu'il sonde d'une œillade peu cordiale, appuyée. Non que l'individu ne lui déplaise, loin de la, mais il entend profiter de ces quelques instants en les consacrant à un tête à tête avec sa sœur au lieu d'entretenir une conversation...

Bonjour, Monsieur.

Et de ne point bouger ni piper mot sans détourner son regard...
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pnj
En recherche de colocation. La capitale devient trop chère ma pauv'lucette

Il avait le frétillement du bourdon qui lui piquait l'derrière le Tuco. Un dérangement qui finissait par lui faire comprendre que son mètre soixante cinq devait trouver à se divertir.
Il sentait peser sur lui la suspicions des regards. P'têtre bien une illusion mais si c'était pas le cas ça n'allait pas tarder.
Quand l'Esperanza aurait vidée les godets de gnôles qu'elle s'enfilait sans compter pour sur que le Tuco serait très vite la cible de ses gentillesses.
Il la connaissait la quérida. Quand c'tait pas l'jour et c'était pas l'jour tous les jours...Depuis leur départ de Castille il entendait ça Sancho Panza.
Au départ ils devaient partir entre hommes, pénardou et tranquillou, visiter les moulins et tout y tout en fuyant vers le nord.
Ben la dessus c'étaient greffées les deux sorcières. La Préciosa et la Quérida. C'était chouette au début ils faisaient couples.
Mais très vite les français n'y crurent pas. La précieuse et le bourdon ça faisait pas histoire qui va ensemble.
Pourtant à y regarder d'près y'avait moyen. Enfin surtout vu de son côté à lui.

Justement la Précieuse se décida à alpaguer l'118 218. efficace le service !
Sitôt interrogé qu'on avait pour indication la direction de la salle d'à coté.
Le Tuco tout content porta ses yeux sombres vers la blonde. La nôtre. La seule. Hellen
Enfin on en avait deux mais l'autre c'était Personne et lui personne avait vérifié le sexe justement. Devait être androgyne celui-la pour avoir des yeux bleus pareils et une chevelure aussi blonde.
Une main sur l'épaule d'Hellen, geste compatissant et lèvres pincées sans dire un mot pour faire comprendre...

Bon bin tu passes devant ?

Éh bé non.

Voilà que y'a d'la couleur pourpre qui débarque et qui l'air hautain traverse la salle semblant comme renifler une odeur gênante voir nauséabonde... Et puis elle vient pas d'la rose celle-la. ....la couleur...
Pas la rose d'à coté hein mais l'autre. Enfin comme notre blonde quoi des roses y'en a plein. Des pourpres, des noires, des d'à coté..

Enfin bref la ça change tout à la manipulation.
Déjà que l'invasion de la Guyenne ils ont pas aimé si en plus on embroche un cardinal c'est l'nouveau monde qu'on va devoir découvrir à la nage avec trente cinq ans d'avance sur l'histoire
Les regards se croisent. La palpitation prend du rythme et chez chacun monte l'angoisse du plan super bien prévu qu'avait pas tout prévu.

Y'avait plus qu'à espérer que la dame serait compatissante et se souviendrait de ses vieilles amitiées.
Après pour ce qui se trouverait sur leur chemin..Comme on dit au saut d'obstacle ... Pooool....


Bon Hellen. Tu y vas la première. Nous autres on sera juste derrière toi.

Pourquoi toi ?

Ben fringuée comme tu es c'est impossible qu'ils se sentent inquiétés à nous voir arriver.


Il y va d'la franchise le Tuco. La Préciosa balance quelques deniers sur le comptoir et la petite troupe commence à se diriger vers la salle de la rose.
Y'a du métal qui brille à la ceinture sous les longs mantels de cuir.
Le Tuco il est espagnol et chez lui le rouge ça excite pas que les taureaux. Qu'il soit en robe ou en bouteille d'ailleurs...


--Blondin
[Dehors, trottoir d'en face]




Dans le théâtre de poitrines aguicheuses, la valse des bobards peut commencer...
Le sourire est à l’affiche, l'égo qui se délecte de ces oies hautes en couleur, se pâmant devant une bourse pleine, ou un visage attirant.
Quelques paroles flatteuses savamment distillées, la main se glisse prestement dans les gorges, et subtilise les pièces d'or réchauffées par un coeur gonflé d'orgueil. Le prix à payer pour un instant de bonheur...
Lire dans ces yeux d'azur la perspective d’être enfin quelqu’un . Se voir ouvrir les portes d’un autre possible, de ce qui aurait pu être, si la vie n’avait pas été si cruelle.

On en verserait une larme.

Ahh l’Blondin et sa bouille d’ange...! On lui confierait son or, sa vie, et même sa progéniture ( ce qui serait une très mauvaise idée vu ses fréquentations). Mais un môme sauf rançon ça rapporte pas une thune, et le blond est ptet bon, pas pour autant qu'il a l’instinct paternel. Le seul instinct qu’il connaisse c’est celui de sa survie et de sa prochaine retraite au soleil...

Bon c’est pas tout ça mais le gratte-cul attend. L’œil azur n’oublie pas de guetter la bête et mine de rien c’est qu’ça se remplit là dedans. La besogne passe avant la bagatelle, va falloir y aller. La brute, toujours aussi taciturne a traîné ses savates à l’intérieur, le moment idéal pour aller rouler du mantel bâton de réglisse aux lèvres .

Les treize. Inséparables, indomptables et indécrottables. La communauté de l’embrouille, pour dans la fortune les lier…si Dieu le veut !


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