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[RP} Eglise paroissiale de Rieux - Plou Reoz

Lavatar
Lavatar accompagna son aimée pour féliciter les nouveaux membres de la communauté...
Il les congratula tout en pensant au discours impétueux dû cardinal... Lui-même était-il faible ? Il était tolérant et aidait souvent ses semblables... Un faible pouvait-il aider quelqu'un dans le besoin... Il faudrait qu'il approfondisse cela^plus tard.

Il sourit Haelara, Esmica, Druidix et Geoffrey puis tendit le bras à Melyane pour sortir de l'église... Il fallait préparer le départ.

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Camille.
Les baptêmes étaient enfin terminés et Camille félicita chacun avec entrain avant de les guider vers le parvis. C'est qu'elle avait encore fort à faire. Elle retourna alors à l'intérieur car il était temps de préparer le mariage d'Haelara et Geoffrey.
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Clodeweck
En route !

Rieux fut une belle étape nous nous devons de passer à la suivante ma chère Camille.


Le père bénit l'assemblée et quitta la cérémonie, en procession avec les pèlerins présents à Rieux.

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Ne répond plus aux MP à caractère HRP.
Mike.de.naueriels
Il avait trouvé les baptêmes fort réussi et était heureux de voir Geoffrey et sa future femme entré dans la grande famille aristotélicienne. Rieux devenait une ville très pieuse et il aimait beaucoup ça !
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Mike de Nauériels-Kermabon
Pouilloux
La cérémonie est finie. Pouilloux en a apprécié chaque instant, chaque passage. La famille Aristotélicienne s'est aggrandi, il se dirige vers les baptisés, les nouveaux fidéles. Il prend le temps de leur dire l'espérance qu'il porte en eux pour qu'ils suivent le chemin vertueux qui mène au Très Haut.

C'est l'heure du départ, de se rendre sur la prochaine étape.

Au revoit tout le monde, et encore une fois, Merci pour l'accueil.
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Esmica
La cérémonie était très belle et elle était fière des nouveaux batipsés. Elle sourit à chaque personne présente et remercia les pélerins.

Je vous souhaite bonne route et à bientôt. Ce fut une joie de vous accueillir à Rieux.

Puis sortit de l'Eglise allant à ses occupations.
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Procureur de Bretagne - Adjoint au Maire de Reoz - Ex Mairesse de Reoz
Moskova
Moskova poussa les portes de chêne, qui finalement n'étaient pas si lourdes qu'elles en avaient l'air, l'église lui semble déjà plus chaleureuse que ce qu'il pensait.
Il vit la Mère Roselalie affairée aux saintes tâches.


Héé la Doyenne!

Il courra jusqu'à a sa hauteur en la serra dans ces bras.

Mère, amie, Roselalie, je viens comme convenu afin que soit célébré mon baptême. Je tiens, ou plutôt, je serais honoré à ce que soit toi qui procèdes, s'il te plait à la cérémonie.

Moskova se sentit brusquement assez mal a l'aise.

Ahem, bon, voila voila, comment procède t'on?

En s'avançant vers l'autel Moskova espère seulement que ça ne fait pas mal.
Roselalie
Rose, d'abord surprise, sourit de voir Moskova entrer dans l'église.

    Mon cher Moskova, mon fils, mon ami....

    Le baptême est un engagement envers le très haut. En y accédant tu entres dans la grande famille Aristotélicienne. Ce n'est pas rien, donc un baptême doit se préparer un minimum.

    Va te présenter au presbytère pour rejoindre le groupe de "paroles de foi". Installes toi, écoutes et tu pourras nous expliquer pourquoi tu veux te faire baptiser. à se moment nous conviendrons d'une date.

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Mère Roselalie, Prêtre, Vicaire de Reoz.
Roselalie
Il faisait un temps merveilleux et le soleil par les vitraux faisait rayonner l'église de mille couleur. Rose trouvait ça magnifique.

Elle prépara le livre des Vertus, le pain, le vin, réaligna quelques banc et se dirigea vers les cloches.


    Bong !..... Bong !.... Bong !..... Bong !.....


Puis rose se plaça sur le perron de l'église pour accueillir les fidèles.
Bien installée au soleil, elle se dit qu'elle allait peut-être faire trainer l'accueil pour en profiter un maximum.

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Mère Roselalie, Prêtre, Vicaire de Reoz.
Esmica
Elle avait entendu les cloches de l'Eglise, elle était déjà prête, vêtu de sa robe bleu turquoise, pour cette belle journée. Esmica était une fidèle de l'Eglise. Elle se dépêcha, arriver devant, elle entra, salua chaleureusement son amie Rose, et s'installa devant sur en banc, en attendant les autres fidèles.
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Procureur de Bretagne - Adjoint au Maire de Reoz - Ex Mairesse de Reoz
Roselalie
Comme à son habitude, Esmica était dans les première à entrer dans l'église. rose la salua chaleureusement.
    Quel plaisir de te voir mon enfant !
    Tu as vu ce merveilleux temps pour célébrer le très haut !...


Il y avait moins de monde que d'habitude, mais Rose n'allait pas faire attendre plus longtemps les paroissiens déjà présent. Après une génuflexion, elle se plaça devant l'Autel et pris la parole.
    Bienvenue à vous tous en cette journée dominicale. Soyez heureux de venir partager votre ferveur et votre amour envers Le Très Haut, de vivre ici son Amitié.

    Mais je vous en pris, nous ne sommes pas nombreux ce matin. Rapprochez vous de moi.... jusqu'à présent je ne mange personne !


Mamie rit de bon cœur et laissa les paroissiens se rapprocher avant de reprendre.
    Il nous arrive tous de ne pas toujours nous consacrer pleinement aux Vertus et nous péchons. Dans sa grande miséricorde, Le Créateur offre le pardon, demandons-lui.


D'une même voix, l'assemblée répéta les paroles de la Mère :




    Mes chers paroissiens, il est bon de confesser avoir péché. Si vous voulez faire pénitence et laisser derrière vous vos péchés que vous trainez tel un fardeau, si vous voulez prendre un nouveau départ vertueux et faire pénitence, n'hésitez pas à venir au confessionnal, je vous y accueillerais.

    Maintenant, tous ensemble réaffirmons notre foi indéfectible envers le Très Haut et ses prophètes. Ouvrez vos mains, ouvrez vos cœurs à Son Amour et récitons le Credo.


Joignant les actes au parole, Elle récita d'une voix posée et assurée le credo, le regard vague devant les paroissiens le récitant simultanément.



Puis elle laissa un temps de silence et de réflexion.

Je rappelle que la messe RP dure plusieurs jours. Tant que je n'ai pas dit que la messe est terminée, n'hésitez pas à vous installer et à prier avec nous...

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Mère Roselalie, Prêtre, Vicaire de Reoz.
Esmica
La jeune femme se rapprocha de son amie. Elle l'écouta attentivement puis répétant après elle afin de se confessée.



Après s'être confessée la jeune femme récita le crédo.


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Procureur de Bretagne - Adjoint au Maire de Reoz - Ex Mairesse de Reoz
Jehan_de_dardemont
La dernière fois que j'avais été à la messe, cela m'avait beaucoup plu. Et de plus, j'avais été exaucé par le Très Haut. Il avait guéri Ma Mysaline et avait accepté de me la laisser. Il fallait le remercier.
Je m'unissais donc de tout coeur à la cérémonie. Je ne connaissais pas encore les textes mais néanmoins j'écoutais attentivement pour les apprendre et les retenir et aussi au besoin me les faire expliquer.
Cosme
Il entra lentement dans la paroisse. Lentement, comme dans tout ce qu'il faisait ces temps-ci. Il faut croire qu'il n'avait pas encore totalement recouvré ses forces. Ni sa mémoire. Tout du moins, pas dans son intégralité.
C'est d'ailleurs dans cette optique qu'il était là, sur conseille de dame Roselalie, le tribun du village. Peut-être bien que prier le Très-Haut et son prophète Aristote l'aidera dans sa tâche...

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Se prononce "Côme"
Roselalie
Roselalie regarda l'assemblée toujours aussi réduite et bien continuons l'office se dit-elle, au moin le très haut lui écoute.

Elle ouvrit le livre des vertus et lus


Citation:
Chapitre Cinquième - L'Errance

Aristote ayant atteint l’age de quinze ans, il perdit père et mère, et fut confié à la tutelle d’un proche parent, Proxène, lequel vivait dans des contrées reculées, entre Stagire et Athènes. Le jeune orphelin était éduqué au rude travail de la terre. Cette condition ne le satisfaisait guère, persuadé que son esprit était plus capable que ses mains. Il faisait souvent la rencontre d’humbles paysans, avec lesquels Proxène travaillait. Il admirait certes leur goût pour la vie simple, loin des fastes somptueux et du luxe qui, il le pressentait, conduisaient certainement au vice. Mais Aristote s’étonnait cependant de leurs coutumes.

Un jour, il vit l’un d’eux se livrer à la prière. Aristote se souvint de son dernier dialogue avec Epimanos, et voulut prendre le paysan en défaut.

Aristote : "A qui adressez –vous vos prières, brave homme ?"

Le paysan : "Et bien aux dieux, mon jeune ami."

Aristote : "Aux dieux ? Mais qui sont-ils ?"

Le paysan : "Ils sont Aphrodite, Apollon, Arès, Artémis, Athéna, Déméter, Dionysos, Hadès, Héra, Hermès, Héphaïstos, Poséidon, et le plus grand de tous, Zeus. Chacun siège à Olympe."

Aristote : "A Olympe, où est-ce ?"

Le paysan : "C’est une cité merveilleuse, perchée en haut d’un mont que nul n’a jamais vaincu. Vois-tu le mont Athos ? Et bien l’Olympe est cent ou mille fois plus élevé, un truc du genre."

Aristote : "Mais vous même, n’avez vous jamais tenté de grimper sur cette montagne ? N’êtes-vous pas curieux de voir de vos yeux ces divinités que vous priez chaque jour ?"

Le paysan : "Oh non, jeune homme. Je ne suis qu’un humble paysan. Ma place est ici, non sur l’Olympe."

Aristote : "Mais alors, comment pouvez vous croire en la réalité de ces dieux, si vous n’avez point constaté leur existence de vous même ?"

Le paysan : "Parce qu’on m’a enseigné qu’ils existaient, et qu’il fallait que je les prie pour que ma récolte soit meilleure, et que mes vaches deviennent grasses."

Aristote : "Voilà bien une chose étrange, vous ne priez pas par amour pour le divin mais par appétit terrestre. Je pense pour ma part qu’il est irrationnel de rechercher le matériel dans le spirituel. Mais à dire vrai, il n’y a pas que ça que je trouve irrationnel dans ce que vous me dites."

Le paysan : "Que me reprocheras-tu encore ?"

Aristote : "Et bien, il y a une chose que je ne comprends pas : pourquoi donc prier plusieurs dieux ?"

Le paysan : "Ainsi que je te l’ai dit, c’est ce qu’on m’a enseigné, qu’ils étaient plusieurs, et c’est ainsi depuis la nuit des temps."

Aristote : "Voilà bien une chose compliquée inutilement. Au lieu de plusieurs divinités, ne serait-ce pas plus pratique de n’en louer qu’une seule ?"

Le paysan : "Tu commence à me courir, jeune voyageur. Je t’en pose des questions, moi ? Je te demande si tu mets des braies ou des frocs ? Maintenant, laisse moi à mes méditations."

Aristote : "Non, non, je n’en ferai rien. Tu dois d’abord admettre, brave homme, que prier un seul dieu serait plus logique. Qu’attend t-on d’un dieu, sinon qu’il soit tout puissant et omniscient, qu’il soit un ? Rendre grâce à plusieurs dieux, c’est comme fragmenter en autant de parties le pouvoir qu’un seul pourrait réunir en lui. Je crois qu’en toutes choses, l’unité est préférable à la division."

Le paysan : "Peut être."

Aristote : "Non, certainement. Le divin est un Tout unique et le divin est la perfection, donc la perfection est unité. L’unité est la forme idéale des choses.

Le paysan : "Mouais, enfin moi, jeune homme, je suis bien trop stupide pour entendre ton charabia. Je suis loin d’être lettré. Si je te donne un conseil, me laisseras-tu en paix ?"

Aristote : "Et bien oui, cela me convient."

Le paysan : "Prends la route d’Athènes, si Proxène te le permet, et tu y trouveras un professeur qui saura t’écouter. On le nomme Platon."

Aristote : "Merci, brave homme."

Et Proxène d’envoyer Aristote, les dix-huit printemps révolus, à Athènes, trop heureux que ce piètre paysan le quitta.



    Aristote notre prophète, essaye de nous montrer le chemin de la vrai Foy, son rôle de berger, pour la cause.
    Il se pose des questions sur les dieux que ce paysan prie, au début il lui dit ce qu’il sait, ce qu’on lui a appris, et Il est bien étonné que l’homme croie ce qu’il n’a pas vérifié et sur tout qu’il prie «pas par amour pour le divin mais par appétit terrestre ».
    Les hommes priaient ces faux Dieux par obligation, pour obtenir une meilleure récolte, ils en ont oublié le sens de la vie, aimer le Très Haut.
    De plus Aristote s’étonne de la pluralité divine, il trouve plus logique qu’il n’est qu’une divinité car rendre grâce à plusieurs dieux, c’est comme fragmenter en autant de parties le pouvoir qu’un seul pourrait réunir en lui et comme il le dit « Qu’attend t-on d’un dieu, sinon qu’il soit tout puissant et omniscient, qu’il soit un ? » En effet à l’époque chaque divinité était connue avec un défaut, jalousie, colère, gourmandise, luxure, acédie, envie, orgueil et l’avarice. Ces Dieux possédaient donc les pêchés de nos démons qui logent en enfer.. De ce texte nous apprenons, qu’il ne faut pas apprendre sans comprendre comme ce paysan mais bien rester logique. Puisque avec cette logique, Aristote nous montre l’unicité de Dieu et l’amour que nous devons lui porter. Sinon quel est le sens de ce réunir ici ? Oui nous nous devons de le prier par amour et non par crainte, le louer lui et non des démons. Mais Aristote laisse également son choix propre au paysan, chacun fait ses propres choix, vous-même avez déjà eu à faire des choix, nous sommes là pour vous guider dans ces choix
    Ainsi, Aristote a parcouru le vaste monde, il est le fondateur de l’Eglise, celui qui le premier a essayé de remettre l’humanité sur le chemin vers le Tout-Puissant.



Elle laissa un instant de réflexion avant la communion
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Mère Roselalie, Prêtre, Vicaire de Reoz.
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