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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

pnj
Wiatt en TRES mauvaise posture vivait un tres grand moment de solitude.
Curieux comme dans certaines situations, l esprit s emballe.
Là dans un etrange conscensus, le mot complot revenait. Litanie.
Pour un peu elle aurait sorti sa harpe et aurait chanté la complainte des opprimés.
Pour un jambon.
Tout petit, rikiki, oui, pour un maudit larcin, presque rien, sinon un clin d oeil espiegle, une revanche rigolote autant que pragmatique...

Malediction...

Vraiment , il y a des gens à qui le destin ne passe rien.
Elle decouvrit combien elle en faisait partie.

Le vigile l air reveche. Le marchand quittait aussi les lieux, Lootchack muette, peut etre riant en silence ou terrifiée qui sait ?
Elle se retrouva avec une arme en main, mais au mot poison cette derniere, fut ejectée et rebondit au sol.
Une egratignure et c etait la mort.
Elle ne voulait pas tuer l employé de Kad. Mais qu est ce que c etait ce BINS????
Horreur! Elle en etait sure, on voulait sa fin!!
Lui donner une arme à ELLE. Ah mais c est qu elle etait capable d etre dangereuse pour elle et pour les autres avec ce truc là.
Poison!!
N avait elle pas failli decapiter l un de ses meilleurs amis ?
Sans le vouloir, juste par maladresse.
Et puis pour peu qu elle fasse mine de vouloir en user, l autre va l echarper c est certain...
A voir sa trogne , aucun doute possible. Il se fiche bien de savoir qu elle n a que 17 ans, trop jeune, si jeune pour mourir. Sans coeur va !
Elle se desespera de voir que ses mots se perdaient dans un vide, on ne l ecoutait pas, le marchand s esquiva donc.
Eclair de conscience. Plus question de partir avec lui.
Bah quoi ?
Faire un voyage avec quelqu un incapable d etre un soutien en cas de pepin, fallait pas pousser quand meme...
Les routes etaient dangereuses et oh combien!!
Et le riche negociant pronait le chacun pour soi et dieu pour tous...Lacheté!! Chacun sa mouise ? Fort bien...
Il etait où Dieu d ailleurs à ce moment precis ?
Coup d oeil à la porte et Kad qui n arrivait toujours pas...Allez Messie c est le moment de la resurrectio ou jamais!! Christos est dans la mouise...
Elle eut la conscience confuse, l intuition aigue qu il n arriverait pas de sitot.
Allez savoir pourquoi....
Bon sang...Là pour le coup , elle commencait à regretter ce geste si peu reflechi, une impulsion, une taquinerie...
Meme certain s etait montré plutot indulgent en comparaison.
Soupir...Un milliards de pensées s envolent, vers un lieu inconnu.
Deux vols et deux grands flagrants delits.
Pas de bol vraiment, enfin si !
La mi de ces effronteries, elle, est exempte de remord, le repentir n etant pas sa nature premiere et puis...
Enfin le reste ne regarde qu elle et elle evitera donc d y penser...

"Aristote je vous jure, que je ne recommencerai plus si ...je me sors de ce guepier..."

Priere silencieuse. Quand on a plus personne, on se tourne vers les cieux...
Avec desespoir elle voit soudain le tavernier interim disparaitre.

Mais vous allez où? Ne partez!! Ce n est pas le moment accrochez vous au comptoir et faite quelque chose!!

Et lui là, le cerbere, l air de plus en plus feroce depuis qu elle s accroche à sa besace... Deglutir peniblement.
Le gros revient. Soulagement, faut pas me faire des peurs pareilles hein ?Elle se jure de dire à Kad combien ses employés sont...


Mais vous là!! Dites lui, intervenez bon sang!! Savez vous qui je suis ? Rappelez votre molosse!

Mais ce dernier occupé à deboucher une bouteille, l ignore, ou alors elle deja morte ? Un spectre!! Oui voilà ca doit etre cela.
PAF!! L indicible. Complet pour complet, là , c est la fin des haricots, quel boulet!!! Arrosée, en meme temps que l idee saugrenue, on se demande hein ? Qu il a fait expres. Impossible d etre aussi abruti et maladroit sans bonne volonté et adresse calculée... Bon point tout de meme, le bouchon a fini sa trajectoire dans l oeil du garde...
Il va pas etre content...OLALALA! Non pas du tout, et c est sa lame sur sa gorge, hein ? Tu y as pensé quand tu as fait sauter le bouchon ?

Non...Bien sur. Fatalité, malchance...

Oui bien sur, et moi je suis sure qu au Paradis des bouchons perdus il y a plein de fausses voleuses innocentes...Qui n avait rien demandé.
Regard noir, furieux en meme temps qu un petit quelque chose de fragile craque là, tapi à l interieur. Sans un bruit. Une larme perle au bord des cils. Que voulez vous qu elle fasse d autre, c est pas une guerriere, juste une archere sans arc, pas mechante pour un sou...enfin... Non pas mechante c est dit!
Pauvre Wiatt...Trouver un reconfort.
Papa où es tu ? Bah quoi ? Non j ai pas honte, ca sert à cela un pere quand meme, à proteger son sang quand tous l ont abandonné...Trahison!! Disgrace!!
Monde cruel...Dur dur d etre Parisienne.
Mais où sont mes amis ???
Ceux qui debarquent toujours au moment propice, ceux qui ont le genie d arriver sur le fil, par des imprevus des hazards bienheureux...
Pas là...
Personne ce coup ci Wiatt, t es vraiment dans la MERDRE!!
Tous des barbares les Parigots oui, ceux du Sud ont bien raison.
Jungle urbaine.
Neanmoins elle calcule, suspendue au liege percutant. Se pourrait il qu un petit bouchon terrasse un gardien ? On peut toujours rever, c est pas interdit cela!!! Profond soupir, ramenant sa besace plus encore contre elle, pudique la demoiselle quand meme...PIC ET PIC ET COLEGRAMME....
Profond sentiment d injustice...Snif...

Et au fond, une impression que quelque part alentour et invisibles certains doivent bien se marrer... Rira bien qui rira le dernier...A l evidence dans les hautes et secretes instances des Mesengiens legendaires, on a decidé que ce coup ci elle n aurait pas le dernier mot, mais tenez le vous pour dit, ce ne sera sera pas non plus le dernier sien...Vendus, traitres!! Tout se paie un jour...
---fromFRPhilippe Moulin
[Dans une cambre de l'auberge]

Oui

Sec, decidé, un 'oui' sifflant a travers ses dents. Pas de replique possible, ils partaient. Un point c'était tout.
Philippe regardait Charlotte presque avec mépris, et ne daignait même pas adresser un regard à la Reyne, au fond de lui, il avait peur qu'elle decidât de ne pas suivre... que par sa faute la troupe soit encore une fois disolue... Giovanni déjà n'avait pas suivit. Cétait mauvais signe. Mais Philippe, toujours dans son arrogance et son orgeuil, semblait de plus en plus decidé... si bon acteur, que même ses deux filles n'auraient pu se douter de ses vrais craintes interieures... de ce chagrin d'amour qu'il avait eu a subir quelques jours auparavant, de cette fille a qui il avait enlevé la pureté et qui était tombée amoureuse de lui. Tous ses soucis... Il avait tellement envie de leur les raconter, mais il craignait d'être delaissé par elles. Il semblait toujours fort, toujours decidé, jamais regrettant ses actes... et pourtant.

Ne pouvant plus suporter le regard acusateur de Charlotte et de Orchidea, il tourne les talons et prétend la recherche d'une chemise a mettre.
D'un air calme et fond de lui frémissant, d'une voix sure, au fond de lui inquiète, il reprend la parole avec une imense effort invisible.


Nous partons demain. Je vous demandrait de bien vouloir aller chercher les autres membres de la troupe... Giovanni est encore dans la salle commune si mes oreiles ne font pas defaut, Adrien doit se promener dans le noir des ruelles... Moi, je vais préparer le reste, vivres et chemins.

En effet, les murs de l'auberge étaient fins et on entendait tout. Il n'avait pas entendu le pas regulier de Giovanni partir... mais c'était plutot un espoire, car après tout, le vieil Venitien était djéà, sans doute, parti...

Sa chemise tachée de sang a terre. Il était trop habitué a que ses demoiselles s'occupent de lui, sourtout en état d'ivresse, dans lequel, malgré ses efforts, il était encore.
Un geste de la main.
Elle pouvaient disposer, aller chercher les autres.
ui, il devait reflechir seul, un momement.
---fromFRAdrien111
En effet ... Adrien était retourné dans les sombres ruelles de Paris, lieu qu'il avait apprivoisé dès la première pièce qu'ils y avaient joué ...

Était-il ivre ? Ou simplement fatigué au point de ne plus marcher correctement ? On ne le saurait pas vraiment, vu l'odeur continuelle d'alcool imbibant ses vêtements. L'époque de la belle chemise était terminé, on avait à présent droit à un morceaux de tissu qui le gardait un peu au chaud.

Cela faisait quoi, 5 ou 6 jour qu'il avait disparu ? Mais bon, c'était à son habitude et Phillipe ne devrait pas s'en inquiéter ... Phillipe ... Il logeait à l'auberge et il savait qu'ils partaient tous en tournée demain ... Il serait naturel de le rejoindre ... Il s'avança dans le noir de Paris, défiant les regards hostiles et demandant des renseignements sur la localisation de l'auberge en question quand finalement il y arriva et se rendit compte qu'il y avait déja entré ... Comme à peu près bien des auberges à Paris ... Il entra et demanda aussitôt ou se trouvait la chambre de Phillipe Moulin ... Il lui signala l'escalier derrière, qu'il prit.

Toc Toc Toc ...
Il n'attendit pas et entra, tout heureux de retrouver les autres membres de la troupes présents ...


Eh Phillipe !!!
Dis-moi ... J'ai manquer un truc ou ?

Car j'te jure les ruelles ici c'est des vrais de vrais ! Pas comme ce dernier village en Bretagne ou il ne se passait rien du tout ...
_________________
Adrien
pnj
[Salle Commune]

Absorbée par sa choppe, Loo dévorait des yeux le calice que le gros tavernier venait de lui poser devant les yeux. Elle vit que ce dernier n'avait pas l'air très à l'aise dans ses chausses. Elle se mordit la lèvre dans un air dubitatif. Piquette ou pas, le breuvage était là... Elle n'était qu'une vulgaire et intarissable gourmande assoiffée...

Elle attrapa l'anse de la choppe tout en remettant à un futur inexistant sa prochaine confession. Inexistant? Rho ! Hypocrite? Rhoo ! Elle fit une moue vexée. Elle n'aimait pas quand elle se trouvait des torts, ça finissait toujours par la mettre en froid avec elle-même, et la cohabitation devenait difficile.


" Mais qu'est-ce que je raconte moi? "

Le son de sa propre voix la tira de ses pensées. Elle leva les yeux au ciel en souriant puis porta la choppe à ses lèvres, tout en tournant la tête alentour. Elle eut un hoquet de surprise qui lui fit avaler sa première gorgée de travers en toussant bruyamment.

" W...Wiatt?, fit-elle en ouvrant de grands yeux ronds face à la scène qui se déroulait devant elle ; M...Mais qu'est-ce que tu...qu'est-ce que tu fais? "

Stupide. Sa question était la phrase la plus stupide qu'elle aurait pu dire à cet instant. Quoique la phrase " Les crevettes font des claquettes avec le gnou de ma voisine " aurait peut-être fait davantage d'effet au panthéon de l'inutilité... Elle secoua la tête, indignée par de telles pensées dans un moment pareil. Son amie avait un regard hagard, à tel point que Loo se demanda si la troubadour n'avait pas abusé de ces champignons dont on dit qu'ils sont vendus sur le Pont Neuf la nuit venue.

Mais un coup d'oeil au vigile l'avertit du compliqué de la situation. Elle regarda sa choppe avec un air de regret puis la posa sur le comptoir et se leva. A cet instant, on entendit un 'POP' délicieux et un bouchon effectua un triple saut magnifique dans les airs, tourbillona sous le regard à présent pétrifié de Wiatt, et vint gracieusement se loger dans l'orbite inexpressive du soviet. Loo se retourna brusquement avec un air de stupeur et aperçut le gros tavernier qui fixait avec ce même regard la bouteille de laquelle s'échappaient de petites bulles. Loo trouva la scène particulièrement poétique.
Charlotte_1
Dans une chambre de l'Auberge:



Charlotte était restée stupéfaite de la réaction de Philippe poutant bien habituée à lui , il arrivait encore à la surprendre...
Quel malheur encore lui était tombé sur la tête pour qu'il soit aussi désespéré?
Certe la pièce n'avait pas fait grand succés mais elle avait quand même était appréciée et les critiques étaient plutôt positives....
Charlotte ne répondit pas , sa décision était prise et quelque part cette grande ville l' oppréssait quelque peu....
Elle regarda Ochidéa d'un air entendu et commença à se diriger vers la porte exécutant les ordres de Philippe d'aller chercher les autres de la troupe, même si elle savait que ce ne serait pas chose facile.....
Elle avait les traits du vasage figés pensant déjà à tout ce qu'elle allait devoir préparer en quatrième vitesse....
Au moment où elle allait sortir , un toc toc toc se fit entendre suivit de l'entrée en trombe de Adrien dans la chambre....
Un instant de soulagement , il arrivait tout pimpant , la chemise légèrement en vrac....


Citation:
Eh Phillipe !!!
Dis-moi ... J'ai manquer un truc ou ?


Charlotte répondit sans attendre pour Philippe un sourire crispé aux lèvres se demandant comment il allait réagir ....

Ben justement on te cherchait !
figures toi que l'on doit partir dés demain en tournée !
Tu as du croiser Giovani en bas non ?
Enfin c'est pas grave , philippe va t'expliquer!


Finalement Charlotte restait là , perplexe ,à écouter les confirmations de Philippe juste au cas où l'arrivée d'Adrien lui ferait changer d'avis....
---fromFRLev
Aj ! Swiństwo !

Quand le projectile heurta son œil, le slave rougit et se frotta l’œil avec rage.
Cette fois, le bouchon avait été poussé un peu trop loin. Certes, la vengeance du petit gros était légitime, mais elle tombait au mauvais moment. La mauvaise foi de la voleuse qui, prise sur le fait, refusait de rendre ce qu’elle avait volé, mit le slave en rogne, et puisque l’intimidation ne suffisait pas, il se servirait lui-même, ma foi.
Furieux, le cosaque saisit sans ménagement la besace que la femme tenait contre elle pour masquer sa gorge, la dévoilant ainsi de nouveau. Non pas qu’il aimait à dévoiler l’intimité des jeunes filles, mais enfin elle avait mis le fruit de son larcin dans cette besace, il fallait bien qu’il la luit arrache lui-même, puisqu’elle ne la lui donnait pas. Et puis si, au passage, en accomplissant son devoir, il pouvait y trouver quelque réconfort tout relatif… Ma foi, il ne disait pas non.
Alors que sa main gauche tirait pour arracher le sac en question, le sabre tenu dans l’autre main la tenait toujours en respect… l’ancien soldat était prudent, et il savait qu’il avait des ennemis dans la taverne, pas question de se relâcher une seconde. Un seul mouvement louche, et la gorge de la blonde ne serait plus si belle…

_________________
pnj
Bien...Echec et mat. Là à l evidence pas moyen de negocier. Lootchac parla, Wiatt hallucinait oui...Maudit jamdon, maudit larcin, maudite chamailleries et maudit soit KAD!!!! Et lui là aussi tiens...Aves son sabre et son entetement.
Effectivement il ne faisait que son travail mais...Elle ne faisait que recuperer son bien. Treve à la discussion, barriere du lagage, on ne s entendrait pas, autant choisir l issue la plus sage qui soit hein ?
La besace lui echappe. La tension monte. Dedans. Le fruit d une espieglerie mais aussi. Ce à quoi elle tient le plus. Sa Harpe. Non.
IMPOSSIBLE.
Elle repond à Lootchac sur le meme ton indecis, mal assuré :


Ce que je fais ? Je m essaie à la diplomatie mais...

Le reste se perd, inaudible, la lame se fait un cran plus menaçante, coupant court à toute explication.
Reste à declarer forfait. Sagesse oblige. Se serait dommage et vain de voir couler le sang pour un jambon et une bouteille. C est aussi l employé de l ami le meilleur qu elle ai. Taquiner, se chamailler comme de tout temps, oui, mais lui nuire...Non.
D autant que pour le coup, celui ci est dejà en sursis, plus mort que vif, si le bruit de cet incident venait à se repandre...Quasi certitude. Quoique...Et puis une longue route l attend aussi.
Mouvements lents, elle leve les mains en evidence, montrant bien que nulles velleités d accrochage. Puis regard planté dans le sien et montrant du menton la besace, hoche la tete, ce qui veut dire, langage universel.
D accord. Reprend donc ce qui m appartient en fait mais rend moi mes affaires apres, à savoir mon sac et ce qu il contient, meme si allegé.
Le message est clair. Bonne volonté affichée. Un mot aussi. Langues latines de l Ouest à l Est. Universel aussi. Meme si different certaines lettres, le sens lui est comprehensible, par l ethymologie commune. Latin qui se retrouve partout dans les dialectes.Enfin elle l espere en tout cas, puisque ne sachant pas ses origines vraiment...


Paz...

Intrepide oui, mais elle sait aussi faire la part des choses, pourquoi insister en pareil cas. De toute façon, elle n aura pas gain de cause, ne serait ce que l arme impose respect. Esperons qu il fera preuve aussi de magnanisme...Pas envie de perdre un plastron de corsage de brocart qui lui a couté une fortune, ni de se retrouver avec une vilaine cicatrice. Se serait cher payer pour une petite farce entre amis. Et qu il se rince l oeil ma foi, elle n en mourra pas, d autant qu apres tout, rien n est vraiment indecent pour le moment, juste un bout de tissu un chouilla plus bas qu il ne devrait. Et puis la vue suggerée est plutot agreable s il en est. Princiere qu il paraitrait. Il fera de beaux reves, ce rustre mal embouché des steppes.
---fromFRLev
Tiens, voilà qui allait mieux.

Dziękować...

Sourire aimable, le courtois cosaque plonge la main dans le sac, en retire une bouteille, un jambon, les pose sur le comptoir en faisant signe au tavernier de les ranger plus à l'abri. Aussitôt, il lui rend le sac, retire son sabre.

Jakoś to będzie...

Sourire civil, il range son arme, se lisse la moustache et prend un air charmeur. Une jolie fille comme ça, il allait tout de même pas la mettre à la porte...

Paz...

Quel accent affreux ! Enfin, elle semblait connaître quelques mots de polonais, oui, elle avait dû vouloir dire paź, certainement. Une manière de se saluer, peut être... Il sourit et s'incline légèrement.


Panna...
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pnj
Et voilà...Qui a dit que les slaves etaient des brutes epaisses ? Retour du sac, la lame s evapore. Wiatt respire. Son bien le plus ^recieux pressé contre son coeur, elle retrouve, un sourire. Timide. Leger pour cause de facheux passé recent. Tout de meme. Pas commode l animal, Kad l a bien choisi...

SA HARPE. Revenue avec la besace. Tant pis pour le reste. Il baragouine. Rien compris evidement. Mais l attitude est plutot accorte, il se deride. Oh miracle!! Il sait meme sourire. Bah ça alors... N en revient pas. Il fait le coquet, elle deteste les moustaches. Pas grave.

Rendu de salut, gracieux, leger, autant ne pas le vexer. Pourtant. Un peu de rancune au fond. Mais bon, il a fait ce pour quoi il est payé. Bien la situation est debloquee. Reste à s en aller. Laval n est pas la porte à coté.
Dire au revoir et s eclipser. .


Lootchac ravie de t avoir revue. Je pars en voyage, comme dit ma maison reste ouverte.


Regarde à nouveau le vigile qui joue le joli coeur d un coup, se fait plus aimable encore. Sourire amical, une lueur s allume dans le bleu ambiant et elle reprend. Evidement elle sait qu il ne comprendra rien, si ce n est l expression bienveillante affichée :


Je dirai à votre patron combien vous etes zélé....Et au fait...La moustache c est une bonne idée, la panoplie est complete. Vous ressemblez bien a ce que vous etes. Espece de gardien de jambon, que vous etes laid. Mais le numero de charme est comique, merci pour ce spectacle, mais...Où est le montreur d Ours ? Peu importe en fait. Au revoir le Cerbere et faites de beaux reves surtout...


Nouvelle reverence legere, sourire eclatant, sur cette perfide petite vengeance. Dans la salle des rires. Une peste oui. Quand la force fait defaut reste l esprit, et la fierté aussi quand meme. Wiatt sort. Seule elle fera le voyage. La Dame Ayla etant soudain indisponible pour quelques jours, elle piquera directement direction le Maine. Son Pere l attend. Resonnent les sabots de Mistral, filant, une cavaliere, un arc et un carquois hanarchés. Laissant derriere une vie nouvelle, une peine, un silence, un espoir, un flot de lettres...Laval est en guerre. Reviendra t elle ?
L Errance reprend, elle a un but. Devoir. Famille. Une amie a qui elle a ecrit...
Rendez est pris. Destin... Le sort en est jeté et à vrai dire, que lui importe de vivre ou de mourir...Tous les risques.CARPE DIEM.
---fromFRRoland la chope
[Salle commune]

Bien assez de fines bulles s'en étaient allées irriguer les Dunes. Certes, le spectacle était délicieux, mais Le Roland comptait bien se rincer le tuyau. Il vida donc ce qui restait de la bouteille dans un bonne chopine, puis empoigna aussitôt celle ci et s'envoya le liquide dans l'fond du gosier.

A peine eût il achevé de descendre le tout que le cosaque lui offrit un jambon et une bouteille. "La Chope" pensa alors qu'elle avait fort mal jugé le vigile. En effet, celui ci regrettait probablement d'avoir levé la main sur lui pour lui céder tel présent.

Ni une, ni deux, que Le Roland avait un bon couteau de boucher en main. Il se découpa quelques tranches qu'il s'empifra rapidement. Les lamelles de viandes pendaient à moitié de sa bouche pâteuse tandis qu'il en mâchait l'autre extrémité. Le spectacle était des plus accablant.

Le Roland fit péter le bouchon de la bouteille, qui cette fois ci s'éleva dans les airs sans dommage.

Il se mit alors à crier en présentant à l'assemblée verres de vin et tranches de jambon :


TOURNEE DU VIGILE ! SERVEZ VOUS DONC !

Ne sachant si cette viande était réellement un présent ou un empreint dans les victuailles de la maison, il laissa au tenancier une note afin que le tout soit déduit du salaire de l'homme d'arme...
_________________
---fromFRLord_Lacy
At that precise moment, the door opened on Lord_Lacy, still holding the two girls he met earlier. The blonde one, called Juliette, was laughing loudly while Suzon, the brunette, was concentrating on staying on her feet. The well-drunk trio approached the counter, on which Lord_Lacy rolled three gold coins beaten with the profile of LongJohnSilver, King of England.


Citation:
À ce moment précis, la porte ouvre sur Lord_Lacy, tenant toujours les deux filles il s'est rencontré plus tôt. La blonde, appelé Juliette, riait fort tandis que Suzon, la brunette, concentrait sur restant ses pieds. Le trio bien ivre approche du comptoir, sur lequel Lord_Lacy a roulé trois pièces de monnaie d'or battues avec le profil de LongJohnSilver, le Roi de l'Angleterre.


Aubergiste, please ! Champagne for me and these fine mademoiselles ! Et manger aussi, nous ont une faim de loup !

Then Juliette tried to imitate the howling of a wolf, and Lacy burst out laughing. He turned onto Suzon only to see her slowly falling on the floor. She sat there, her back against the counter, and began to snore…

Citation:
Alors Juliette essaye d'imiter le hurlement d'un loup et Lord_Lacy éclaté de rire. Il s'est tourné vers Suzon seulement pour la voir lentement se jeté sur le plancher. Elle a été assise là, son dos contre le comptoir et a commencé à ronfler …

_________________
Oiseau Volant Non Identifié
---fromFRPhilippe Moulin
Dans une des chambres de l'auberge

Charlotte allait partir, sans un mot de plus, surement en colère et au même temps docile, mais la porte s’ouvrit a la volée. Philippe se retourna avec l’intention de crier sur celui qui avait osé interrompre leur tranquillité, mais il resta sans mots. Devant lui se tenait Adrien. Passé par l’alcool. Ça fessait trois ou quatre jours qu’on ne le voyait qu’au moment de la représentation, il commençait à inquiéter le Roy de la troupe. Inquiétudes qui n’étaient surement pas fondées… Philippe se demandait si Adrien n’était pas tombé amoureux d’une quelconque oiselle et du coup ne voulût pas les abandonner, mais toute doute se dissipa a son aspect bourré. Amoureux, dans des états pareils? Non pas Adrien.

D’ailleurs l’acteur demandait déjà ce qui s’était passé. Il était seul, il y a dix minutes, a savoir que Philippe avait en tête une tournée. Seul à lui le Roy avait confié ce secret, même pas a la Reyne Orchidea. Pourquoi? Simplement car.
Charlotte heureusement répondit a la place de Philippe qui ne voulait pas répéter ses ordres, et quelques minutes après, Adrien et l’actrice au singe étaient partis retrouver les autres membres et faire leurs quelques bagages, ainsi que dire au revoir a la capitale.

Ainsi, Philippe se trouvait seul avec la délicate Orchidea. D’abord, encore grognon, il ramassa sa chemise et l’enroula sur sa tète essuyant encore et toujours de calmer le sang qui jaillissait a toute allure et sans douleur de son crâne. Puis, ayant marre de bouder et de froncer les sourcils, il attrapa son amante officielle par la taille, non sans un certain vacillement au rappelle de celle qu’il aimait d’amour à présent.
Philippe fut derrière Orchidea et posa son menton sur l’épaule de la femme, une de ses mains tenait la taille de celle-ci et l’autre caressait les cheveux et la joue de la fleur.


Je te doit de te raconter que je suis amoureux…

Sa bouche était collée a l’oreille d’Orchidea, son souffle lui fut surement comme une caresse, les mots l’avaient surement fait sourire. Philippe avait les yeux fermés, certain que ses mots ne provoqueraient dans son amante qu’un sourire amusé et quelques questions curieuses. Elle était habituée a qu’il aimât tout le monde.
---fromFRAnonymous
Rose entra dans la taverne, elle resta dans la salle comune, malgré qu'elle avait des air de noble elle ne l'était point du tout...
il faisait bien meilleur ici que dehors, elle resta logtemps a contempler la salle.
La rousse n'avait pas l'habitude de ce genre d'endroit, elle était habitué au petite taverne et au vielle batisse.
Ce décidant a bouger de devant la porte elle s'avanca vers le comptoir, qu'elle détailla aussi, elle regarda avec attention tout ce qui l'entourait, les gens, le tavernier...
La rousse comanda un verre de liqueur, puis resta encore quelque minute a écouter, elle entendit un peu plus loin un drole d'accent, un anglois... Elle s'aprocha de l'homme entouré d'une jolie blonde et d'une brune endormi, elle était fortement intrigué mais décida quand méme de prendre la parole...


Bonjour sir!
---fromFRLord_Lacy
As soon as she passed the door, Lord_Lacy noticed the red-haired lady ; she was looking calm, almost circumspect, as she moved next to the bar and asked the barman a drink. Also, she looked much more pretty and clean than the two creatures he had brought from outside. At his surprise, she came to salute him in the most charming way.

with a large movement of his right arm, he took off his hat to salute her :


Bonjour madame, comment allez-vous ?


Citation:
Aussitôt qu'elle a passé la porte, Lord_Lacy a remarqué la dame rousse; elle semblait calme, presque circonspecte, comme elle s'est déplacée à côté du bar et a demandé au barman une boisson. Aussi, elle a semblé beaucoup plus jolie et propre que les deux créatures qu'il avait apportées de l'extérieur. À sa surprise, elle est venue pour le saluer de la façon la plus charmante.

Avec un grand mouvement de son bras droit, il a enlevé son chapeau pour la saluer :

Bonjour madame, comment allez-vous ?

_________________
Oiseau Volant Non Identifié
---fromFRAnonymous
Rose regarda l'homme enlevé son chapeau pour la saluer d'un geste bien élegant, elle lui souria étonné... Il faut dire que les gens qu'elle avait l'habitude ne cotoyer n'avait pas ces manières la...
Elle l'écoutait parler avec grande attention, ce petit accent l'impressioné...


Je vais trés bien et vous? Je me présente, je me nome Cathy Rose!
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