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La Pastel

Neyco
Oui en effet je m'y essaie et je fais encore bien des erreurs que certain héraut doivent trouver monstrueuse mais bon. La motivation est la c'est certain. Je crois avoir vu demande en effet. Mais travaillant sur autre blason je ne m'y suis penchée que vaguement au loin, mais vu la complexité de celui ci je pense que noble héraut devrait plus a s'en charger ne connaissant encore tout les tenant et aboutissant de certain blason bien complexe.

Souriante grandement.

Je vous remercie a la bonne votre santat. Oh vous savez il ne sortira pas avant le mois du froid de décembre. J'ai encore du temps après tout patience est signe de vertus.

Mais dites moi votre épouse ne se trouve point en ces lieux?

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Aldindethau


Citation:
Mais dites moi votre épouse ne se trouve point en ces lieux?


En effet, mais vous devez savoir que ma mie s'est rendue au couvent pour une durée indéterminée en raison d'une grande fatigue morale. Je ne l'a voit que tres peu, les nonnes sont intransigeantes. Je m'occupe donc de notre fille Flora qui passe du temps avec sa prescriptrice.


Anatasie


La comtesse se retint de pouffer de rire au vu de la mine ô combien joyeuse du blond baron quand il les rejoignit.
Quand il demanda s'il était vraiment obligé d'être là, elle haussa un sourcil avec une moue amusé et le laissa saluer les autres... brièvement.
Puis Aldin arriva et la brune l'accueillit de son sourire coutumier, ravit de le revoir.


Merci Aldin, le voyage fut excellent ! Je suis contente de te voir. Mon mariage à lieu demain ! J'espère t'y voir !

Elle se tourna vers Orléans, et lui murmura en apparté

Orléans, j'ai là missive à votre attention ainsi qu'à celle de Montjoie...

Elle lui remit le plis et regarda à nouveau les autres présents.
Elle remarqua une demoiselle qu'elle n'avait encore jamais vu, mais qui étrangement lui rappelait quelqu'un. Elle semblait légèrement en retrait. La brune lui adressa un sourire bienveillant en guise de salue,puis son attention fut attirée par une nouvelle arrivée...

Intérieurement, elle pronnonça son nom "Béatrice". Son sourire s'agrandit à sa vue, étonnée et ravit de la revoir après tout ce temps.
Première rencontre avait été faite âme à nue pourrait on dire. Et elle avait un grand respect pour la fille de celui qui avait été le pillier central de Toulouse. Ainsi qu'une amitié qu'elle savait ne jamais oublier.

Elle s'excusa auprès de ceux qui étaient à ses côtés et se dirigea vers elle, sourire aux lèvres et yeux pétillant de joie.
Comme à ses amis et ceux chers à son coeur, elle l'aurait bien prit dans ses bras pour effleurer sa joue d'une bise légère, mais elle savait la réticence de la jeune duchesse à exprimer ce genre de chose, aussi s'arrêta-t-elle à sa hauteur, sans se départir de son sourire mutin.

Une inclinaison du visage avec très légère révèrence qu'elle ne pouvait retenir devant elle


Votre Grâce, je vous souhaite le bonjorn ! Je suis enchantée de vous revoir ! Sans faux compliment, vous êtes magnifique !

Sourire franc qui montrait sa joie de la voir

Votre voyage fut agréable ?

D'un très infime mouvement discret, presque imperceptible, elle fit signe à un des gardes postés non loin de là de préparer siège confortable au cas où Béatrice souhaiterait s'asseoir.
C'était plus fort qu'elle, faut l'dire. Elle ne cesserait d'être en sa présence, celle qu'elle était le premier jour. Même si elle avait apprit à tenir son rang.

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Cecilia
Tout commença par un échange de missive entre le Coms de Tolosa et la Pomme Dauphine, échange des plus intéressant enfin tout dépend pour qui. Le Coms tentait par de multiples ruses de faire venir sa cousine aux allégeances toulousaines si bien qu'il en fut réduit au bout de la dernière tractation à lui offrir des poneys mais pas n'importe lesquels, ceux ci avait été tout spécialement peinturluré en rose.

Pauvre poneys, le rose ça puait grave du boudin, m'enfin c'est l'attention qui compte. Le Coms n'était pas fou et savait parfaitement qu'écrire ce genre de chose ferait venir la jeune femme aux allégeances toulousaines. C'est donc ainsi qu'en cousine bien élevée, elle montra le bout de son nez à cette cérémonie, cherchant une tête connue autre que celle de son cousin. Se fut sa grand maman qu'elle remarqua de prime abord et qu'elle rejoignit aussitôt. La jeune femme fit une légère révèrence pour la saluer avant de prendre la parole.


Bonjorn Votre Altesse. Heureuse de vous revoir en ces lieux.

Une jeune femme qu'elle n'avait pas vraiment remarqué au début tant revoir la Castelmaure était important pour elle, se trouvait à proximité et tentait d'avoir les faveurs de l'Altesse Impériale.

Bonjorn Donà. Permettez nous de nous présenter, Cecilia von Wittelsbach-Frayner. A qui avons nous l'honneur ?
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Natale
"Bonjour", "Bonjour", "Bonjour", on restait dans... Comment dire... Le conventionnel.
Natale inclina légèrement le chef à l'attention d'Orléans, puis ses vassaux ou futurs vassaux. Tout de même heureux de retrouver là quelques membres des forces vives du Comté, ou bien des figures qui l'avaient façonné, ou pour le moins qui l'avaient également marqué lui aussi.
Regard circulaire à l'assemblée, il distingua sa promise, Lily qui était venu directement le saluer, la Duchesse de Nevers ainsi qu'à ses côtés sa petite Dauphine. Pauvres petits poneys, quelles traditions ont ces Lorrains.
A bien y regarder de plus près le Rabat de Toulouse se rendit compte qu'entre le papillon, le pastel et la teutonique son cœur, s'il en avait un, jouait les funambules.
Que de souvenirs et que d'avenirs.
La cérémonie n'a pas encore commencé il déambule encore un peu parmi les convives, une halte vers la fenêtre, il l'a regarde interdit, et finalement ne souhaite point la troubler plus. Quelle drôle de situation finalement. La main droite dans le dos, la gauche par le devant écrase dans le vent les mots qu'il ne dira pas à ce moment précis.
Il poursuit sa tournée et accoste les Comtesses et Duchesses.

- Bien le bonjorn à vous toutes. Je suis heureux que vous ayez fait la route jusqu'ici ma cousine.
Un sourire, laissant sa Dauphine faire connaissance avec la Comtesse de Lavaur, il inspire le parfum et admire sa vassale dans sa robe en blanc.
Ses deux mains saisirent chaleureusement celle de la pastel et firent le baisemain adéquat.

- Vous n'avez point changé ma Mie.
Mais déjà les trompettes sonnent à l'unisson le début de la cérémonie et le comte en noir d'effectuer le retrait stratégique, passage rapide devant Orléans.
- Je crois que nous pouvons commencer Votre Grandeur.
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Beatritz
Le sourire de la Comtesse de Lavaur, c'est ce qui montre bien qu'au fond d'elle-même, elle n'a pas changé depuis des années, et la noblesse l'a parée à la mesure de ses qualités, lui ajoutant sans rien lui ôter.
Béatrice appréciait Lily, autant pour sa bonté naturelle, que pour la conscience rare qu'elle avait de la noblesse, de la naissance, du sang, et de ce qu'on pouvait en faire de bien... ou de mal.

L'on détrompera peut-être Béatrice. En attendant, c'est ce qu'elle pense.


-« Votre Grandeur, ce sont pour des personnes comme vous que nous sommes heureuse de nous trouver ici ce jour, en dépit de la route longue, quoique sûre. Nous sommes ravie de vous voir, et vous félicitons pour vos fiançailles. Nous sommes sincèrement navrée de ne vous avoir répondu par courrier, mais d'autres affaires nous occupaient. »

Elle ne répondit rien au compliment, elle avait appris à les recevoir sans les remettre en cause, en dépit du poids qu'elle n'avait pas perdu depuis sa première grossesse, qui la rendait plus maternelle, dans une délicate opulence. Son ventre s'arrondirait bientôt à nouveau, et ainsi vit-elle d'un œil pétillant de nostalgie et de satisfaction le signe que fit la Comtesse de Lavaur pour qu'on lui préparât un siège.

-« Bonjorn Votre Altesse. Heureuse de vous revoir en ces lieux. »

C'était la voix de sa petite fille, désormais femme, immaculée, qui résonnait là à ses oreilles. Béatrice sourit. On finissait par oublier le « Sérénissime » qui indiquait l'absence de sang royale de ces altesses d'Empire. On l'oubliait, et c'était tout aussi bien, après tout.

-« Que le Très Haut vous garde, Cécilia. Nous vous présentons la Comtesse de Lavaur, Lily-Jane de Cognin-Franchesse Casaviecchi von Waldershut, également Dame de Labastide Saint Peyre et du Lauzet. »

Alors le Comte les remarqua, et vint à elles. C'est alors que Béatrice de Castelmaure-Frayner comprit pourquoi Cécilia était là. Bien sûr ! Comment n'y avait-elle pas pensé auparavant ?
Après un bref salut à ses deux interlocutrices, il s'avança vers elle, lui saisit les mains sans y avoir été invité, ces mains délicatement gantées de soie blanche, et exécuta un baisemain qui eût été parfait, s'il avait été demandé.
Mais peu importait à la Souveraine ; Natale lui avait donné son premier baiser, ce baiser qui avait tout changé. Désormais il pressait ses mains, avec des mots qu'elle ne chercha pas à savoir vrais ou faux. Bien sûr qu'elle avait changé.

Mais elle était toujours aussi altière, toujours aussi fière, et toujours aussi sensible au contact physique. Toujours aussi Béatrice.


-« Votre Grandeur... »
Rhân
Le maréchal avait salué les toulousains et autres nobles qui arrivaient et le saluaient. Il n'en connaissait guère. Aucun même semblait-il. La salle se remplissait assez rapidement des vassaux du comte et résonnait de plus en plus du bruit des discussions diverses entres les présents qui évidemment, eux, se connaissaient. Il fallait dire que le comté de Toulouse avait globalement beaucoup de vassaux, entre autre par rapport aux provinces voisines du sud. Et des nobles, il y en aurait encore des nouveaux.
Le vicomte d'Avize regarda tout cela un peu de loin puis se redressa et remit un peu d'ordre dans ses affaires quand le comte lui proposa de commencer. C'était en effet ce qu'il y avait de mieux à faire. Il faudrait de temps pour que tous puissent passer.


Bien alors allons-y

Et d'une voix plus forte pour couvrir les discussions de la salle :


Nobles de Toulouse ! Je vous invite à présent à venir devant le comte chacun à votre tour pour le serment d'allégeance.
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Sur ma bannière, vous voyez 3 gentils lapins dans un champs, hein?.. Bah vous avez tort
Beatritz
Le Maréchal déclara alors la cérémonie ouverte, et ce fut à ce moment que Béatrice le remarqua. Bien sûr ! Mais alors, la Dame de l'Escure...

Elle se poserait des questions plus tard. Le début de la cérémonie lui donnait un prétexte à s'avancer vers Natale et à s'incliner, attendant la question rituelle. Du moins était-ce ainsi qu'elle se rappelait devoir procéder en Toulouse, pour les rares fois où elle s'y était rendue en personne. Plus cérémonieux qu'en Bourgogne, plus...

Peu importait.
Raphael83
Le Chancelier Toulousain , après avoir traité les affaires courantes de la Chancellerie se rendit donc à la cérémonie d'allégences.

En arrivant il put constater qu'il y avait foule dans la salle. Tout ce beau monde discutait entre eux , en attendant le debut de la cérémonie.

Une odeur spécifique planait en ce lieu. Une qu'il connaissait parfaitement, une odeur de biscuit fraichement cuit. Raphael scruta l'assemblée et constata que Donà Neyco, était effectivement déjà arrivée. Ensuite une seconde odeur , qu'il n'avait pas l'habitude de sentir , une odeur plus enivrante....Ne serait-ce pas celle de notre renommé curé de Dijon ? Mais c'est bien celà, se dit-il en le voyant près de la Comtesse de Lavaur.

Avant de se mêler dans cette foule, il salua le Coms Natale d'un hochement de tête suivi d'un simple et respectueux:



Votre Grace...

puisque ce dernier était en train de faire le tour de cette assemblée en distribuant des
Citation:
"Bonjour", "Bonjour", "Bonjour"...


Il salua également "Orleans" à qui la charge d'officier cette cérémonie incombait

Bien le bonjorn Orleans et bienvenue en terres toulousaines. Que votre séjour soit des plus agéables

Ensuite le Senher de Revel se dirigea vers le groupe qui s'était formé autour de la Comtesse de Lavaur, groupe composé de Marc Aurèle, de Donà Neyco , de son Excellence Aldin de Thau, du blond curé de Dijon Senher de Mazère en les saluant également:

Bonjour Lily, bonjour à vous tous....Que de monde...

Raphael ne put terminer sa phrase qu'Orléans vint à dire à haute voix

Citation:
Bien alors allons-y


Nobles de Toulouse ! Je vous invite à présent à venir devant le comte chacun à votre tour pour le serment d'allégeance.
Natale
15 Septembre de l'An de Grâce 1458, journée à marquer d'une pierre blanche.
A vos marques, prêt ! Feu ! Partez !


- Hum
Il fut surpris ou plutôt même satisfait de voir la préséance revenir au goût du jour et pas qu'un peu. Il savait que pour le reste il aurait à faire, le morceau de parchemin restait soigneusement plié dans un repli de son vêtement.
Remonté sur la petite estrade toute tapissée pour l'occasion, il les dominait tous au moins d'un tête. C'est ainsi qu'il invita sa Dauphine à le rejoindre d'un signe discret de la main.

La Courone vissée sur ses cheveux d'or, le Comte en Noir regarda le début de la cérémonie se dérouler.
La Duchesse en blanc vint s'incliner doucement face à lui. Ô temps suspend ton vol, cela lui permit de se rappeler son impaire de la dernière fois, tellement il était troublé :" votre grandeur"...
Invitant alors la Comtesse à se relever.

- Votre Altesse...
Ton coulant, c'est le Sud qui s'exprime à travers sa voix. Il ne restait plus qu'à prononcer les mots magiques.
- Voulez-vous être tout à fait ma femme ?
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Beatritz
Elle redresse bien la tête pour répondre :

-« Oui, je le veux. »

Dans sa voix, il y a un accent qui vient plutôt du nord. Elle n'a jamais aimé le Sud. Presque jamais.
Elle n'a jamais porté son nom occitan, ou presque jamais : Beatritz. Non, c'est trop occitan, et si son père était Toulousain jusqu'au bout des ongles, et Bourguignon par opportunité et longtemps défaut de mieux, elle était tout l'inverse en la matière - une fois n'est pas coutume : Bourguignonne jusqu'au bout des ongles, Impériale par opportunité, et Toulousaine par le sang. A moitié, seulement. Italienne de l'autre moitié du sang.
Pour elle, l'occitan est une langue du peuple. Et pourtant, tout est charmant, dans les accents du Comte de Toulouse. Et pourtant, les Occitans qu'elle a déjà rencontrés n'ont parfois pas moins de noblesse, voire même davantage, que les cloches lorraines.
Natale
De là où il se tient il hume le parfum de sa chevelure.
Il prend une grande inspiration qui lui fait bomber le torse, laisse échapper l'air et abaisse légèrement le chef pour se mettre un peu plus à sa portée. Il aurait bien prit un chiantos pour le coup.
Les yeux dans les yeux, l'Occitan-Vénitien reprend la mélopée ô combien habituelle et pour le coup si agréable.

- Me jurez-vous de m'apporter aide, conseil, protection et fidélité ? Pouvez-vous m'assurer de votre présence à mes côtés, puis-je compter sur votre noblesse afin de poursuivre la réforme en nos États ?
Il se retient encore peu, à trop rapprocher son visage du sien il commence à sentir sa respiration à elle. Lui-même retient son souffle un court instant.
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Beatritz
Retenant sa surprise de ne pas encore avoir droit au baiser qui devait succéder, dans son souvenir, à la question rituelle, la Comtesse du Lauragais releva la tête, pour répondre son regard dans celui de son suzerain :

-« Natale Dario d'Ibelin » C'était le nom sous lequel elle l'avait connu. « Nous, Béatrice de Castelmaure-Frayner, Comtesse du Lauragais, vous promettons sur les Très Saintes Ecritures de vous offrir toujours notre aide, notre conseil, notre fidélité. Vous pourrez bien sûr compter sur nous et notre expérience pour vous apporter notre conseil dans la réforme de vos Etats en particulier. »
Natale
Il écoute ses paroles qui se perdent un peu dans son esprit. Son visage continu sa descente lentement alors qu'elle fini les derniers mots. Il va chercher une bouffée d'air, front à front, nez à nez. La peau tannée par le soleil et les voyages se frotte à la blancheur impériale.
Il boit ses dernières paroles comme il l'embrasse alors. L'index gauche relève doucement le menton de la belle pastel dans cet échange afin de suivre l'étreinte.
Toute la chaleur du sud dans un baiser inversement plus court que le moment fut intense.


La question que vous vous posez tous est : ont-il mit la langue ? Ah Aaaah !

Il relève le buste, retrouve son souffle et toujours en la mirant il reprend.

-Ahem hum... Sachez qu'en retour Nous, Natale Adriano di Foscari Widmann d'Ibelin, Treizième Coms de Toulouse par devant Sa Majesté, acclamé par les Toulousains et pour la Gloyre du Très Haut, vous accordons pour la durée de notre règne : Justice, Protection et Subsistance pour vos terres de Lauraguais.
Que cet anneau soit le gage de notre alliance.

Et le Comte de présenter l'anneau doré afin de le mettre au doigt de la Souveraine.
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Beatritz
    Saints do not move, though grant for prayers' sake.

    – Then move not, while my prayer's effect I take.*
    Thus from my lips, by yours, my sin is purged.

    – Then have my lips the sin that they have took.

    – Sin from thy lips? O trespass sweetly urged!
    Give me my sin again.

    – You kiss by the book.**

Ce baiser, et quoi que depuis ce premier qu'il lui donna lors de cette mémorable allégeance, elle en eut reçu bien d'autres - des baisers de paix ou des baisers de son époux, les premiers différents des seconds par la longueur, la passion et le mélange des corps - , provoqua en elle les mille frissons du souvenir, de l'échange et d'un sentiment violent étrange, de... l'interdit.

C'est alors qu'il prononça ses vœux, avant de lui prendre la main. Palm to palm is holy palmers' kiss.

Alors, elle s'inclina à nouveau.


-« Votre Grandeur... »

Puis se retira, cédant la place à la Comtesse de Lavaur que la préséance appelait.


*[En VF pour ceux qui préfèrent =) ]
**- Les saintes restent immobiles, tout en exauçant les prières. / - Restez donc immobile, tandis que je recueillerai l’effet de ma prière. Vos lèvres ont effacé le péché des miennes. / -Mes lèvres ont gardé pour elles le péché qu’elles ont pris des vôtres. / - Vous avez pris le péché de mes lèvres ? Ô reproche charmant ! Alors rendez-moi mon péché. / - Vous avez l’art des baisers. "Il y a de la religion dans vos baisers". ^^
De Roméo et Juliette, Shakespeare.
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