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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

---fromFRRoland la chope
[Place de Grèves, devant l'auberge]

Par la Sainte chope, par le grand calice suprême, par... le petit puceau, il vient de me dégager comme du crotin même pas assez bon pour faire du fumier ! M'énerve m'énerve m'énerve ! Gna gna gna ! ROhhhhh !

"La chope" croise les bras, arbore une mine surexitée. Voila, il fait la gueule !

Car le règne de Roland, seigneur de "La chope", venait tout simplement de prendre fin, à peine dix minutes après que celui ci ai débuté. L'ennemi des terres de l'Est venait donc de gagner une bataille. Mais le Roy Roland ne se montrerait pas vaincu. Il réfléchirait... un jour peut être, et repartirait au combat... pourquoi pas dans l'instant d'ailleurs.

Et revoila le Roland qui s'élance vers la taverne, dégage d'un coup de bide rebondit l'autre qui ne parle que de dauphins, pousse la porte, s'arête deux mètres après celle ci et se met à gueuler au vigile :


Mais t'pas fou mon gaillard ?

C'est moi l'chef maintenant ! C'est moi qui te donne ton blé ! Argent ! Oui, Argent. Pièces !

Alors mon p'ti con tu fais moins le malin ? Ohohohoh qui c'est le plus beau ? C'est le Roro, c'est le Roland !

Capich ?


"La chope se la ferme aussitôt. Pas sur que le zouave ai comprit quelque chose mais il ne pouvait rester dehors à ne rien faire alors qu'on tenait un putsch de son empire.

Il inclina donc bien bas la tête puis se dirigea de l'autre côté du comptoir placer une nouvelle fois son gosier sous le jet de pression de la tireuse. Puis il se la ferma et encaissa les commandes sans piper mot.

Il fallait observer et se débarrasser de ce vigile... Un gêneur, un conquérant voleur malpropre qui en voulait à son pain.

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---fromFRLev
[La salle commune]

Mais c'est qu'il en redemandait ! Le cosaque, éberlué, regarda l'homme reprendre sa place, boire à nouveau, et... lui crier dessus. Ca, c'était trop fort. Qu'est ce qu'il allait prendre, alors !

Ej ! Niegodziwy !

Ayant par ce cri délicat attiré l'attention de l'ennemi, il lui colla un poing à décoller le cou d'un taureau sur le pif, histoire de lui apprendre à vivre. Vrai, on le payait pour faire respecter l'ordre dans ce rade, et il le ferait avec assiduité et rigueur.

Wyjść, zrozumiałe ?

Arborant un large et aimable sourire, il s'apprêtait à reconduire l'homme dehors, en espérant que le patron reviendrait vite. Puis il se dit que tout de même, c'était bizarre qu'il n'ait laissé personne au comptoir. Puis il se dit qu'il avait peut être laissé quelqu'un, mais qu'il n'avait pas compris. Puis il se dit que c'était peut être... Eh ben oui, c'est qu'il était pas bête Lev, il comprenait vite. Plutôt intelligent, même. Pour un ex-soudard.

Hej ! Przebaczenie chłop, przebaczenie !

S'excusant platement, il fit le tour du comptoir pour soutenir l'homme qui ne devait pas avoir apprécié l'attaque.
Oh et puis après tout, il l'avait bien mérité, à boire ainsi ! Lev doutait en effet que le tavernier l'ait autorisé à boire ainsi. C'est qu'il était subtil, le Lev. Enfin… Tout est relatif, n'est-ce pas ?

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---fromFRPhilippe Moulin
[La Chambre de Philippe]

Philippe enervé contre l'humuliation des mots de Charlotte posa sur le comptoire quelques écus. Suffisants en tout cas pour payer l'affreux mixtage qu'on lui avait servit et assez pour rendre moins lourde la bourse gagnée dans les quelques representations a Paris, dont il sortait de la dernière.
Ayant perdu un peu de son ivresse et reprenant contrôle sur lui, il avait attendu patiament qu'on lui montrât sa chambre, tendant les bras pour y recevoir ceux des deux dames l'entourant, avant que le tavernier et le gardien sortent se disputer dans qui sait quelle langue étrange.
Soudain un souffle de vent froid s'introduit dans la salle et dans les os de Philippe. La nuit était bientôt arrivée et l'hiver ne semblait pas vraiment vouloir laisser sa place au printemps.

Accompagné d'un grincement de porte, un vieil homme aux cheveux noirs entra.
Giovanni entre mil.
Giovanni toujours aussi paisible.
Giovanni le regardant reprobateur.

Philippe n'eut pas un geste a son regard et emenna, de force de volonté, les deux femmes vers l'escaliers ou il commença sa marche, s'aidant des bras de deux jeunes filles, car moins ivre qu'avant, il l'était toujours un peu. Assez pour avoir du mal a grimper le bois des escaliers.
Il aurait aimé se retourner et dire a Giovanni de venir, mais son air calme et accusateur ne fesait qu'accroitre son orgeuil et sa mauvaise humeur.
Il était assez grand comme ça, le venitien, et il viendrait si bon cela lui semblait! Il avait été fou d'ecrire une pièce dans sa ville et esperer que Giovanni y remarque la mélancolie qui l'abritait de le voir!

Enfin.. peut importait Giovanni a ces instants, Philippe devait parler a la troupe, et si ce n'était pas lui, ça sera les deux jeunes filles qui iraient le crier aux autres acteurs.
Ils arrivèrent dans la chambre et Philippe poussa la porte puis entra, laissant a la dernière le soin dela refermer derrière soi.
Sans un mot, il alla dans la salle de toilettes et remarquan avec joie un sceau d'eau avec lequel il se lava les mains, le visage et la tète pour enlever le sang qui avait coulé. Se sechant avec sa chemise qu'il venait d'enlever, il se retourna regarder les deux jeunes filles.


On part en tournée dès demain

Aucune subtilité mais des mots scecs et un hochement de tète impesriptible qui se lamenta déjà des reactions contraires a recevoir...
Charlotte_1
Philippe se faisait attendre pour payer son du, qu'il finit par poser sur le comptoir...Avec l'aide d'Ochidea elle soutenait encore cet auteur de pièce de théatre pour lequel son admiration était sans fin.....
Pour l'homme lui même , elle en avait beaucoup moins , il aimait trop les femmes et même parfois les hommes et Charlotte était trop exclusive....
Giovani entra dans l'auberge,Charlotte gonfla sa joue et leva les yeux en le regardant d'un air agacé sans que Philippe s'en aperçoive .....
Les deux jeunes femmes finirent pas le racompagner dans sa chambre tant bien que mal....
Charlotte voyait bien que quelque chose le chagrinait mais il était rare de le voir tranquille....
Il était extrème , autant on pouvait le voir exploser de joie aussi bien que triste à en mourir .....
Charlotte se dit qu'aprés une bonne nuit de sommeil ça irait mieux , elle le laissa se laver succintement ....
Elle avait même décidé qu'il était temps de rentrer quand il leur annonça comme si de rien était:


On part en tournée dés demain!

Charlotte se retourna et resta un instant interdite, puis le regarda.

Tu as dit quoi là?
On part demain?
Quelqu'un est au courant?
Crois tu qu'il soit facile de partir d'un seul coup comme ça
?

Elle posait toutes ces questions en réfléchissant pour elle même ....Comment préparer ses affaires en si peu de temps....Comment prévenir toute la troupe....Doit on vraiment repartir si vite....Elle lui posa une dernière question en insistant sur son prénom, pour être bien sur de ce qu'elle avait entendue...

tu es sur Philippe?
Tu ne plaisantes pas là?


Elle lui demanda si il plaisantait sachant trés bien qu'il ne le faisait pas , connaissant l'homme , il avait déjà prit sa décision.....
---fromFRRoland la chope
[La salle commune]

Son pif éclaté crache un sang fort alcoolisé. Pas sur qu'un pis de vache éjecte le lait à si gros débit. Le Roland bouillonne. Il y a bien longtemps que "La chope" n'a pas été si furieux. Il baisse la tête afin de détourner son regard de l'enmerdeur abrutit. Pas question de le provoquer de nouveau, un coup a suffit. Il agira dans l'ombre, à sa vitesse. Et frappera la où cela fait mal... Choissant le moment opportun pour terrasser ce gêneur.

Le poing semble le laisser tranquille. Roland hoche de la tête, sans même un regard, aux propos étranges du bonhomme. Il ne pige que dalle. D'ailleurs, il s'en fout. Juste donner l'impression d'acquiescer pour ne pas s'en prendre une.

Tiens, le grand s'enfile une chopine. Une idée lui vient alors. "Le Roland" s'en va en cuisine, préparer sa vengeance... Il connais quelques potions, qui dissoutes dans l'alcool, retournent ensuite la bedaine et provoquent malaise.

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pnj
[Salle commune]

Loo regardait avec consternation la décadence du sexe opposé. Et ça se bat, et ça boit sans savoir tenir une choppe, ça se croit le plus fort, et gna, gna, gna... Elle toussota et tourna la tête ; elle venait de faire une moue pour accompagner ses paroles et espérait qu'on ne l'avait pas vue. La dernière fois qu'on l'avait prise à parler toute seule, elle avait passé un mauvais quart d'heure. Elle avala une goulée d'air vicié et humide et se tourna ers le gros tavernier qui disparaissait à l'arrière.

" Et ma choppe, elle va venir toute seule je suppose? "

Massacrante. Elle était d'une humeur massacrante.
---fromFRTheotokopoulos
Salle Commune


Le gros marchand avait terminé de faire installer ses gens et, après avoir donné moultes directives, il avait décidé de retourner en la salle commune se rincer le gosier...

Ayant descendu les marches, il aperçu une jeune femme qui lui rappelait quelqu'un vaguement....mais qui, cela était sûr, semblait avoir fort soif.

IL s'installa alors à côté d'elle et héla le tavernier


Olah, tavernier du diable, remplis donc la chope de cette charmante damoiselle, et par la même occasion, apporte moi une bouteille de vin d'Espagne et un saucisson de Catalogne !
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pnj
Loo se tourna vers l'importun avec un regard furibond, prête à lui demander de se mêler de ses oignons, mais sursauta lorsqu'elle tomba nez à nez avec le gros marchand. Le bougre n'avait pas l'air rancunier... Quoiqu'elle doutât qu'il se souvienne réellement de leur courte entrevue au vu du regard particulièrement inexpressif qu'il arborait.
Ou c'était un naïf, ou le fourbe voulait prolonger la conversation... Bah, après tout, un quidam qui vous invite autour d'une choppine ne pouvait pas être foncièrement dangereux. Elle sortit de ses réflexions avec un sourire dans lequel disparaissait toute trace de son ennui précédent.


" La galanterie se perd, et pourtant vous ne manquez pas de courtoisie sieur. Que me vaut l'honneur de cette intervention? "

Un regard espiègle et tout ce qui convenait d'ironie dans la voix. Tout de même, elle n'avait pas perdu de son cynisme. Une journée à vous occir un canard à coups de chausses, ça ne s'oublie pas comme ça...
---fromFRTheotokopoulos
Salle Commune


Très sûr de lui, le gros marchand semblait beaucoup plus à l'aise que la dernière fois que la jeune femme l'avait croisé


Vous avez raison, je vous honore, jeune saltimbanque !


ET lui d'écater d'un rire gras tonitruant


Quels sont ces éclairs qui tournoient autour de votre chef ? Auriez vous...par exemple..... une trop grande curiosité à confesser à un bon prêtre ?
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pnj
Salle commune

Wiatt deboula dans la taverne, en tenue de voyage, à l evidence sur le depart et trouva derechef celui qu elle cherchait.Son rire tonitruant ne passait pas inapercu. Elle remarqua celui qui officiait derriere le comptoir et s etonna un peu... Haussant les epaules, et sachant Kad avisé en affaires elle rejoignit le Marchand avec un grand sourire et l informa sans preambule:


Je vais sur l heure où vous savez Messire Marchand...Si vous le souhaitez c est l occasion où jamais...


Elle apercut Lootchac et la salua avec enthousiame.


Contente de vous revoir là Lootchack, votre cheval est à l abri chez moi, et ma porte ouverte. Je quitte Paris quelques temps, mais ma maison est la votre au cas où.

Oui c etait comme cela avec Wiatt, tout se bousculait, une vagabonde, jamais ne tenant en place. Elle attendit avec impatience la reponse, detaillant les lieux avec curiosité. Joli etablissement en verité, du potentiel vraiment. Elle chaparda d autorité un jambonneau, qui disparu dans sa besace en un eclair , ni vu ni connu...Elle sourit, une lueur espiegle dans l oeil, apres tout Monsieur le tavernier le lui devait bien et on le degustearit en chemin , en pensant à luii...Tiens d aillaurs cette bouteille là, irait à merveille pour accompagner...Hop! Et de deux!! Apres tout Kad c etait la famille, pas de chichi!!Puis il etait pas là pour raler, pleurer à une perte qu il jugerait detestable, injuste, presqu une amputation pour lui...Dommage vraiment elle aurait bien aimé voir cela...
.
---fromFRLev
A peine la susdite besace eut-elle englouti jambonneau et boutanche qu'un doux sabre caressa courtoisement la nuque de la jeune femme qui croyait aisément léser le tavernier. Un sourire peu aimable alluma la trogne bonhomme du cosaque alors qu'il articulait lentement son civil avertissement :

Nic z tego tu !

Lentement, il fait le tour de la dondon, un joli morceau, pour sûr.

To, moje kurczątko, tego już za wiele !

Alors que sa main gauche plonge dans la besace pour y récupérer les biens dérobés, la dextre continue à tenir la voleuse en respect, picotant gorge, et peut-être un peu plus...
L'homme a un sourire équivoque et lance un regard relativement peu courtois alors que le sabre, pointant le décolleté, s'abaisse légèrement avec celui-ci, tendant le tissu. A cette vue, un murmure lui échappe.


Ależ to bomba...
Jakoś to będzie... precz.

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---fromFRRoland la chope
[Salle commune]

Olah, tavernier du diable, remplis donc la chope de cette charmante damoiselle, et par la même occasion, apporte moi une bouteille de vin d'Espagne et un saucisson de Catalogne !

L'Roland fouilla dans son fourbi pour en ressortir une bouteille de vin à l'étiquette tant poussiéreuse qu'il était tout bonnement impossible d'en estimer la provenance. Peut être s'agissait il la d'un excellent cru, ou d'une vulgaire piquette à quelques écus. Il la posa sur le comptoir après l'avoir ouverte, en même temps qu'un saucisson qui semblait fort alléchant.

"La chope" s'évertua ensuite à remplir le verre de la demoiselle qui bavardait avec le marchand. Chaque goutte qui filait lui arrachait un pincement au coeur, car il savait que celle ci ne finirait pas sa course au fin fond de sa grosse bedaine.

Perché sur son tabouret pour se donner une taille respectable, il lança alors aux deux clients :


Et voici M'sieurs Dames !
Et on oublie pas de payer le service, ni de laisser un pourboire conséquent bordel d'cul d'nouille.


C'est à ce moment que le vigile se dirigea vers eux. Le Roland se fit tout de suite petit, croyant qu'il allait de nouveau s'en ramasser une belle. Mais pour son plus grand bonheur, l'étranger ne vint pas s'acharner sur son sort, mais sur celui de la femme qui venait de prendre place face à lui.

L'homme sortit son sabre et oppressa le tissu.

Les yeux écarquillés, "La chope" se pencha pour admirer le paysage. Il faut dire qu'il y avait du monde au balcon...

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pnj
Oups! Arf! Gloups!Mais keske c 'est ? Que passa ?Madre de dios!
Wiatt deglutit peniblement, un milliard de pensées defilerent à une telle vitesse que...Elle resta un instant figée sur place. Cette sensation de froid metallique dans son cou, devenait une habitude...Et puis pas moyen de s y habituer en plus. Rien à faire cela ne passait pas, tres desagreable oui...Elle resserra son emprise d autorité sur sa besace, la soutirant de ses vues et de la main qu il avait glissé dedans, en secouant la tete. C etait à elle!! Mais ne voyait il pas qu elle n avait rien d une voleuse bon sang!!

Ses yeux s'ecarquillerent, quand l energumene peu aimable, lui fit face, deplaçant en meme temps sa lame...
Bon sang!! Mais c 'est qui lui ???
Rapide coup d oeil, un badge...Vigile.
Sueur froide, un gardien!! Mal à l aise là, tres...
Evidement, ce larcin qui n en etait aps un, pouvait paraitre etrenge, mal intentionné, mais... Pas du tout en verité!! Celui ci parla. Elle ne comprit rien, evidement. Compliqué au possible là...Que faire ? Que dire ?
Mais bon sang, Kad n aurait il pu trouver un surveillant capable de dialoguer!! C etait bien lui cela! Tout cela pour qu on ne puisse soudoyer ses employés!! Un coup d oeil incertain.


Euh... Calme surtout...


Elle le regarda furieusement soudain, un flot de sang montant à son visage lorsqu il osa faire glisser sa lame là où, justement il n aurait pas dû!! Le goujat! Mais mais!! Et puis quoi encore??? Un bond en arriere, un exclamation indignée, la besace en bouclier au balcon.Ni une ni deux!
Elle pensa fugitivement que ce coup ci, les chamailleries habituelles, avec Kad risquaient de lui couter cher...Il fallait dissiper le malentendu, d autant que le marchand ne resterait sans doute pas sans rien faire...et que le tavernier baguenaudait en ville en bonne compagnie!!
Courage ma vieille, tu t es mise dans le petrin, va falloir te sortir de là, avant que ce... ce... truc ne te decoupes en fines lamelles!! Par Aristote!! Kad avait trouvé là un chien de garde efficace...Et lui là, le costaud derriere le comptoir, il parlait français lui ??? Oui!! ouf!! Soulagée elle glissa un regard vers lui, il ressemblait à un merlan frit.
Elle se lança apres une inspiration profonde, s adressant au bonhomme rubicond, et coulant en meme temps un regard peu rassuré au cerbere:


Euh...Kad!! Je suis comme une soeur pour lui!! Dites à ce molosse de reculer sinon il perdra son emploi! Ce jambon est à moi, un preté pour un rendu dirons nous!! Je suis Wiatt Diane d'Azayes! WIATT!!!

Elle repeta son prenom, certaine qu il avait du etre prononcé, au moins lorsque Kad avait prit la direction de chez elle un peu plus tot, et en affirmant ses dires, l index pointé vers elle meme, que l autre comprenne bien...
Elle repeta ses mots et son geste, pourvu que cet ane baté entende raison...Ne voyait il pas à sa tenue, et jusqu au bijou precieux qu elle portait au cou qu elle n avait rien d une voleuse de grand chemin ? C etait ridicule!!


Kad !! Moi Wiatt!!
---fromFRTheotokopoulos
La jeune femme ne répondait pas...occupée par un autre curieux bonhomme...il haussa les épaules et prit la bouteille et le saucisson que lui donnaient le tavernier..... hésita.... puis voyant Wiatt débouler avec des paroles pressantes et plus qu'alléchantes, il se sentit soudain généreux et sortit un solidus d'or et le lança au tavernier...

Voilà pour toi, échanson démoniaque !

Puis il se tourna vers Damoiselle Wiatt et la regarda s'égosiler....mmh

Damoiselle Wiatt, chacun sa place et chacun sa merdre, je ne prends qu'un charriot et un valet, mes gens resteront ici !

Emportant la bouteille et le saucisson, il se dirigea vers la sortie puis, en passant près de Wiatt, sortit une gros poignard courbe à la lame suintante et la lui rendit

Tenez, méfiez vous c'ets plein de poison, griffez donc ce molosse et partons !
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---fromFRRoland la chope
[Salle commune]

Il avait une grande soif le Roland, et les bulles de bière ne suffisaient plus à le contenter. Il était désormais le tavernier attitré de l'auberge en l'absence du patron. Il n'était donc pas question qu'il se prive. Aussi disparu t'il dans la cave pour en ressortir avec des petites bulles plus raffinées.

"La Chope" place son godet en dessous de la bouteille. L'abrutit de pilier de comptoir ne connaît pas même l'existence des flûtes et compte bien s'enquiller le champagne à la chope, persuadé que cela sera bien plus raffiné qu'au goulot.

Le Roland tente de déboucher la bouteille, mais la précieuse se fait désirer. Il manque de poigne, c'est incontestable... Alors il secoue la machine pour aider le destin...

Ploccccccccccc !

Le bouchon fuse comme un trait, plein oeil du vigile... Les petites bulles, pour leur part, filent picoter les délicates dunes enchanteresses qui se présentent à la vue du tavernier.


Oup's...
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