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[RP] L'Auberge, La Rose et Le Gratte Cul ( Place de Gresve)

---fromFRCatherine du Pont Hurlant
Catherine donna une tape sur la tête de la jeune fille après qu’elle lui ait touché la joue comme pour vérifier si elle était bien là. Touche pas la minaude, j’sai ben que j’bibarde et t’as pas b’soin d’me l’graver dans la caboche.
Elle l’accompagna, certes plus proprement, en buvant une gorgée de son verre.

T’as un d’ces avaloir la gironde, j’aimerai pas le r’monter en sabot, sourit Catherine à la gamine qui venait de s’enfiler sa choppe. Et toi ferme donc ta bavarde l’ogre, même si j’avais la filoche à jeun y faudrait ben plus qu’deux d’tes choppines rien qu’pour une chiffarde.
Elle sortit deux pièces de sous sa robe et les laissa tomber négligemment sur le zinc devant le tavernier avant de faire descendre le breuvage derrière la glotte. Tiens, avec ça t’pourras ben t’dégoter une gosseline à peine bubonnée…

Les forces lui revenaient, doucement le corps revenait à la vie et oubliait les courbatures de la nuit. Il se préparait à la nouvelle journée de travail qui l’attendait.

Un vêtement ? Chui pas le p’tit mont la gironde, pis t’sais, l’est d’ces rues où l’largue elle vaut mieux pas avoir l’air d’un daim huppé si elle veut pas se r’trouver s’rinnée dans l’coin d’une ruelle.
Elle allait en rester là, décidée à reprendre le cour de ses activités urbaines, mais la gamine la faisait rire et lui rappelait un temps où elle aussi avait de l’aplomb et pas froid aux yeux. R’marques ben que j’dois pouvoir t’dégotter quelques brais de ch’val de r’tour qui s’sont fait pincer par les cognes, si t’a pas peur du ridicule…
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---fromFRAelann
[Salle Commune]

Insolente une fois de plus, elle se prit une bonne torgnole. Décidément, encore des conneries de morpionne. Aelann se gratta la tête après la tape. T'es une vieille m'enfin, il t'reste des forces. En même temps, c'est utile un bon coup d'poignet pour une prostituée. Elle rattrapait la situation. Elle lui fit un sourire innocent puis, un clin d'oeil prononcé. Pas capable d'arrêter les remarques agaçantes malgré les menaces des gens et les aventures désastreuses d'Aelann. Aucunes manières la Aelann, mal élevée et énervante. Maudite gamine, elle s'en fichait d'être chiante. Elle parlait affaire en compagnie de la catin et elle regardait le tavernier, planté derrière le bar.

Oh, Roland le gland. Encore une ! Elle plaqua deux écus sur le bar. Et une autre en plus. Et qu'sa saute l'pé ! Elle regarda après la femme près d'elle. C'est quoi ton prénom ? T'peux m'trouver une robe ? J'dois rendre service. Très sérieuse, elle mit les deux bourses pleines d'écus sur le comptoir. Vous m'rendez service et vous s'rez récompensés. 'Faut qu'j'me lave, l'ange m'la d'mandé. La gamine ne plaisantait pas, il lui fallait de l'aide. De plus, les deux présents lui plaisaient particulièrement. De ce fait, il fallait qu'elle arrive à convaincre le tavernier et la catin. En plus, elle devait lire les informations sur un papier et elle ne savait même pas lire ne le disant pas à l'ange.
---fromFRRoland la chope
[Salle commune]

Nom d'un fut d'bière vide, ils ont élu domicile dans mon l'fond d'mon slibard ! Les petits cons !

ALERTE !!! ALERRRRTEEEE !!! Des envahisseurs !!!


Voici que "La chope" se gratte l'entrejambe afin de soulager les démangeaisons provoqués par ces maudits morpions. Ah, ces sales bêtes ne le laisseront donc jamais en paix. La poulette en profitait pour le gratifier de bien beaux surnoms qui irritaient le Roland. Celui ci retira sa main du terrain minée et vint enfoncer deux doigts dans les narines de la bonne femme. La tenant ainsi, il la tira jusqu'a lui et plaça sa bouche coiffée de sa superbe moustache en face de celle de la femme. Au milieu des poils se trouvaient plein de restes des victuailles grignotées il y a peu : du jambonneau, de la tourte au fromage, et un morceau de peau de saucisson.

T'as déja gouté à mon pé comme t'dis, v'la l'gland ma poulette !

Par l'fion du Levan, toi aussi t'as l'feu aux miches.


"La Chope" relâcha l'intrépide, envoya une bière rouler sur le comptoir et rechargea l'arme en la replaçant dans son calbute. Il grata viruleusement ses atouts afin de repousser l'envahisseur, puis lacha un pet, se disant que la bombe chimique en viendrait peut être à bout. De nouveau prêt à faire feu.
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---fromFRAelann
[Salle Commune]

Des boudins, des gros boudins horribles en guise de doigts. Elle s'en prit deux en plein le nez. La gamine affichait une parfaite grimace, au passage dans ses narines des deux puanteurs. Elle était dans une situation délicate mais, elle n'avait pas peur, juste répugnée par le geste précédent. Elle s'agrippait à la catin, quand elle eut le sursaut. Elle la lâcha peu après, se mettant en appui sur le bar et admirer le tavernier. Maintenant, elle sentait un truc désagréable, la moustache du Roland. Par réflexe, elle regarda la moustache, ne voyant pas ce qu'il y avait à l'intérieur à cause de la main. Un merdier de chez merdier entre les poils. Et, tes lèvres l'pé ! Et, tes lèvres !

La situation originale amusait néanmoins la gamine. En plus, elle n'avait pas d'arme menaçante sur sa peau. Elle attrapa le Roland avec ses bras et elle passa ses lèvres sur les siennes. Elle lui fit ce privilège et en bonus, elle le mordit. Elle, si frêle et si jeune. Le tavernier la relâcha, présenta une belle bière. Aelann en but un peu et, elle balança le reste derrière elle. C'est fou c'que tu peux exiter les gens, l'pé. J'comprends pourquoi tes doigts r'foulent énormément. Il t'reste plus qu'eux, tel'ment t'es un déchêt. Provocatrice, elle en remettait sur le tapis. Elle avait vu l'arme et elle n'en avait que faire en fait. Elle aimerait particulièrement qu'il s'en bousille une.
---fromFRRoland la chope
Salle commune

Non... Le Roland venait de rouler un palot à une cliente, pas trop vilaine en plus. Il resta ainsi, la contemplant, bouche bée, sans piper mot. Il y avait bien longtemps que ses vieilles lèvres n'avaient rencontré le parfum délicat d'une demoiselle. Aucun son ne parvenait à ses oreilles, pas même les sulfureuses répliques de la femme en question.

Toute sa vie défila soudainement. Il se revit fabriquer le fromton à la ferme, taper sur l'cul des poules pour qu'elles s'dépêchent de pondre leurs oeufs, mettre de la fiente de vache sur le tapis de sol de la voisine d'a côté. Josette qui pète qu'ils l'appelaient. Quelle veau celle la.

Reprendant doucement ses esprits, il héla le vigile en lui montrant la petite de doigt :


Hé l'Ruskov, tu fais moins l'malin hein ! "La Chope" à un bide bondé comme une outre à vinasse, mais lui aussi il s'tape les clientes.

Il fallait profiter de ces derniers instants de règne. Kad, le patron, reviendrait probablement sou peu, et l'ambiance se prêterait moins à la raillerie.

Il déposa un nouveau verre face à la belle, et oublia volontairement d'ajouter la consommation sur l'addition.


Sympa cet amuse bouche, faut que jt'e foute le reste de la main dans l'pif pour avoir plus ?

Il venait de découvrir une méthode de drague hors du commun.
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---fromFRAelann
[Salle Commune]

La catin ne parlait pas, elle fantasmait peut être sur le gras du tavernier et sur le parfum dégueulasse qu'il dégageait à chaques passages. Elle espérait qu'elle se réveillerait si la situation se dégradait afin qu'elle l'aide un peu. Le gland au bar c'est-à-dire le tavernier la mattait, il était insistant. C'est de cette manière qu'Aelann le regarda peu après, les yeux dans les yeux. Tu attends une claque ? Le tavernier avait la tête en l'air, ailleurs, il n'en revenait pas de ce baiser de la gamine. Attitude pathétique. Maintenant, il faisait le caïd face au barbare, elle leva les yeux au ciel. Elle eut une envie irrésistible de rire. Sérieuse, elle se retint in extremis. Juste un effleurement de lèvres et t'en peux plus l'pé. T'es un gueux.

Et t'es vraiment misérable. Elle se passa la main sur le visage et elle regarda le bar. J'sais que j'laisse des traces à vie mais là. Elle attrapa le verre et elle le regarda pendant qu'il lui parlait et qu'il faisait des allusions bizarres. Elle releva la tête et elle le regarda de travers. Tu rêves l'pé, t'es rien qu'un miséreux. En plus, j'veux pas d'une raclure, t'es qu'un amus'ment. Un baiser de la part d'une gamine qui s'exerce à être une parfaite manipulatrice, voilà la véritable raison. Juste pour qu'il ne trifouille plus son nez, de ses boudins en forme de doigts. Elle attrapa le verre et elle balança la bière à la tête du tavernier. V'la, t'vas r'descendre les pieds sur terre, hein.
---fromFRLev
Cette fois, il l’avait vu ! Ca faisait un moment maintenant que le cosaque se doutait que le tavernier n’était pas clair, mais cette fois, il l’avait pris la main dans le sac. Depuis le début, le slave mémorisait bien entendu tout ce qu’il voyait que le tavernier consommait : bière et charcuterie en quantités, Kad le saurait… s’il arrivait à le lui expliquer. Il n’avait aucune preuve que Kad ne les lui ait pas offerts, mais la bière qu’il venait de coller sous le nez de la gamine sans demander la monnaie en échange, ça, il n’en avait certainement pas la permission : il fallait sévir. L’homme, en plus, l’apostrophait de temps à autres, un sourire aux lèvres, et lui avait chipé la gamine qui était venue lui parler, à lui. Il se foutait ouvertement de sa tronche, et il allait voir la supériorité qu’a la force sur la mesquinerie.

Uspokój się !

Le cri, doux et mélodieux comme celui d’un sergent bourru tiré de son lit par les cris d’un soldat indiscipliné, était sans appel : même s’il n’était pas compris, l’effet escompté fut obtenu : le tavernier boucla son avale-bière. D’un pas léger comme une charge de cavalerie embourbée, le slave s’approcha alors du comptoir, entendant bien confisquer la bière offerte, mais la gamine l’avait pris de vitesse. Il lui lança un regard noir et pensa qu’il l’ajouterait sur sa liste mentale des consommations du tavernier.

Stój !

D’un doigt autoritaire fin comme du boudin de Prusse, il désigna le robinet à bière, puis le jambon derrière le comptoir, et enfin envoya sa main empoigner la mâchoire du moustachu pour la fermer de force. Il espérait que le message avait été clair et se tourna vers la gamine en se souvenant de ses rudiments d’allemands appris lors d’une campagne : peut-être qu’on le comprendrait mieux que le polonais, après tout.

Wöhnen zie bai dain Eltéern ?

Certes, son accent dénaturait un peu la poésie de ce langage, mais au moins, peut être serait-il compris.
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---fromFRAelann
[Salle Commune]

En entendant le barbare, gueulant dans la taverne, elle eut un sursaut. Arf, une vache dans l'auberge. Elle remarqua la présence du garde, s'avançant au bar d'un pas menaçant. En plus, le barbare parla en même temps qu'elle lança le liquide au visage de l'autre. Ahh, malheur. Elle haussa les épaules. En fait, elle pensait qu'il s'agissait là, d'une menace vu ses manières détestables. Elle s'arrêta, cachant le verre en dessous des jupons de la peinturée. Peu après, affichant un visage de gamine, elle regarda le barbare ne sachant ce qu'il disait mais, par chance, il s'adressait vraisemblablement au tavernier.

Elle n'aura pas une autre lame sur la peau, c'est déjà pas mal. Elle n'était pas la fautive aujourd'hui. L'instant suivant, elle détaillait d'une certaine insistance l'allure étrange du barbare et à sa langue désagréable, il n'était pas français. Elle remarqua le regard de l'étranger, un regard de tueur. En une minute, elle se fit petite et elle lui fit un petit sourire innocent.

Voilà qu'il lui parlait maintenant. Elle affichait une grimace bizarre en entendant ce qu'il lui disait.
Hein, qu'est-ce qu'tu dis ? No comprendo, ok ? Fière de ressortir quelques mots d'un môme des rues, elle se satisfaisait de cette phrase pensant qu'il était capable de capter ce qu'elle disait. La gamine ne savait pas ce qu'il lui disait, elle avait déjà pas mal de mal en parlant français mais là, catastrophique cette situation.

Assise sur la chaise, la gamine ne tenait pas en place. Elle regarda à la fenêtre. Malheur, l'ange. En retard, elle se rappela de la taverne l'Rat Crevé. A la hâte, Aelann s'en alla de l'auberge et elle regarda la grande place. Un marché, elle s'avança vers les étals, rampant par terre, elle attrapa une poule coursière. Elle s'en alla à travers la rue et rentra dans l'auberge du Gratte-Cul.

Près du comptoir, une poule entre les cuisses, elle prit une serviette qu'elle déchire et elle écrit un truc dessus : " bojoure blonde lé loberge dé rose. toi vnir dsuite, dur écrire truc. a captal, gratt cu. aelann. " Elle est nulle, bien difficile d'écrire. Ce n'est rien, c'est une urgence. Elle coince le mot entre les griffes et elle jette le tout dehors.
Taverne l'Rat Crevé et qu'sa saute ! Peu après, elle rentra dans l'auberge et s'affala sur le bar, une frayeur de plus.
---fromFRLev
[Salle commune]

Bon, visiblement, soit la petite ne comprenait pas l’allemand non plus, soit elle était trop conne pour comprendre qu’il valait mieux lui répondre en allemand qu’en français. Le slave grimaça et alla se planter près de l’entrée, la main gauche sur la poignée de son sabre, son escopette au pied dans sa main droite. Puis il fit la tête de celui qui prend son tour de garde : visage dur, yeux fixes à tel point qu’on eu peut croire qu’il était fasciné par ce qui était en face de lui et ne pensait à rien d’autre.
Mais s’il était vrai qu’il ne pensait à rien – ou alors à des choses dont l’inanité bouleversante doit demeurée cachée – il serait faux d’affirmer qu’il s’intéressait à ce qui lui faisait face : c’était un mur, après tout, et rares sont ceux qui sont fasciner par les murs, a part les maçons et les militaires durant les sièges. Or le cosaque n’était pas maçon et n’assiégeait personne.
Conséquemment, il n’avait rien à carrer de ce mur. CQFD.
Il attendit.
Quelques instants plus tard, la gamine lui passa sous le nez.
L’instant d’après (ou celui qui le suivit, car il est difficile de déterminer combien de temps exactement dure un instant) elle repassa, équipée d’un animal identifié comme gallinacé.
Une putain de poule.
Avec une saloperie de caquètement.
Patiemment, avec application, l’homme ramona le fusil de l’escopette. Le chargea de poudre. Y ajouta une bille de plomb. Sortit son briquet. La petite avait apparemment fini son affaire, car la poule fut jetée dehors. Il alluma la mèche de l’escopette. L’épaula. Visa cette saloperie de poule. Fit feu.
*BAM !*
Toucha le bœuf du char d’un commerçant.


Gówno !

Se tourna vers la gamine, lui lança un regard dur.

Nie kura.

Non, décidément, il n’aimait pas les poules. Pas celles qui portaient des plumes, en tout cas.
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---fromFRAelann
[Salle Commune]

Aelann regarda le barbare, il lui faisait une grimace claire. Insistante, elle faisait pareil, une grimace et une phrase. Gna Gna Gna, dégage l'barbare. Elle pensa à l'ange, espérant qu'elle se rende à l'auberge. La gamine n'aimait pas la situation, elle avait des engagements auprès de l'ange. Blasée, elle regarda à la fenêtre la bête traversant la grande place. Un bruit. L'barbare, un chasseur de campagne, il attaquait l'animal. La gamine n'apprécia pas. Aelann se leva d'un pas assuré et elle alla derrière le géant. Elle le regarda de travers. Maintenant qu'elle affichait un visage similaire au visage de l'autre, elle se sentait mauvaise.

Le barbare s'arrêta et regarda de nouveau la bête. Elle s'abaissa, passa sa main aux braies et claqua le cul du géant. Elle avait mal à la main mais, elle n'en avait que faire. La gamine ne s'arrêta pas, elle sauta sur la bête et, serra ses bras à sa nuque. Elle essaya de rester sur le dos du monstre, elle ne le lâcha pas et elle s'aida des habits. Elle serra ses jambes à la taille du barbare et elle passa ses mains sur les deux yeux. Barge la Aelann, en plus, elle avait peur mais, il fallait que l'animal arrive jusqu'à la taverne.
T'vas m'le payer, saleté d'sauvage étranger. Elle ne le lâcha pas, elle savait qu'elle allait se prendre une sacrée raclée.
---fromFRLev
Allez savoir pourquoi, la situation lui fit soudain penser à la cueillette des prunes. Il se souvint encore comme, chez sa grand-mère, quand il était petiot, il frappait les branches des arbres pour en faire choir les fruits. D’un mouvement régulier, il se mit à cogner son dos contre le mur pour faire chuter celle qui s’y agrippait. De plus, il avait lâché son escopette sous l’effet de la surprise et ses mains s’efforçaient d’arracher celles qui lui obscurcissaient les yeux.
*BAM !*
Et il cognait le mur.
*BAM !*
Et il cognait encore.
*BAM !*
Et encore.
Le mur, comme le gourdin qui frappe la branche, secouait le fruit qui s’accrochait à la branche courbée de son dos. Il se souvint alors de la chanson que chantait son oncle qui travaillait avec lui à la ferme et se mit à la chanter de sa voix rude pour accompagner le mouvement.


Очи черные, очи страстные !
Очи жгучие и прекрасные !
Как люблю я вас! Как боюсь я вас !
Знать, увидел вас я в недобрый час !


Au premier couplet, une première main lâcha, et il chanta de plus belle.

Ох, недаром вы глубины темней !
Вижу траур в вас по душе моей,
Вижу пламя в вас я победное:
Сожжено на нем сердце бедное.


Au second couplet, les jambes se desserrèrent et la victoire semblait acquise.

Но не грустен я, не печален я,
Утешительна мне судьба моя:
Все, что лучшего в жизни бог дал нам,
В жертву отдал я огневым глазам !


Quand sa voix tomba, la gamine l’accompagna dans un bruit sourd et il la jeta dehors sans ménagement.

Wyjść !
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---fromFRbantry
Un homme entra dans la taverne


[salle commune]

Hé tavernier,tu me sers une ptite bière?
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magenoir de montbazon-navailles.
---fromFRRoland la chope
[Salle Commune]

Et le Roland bondit sur la gamine pour lui rouler un gros patin, profitant de la lourde chute de celle ci. Son haleine parfumée au bon goût de saucisson et sa moustache garde manger avaient bien du succès aujourd'hui. Tandis qu'il regagnait son comptoir, un homme pénétra dans l'auberge.

Celui ci manda une chopine. Le Roland en servit une puis... Hésita. Il avait fort soif. C'est pourquoi, alors qu'il tendait à moitié celle ci au client, il lui fit faire demi tour direction son gosier. La petite main du tavernier vient alors gratifier sa grosse bedaine d'une douce caresse circulaire. Le plaisir de la bibine...


Bah mon, gars, t'l'as vu celle la ? Pfiouuuuuuuuu envolée !

il abaissa cependant la tireuse et servit un nouveau verre, qu'il céda à l'homme cette fois ci.

Et on balance l'jonc siouplé ! ajouta t'il en tendant la paluche...

HRP : Argh, Gnan mé Gné quoi ça ? Un petit effort pour le RP Messire, s'il vous plait... Reportez vous au premier post du topic.
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---fromFRbantry
[Salle commune]



Magenoir vit Roland... lui donné une bière

-Hé,merci,sa fera combien?


Puis il sortit de sa poche quelques dizaines d'écus qu'il posa sur la table.

-Tenez pour vous,garder la monnaie.

Je ne suis qu'un simple voyageur j'ère deçi,delà partout.

C'est un plaisir pour moi de boire une bière dans cette taverne qui se situe dans la plus belle ville du Royaume.

Puis il but une gorgée de bière


-Ah et aussi,gardait la monnaie,je ne suis pas un riche voyageur mais votre bière et tellement bonne.

Il reprit une gorgée et cette fois il finit sa bière,il posa sa chope sur la table et commence a penser,bon jvais mfaire plaisir profitons,puis il regarda Roland et lui dit



-Euh.....,y'a t-il une chambre de libre,je compte resté a Paris quelques jours et je ne sis pas ou dormir,je me disais que dans cette auberge il y aurait surement des chambres,j'en voudrais une pas trop luxueuse,ma badine n'est pas rempli d'écus.



Puis en attendant la réponse il s'assit sur une chaise et pris sur une table voisine une chope de bière qui n'était pas encore vide et il la buva
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magenoir de montbazon-navailles.
---fromFRAelann
[Salle Commune]

Les coups de son dos contre le mur fit qu'elle perdit légèrement prise. Outch... Outch, no... Outch... Le barbare n'avait que faire de la gamine car, il chantait n'en faisant qu'à sa tête. Au passage, un chant des plus détestables. Saleté ! Peu à peu, Aelann lâcha une main, elle avait mal. J'te dé..., déteste... Elle desserra les jambes, ses fesses glissèrent vers le sol. Voilà, qu'il enchaînait le charabia, il hurlait dans l'auberge. La gamine affichait un visage en panique, elle ne maîtrisait pas la situation. Elle le savait, elle était catastrophique. Elle cherchait la bataille et elle se faisait reduire en miette, peu importe. Le caractère d'Aelann passe avant la santé, c'est qu'elle est bien impulsive. Encore un moment, elle se retrouve sur le cul et elle est toute étourdie. Une sacrée chance, le barbare ne l'a pas massacré, Aelann reste en vie.

Elle ne savait pas ce qu'elle faisait dans l'auberge, elle était ailleurs, l'espace de quelques minutes. Elle reprenait peu à peu, qu'un autre sauvage, le gland se jeta sur elle, sur ses lèvres. Une langue dégueulasse caressa sa langue, un spectacle de bave. Elle se releva et le barbare la jeta de l'auberge. Elle s'affala sur le pavé de la rue.
Saleté d'barbare des cavernes ! Saleté d'tavernier à la mauvaise haleine ! Le regard méchant vers la fenêtre, elle se releva et elle marcha à pas d'éléphant vers l'auberge. Elle entra, sarrêta sur le seuil de l'entrée et elle regarda les manants. Bande de mécréants ! Bande de raclures ! Bande de ! Elle s'arrêta en pensant qu'elle devait faire gaffe à sa santé et en pensant que l'ange serait là, d'un instant à l'autre. Elle s'avança vers le bar et elle attrapa l'argent de l'étranger. Elle se redressa et elle regarda le gland de travers.
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