Eusaias
Elle lavait appelé : « mon amour ». Le Balbuzard restait là, bras ballants à repasser dans sa tête ce qui sétait passé dans la pièce. Il était rentré en brayant, en se moquant et la provocant et elle lui donnait du : « Mon amour ». Il arqua un sourcil afin de montrer quil attendant la chute, car chute il y aurait, létincelle ne pouvait se laisser faire sans piquer à son tour. Ses enfants allaient létreindre, lapprocher la questionner, mais désormais son visage était dirigé dans la direction de celui rappelant un oiseau de proie. LItalie ? Florence ? Des peintres ? Elle fuyait le Balbuzard oui ! Puis ce fut
. un miracle !
Aléanore accroché à lui, comme quand ils étaient amoureux, comme à leur début. Et les bras du baron qui enlacèrent létincelle alors quelle se referme contre lui. Il ne préféra donner aucune réponse, sappliquant à lui caresser une joue dune de ses mains qui dhabitude nétaient que rudes. Ne rien dire, à quoi bon, il avait toujours été là quand elle lui demandait, il le serait encore. Les yeux de rapaces se fermèrent alors que la bouche appliqua un baiser sur le front dAléanore, puis sur la pommette sur laquelle son pouce venait darracher une caresse.
Je taime mon amour. Reste avec moi avec nous.
Ridicule ? Peut être, mais à ce moment cétait la chose qui lui venait à lesprit. Il aventura ses lèvres vers celles de lAlterac et les posa à la commissure des lèvres de la jeune femme. Le contact fut doux, mais il pouvait sentir la peine de la jeune fille. Dans ces cas là, certains restent spectateurs, dautre réconforte, le Balbuzard lui taquine afin de gagner un sourire et cest ce quil fit.
« Allons, Florence cest tout petit, cest ridicule, viens donc à Digoine, nous ferons venir tes artistes. » Osa-t-il avant de lembrasser pleinement cette fois.
Epousez-moi Aléanore Jagellon Alterac, épousez-moi où vous le voulez et nous irons tous où vous désirez. Mon amour, ma mie dites oui !
Il frôla du bout des doigts, les lèvres fines et délicates de la dame de Concèze, de Thiais. Que pouvait-il leur arriver, ils étaient pour la première fois tous les cinq réunis.
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Aléanore accroché à lui, comme quand ils étaient amoureux, comme à leur début. Et les bras du baron qui enlacèrent létincelle alors quelle se referme contre lui. Il ne préféra donner aucune réponse, sappliquant à lui caresser une joue dune de ses mains qui dhabitude nétaient que rudes. Ne rien dire, à quoi bon, il avait toujours été là quand elle lui demandait, il le serait encore. Les yeux de rapaces se fermèrent alors que la bouche appliqua un baiser sur le front dAléanore, puis sur la pommette sur laquelle son pouce venait darracher une caresse.
Je taime mon amour. Reste avec moi avec nous.
Ridicule ? Peut être, mais à ce moment cétait la chose qui lui venait à lesprit. Il aventura ses lèvres vers celles de lAlterac et les posa à la commissure des lèvres de la jeune femme. Le contact fut doux, mais il pouvait sentir la peine de la jeune fille. Dans ces cas là, certains restent spectateurs, dautre réconforte, le Balbuzard lui taquine afin de gagner un sourire et cest ce quil fit.
« Allons, Florence cest tout petit, cest ridicule, viens donc à Digoine, nous ferons venir tes artistes. » Osa-t-il avant de lembrasser pleinement cette fois.
Epousez-moi Aléanore Jagellon Alterac, épousez-moi où vous le voulez et nous irons tous où vous désirez. Mon amour, ma mie dites oui !
Il frôla du bout des doigts, les lèvres fines et délicates de la dame de Concèze, de Thiais. Que pouvait-il leur arriver, ils étaient pour la première fois tous les cinq réunis.
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