Afficher le menu
Information and comments (1)
<<   <   1, 2, 3, ..., 14, 15, 16, ..., 58, 59, 60   >   >>

[RP} Eglise paroissiale de Rieux - Plou Reoz

Einigriv
Tellement bien réveiller la brunette, qu'elle n'avait même pas fait attention à la présence de la petite Éloïse.
Comme chacun, quand elle percuta enfin, et qu'elle se leva, elle fut surprise de ne voir qu'une des jumelles, mais n'en rajouta pas Eve semblait déjà inquiète, rien ne servait d'en remettre une couche.
Elle s'approcha donc un peu plus près pour rencontrer la petite, petit rayon de soleil blond au milieu de l'église bien sombre, vu le temps du dehors.


Et bien Eve, telle mère telle fille dirait on.


* léger sourire *

Nous parlerons plus longuement à la fin de l'office pour l'heure, soyons attentifs.


Elle retourna prendre place, attendant le début de la messe.
_________________
Passionpomi
J’adressais un sourire à Eve, cachant mon inquiétude également…
Le moment était venu de retourner près de l’Autel. Le dos tourné face à l’assemblée j’en profite pour prendre entre mes doigts la médaille aristotélicienne qui orne mon cou. Un regard rapide vers celle-ci, un baiser, avant de la serrer en mon poing. Un léger soupire avant d’enfin me retourner vers les rillettes… Ils sont venus nombreux…


Mes amis, soyez les bienvenus en notre église paroissiale. Regardez, ce jour, nous sommes nombreux ! Je vois des familles entières, certains même que je ne connais pas, des enfants, des amis et cela me fait chaud au cœur. Pas pour moi bien entendu car je me doute bien que votre présence ici n’est pas de mon fait, mais plutôt le signe que notre famille aristotélicienne s’étend et renforce sa foi. Voyez vous, certains parmi nous aujourd’hui, sont baptisés, d’autres pas. D’autres encore viennent par curiosité ou par envie d’apprendre et chacun a sa place ici. Car quelque soit l’étape de notre vie où nous nous trouvons, elle participe à motiver nos choix d’avenir. Je regrette de constater l’absence de certains visages… Et je ne puis que craindre celui à qui ces personnes, qui parfois occupent un rôle important dans notre société, ont confié leur foy… Essayons de les emmener avec nous, de les ouvrir à l’Amour et à la Vertu…

Et avant de commencer cet office j’aimerais vous parler d’un souhait, celui de connaitre chacun d’entre vous… Oh bien sûr, pour la plupart, nous nous croisons en taverne, en ville, à la mairie à l’église… Mais je me rends compte que je ne sais pas grand-chose de vos expériences face à la foy. Je vois certaines réticences, et même des craintes. Parfois des gens qui aimeraient prier mais qui ne savent comment faire… Je vois parfois de la rancœur également… C’est pourquoi après cet office ou au moment qui vous semblera le plus opportun durant cette semaine, j’invite chacun d’entre vous, si vous en éprouvez le besoin, à venir me rencontrer afin de m’en parler, sans langue de bois…


Mais en attendant, ensembles, confessons nos péchés.



Je laissais le temps à chacun de se recueillir et de faire le point sur les péchés inavoués en espérant que cette reflexion les mènent tout droit à confesse. Puis reprenant un air un peu plus grave je repris ma place derrière l’Autel.

O Seigneur Tout Puissant, Créateur de l’Univers, protège tes enfants, veille sur Elizabeth dont l’innocence mérite le temps de s’ouvrir sur le monde. Epargne à ses parents l’inquiétude qui les afflige aujourd’hui et permet lui comme à sa sœur d’arborer très bientôt d’aussi jolis sourires.
Einigriv
Elle écouta Passi et sentit dans sa voix une pointe d'émotion de voir tant de monde réuni ce dimanche.
Elle ne put que sourire, puis elle se recueillit à voix basse.


Je confesse à Dieu tout puissant,
à tous les saints,
et à vous aussi, mes amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous et les saints,
et vous, mes amis,
de prier le créateur pour moi,
que le Très Haut vous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

_________________
Marcus54
marcus pria et récita en silence la priere

Je confesse à Dieu tout puissant,
à tous les saints,
et à vous aussi, mes amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous et les saints,
et vous, mes amis,
de prier le créateur pour moi,
que le Très Haut vous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.
_________________
Passionpomi
Je l’ai appris depuis peu, le Sans Nom a gagné du terrain dans notre village… Chaque jour un peu plus, il nous séduit de différentes façons pour jubiler du plaisir de nous voir succomber à nos envies, nos émotions… Il se delecte de l’emprise qu’il possède encore sur les Hommes et il s’est installé en notre ville !

Elle pointe un doigt en direction des bas quartiers de la ville.

Voyez vous, au milieu de nous il a levé une enseigne ! Je vois dans le regard de certains que vos yeux s’y sont déjà posés… Oui oui…. Je parle bien de Fouzlec'h L'étal miche… Un nom emprunt du vice….
Je sais ce que certains pensent…. Que le Très Haut nous enseigne l’amour mais il ne s’agit pas du même ! Celui qui doit nous guider est l’Amour avec un grand A ! Pas l’expression de la faiblesse humaine face aux faiblesses de notre corps auquelles nous expose le Sans Nom et devant lesquelles nous plions bien souvent sans la moindre résistance sous un prétexte futile…
Que nous enseigne le Livre des Vertus à ce sujet ? Voyons ensemble l’exemple de l’Archange Sylphaël.

Cerise, voulez vous bien venir lire cet extrait s'il vous plait ?


Elle ouvrit son exemplaire du Livre des Vertus - Livre I - Le mythe Aristotélicien - Les Archanges.
Evenice06
Entrecoupée par les gazouillis d'Eloise, toujours sur les genoux de son père et qui doit vouloir sans doute participer à la prière, elle énonce clairement

Je confesse à Dieu tout puissant,
à tous les saints,
et à vous aussi, mes amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous et les saints,
et vous, mes amis,
de prier le créateur pour moi,
que le Très Haut vous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.

_________________
Cerrydwenn
D'une petite voix à la suite ou en coeur avec les gens presents la rouquine récite :

Je confesse à Dieu tout puissant,
à tous les saints,
et à vous aussi, mes amis,
parce que j'ai beaucoup péché,
en pensée, en parole, en action.
Je supplie tous et les saints,
et vous, mes amis,
de prier le créateur pour moi,
que le Très Haut vous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tous nos péchés.


Puis vlan v'la que celà tombe sur elle ...petit sourire aux coins des levres elle souffle à l'oreille de son aimé " je vais te sermonner vilain garçon nananere ^^" puis l'embrasse tendrement et se dirige vers l'autel aupres de la diaconnesse ...deplie sa tite feuille et commence sa lecture ..

En ces temps troublés pour la Cité vivait un jeune homme nommé Sylphaël d’Hédon. Il savait briller en société, était doué de talents en tous les arts mais ce qui faisait l’admiration de son entourage était son extraordinaire capacité à savourer chaque instant de la vie.
Nous le croisions fréquemment en compagnie de deux complices de taverne, Colomba la Radieuse et Lucifer le Cyclothyme mais tandis que ce dernier s’enivrait à l’excès jusqu’à devenir violent peu avant le coma éthylique (donnant lieu au célèbre quolibet « quand Lucifer boit, Colomba raque ») Sylphaël, roi des nuits d’Oanylone, goûtait tous les vins puis partait légèrement titubant donner son concert de lyre au profit de l’association « sagesse amassée d’Oane ».(…)
Souvent, le lendemain à l’aurore et après qu’il eût trouvé de nouvelles sources de délices en étudiant avec Colomba, il n’était pas rare de voir Sylphaël préparer une tisane au chevet d’un Lucifer aux traits ruinés, nauséeux, blafard.
« tu confonds jouissance et bonheur, mon pauvre Luc ! » le sermonnait Sylph tandis que son ami s’apprêtait pour une journée de mortifications et d’autopunitions en tous genres car telle une girouette folle, Lucifer le versatile ne cessait de passer d’un état de soif de plaisir extrême à un abattement coupable et dépressif «et ainsi éprouves-tu très durement ton corps par d’incessantes privations, d’éternels excès »
Quelque temps plus tard, Colomba, succombant au charme dévastateur de Sylphaël le voluptueux, l’épousa. Cependant malgré leur bonheur insolent les deux jeunes gens s’inquiétaient pour leur ami, qui comme bien d’autres habitants d’Oanylone, sombrait chaque jour plus gravement dans un abîme sans fond, mêlant la pratique d’inquiétantes coutumes sexuelles la nuit et , formulant d’étranges prières le jour, prostré et nu, au sommet d’une colonne sous l’œil bienveillant de la Créature sans Nom. (…)

La Créature Sans Nom avait trouvé facilement ses auxiliaires parmi les êtres les plus débauchés de la Cité au nombre de sept dont Lucifer le Cyclothyme et ces factotum diffusaient leurs mauvaises pensées avec déconcertante facilité, instillant dans les esprits égarés par la peur d’obscures idées telles que :
«Dieu a créé les riches pour donner aux pauvres le paradis en spectacle » «l’humain retrouvera ses biens s’il ne doute point de la faiblesse de Dieu » «L'éternité c'est long, surtout vers la fin» tant et si bien que la colère ainsi attisée déclencha un massacre.
Un matin nous retrouvions éventré dans les gravats et parmi bien d’autres, le corps de Colomba et pour la première fois je vis Sylphaël s’effondrer dans le même temps que s’écroulait la ville.


Deux jours plus tard tandis que la Cité en ruine se vidait de ses habitants j’aperçu Sylphaël courir en tous sens dans une ruelle. Son teint était blême. Il me fit ce récit :
« Cette nuit je me réveillais brusquement sentant la présence sous mon drap d’une forme : celle-ci semblait peser à mes côtés puis s’enrouler autour de mes jambes jusqu’à ce qu’elle m’étreigne complètement. Je fus pris d’une angoisse oppressante cependant je croyais reconnaître dans cette forme le corps de Colomba, mon épouse défunte et en même temps que la terreur peu à peu m’envahissait j’étais empli d’un flot de tendresse immense à son égard mais je savais qu’elle n’était plus et ce sentiment cédait la place à une impression de manque et une douleur irrépressible soudain je compris que j’étais en proie à un extraordinaire maléfice je devais lutter de toutes mes forces pour ne pas céder à cette chose abominable. Sans doute paralysé par une peur intense j’avais les pires difficultés à me mouvoir et la chose m’emprisonnait comme un étau. Après d’interminables secondes je parvins à atteindre la lampe à huile (j’avais l’unique pensée de faire la lumière pour affronter le sortilège) mais la flamme ne s’alluma pas. Alors, cédant à la panique, je me débattais avec l’énergie du désespoir car cette fois-ci j’allais mourir je ne cessais de crier « vas-t’en » en litanie ininterrompue et de plus en plus fort à la force maléfique dont j’étais la victime. Mon pouls s’emballait, mon cœur palpitait si vite qu’il allait exploser, la chose desserra son étreinte puis je ne sentis plus rien j’allumais la lampe et cette fois-ci, étrangement, la lumière se fît.
Le reste de la nuit j’ai médité sur cette tentative de possession de l’Innommable Créature et l’état d’acédie qui faillit me tuer lorsque j’étais pétrifié par l’angoisse.
Il nous faut accepter le courroux de Dieu, et cette ville, ç’est bien nous qui l’avons condamnée à la destruction, je m’en vais rejoindre le groupe des vertueux.
"pardonne-moi mon ami" lui dis-je "mais comment espères-tu incarner une vertu toi dont l'existence fût toute entière consacrée aux plaisirs ?"
il répondit "mais parce que cette vertu est le plaisir même ! Dieu nous donna les sens pour le goûter et parce que l'amour de la vie reste l'Amour"
sans s'attarder il partit prier pour sauver le monde en compagnie des Vertueux rassemblés à la septième Porte.
(…)


Rouge elle était devenue pivoine ..piouff ca en faisait nom d'un souffle à lire ..

_________________
" Quand le temps vient de tirer sa révérence il ne faut le renier ..."
Passionpomi
Merci beaucoup Cerise !

Quelqu'un veut-il s'exprimer sur cet enseignement ?
Chanel59
écoutant les paroles de la diaconesse chanel récita après le discours, en coeur avec les autres paroissiens la prière rituelle.


je confesse à dieu tout puissant,
à tous les saints ,
parce que j'ai beau coup péché?
en pensée , en parole , en action.
je supplie tous , et les saints et vous mes amis.
de prier le créateur pour moi,
que le très haut vous accorde le pardon,
l'absolution et la rémission de tout nos péchés
Aanor
Son attention était tournée vers la pitchoune qui se tenait non loin d'elle dans les bras de la matriarche. Elle récita aussi machinalement que possible la prière, loupant quelques morceaux. Elle bougeait à merveille les lèvres pour faire illusion...

Elle sortit néanmoins discrètement son carnet à la fin de la récitation, pense bête et recueil de pensés... Elle ne devait pas oublier d'apprendre tout ça correctement avant de se faire baptiser.

A peine le temps de le ranger discrètement dans sa besace que c'était l'heure de la lecture de texte. Ses yeux s'agrandir au fur et à mesure... Comment allait-elle comprendre Aristote s'il lui parlait ainsi?

Impossible pour elle de percer la morale derrière le récit du jour... elle décrocha après quelques phrases seulement reportant toute son attention sur la star du jour et la gratifiant de larges sourires.

_________________
.guido.
" je vais te sermonner vilain garçon nananere ^^"
bah voyons comme de par hasard faut que çà me retombe dessus ...

Frima écouta sa douce réciter le sermon ,limite à s'endormir heureusement qu'il avais la petite sur les genoux ... s'adressant à la petite ...
hé bé elle est pas prête de me revoir cette diaconesse si tout ses sermons sont pareil ,j'irais plus volontiers à la taverne qu'a l'église
frim tournais la tête de droite à gauche il commençais à être impatient , il ne souhaitais qu'une chose c'est de sortir de ce traquenard ...
Germaine
Collée/serrée/amourachée contre son paPitou, la bébé/e écoutait, regardait, entendait.
Tous ses sens en éveil, elle restait à l'écoute du monde nouveau qu'elle découvrait, devinait, redoutait, attendait...
Elle eut l'idée saugrenue d'émettre bruit incongru et devinant, sous la tendresse du paPitou, la fermeté du rang à tenir - déja - bien que si pitchounette qu'elle était, elle sentit le corps qui la tenait se durcir à son bref mouvement et se ferma la bouche en y posant son pouce préféré....Le droit ! Ah non, en fait , le gauche...Bah peu importe !

Elle concentra toute son attention, évidente,entière, tous sens dehors, à délicieusement sucer ce délicieux doigt, tout en ne perdant pas une miette des bruits/voix/odeurs de ce qui se passait par là.
Les chants des gens sont chant berçants quand ils sont unanimes...La petite chose n'était pas loin de se rendormir, imaginant des Visions douces, légères et cotonneuses, comme champ de moutons qu'elle n'avait pourtant, pas encore, découvert...Une histoire de brebis ? de berger ? Douceur rêvées, imaginées ? Les mots lui manquaient, mais l'idée, de troupeaux bien dociles, déja, se profilait pourtant...Elle n'était pas si éloignée, pas encore si loin des limbes, de LUI et de la vérité pour ne pas savoir, comprendre, deviner...Savoir qui lui serait perdu d'ici si peu de temps.

Elle se rendormit, cependant, pour l'instant, bercée par les litanies, doucereuses, lénifiantes, de la foule attendrie.
Passionpomi
J’étais impressionnée du nombre de mains levées pour prendre la parole. Sans doute l’ouverture de cet établissement commençait de déchainer les passions. Ne pouvant disposer du temps suffisant pour laisser parler chacun, je me décidais à prendre la parole pour expliquer ce texte devant lequel certains restaient médusés. Il était pourtant hors de question que je leur prodigue des « messes bateaux » sans leur proposer de réfléchir par eux même.

Voici donc l’expérience de Sylphaël, Archange du plaisir qui s’oppose à Lucifer, Prince démon de l’Acédie. Mais l’Acédie c’est quoi me direz vous ? Après tout, ce sermon doit pointer du doigt la luxure personnifiée par Asmodée alors pourquoi vous parler de cela ? Parce que l’Acédie est la mère de tous les Vices. Celle qui aboutie à tous les autres, le premier Vice développé aux temps jadis par la tribu des Bisounours dont je pourrais vous parler dans un autre sermon. L’Acédie c’est le renoncement, la passivité !
Ce que Sylphaël nous montre c’est la façon de ne pas renoncer au plaisir, sans tomber dans les excès qui poussent Lucifer aux regrets, à la dépression de lui-même et à une intense souffrance.
Ainsi, renoncer à lutter contre une envie primaire telle que nous la connaissons, se laisser aller à la fréquentation malsaine de ces filles qui ne connaissent pas l’Amour mais vous en donne l’illusion d’une nuit, choisir l’excès plutôt que notre juste besoin sous la simple excuse de vouloir se satisfaire pleinement, vous fera chuter non pas dans les bras de la plus voluptueuse des créatures mais dans ceux d’un monstre bestial nommé Asmodée, Prince de la luxure pour lequel vous dépensez l’argent noblement gagné au champ, brisez sans hésiter des serments de fidélité prononcés devant Dieu, perdez une pureté que la Vertu nous enseigne de consacrer à un Amour unique et véritable !
Le Très Haut nous a choisi pour être ses enfants, faisant de nous des créatures différentes des bêtes. Devons nous nous comporter comme elles ? La sexualité n’est pas interdite, mais elle n’est pas à l’image de celle des bêtes car nous sommes dotés d’un esprit comme l’a démontré le premier Prophète Aristote ! Et c’est cet esprit qui nous accablera sous le remord face à l’aimé trompé et face à nous même et au peu de respect dont nous avons fait preuve à notre propre égard en nous glissant dans les draps putrides d’une de ces tentatrices qui ne veillent que sur votre argent !

Sylphaëlle nous montre comment éprouver le plaisir de façon vertueuse. Car la sexualité au contraire, doit rester une belle œuvre visant à la procréation, au renouvellement de notre espèce, comme l’a voulu le Très Haut. Et pour garantir sa pureté n’oublions pas qu’elle est réalisée dans le cadre du mariage, sacrement béni par le Très Haut. La sexualité ne doit s’accomplir que dans le cadre d’un Amour pur pour lequel nous devons nous engager à œuvrer pour le faire perdurer. La sexualité n’est ni plurielle ni éphémère, elle est l’accomplissement d’un Amour véritable à l’image de celui que l’on éprouve pour le Très Haut… Allons nous aimer plusieurs Dieux ? Certainement pas…

Mais si l’ouverture en ville d’un tel établissement doit dans un premier lieu mettre en valeur la faiblesse de nos hommes, n’oublions pas que la femme est soumise aux mêmes règles. Plus encore je dirais, puisque sa pureté est prisée est recherchée par nombre d’hommes qui n’auront de cesse de la séduire…

Sachons résister pour conserver notre statu d’enfant de Dieu, refusons le plaisir débauché offert par Asmodée, montrons nous digne de cet esprit dont nous a dotés le Très Haut. Souvenons nous des paroles de Christos à Natchiatchia lorsqu‘elle se demandait si elle et son époux pourraient vivre fidèles l‘un à l‘autre. « Mais la vie vertueuse est un idéal vers lequel l’homme doit tendre. Et, dans son chemin, il peut s’aider de la prière. La prière peut en effet être le moyen pour tous de renforcer cet amour lorsque cela est nécessaire. ».

Alors ensembles prions et confirmons notre foy en Dieu !






Puis Passi morcela le pain …

Venez mes amis partageons ensemble ce pain et ce vin, symbole de l’Amitié Aristotélicienne…
Venez partager en toute simplicité le Pain et le Vin qui réconfortent…




Dimanche prochain comme vous le savez, nous serons le 6 décembre, jour de la Saint Nicolas. Il n’y aura pas de messe, mais des festivités en son honneur. Je recherche des bénévoles, afin de m’aider à réaliser les pâtisseries et à les distribuer aux enfants sur la place que nous aurons formée devant l’église. A cette occasion, je leur raconterai l’histoire de Nicolas ! N’hésitez pas à emmener vos enfants !!! Respectons ensembles la tradition, offrons à nos enfants une journée inoubliable et glorifions ce grand homme !

HRP : Les festivités auront lieu sur 3 jours, samedi, dimanche, lundi vu que je suis absente dimanche).


Pour les pastorales, je rappelle qu’elles sont individuelles pour permettre à chacun d’aller à son rythme. Elles ont lieu au bureau du Diocèse de préférence, sinon ici même selon votre préférence. Les inscriptions ont lieu auprès de moi. Oui je suis un professeur maniaque mais non cette pastorale n’est pas longue et elle a déjà été réalisée en 3 heures seulement ! Par une personne ici présente, si si, pas dans mes rêves.

Allez en paix et dans l’Amour de Dieu !
--Perlin
Il force son cheval au maximum depuis Guérande et arrivé devant l'église en descend comme un fou.

Il ne prend même pas la peine d'attacher son cheval et il court vers le lieu saint où il entre précipitamment.

Tout le monde le regarde, il ne voit personne, il cherche juste les Guérande.
Dès qu'il les voit, il va vite vers eux en les appelant.


- M'sire... Duc... Mame... la Du...ssèche... vite, ve...nir vite, très ...vite... à Gué...rande.
Eliz...abeth...c'est... Eliz...abeth..Ade...laïde m'a dit... de venir... vous ...cher...cher viiiiite!!


Il est essouflé, il pleure, il crie presque

[/b]
Evenice06
L’arrivée intempestive de Perlin, son affolement lui font craindre le pire.
Elle s’est levée d’un bond en même temps que Pit, Eloise se met à pleurer, effrayée par le brouhaha soudain.

Ils ne cherchent même pas à poser des questions à Perlin, ils le suivent en courant sans prendre le temps de se signer ou de s’excuser auprès de Passi.

Direction Guérande, le visage grave ils ne pensent plus qu’à ça et le chemin va leur paraître bien long.




Suite sur le sujet "A Guérande ce matin là"

_________________
See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 14, 15, 16, ..., 58, 59, 60   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)