Adeline.
Alors alors, ooooooh, les magnifiques robes, des capes, des chausses, des poulaines, des mantels, des braies, des coiffes, des bas, des perruques !!! Des perruques ? Oulah, pas normal ça...faudra que je lui fasse un crêpage de chignon à l'occasion tiens...on n'est jamais sûr de rien, mais si même la chevelure est d'adoption alors là !
Hum bref, laissons nous tenter. Entrer dans la garde robe de Léonoria n'est pas une chose qui arrive deux fois dans une vie, du moins sur invitation.
Adeline cherchait ce qu'elle pourrait bien prendre avant de faire irruption dans le salon privé à nouveau, il n'était pas correct de laisser deux entichés seuls dans une même pièce, si près du boudoir en plus. Il ne fallait point tarder, mais le choix du vêtement était ardu. Prendre une trop belle étoffe montrerait au rouquin que sa jolie Vicomtesse avait un goût divin, mais prendre quelque chose de trop commun laisserait penser qu'Adeline n'en a aucun...Diantre que le monde est cruel parfois.
Amélie ! La bleue là ! Passez la moi je vous prie, et aidez moi. Les bas et les poulaines oui aussi.
Non pas ça ! Ãa c'est...mais qu'est-ce au juste ? Baaaaaaah un rat mort, bah mettez moi ça avec les chevelures postiches.
La brune sourit en coin...rooo c'était vache ça, m'enfin de bonne guerre aussi.
Habillée en vitesse, et laissant sa tenue de cheval entre les mains de la Damoiselle de compagnie, Adeline entreprit de rouvrir la porte, mais elle imagina bien que son apparition à cet instant causerait son départ sans délai pour ses propres occupations...aussi décida-t-elle de rester à écouter ce qui allait se raconter.
Mademoiselle ? Ce...ce n'est pas très correct vous savez.
Ah bah à qui le dites vous ! Rester seuls alors qu'ils ne sont pas même fiancés je vous jure.
Non mais...écouter aux portes...
Là Stauffacher se retourna avec un air des plus blasés sur le visage.
Amélie...taisez vous et sortez. Je ne veux plus jâmais vous voir.
Et la brune de se retourner, oreille collée à la cloison, laissant Amélie en plan, ne pouvant d'ailleurs pas sortir, à moins qu'elle connaisse une de ces entrées cachées que les domestiques ont pour habitude d'utiliser.
Hum bref, laissons nous tenter. Entrer dans la garde robe de Léonoria n'est pas une chose qui arrive deux fois dans une vie, du moins sur invitation.
Adeline cherchait ce qu'elle pourrait bien prendre avant de faire irruption dans le salon privé à nouveau, il n'était pas correct de laisser deux entichés seuls dans une même pièce, si près du boudoir en plus. Il ne fallait point tarder, mais le choix du vêtement était ardu. Prendre une trop belle étoffe montrerait au rouquin que sa jolie Vicomtesse avait un goût divin, mais prendre quelque chose de trop commun laisserait penser qu'Adeline n'en a aucun...Diantre que le monde est cruel parfois.
Amélie ! La bleue là ! Passez la moi je vous prie, et aidez moi. Les bas et les poulaines oui aussi.
Non pas ça ! Ãa c'est...mais qu'est-ce au juste ? Baaaaaaah un rat mort, bah mettez moi ça avec les chevelures postiches.
La brune sourit en coin...rooo c'était vache ça, m'enfin de bonne guerre aussi.
Habillée en vitesse, et laissant sa tenue de cheval entre les mains de la Damoiselle de compagnie, Adeline entreprit de rouvrir la porte, mais elle imagina bien que son apparition à cet instant causerait son départ sans délai pour ses propres occupations...aussi décida-t-elle de rester à écouter ce qui allait se raconter.
Mademoiselle ? Ce...ce n'est pas très correct vous savez.
Ah bah à qui le dites vous ! Rester seuls alors qu'ils ne sont pas même fiancés je vous jure.
Non mais...écouter aux portes...
Là Stauffacher se retourna avec un air des plus blasés sur le visage.
Amélie...taisez vous et sortez. Je ne veux plus jâmais vous voir.
Et la brune de se retourner, oreille collée à la cloison, laissant Amélie en plan, ne pouvant d'ailleurs pas sortir, à moins qu'elle connaisse une de ces entrées cachées que les domestiques ont pour habitude d'utiliser.