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Mère morte trop jeune à l'accouchement. Père mercenaire qui lui a fait don de ses cheveux bruns et de ses yeux d'aigle, que beaucoup trouvent en totale incohérence avec la gueule d'ange du jeune homme de treize ans, seul cadeau de sa mère en complément du peu de robustesse du gaillard.
Bien pour cela qu'il a fui le caractère sévère et déçu de l'homme de respect... Devenu juste voleur à la manque qui veut refaire sa vie.
Sa taille ? Voyons... Sachant qu'on est jamais un grand japonais nous dirons un mètre cinquante.
Vous direz : "Pourquoi Bokken ?..." Il vous répondra : "Père peut aussi se tromper... Je ne suis pas un Bokuto".
Le sabre de bois, qui évoque l'endurance... Dans un corps frêle... La vie débute par un paradoxe.
C'est à Usuki que le jeune homme tombe par sa fuite. Le temps et le travail l'amènent à bénéficier de quelques contacts, curiosité aidant, et c'est un paradoxe qui grandit avec la venue d'un sabre de bois sans fourreau à sa hanche dextre. Ses bottes en fin cuir ne le quittent que pour la cultures des terres et l'entrainement physique qu'il fait automatiquement malgré lui.
De plus, une rencontre bien étrange et unique lui fera pointer un nouveau sentiment qu'il n'aurait jamais cru : le plaisir d'enseigner son art... Enfin ce qu'il sait bien entendu.