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[RP]"Pour Dieu, le Roy et le Périgord Angoumois"

Luaine
La douce voix du Sénéchal dit Der große Kommandant, résonna dans le camp.
Il n'y avait pas à dire c'était un accent chantant.
Ils devaient ranger celui-ci comme si personne n'avait jamais stationné ici.
Eteindre les feux, enlever toutes traces de leur passage, plier les tentes et harnacher leur destrier. Ils s'affairèrent tous comme un cohorte de petites fourmis.

La brune boitillant un peu, avce un oeil au beurre noir, s'activa aussi. Elle aida à plier les tentes et alla prendre Bacchus. Elle lui mis sa selle sans oublier de mettre un chaperon sur la tête de Licht son nouveau rapace.
Prit par la bride, elle l'amena entre les tentes pour remplir les sacoches. Quelques denrées, sa pharmacopée et son bataclan pour guérir.
Son épée fut tirée de sa ceinture pour un examen et placée dans le fourreau de sa selle.
Elle prit son écu et le mis dans son dos.

Tout avait l'air prêt pour le départ. Elle attendait son ami de longue date, un Limousin qui avait pris le parti de prêter son bras pour le Comté du PA et pour prendre soin de la brune.

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Cyrus
Cyrus aux ordres de son séneschall, à un sourire. L'Armée va s'ébranler. Cyrus demonte sa tente, eteint les foyers, demonte la tente de commandement. Il plie tables chaises et lits, ammene les oriflammes qui flottaient devant la tente d'état Majors
Il roule tenture et couverture tout est ranger en ordre dans une charrette. Le percheron y est attelé et le tout confié à un soldat qui suivra la troupe.

Seul reste planté dans le sol, pour le moment l'etandard du Baron, chef de l'armée "Pour Dieu, le Roy et le périgord". Il sera roulé juste aprés la bénédiction de l'Armée par l'aumonier, juste avant que les hommes montent sur leur monture.

Il selle son baudestrier, verrifie l'Armachement, serre les sangles. Verifie qu'il a les cartes dans les fontes.

Au bout de sa lance, il accroche la flamme du Baron, plus legère que l'étandard. il coince cette lance sur la selle. Le fanion ondule au vent.

Son Bouclier au couleur de l'Ordre Teutonique est attaché pour le moment au ponneau de la selle.

Maintenant, il parcourt le camps, aidant les uns, conseillant les autres. voyant que tout se met en place rapidement, il s'approche du Sénéchal:

Mein Landmesister, l'Armée est prête à la manoeuvre. nous attendons la Bénédiction de l'Aumonier et vos ordres de marche
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Gueldnard
Gueldnard venait d'arriver au campement. Il laissa sa monture paître un peu à l'écart. S'avançant dans le campement, il regoûta progressivement à cet atmosphère si particulière. Le brouhaha incessant d'hommes en train de parler, des lames qui s'entre choqué et de la tension palpable qui rendait l'air que l'on respirait si particulier. Un sourire parcourra ses lèvres pendant que ses yeux balayaient le camp. Se trouvant un petit coin tranquille, le blond s'assit confortablement. Son fourreau dans les mains, il sorti son épée et la posa près de lui. Son fourreau dans les mains, il le graissa méticuleusement ne préférant rien laisser au hasard. Il aimait prendre soin de ses armes. Un voix retentit dans son esprit le ramenant quelques années en arrière « Première leçon, un bon guerrier doit avant prendre soin de ses armées. Ses armes doivent être le prolongement de son corps et l'on doit les traiter comme tel. » S'étant occupé de son fourreau il le posa à la place de son épée et pris cette dernière en la tenant droit inspectant la lame. Quelques petits accroc du au choc avec une épée. Le Limousin parcourra sa lame de sa pierre à aiguiser afin d'éliminer la moindre imperfection laissant ainsi sa lame prêt à mordre la chair.

Ses armes prêtes l'homme sombra dans ses pensées, ses raisons de sa venue ici, les questions commencèrent à s'enchaîner lorsque le rassemblement sonna.

Il monta sa jument et chercha des yeux Luaine. Il n'était pas venu ici pour effectuer une mission, non, c'était bien plus que ça. Il s'était promis de protéger son amie quoi qu'il arrive. Arpentant les allées du campement à sa recherche. Un peu plus loin, elle était déjà prête. Gueld se porta à sa hauteur adressant un sourire à son amie.

Bonjour toi.

Remarquant son oeil au beurre noir, son sourire s'élargit.

Dis moi, c'est sympa ce que tu as à l'oeil. C'est une peinture guerrière ou alors un artifice pour séduire les hommes?


D'un oeil vif et précis, il inspecta Bachus. Ces longues chevauchées sur les terres Bretonnes lui revinrent en mémoire.

Alors, me vlà à tes côtés dans l'armée avec pleins de soldats pingouins. Je sais pas pour toi mais j'ai hâte que ça commence.
Emardeche
Ema entendit du mouvement en dehors des tentes, elle sortit la tête de la devanture et vit que les hommes et les femmes se regroupés.

Elle entendit le senechal Vonafred criait de prendre les armes et de rejoindre les lances.

Elle prit son bardat et rejoint les rangs de son mari, en attendant de voir la suite des évenements.

Une foule se rassemblée au centre des campements, tout se passait dans le silence et rapidement.

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Luaine
Les mains sur les sangles de Bacchus a tirer et à fixer, le visage presque sous le ventre de l'animal, la jeune centaure entendit une voix discernable.
Elle sourit avant même de remonter son buste. Ses bras vinrent se croiser sur la selle de son destrier. Ils étaient de part et d'autre de son cheval, elle lui fit un clin d'oeil.


Et bien c'est maintenant que tu arrives. Bien joué!!! Comme ça tu n'as pas eu à m'aider à tout ranger. Trop malin!!!

Elle se mit à rire quand il vit son oeil amoché.

Oui c'est une nouvelle technique pour alpaguer les hommes, ils sont fous des femmes en petits bouts. Un oeil comme ça fait très odalisque. C'est très féminin et je me sens très séductrice avec une trogne comme ça.

Son rire résonna aux alentours.

Enfin, là....Je suis en tout cas rassurée. J'avais peur que tu ne te perdes à la caserne quand je t'ai laissé. Mais après tout, un grand voyageur comme toi ne doit pas se perdre au PA....Je me serais moquer pour les dix prochaines années. Si tant est que je survive à cette bataille.
Et ta vieille carne? Tu l'as mis où?
je sais que tu viens pour faire ma garde rapprochée mais je pense qu'à deux sur mon frison, il risque d'aller moins vite...


D'un geste machinal, elle se noua ses longs cheveux ébènes avec un lacet de cuir. Souvent, depuis son oeil, elle faisait tomber une mèche dessus pour le cacher un peu mais ils partaient pour la castagne et pas pour un rendez vous mondain.

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Franckshinatra
Le Herr Kanzler, sénéchal, avait hurlé ses ordres, comme à son habitude. Le Très Haut savait que la brindille humaines 'attendait toujours à ces volumes plus que sonores, mais à chaque fois, il ne pouvait s'empecher de sursauter. La fin de la récréation étant sonnée, le religieux sortit de sa tropeur pensive et contemplative de ce qui se passait dans ce camps, et il s'avança, lui aussi. L'intendant était déjà là, lui aussi, à attendre la bénédiction.

Louis, fils aimé du Très Haut, est-ce le moment de... Enfin... Bénir tous ces volontaires ?

toujours un pas derrière le sénéchal, au cas où de plus costauds tenteraient de se jouer de sa faiblesse, il parlait d'une voix à peine audible... IL ne voulait pas commettre d'impair, pour sa première guerre. La guerre... Par la sainte relique confié à Périgueux... Saurait-il, lui, le pauvre fagot, faire ce qu'on attendait de tous, ici ? Il se signa avec ferveur...
Vonafred
Citation:
Louis, fils aimé du Très Haut...

En guise de réponse, le Sénéchal s'agenouilla aux pieds du Prélat.
Tounant la tête il hurla.
-Sodats, recommandons nos âmes au Très Haut.
Il joigit les mains et tel un enfant attendit le verbe du Padré.
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Benduguesclin
La brume se dispersait lentement sur le campement et la douceur des rayons de soleil automnal tranchait avec le froid du petit matin.

Après une bonne nuit de repos, l'accrochage avec l'aumonier ne l'avait pas empêcher de dormir, BenDuguesclin commença à s'équiper avec l'aide d'un jeune écuyer.
Sa fidèle épée avait été remise en état par le forgeron du camp. Son bouclier aux armes de Biron était flambant neuf, le précédant ayant été défoncé par une hache ennemie en Berry.
L'épaule du Vicomte conservait d'ailleurs les stigmates de cette blessure qui lui donnait encore aujourd'hui du fil à retordre parfois, le matin au levé particulièrement les jours humides d'hiver.

Equipé de pied en cap, rutilant comme un écu neuf, BenDuguesclin regagna l'emplacement dévolu à sa lance. Il salua au passage Louanne et Ludo qu'il n'avait pas revu depuis la cérémonie d'annoblissement de la dame de Montaut, demandant des nouvelles du domaine et des gens.
C'est Louanne qui avait gardé Biron lors de la dernière mobilisation. Mais celle-ci participant aujourd'hui, le Vicomte dut se résoudre à confier son domaine à son jeune secrétaire, Martin. Le Vicomte espérait que la charge ne monterait pas à la tête du jeune homme, dévoué et sérieux mais qui parfois montrait un zèle... qui pouvait attirer des ennuis.

En cette période où les frictions entre le Ponant et les alliés du Roy redoublaient, BenDuguesclin n'oubliait pas non plus que son domaine se situait à proximité immédiate de la Guyenne. Jadis dangereuse par ses brigands elle l'était aujourd'hui, par l'Alliance du Ponant et une force potentielle qui constituait une menace plus importante encore.

BenDuguesclin salua quelques anciens amis sur le chemin, fit un petit signe de la tête à Luaine et regagna les rangs de sa lance.

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Emardeche
Ema avait vu arrivée le père Franckshinatra, elle se doutait qu'ils allaient avoir une bénédiction.
Elle s approcha de lui et vint lui dire bonjour en souriant
.

Bonjour mon père, heureuse de vous voir.

Elle regagna son rang lorsqu'elle entendit le sénéchal crier.

-Sodats, recommandons nos âmes au Très Haut

Elle posa un genou a terre, et baissa la tête en attendant la suite des evenements.
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Franckshinatra
Le prélat osseux inclina la tête avec religiosité devant la dame qui arrivait et qui, sans qu'on ai besoin de lui assener un coup derrière la nuque, plia le genou. Tout n'était donc pas perdu ? Mais le blond voulait attendre... Au moins un ! Et celui-ci n'avait aucune alternative !

Pour donner un peu de temps au retardataires, l'aumônier blond leva une main, à la fois fine et forte de sa sainte mission. Puis, paume ouverte, pausa un instant sur le peu de présent, en commençant par le Herr Kanzler. Puis, le soldat qui avait sourit en arrivant. Qui d'autre ?

Qui d'autre ?
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