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[RP]"Pour Dieu, le Roy et le Périgord Angoumois"

Frah
Passer en ville lui demandait beaucoup d 'effort depuis un certain temps....

L'agitation concernant encore une guerre était partout...
Mais cette fois ci , elle ne pouvait faire ce qu'elle aimait...

Elle ne souriait plus....Frah repartie doucement...

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*La confiance est une chose rare....*
Luaine
[Sous la tente de commandement]

Contre toute attente, le Vicomte s'avança pour lui baiser la main. La brune ne peut réprimer un long sourire évocateur. Il se permit une ravissante remarque sur sa tenue et il évoqua son passage à Biron.
Un bref instant, elle se revit au château laissant sa main dans la sienne en le regardant.

Monseigneur, je garde encore un souvenir inébranlable du bal que vous avez donné. J'ai eu la chance d'avoir un bon cavalier lors de ce....

Elle lui sourit à nouveau.

....de mon unique bal en ce comté. Vous pouvez vous targuez d'avoir été mon seul et unique cavalier et ma seule distraction.

Le ton du Vicomte se fit moins tendre en songeant aux conflits. Elle acquiesça.

Il faut voir le bon côté des choses. A tout chose, malheur est bon.

Elle gardait en elle le contentieux qui la rongeait depuis longtemps contre les dirigeants angevins. Intérieurement heureuse de pouvoir peut être se venger. Cette idée n'était pas très Aristotélicienne mais elle était si douce cependant.

Le baron prit la parole et la présenta au reste de l'assistance à savoir le fameux père Franck.


Ooh c'est donc vous. Je suis ravie de faire votre connaissance mon père.

C'était donc un homme.....
Elle se retourna sur Louis.


Emérite?

Elle émit un léger rire qui résonna parmi les voix graves.

Mes faits d'armes n'ont pas encore prouvé ma valeur. Messire est bien gentil avec moi. Je crains fort d'avoir encore à faire mes preuves. Mais qui sait, bientôt je pourrais siéger avec vous comme un chef de guerre.

Elle lui lança un sourire conquérant et un regard ambigu de ses prunelles émeraudes, quand le fatidique "rompez" se fit entendre.

Son buste s'inclina de nouveau avec respect. Sa main écarta une mèche ébène qui s'était plantée devant son visage dans un geste féminin qui tranchait avec la tenue.

Messires!
Mon père!


Un bref regard fut poser sur Louis puis un dernier sourire à Biron avant de repartir de la tente afin qu'on lui montre "ses appartements" de campagne.
Elle croisait les doigts pour ne pas être avec un veau puant qui suintait des pieds.

Devant la tente désormais fermée, elle marcha jusqu'à son frison, pour y enlever sa selle et ses affaires. Avant toute chose, il fallait qu'elle s'occupe de son frison. Un bref regard lancé vers le ciel avec une pointe d'inquiétude pour son épervier Lux qu'elle n'avait pas revu depuis deux jours.

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Franckshinatra
Comme les arrivées incessantes ne cessaient - donc ! - et que le vicomte aux ordres du beau teuton semblait ne pas vouloir lui répondre, le blond diacre... non... le fier aumônier se tourna vers cette foule en armes...

Le beau chevalier lui présenta une dame... Diable, si on pouvait passer cette saillie vocabulesque au diacre, elle ressemblait à un homme ! Mais, bon... Le noir de ses cheveux pouvait faire illusion, un instant. Le maigre prélat eut une pensée pour sa grande bringue de fille brune... Ou était-elle donc ? A ce moment où la guerre menaçait ?

Comment cela, c'était donc lui ? N'avait-il pas tous les attributs d'un homme de Dieu ? Mais la fille avait plus de presse de se rendre sous ses toiles, que de poursuivre... Le blond afficha donc un sourire courtois, et replaça sa mèche, en silence. Mais elle aurait de quoi entendre, plus tard...

restait, plus loin, une comtesse, aussi vive que lors de ses interrogatoires, et ce molosse bordelais qui arrivait... Que présageait tout ceci ?
Arthas_menethil
Un homme à l'allure peu soignée saisi fermemant Arthas par l'épaule lui aboyant dessus et sans même avoir eu le temps de répondre, l'homme le rejetta brusquement de son passage, l'appelant "gamin"...

Sans arme, Arthas ne peut réagir; le gaillard ne savait pas ce qu'il disait, il ne connaissait pas son passé c'était certain... en même temps, comment aurait-il pu le savoir...

Arthas se contentat de cracher par terre en maugréant


sobaka

Avant de continuer sa route de fort méchante humeur
--Stanislas


Le gosse se laissa emmener, alors qu'il devait guider... et bien, ça promettait cette armée de pouilleux ! Le dogue suivit - en fait , c'est lui qui menait la danse !

Mais il fallait encore que le gamin annonce sa présence au capitaine... Saurait-il ? Avec ses belles froques ? Le dogue sourit un bref instant, imaginant que le damoiseau avait de quoi répondre à l'expérience. Il crachait ? la belle affaire... L'humeur de saison en était sans doute responsable...

Dépêche toi... les soldats lents m'agacent ! Et ton capitaine m'attend !

Le molosse ricane, sans afficher l'once d'un sourire... Glaçant... vieux briscard... Aucun état d'âme envers les petites en armures...
Vonafred
Le regard du Baron se posa sur une bien étrange paire de soudards.
Un soldat visiblement désarmé bousculé par un spadassin à la mine des plus inquiétantes.L'un portait armure de simple facture et péstait comme un diable, l'autre aboyait tel un dogue furibard.

Le Père Franck à leur vue blanchit legerement.

-De vos amis mon Père ?

Le Baron fit quelque pas en avant et héla les duétistes improbables.
-Hola soldats, approchez donc et faites vous reconnaitre.

Un regard entendu vers Cyrus, on ne savait point à qui on avait à faire...La vie du Baron valait son pesant d'écus chez certain malfaisants notoires.
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Arthas_menethil
Arthas salua le Sénéchal Vonafred en arrivant près de lui bousculé par le soudard

Bonjour Sénéchal Vonafred, recrue de Sarlat Arthas; cet... il se reprit il allait dire "choses"... homme...demande à vous voir je pense
--Stanislas


Il avait dit son nom, le gamin... Bien ! Le vieux soldat le repoussa, vers l'arrière, en plongeant son regard dans ses yeux.

Recrue de Sarlat Arthas, retourne t'occuper des mules ! Tu y seras plus efficace !
Me mener ici, alors que tu ne me connais devrais te faire rougir de honte... Allez, laisse les soldats ensemble...

Le dogue de Bordeaux fit face aux officiers, sans plus considérer le jeune incompétent. Montrant avec ostentation que ses mains étaient libre, et se tournant un peu, pour montrer que son épée était au fourreau, le vieux briscard inclina la tête, militairement.

Sénéchal, je suis Stanislas. Je suis venu proposer mes compétences... Mes états de services sont sans tache, contrairement à mes vêtements. Mais sachez, Capitaine, qu'il ne s'agit que de souillures hérétiques !

Une sorte de ricanement froid... et un regard vers le prélat.

Bonjour, mon Père...

Il n'ajouta rien de plus. ce n'était pas le moment pour tailler la viande avec le prêtre. Mais s'il était là, alors Dieu était du bon côté, cette fois encore !
Arthas_menethil
Arthas refis un pas pour se positionné à côté du lourdeau bordelais en lui disant...

Quand vous serez dans l'armée du Périgord-Angoumois vous pourrez me dire ce que je dois faire en attendant je ne reçois d'ordre que des membres plus gradé que moi dans cette même armée...

Quand à vous avoir amené, si vous hétiez un briguand ou un assassin aussi terrible que vous le sembler vouloir faire paraître être bon soldat, vous ne seriez même pas arrivé jusqu'ici vivant; les services de sécurité vous aurrais déjà stopé et puis...vous ne tueriez qu'une petite recrue qui doit aller garder les mules et non un Sénéchal...


Puis refit fasse au Baron Vonafred en attendant ces ordres
Hector_
Revenu il y a peu de Rouergue, il n'aura donc pas pu rester bien longtemps à Sarlat, un nouveau voyage l'attendait. C'était la première fois qu'il allait pouvoir combattre pour le Périgord, il faut dire que celui ci n'est pas si souvent en guerre.

Hector appréhendait un peu, il connaissait les bretons de réputation comme de vrais barbares. Mais il était sur de sa force et déterminé. Une fois les premiers bretons tués, il perdra tout doute, il en était certain.

L'heure du grand départ allait bientôt sonner, il se dirigeât donc vers le campement de l'armée du Périgord. Il s'approcha du premier soldat qui croisa sa route à l'approche du camp.


Excusez moi soldat, à qui et où doivent se présenter les volontaires pour la Bretagne?
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Un seul talent, un seul destin...prendre des vies.
Vonafred
Les deux hommes se firent donc connaitre...
Le Baron ésquissa un léger sourire de circonstance.

Répondant au salut du soldat Arthas.
-Soldat, vous devez prendre vos ordres du Capitaine Virginia.
Demandez lui à être affécté dans mon armée, je ne pense pas qu'elle s'y opposera.
Je commande le Ban formé de la noblesse du Périgord Angoumois, mais je prendrai avec moi tous les braves qui le souhaiteront...
Vas voir ton Capitaine Soldat et reviens moi...Tu peux disposer.

Croisant les bras,le Dublith dévisagea le dénommé Stanislas.
-Je connais vos états de service...Et sachez qu'à mes yeux, les souillures hérétiques qui ornent votre habit sont plus honorables que la dentelle de bien des parures de matamores.
Sourire carnassier.
-Voyez mon Ordonnance Cyrus, nous vous trouverons emploi parmi nous n'en doutez point.
Un aide de camp salua le Sénéchal....
-Le Sénéchal Schumif, vous transmet ses salutations et vous fait dire qu'il arrive à Sarlat avec cinq de ses hommes.
Le Baron se frotta les mains.
-Faites lui dire que je l'attends...

La garde rapprochée était presque au complet, le Père Franck bénissait, Cyrus et Luaine rongeainet leur frein, Schumif était en approche, Paul et Louanne arrivaient...
Les féstivités allaient pouvaient commencer, il ne manquait plus que le Comte et la levée du Ban...

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Arthas_menethil
Arthas salua à nouveau le Sénéchal et se retira prendre ces ordres en caserne

Sa sentait l'activité pour l'armée Périgourdine très prochainement... et Arthas était plus que fière d'en faire partie


Suppression du post en doublon
{CC}
Luaine
[Dans le campement]

La tente de commandement n'arrêtait pas de se remplir. Il arrivait des soldats, comme des civils de tous les côtés. A croire qu'elle était extensible.
Une nappe bleutée au dessus de la tête à perte de vue, sans y voir le moindre rapace. La brune soupira en pensant que son épervier reviendrait bientôt. Elle espérait tant. Son cheval et son épervier étaient ses plus vieux amis. Amis....étrange appellation pour des animaux et pourtant ils l'avaient bien souvent soutenu comme des amis.

La centaure rejoignit son frison et lui ôta le paquetage et la selle. La paume de sa main glissa sur la robe ébène parsemés d'écume de sueur. Elle tira sur la courroie de la bride pour l'amener à un point d'eau. Elle se déchaussa et entra dans l'eau fraiche d'un ruisseau. Son pied envoya des gerbes d'eau fraîche sur le pelage de l'animal qui semblait boire tranquillement. Mais elle savait qu'il aimait cela.
La bride fut attachée ensuite à un arbre à quelques centaines de pieds de la tente attribuée.

Elle ramena la selle devant celle-ci et ses yeux se portèrent un peu sur le reste. Quelques groupes s'étaient formés dans les allées entre les tentes. Il y avait ceux qui affutaient leur épée avec passion ou en profitaient pour se mesurer les uns aux autres, ceux qui préféraient défier l'église en jouant aux dès en hurlant et riant avec quelques alcools. Elle sourit en pensant au curé blond androgyne, qu'elle avait croisé. Elle l'imagina psalmodiant des couplets de paroles divines pour les désenvouter de leur vice aux jeux.

La brune regardait la vie du camp. C'était la première fois qu'elle était basée sur un aussi gros. Les mains sur les hanches, elle se demandait pour combien de temps encore ils fouleraient le sol du PA.
Un attroupement d'hommes arriva en beuglant avec un rapace dans les mains transpercé par une flèche. Ses yeux se plissèrent comme pour mieux voir et elle reconnu Lux, son épervier. Le jeune crétin, qui le tenait, faisait l'apologie de sa dextérité.
Les viscères de la brune se nouèrent et elle marcha vers lui d'un pas décidé. Face à lui, son poing se ferma et s'abattit sur le visage de l'homme qui tenait son épervier.

Il tomba sur son séant et se retint avec son coude. Son regard d'abord hagard se fit noir. Il toucha sa bouche pour y voir un filet de sang. Elle n'eut pas le temps de réagir qu'il se leva et fonça tel un bouc dans son estomac, la tête la première, l'agrippant par la taille.
Elle partie, telle un boulet, en reculons, pour atterrir dans une tente, qui s'effondra sous elle. La chute fut rude mais pas autant que le poids de son assaillant qui tentait à présent de l'étrangler, assis sur elle, non sans lui avoir coller une droite en direction son oeil.
La centaure se débattit. Elle lui asséna des coups sur la tête à répétition mais les quolibets à son encontre, quand la jeune femme lui en asséna une bonne, l'avait rendu un brin énervé.

Luaine sentait ses yeux commencer à vouloir sortir de leur orbite. Les coups ne portèrent pas leur fruit alors elle adopta la méthode système D.
Ses griffes se plantèrent sur ses oreilles et elle tira de toutes ses forces. Il meugla et d'un coup de reins, elle roula sur lui.
Ils avaient changé les rôles. Elle était à son tour assise sur sa poitrine à le frapper avec violence. La brune avait bloqué ses bras avec ses genoux repliés et savourait de voir du sang couler sur le visage de l'homme qui avait tué son Lux.

Soudain, elle se sentit levée dans les airs et essaya de se dégager mais en vain.

IL A TUE LUUUUUUX.... IL A TUEEEEEEEEeeeeee!!!!

Ses cheveux longs et noirs virevoltaient tellement elle s'agitait.

Chuuuuuuuut calme toi....T'vas t'faire envoyer au trou.....Arrête de gigoter.

On dirait une diablesse!!!

Deux soldats l'avaient prise en poids et l'amenèrent plus loin.
Passé le coup du choc, celui de la colère. Elle en était au stade de la peine et arrêta de se débattre pour pleurer. Les deux hommes la lâchèrent et elle tomba sur l'herbe à genoux.
Elle porta ses mains pour cacher son visage quand celui-ci vint se caler sur ses genoux. Des larmes coulèrent.
Lux était un cadeau de sa défunte mère pour son treizième anniversaire. Elle l'avait affaité peu à peu pour en faire son fier rapace, capable de chasser pour elle.
On avait vu alors une fillette courir avec un oiseau dans les campagne dauphinoise.
Mais tout cela était terminé.
Ils étaient amis depuis presque dix ans et tout était fini.
Ceci était il un mauvais augure pour leur prochain départ?

Les deux hommes s'étaient éloignés, la prenant peut être pour une folle. Elle se leva et partie à toutes jambes voir Bacchus.
Une fois arrivée au bord de la rivière, elle attrapa par l'encolure et posa sa joue contre le pelage du cheval.

Lux est mort....On ne le reverra plus Bacchus!!!

Des images lui revint en mémoire, sa mère....le voyage depuis Lyon jusqu'en Bretagne avec son cheval et son épervier.....tant de temps déjà!!!!

Les soldats n'étaient pas encore partis en pleine campagne que l'oeil de la brune virait déjà au bleu.

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Vonafred
Le propre d'un chef d'armée est de tout savoir...
Un aide de camp vint lui souffler mots aux oreille...
Le Baron ne pouvait pas quitter l'assemblée et son état Major de fortune.
Il donna ses ordres à voix basse, l'aide de camp laissa échapper un...

"Votre verbe est mon ordre".
Ce furent les seuls mots échangés.
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--Aide_de_camp



Les lubies des Sénéchaux...particulièrement celles du Baron étaient à prendre au sérieux, le reitre en savait quelque chose...
L'Aide de Camp, fila vers la tente du Dublith, et en ressortit avec une paire de Faucons...

Il lança un écu en l'air et fit ainsi le choix du mâle.




A un garde qui s'approcha, curieux de le voir agir ainsi il rétorqua...-
-Raus...maraud, zervice du Baron.
Portant délicatement le volatile sur son gantelet de cuir, l'homme erra un instant dans le camp avant de trouver celle qu'il cherchait.

Il se planta devant la Dame et lui dit simplement...
-Fräulein Von Walsh Montfort...De la part du Baron de Zégonzac.
Il déposa le volatile, salua et se retira en maugréant.
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