[RP] Au bordel sans nom

--Luc

Luc se laissa guider. Une fois assis, il fut ravi de pouvoir enfin déguster cette bière juste tirée du tonneau.

Regardant sa voisine avec malice, il dit :

Vous avez bien choisi, j'adore les brunes. Il laissa passer un silence puis reprit. Les bières brunes sont pleine d'un mystère si troublant. Leur parfum musqué est si délectable qui est difficile de ne pas vouloir la déguster.

Puis, joignant le geste à la parole, il but une bonne gorgée.

--La_sauterelle

Dégustant la bière à ses côtés elle l'écoute et sourit ... pensant à une douce confusion des paroles ne sachant si il parlait réellement de la bière ou des femmes

Exactement !! tout comme les femmes brunes elle rit doucement

Et boit une nouvelle gorgée de ce divin nectar en le regardant malicieuse

--Luc

Luc prit l'air surpris.

Vraiment ? Je n'avais jamais fait ce parallèle avant. Pensez vous qu'il puisse réellement y avoir un point commun ?

L'homme savourait cette discussion si délicatement confuse.

--La_sauterelle

Lui sourit

Oui bien sur les brunes sont toutes aussi séduisantes et pleines de mystères avec un gout envoutant qui parfois vous laisse une légère amertume en bouche mais un exquis arrière gout de reviens y encore et encore ... avec du corps, un régal pour les sens ... un doux désir de ne pouvoir s'en passer ...
elle se passe sa langue sur ses lèvres comme pour goutter la bière qui s'y est perdue et lui sourit

--Luc

Les yeux de l'homme suivirent le cheminement lent et sensuel de la langue sur les lèvres fines et si bien dessinées.

Dommage que je ne sois pas maître de l'orge. Je prendrai beaucoup de plaisir à mélanger malt et houblon. A gouter la rondeur en bouche qui en résultera, sa force et son abandon, son corps et son parfum. Dit-il d'une voix plus grave.

Il termina d'une dernière lampée le contenu de sa chope.

--La_sauterelle

Sourit
Hummmm vous feriez cela à merveille j'en suis sur, avec toute la maitrise nécessaire

Elle le regarde finir sa bière presque à regret
Vous en voulez une autre ... de cet délicieuse brune lui fait des yeux enjôleurs

--Luc

Fixant son regard au sien il dit.

Je n'ai plus vraiment soif, mais mon appétit s'ouvre petit à petit. Qu'auriez vous à me proposer afin de calmer cette faim naissante ?

--La_sauterelle

Elle soutien son regard avec un doux sourire

Quel est donc cet faim qui nait en vous ? Quel est votre désir mon Seigneur ?
Dans cet établissement vous êtes roi ... vos désir sont des ordres pour vous servir ... se sentant obligée de rajouter ... contre quelques écus ... je peux assouvir votre faim quel qu'elle soit ... elle passe sa langue sur ses lèvres en le regardant dans les yeux

--Luc

Il est normal que bonne chaire soit récompensée. Dit Luc souriant.

Me serait-il possible d'avoir un aperçu de la carte des repas, afin de pouvoir mieux définir mon choix ? Le regard de l'homme balaya lentement le corps de la femme avant de revenir se fixer à ses yeux.

--La_sauterelle

Elle se lève, le frôlant au passage, et va chercher une carte des victuailles, elle revient et lui tend
Voici pour ce qui est de substanté votre estomac, mais vous avez aussi un met de choix qui n'est pas à la carte pour 50 écus lui fait un clin d'œil pour ce prix chacun de vos sens seront rassasié elle approche son visage du sien lui déposant la carte dans les mains en lui frôlant des doigts.

--Luc

Luc consulta du regard la carte. Son choix se porta sur "Canne tendre sur lit de douceur".

Voilà bien des promesses dans ce nom. Qu'en est-il exactement ? Demanda-t-il.

--La_sauterelle

Regarde son choix et sourit

Je vous aurais bien conseiller "Chatte douce sur lit douillet" le regarde avec des yeux coquins
mais pour ce qui est de "Canne tendre sur lit de douceur" c'est un tendre morceaux de canne, pris dans la partie la plus tendre de la bête elle met ses rondeurs en évidence en souriant sur un lit de légumes doux et savoureux

--Luc

Luc sourit.

J'ai cru comprendre que j'étais le roi en ce lieu ? Si tel est le cas j'aimerai pouvoir gouter à ce met dans un emplacement moins passant. Un peu plus d'intimité permettrai de pouvoir apprécier l'ensemble des prestations promises avec plus de plaisir et de raffinement.

Élargissant son sourire, Luc attendit la réaction de la femme.

--La_sauterelle

Elle lui sourit, il ne fallait pas décevoir un client et toujours tenir ses promesses, heureusement elle n'avait rien proposer d'inaccessible.

Bien sur mon Seigneur, nous avons des chambres très confortable et intimiste, prévue à cet effet, je passe votre commande en cuisine et vous montre la chambre, la servante nous amènera votre plat elle le regarde attendant de savoir si cela lui convenait

--Luc

Luc mima la déception.

Est-il vraiment utile qu'une servante vienne nous apporter tout cela?

L'homme laissa volontairement sa remarque dans le vague et poursuivit.

N'êtes vous pas au service de votre seigneur ?

Au bordel sans nom

--Le_peint

C'était là, "rue de la gaité", en plein centre de Lausanne que le peintre avait décidé d'acheter et de faire rénover la grande batisse à étage et sous sol. Ca avait mis du temps, beaucoup d'argent mais ca vallait vraiment le coup. Le résultat était spectaculaire. Les ouvriers avaient réalisé du bon boulot.
Cette maison de joie, au milieu de toutes les boutiques d'artisanat, les tailleurs, les boulangeries, etc, s'intégrait parfaitement dans le paysage.
Seul la grande enseigne que le peintre avait réalisé laissait deviné que ce qu'il y avait dernière les murs, était sans équivoque:

Et puis l'écriteau au dessous de l'enseigne:
Je recherche des femmes et des hommes pour "divertir" nos client(e)s.
signé : Le peint

Il etait assez fier oui, cet homme brun, barbu, grand et trés musclé, d'avoir réussi à monter ce lieu.

Il resta ainsi, au milieu de la ruelle les yeux rivés vers le premier étage où se trouvaient les chambres de plaisir. Il y en avait sept.
Un escalier descendait au rez de chaussée où se trouvait la grande salle du bar avec fauteuilles et canapés.
Un petit vestibule situait vers la porte d'entrée, dans un renfoncement, permettait aux visiteurs de pouvoir y déposer leurs capes et autres gilets.
Enfin, au sous sol, etaient jouxtés sallon de massage ainsi que bains de vapeur... un régale pour le bien etre du corps.

N'y tenant plus maintenant... il entra et attendit ses amis.

Décret d'autorisation d'ouverture par le prime consule

--Rozala.

la jeune femme enroulée dans sa cape avait voyagé durant plusieurs jours, c'est donc un peu froissée et poussiéreuse qu'elle arrive devant la batisse.
La dame maitresse de sa maison l'envoyais aider au démarrage d'un nouvel endroit, elle l'avait choisie pour son côté élégant disait elle.
Bien sûr elle aurais pu musarder en route, s'enfuir peut être même. Mais au contraire de ses amies de la maison elle avait choisi elle aimait ce travail qui lui apportais écus et confort contre somme toute peu de peine et parfois même de grands plaisirs tout sourire la rousse ouvre la porte
avise un homme derrière le comptoir, Ohlà mon brave! je cherche la maitresse...je suis Rozala je viens de la part de dame Envy,

--Le_peint

Medso alias Le Peint -dans le bordel- était occupé à ranger des verres... lorsque qu'une femme entra.

La femme, rousse, lui demanda où se trouvait Dame Envy, la maitresse du bordel.

En effet Le Peint, deumerait le gérant... mais avait besoin d'aide, de conseils d'une femme experte dans la gestion des ressources humaines dans ce domaine.
Et ce ne pouvait être que... Dame Envy.

Et bien, entre ma belle.
Dame Envy sera là sous peu.
Je te serre quelque chose a boire? lui dit il en souriant.

Il la regarda longuement... elle était vraiment tres belle et bien habillée. Ses traits fins et ses yeux bleux lui faisaiant ressortir sa chevelure de feu.

--.lola.

Lola avait entendu dire qu'en très belle ville de lausanne on y ouvrait une maison close.Là ou elle vivait ,on n'apréciait plus trop les femmes trop légère
Certains hommes l'avait accompagné un bout de chemin lui disant qu'ils allaient la regretter ,qui allait leur donner du plaisir!!!
Lola ne se souciait de ça et se rendit donc a lausanne et parcoura toute la ville pour enfin trouver cette maison
La voici enfin arrivée regarda l'affiche "Bordel sans nom"" cela la fit sourire et poussa la porte
Un homme bien plaisant derrière le comptoir cela devait etre le barman ,elle n'était pas la première et regarda la rousse

Bonjour,bonjour ,je suis lola

Lola laissa tomber son manteau et s'asseya devant le comptoir

--Le_peint

Et bien quel arrivage! se dit-il en voyant ces 3 beautés proches de lui.

Vous êtes ici pour le travail je suppose, je suis Le Peint, je m'occupe de ce lieu leur lanca t il avec une sourire bienvéillant.
Il les détailla.
Nous avons donc 2 blondes ainsi qu'une rousse.

Bien, mesdames, j'ai rédigé une charte de bienséance pour les travailleurs de ce lieu. Il tendit alors un vélin de derriere le bar et le leur montra...

Règles de bienséance pour les travailleurs du Bordel sans Nom

La passe ou le massage sont à 50 écus. 25 pour l'éxecutant, 25 pour le gérant.
Vous êtes nourris, logés et protégés.
Les consomations d'alcool sont à vos frais.
Vous êtes libres de partir à tous moments.
Pas de vulgarité, nous sommes ici pour donner du plaisir.
Signé: Le Peint

Comme ca c'est clair entre nous.

Je ne vous cache pas que je j'attends également des travailleurs "hommes" pour ces dames. Ainsi qu'un garde.
Il regarda vers l'escalier.
Vous avez des chambres à l'étage pour vous préparer.

--Rozala.

la rousse salue l'arrivée des deux autres filles avec un léger soupir de soulagement au moins ne serait elle pas seule pour ces messieurs.

elle les salua d'un sourire moi c'est Rozala, elle se tourne vers le maitre des lieux lui sourit merci pour le verre et en effet tout est clair sourire mutin et elle suit les autres a l'étage

--Kokob

Il passa la porte. Kokob retira sa cape et la posa dans le vestibule.
Il etait deja pret a l'emploi!

Il regarda le maitre des lieux.
Je suis Kokob lui lanca t il.

Je viens ici pour donner autant de plaisir que ces dame en désireront.

Il était beau et musclé comme un dieu.

Il alla s'installer dans le canapé proche du bar, attendant les clientes.

--.envy

Envy passe la porte jettant un oeil de droite et de gauche pas mal... le peint a fais du bon boulot ici.
elle avise l'homme, se tenant dans un canapé et la femme mouais...
s'approche de le peint dis voir mon grand tu as fait du bon travail mais tes employés devraient se tenir ici c'est le bas étage tu sais pas qui peut y entrer et il n'est pas bon que les "honorables" de cette ville aient peur pour leurs enfants se tournant vers les deux employés de la maison un peu d'élégance que diable allez vous habiller correctement ici on bois si les clients veulent le reste, ils paient ! inutile de leur donner du spectacle gratuit allez on file, bien sûr le peint tu t'est assuré de la bonne santé de tes filles?

--Rozala.

Rozala redescendait l'escalier un bain et quelques arrangement de ses cheveux ayant passé une robe digne de ce nom, elle se sentait revivre
Bonjour maitresse, contente de vous voir ici bel endroit vous aviez raison, sachant très bien qu'il ne fallait en aucune manière déranger la maitresse lorsqu'elle parlait affaire, elle s'installe dans le fauteuil auprès de l'homme ravie je suis Rozala mais vous devriez écouter Envy...

--.lola.

Lola monta aussi a l'étage et apres avoir refait sa toilette redescendit près du bar et écouta la dame parler
Dame qu'elle ne connaissait pas,était elle la partronne et que viendrait faire ici des enfants et les gens honorable parlons en se dit elle c'était la plus grande racaille que l'on pouvait trouver et les plus exités ,elle connaissant ce genre d'homme mieux que personne
Sa toilette était correcte
LOla alla s'asseoir dans un fauteuil non loin de rozala et cet homme et croisa les jambes tout en les dévoilant légèrement souriant a l'homme

Bonjour!!!!

--Kokob

Kokob, assis, regarda la jeune et belle Lola s'assoire à coté d'elle.

Ses cheveux était d'un d'un blond qu'il n'avait que trop rarement au l'occasion de pouvoir adminer. Il la scrupta un moment.
De là où il venait, le royaume d'Espagne, les femmes étaient toutes brunes aux yeux noirs.
Originaire d'Afrique du Nord, ses parents avait émmigré dû aux multiples guerres et envahissements de cette partie sud du continent Européen.
Il parlait dans un François tres correcte et sans accens.
Il avait voyagé jusque là, sans s'arréter, à dos de canasson.

L'autre femme aussi, la rousse, était également pour lui synonyme de fantaisie... cette chevelure, wouuhhaa!

Il aimait les femmes en générale, il aimait leur faire plaisir et les découvrir...

Edit: p'tit erreur de PNG corrigé^^

--.lola.

Lola suivit les 2 femmes tout en regardant l'homme ,il était bien monté
En passant devant le peint ,Lola souria et lui fit un clin d'oeil

--Le_peint

Tiens! un Maure ici! lacha t il en voyant entrer Kokob.
Tres bien ca permet d'avoir de tout ici...

Il salua Dame Envy lorsqu'elle fit son apparition. Cette femme était trés experimentée et à ce qui se racontait, elle tenez d'une main de fer plusieurs bordel en CH...
Le Peint, était très attiré par ce genre de femme, il la respectait et comme tous les autres, la craignait.
Bonjour Dame Envy, c'est un plaisir de vous recevoir, vous etes ici chez vous. Il lui baisa la main.

Puis ayant regardé une à une les travailleuses: Rozala, Lola, Poupy, avec un grand sourire:

Le_Peint a écrit:

Vous êtes charmantes les filles. Mais il est vrai qu'il faut que je vérifie deux ou trois petites choses...
Allez en bas, au sauna. Je dois reagrder si vous êtes "en bonne santé".

Il leur fit signe de descendre d'un geste.

Enfin fixant Kokob, Dame Envy, je supose que c'est vous qui vous occuperez de lui?
Il sourit, puis lentement, disparu dans l'escalier, à la suite des filles.

--Tiamo

C'est alors que l'Italien entra dans le bordel.

Buongiornoooo lacha t il avec son accent.

Seul Dame Envy et Kokob étaient présents. Il s'approcha d'eux et se présenta:
Je suis Tiamo, je viens pour le travail. Et je connais mille et une facon de rendre une dame heureuse.
Il rit.

Il était grand et tres poilu cet homme, un "male animal" en puissance.

Il s'assit à coté d'eux et détailla les lieux longuement.

--.envy

Envy occupée a ranger les étagères des boissons et verres quand un homme entre se présente, elle se retourne le regarde de la tête aux pieds mouais...arrogant a souhait cet italien et donc incontrôlable....

messire tiamo l'italien je suis fort aise que vous sachiez cela, mais l'emploi est déjà donné sans autre commentaire elle retourne a sa tâche

--.lola.

Lola trouvait long puis vit arriver le _peint

Devons nous faire un peu de sauna Le _peint ?

Lola lui souria amusée

--Le_peint

Il sourit à Lola et Poupy.
Je dois voir votre "texture", donc dans un premier temps, vous vous déshabillez.
Son regard s'illumina de mille feux avec un large sourire l'accompagna.
Puis, je vais vous regardez sous tout les angles.

Regardant Poupy
Je ne coucherai pas avec vous pour vous testez, la maitresse à horreur qu'on mélange travail et plaisir. Et j'ai horreur de décevoir la maitresse.
Il doit en être de même pour vous.
Les patrons sont Dame Envy et moi même. Si vous ne respectez pas nos prérogatives, ca n'ira pas. C'est bien compris.
Le Peint serrait les dents à cet instant et les fixa un instant.
Dépèches toi Rozala, veux tu!

--Tiamo

Tiamo était rouge de colère en entendant la réponse d'Envy.

C'est pas une femme qui va me dire ce que je dois faire!
T'es qui toi d'abord? Tu crois avoir un quelconque pouvoir sur moi bougresse?

Il visa un large couteau posé derriere au niveau du bar et devant l'inertie de Kokob, s'en empara dans l'instant.

Il fixa Envy et t'un air démoniaque s'appocha le couteau droit devant.

Je vais te faire la peau à toi....

--Staratelj

C'est à cette instant qu'il poussa violement la porte d'entrée.

Regard droit devant... l'homme n'avait que deux secondes pour agire avant le drame!
Un homme a moitié nu menaçant une femme à l'apparence trés soignée.

Il pris un carreau et arma son arbaléte pusi tira dans la main de l'homme avec une précison extrème.

Arrêtes toi bonhomme, ou je te promets que la prochaine sera fixée entre tes yeux!

Il vut l'homme lacher son couteau et s'agenouiller sous la douleur, les yeux injectaient de sang.

Allez, déguerpis avant que je me fache vraiment.

--Rozala.

la rousse ondule jusque le peint oui? vous me demandez? rompue a l'exercice elle marche et se tourne devant lui sans gêne aucune ... voulez vous vérifier plus avant ma bonne santé?

--Le_peint

Medso inspecta bien correscement l'intimité des filles de visu s'aidant de ses doigts.
Bien, tres bien tout ca... vous etes propres, avez l'air en bonne santé et etes tres obéissantes

Puis entendant à son tour le vacarme un haut. Tu as raison Poupy, montons.

Il arriva et vut l'homme accroupi en sang au niveau de ma main.
Se tourna vers l'homme à l'arbalète et enfin vers Envy:
Mais enfin, Envy, que c'est il passé?

--.envy

En ayant vu d'autres et des bien pires Envy n'était même pas éffrayée eh bien disons que cet italien n'as pas apprécié de se voir refuser l'embauche ici j'ai bien fait si j'en crois son comportement
a l'adresse des filles c'est maîtresse qu'on dit. Désignant l'homme a l'air patibulaire qui portait l'arbalète Celui là as bien agit par contre merci messire, sourire et murmure en direction de le peint il ferait un bon gardien non? rien que se tête ferait tenir tranquille quelques saoulons.. propose lui le poste

--Le_peint

Apres avoir entendu Dame Envy, il se dirigea vers l'italien le pris par le col et le traina vers la sortie ne manquant pas de lui carrer la porte dans la tronche avant de le sortir SCHBLOUMMM Et ne reviens plus!

Avisant l'autre homme.
Toi, quel est ton nom?
La maitresse m'a dit du bien sur ton compte, je peux t'offrir un travail ici, un travail qui t'irait à merveille: gardien des lieux.

--Staratelj

Levant son regard vers Envy, c'est vous la maitresse? hum... on m'a dit du bien de vous, ouais...

Puis en entendant les paroles du Peint, il se retourna lentement vers lui en rengainant son arme dans le foureau situait derriere son dos.
De ses yeux, jaillissait la terreur des meurtres et autres viles bassesses qu'il avait executé durant son existance de brigand.
Il était grand, tres grand et la puissance qui s'en dégageait l'était tout autant.
Hum... gardien... , il sourit d'accord mais à une condition, j'aurai le droit de coucher avec les filles autant de fois que je veux et ceux, gratuitement.
Les écus... je m'en occupe sur les routes. Il rit morbidement.

--Kokob

Il avait encore les yeux écraquillait au vue de la scène qui venait de se dérouler devant lui.
Il était tres émotif, et tout cela lui avait fait peur.
Il n'avait qu'une idée, prendre ses jambes à son cou!
Mais, pour allez où... pour faire quoi?

Maitresse, j'ai peur de tout cela, je suis pas venu ici pour assister à ce genre de chose!
Je veux donner du plaisir aux dames moi...

Il se blottit contre elle, tremblant légerement en voyant tout le sang par terre.

Catouline

Catouline et Nico étaient en balade quand ils passent devant l'établissement, Catou pousse légèrement Nico regarde je connais le patron vient on va boire une chopine chez lui et lui dire aurevoir

Nico sourit et acquiesce Comme tu veux amour

Ils frappent à la porte ne sachant que faire et attendent Catou embrasse Nico en attendant
_________________
Catouline

--Le_peint

C'est alors qu'on entendit du bruit... à la porte.

Il va comprendre cet italien, je vais vais le... ouvrant la porte... hey Catou, Nicolass vous ici???

Il leur sourit et les fit entrer.
Bienvenue au "bordel sans nom"!
C'est gentil a vous de venir me rendre visite.

Regardant les filles ainsi que le Maure, vous avez un large choix pour vous amuser amoins que vous ne vouliez vous faire masser par Poupy... elle a des doigts de fées je vous assure!

Puis chuchottant à Catou devant Staratelj: Ne vous inquitétez pas, il n'est méchant que avec ceux qui le sont, dans l'établissement!

Catouline

On vient leur ouvrir, le peint l'air un peu agacé fait un large sourire en les voyant et les fait entré

Catou sourit en voyant les jolies filles toute plus jolie les une que les autres, elle regarde le maure de la tête au pied, impressionnant, et s'arrête sur la gueule patibulaire du gars à l'entrée juste au moment où son ami lui murmure de ne pas s'inquiété
Ouff pas bon d'être méchant ici !!

mmmh un massage !! nous étions pas venu pour ça mais si tu me prend par les sentiments elle rit en regardant vers la dame qu'il avait montré Poupy tu dit et des doigts de fée en plus je vais y réfléchir on était juste passé prendre un chopine avec toi et te dire aurevoir on part ce soir enfin pour du vrai cet fois elle sourit amusée
_________________
Catouline

--Le_peint

Hooo mais bien sur, justement je comptai bien vous offrir un verre.
Passe entre tout le monde et serre deux bien fraiches...

Voilaa, vous partez deja?
Catou, tu renviendras vite me voir j'espere!!

Il trinqua avec eux

Catouline

Catou et Nico prennent les chopes bien fraiche et trinque avec lui

A la réussite de ton bordel sans nom elle sourit

oui on part mais déjà? on est resté longtemps là je reste rarement plus de 3 jours quelques part vous avez eu de la chance de m'avoir si longtemps elle rit mais bien sur je reviendrais vite te voir de toute manière on doit repasser par ici je prendrai peut être le temps de venir faire un massage ce jour là elle sourit et boit doucement en regardant le personnel de l'endroit

Tu as bien choisi tes gens tu as du beau personnel elle sourit je te souhaite de nombreux client aussi lui murmure je suis sur qu'ils viendront en capuchonné pour pas qu'on les reconnaisse hihi en tout cas ils perdent à ne pas venir c'est un endroit charmant
_________________
Catouline

--Le_peint

Oui ils savent pas quoi ils perdent!!!

Caressant le dos de Poupy en souriant.

De tres belles et jeunes jeunes ainsi qu'un beau male exotique!

Il regarda la maitresse et lui souria également

Catouline

mmmmh oui en effet un beau mâle exotique c'est le terme exacte elle regarde le maure

bon moi j'ai le beau mâle du nord c'est pas mal le kilt non plus elle sourit grandement en regardant Nico hin mon ange ? lui fait des yeux malicieux

il lui sourit si tu le dis amour

elle rit et se serre contre lui en finissant sa chopine

Bon on va vous laissé travailler je vous salue tous et bonne amusement ici elle leur sourit et les salue de la tête Nico faisant de même

A bientôt le Peint au plaisir de te revoir ici ou ailleurs elle lui fait un clin d'oeil et l'embrasse sur la joue avant de sortir Nico le salue oui au plaisir et merci pour la chopine bye

Ils s'en font en souriant lui faisant signe au revoir de la main
_________________
Catouline

--Odonette

Odonette tournait depuis quelques minutes devant le bordel en tachant de se faire la plus discrète possible.
Cela faisait plusieurs jours qu'elle réfléchissait à entrer dans la battisse tout en sachant tout ce que cela représentait.
C'est qu'elle était pauvre la petite Odonette, orpheline par le destin ses parents avait étés emportés par un mal sans nom avec tout ses frères et sœurs, elle devait maintenant vivre par ses propres moyens, puis c'est qu'ils étaient courts ses petits bras pour faire de grandes chose et manger tout les jours a sa fin. Finalement elle se retrouvait donc la mort aux trousses avec l'arrivé de l'hiver, sans toit et sans écus pour se nourrir ou se vêtir plus chaudement.
C'est donc dos au mur qu'elle fini donc par entrer en laissant aimablement sortir une belle dame et un grand gaillard qui était peut être son garde du corps, elle ne puis savoir, c'est qu'elle en savait peut sur la vie et le grande monde... Surtout du haut de ces a peut prêt 15 ans.
La porte franchit elle parti voir celui qui semblait être le tenancier des lieux.

Bonjour messire, dit Odonette en s'inclinant.
je viens proposer mes service a cette maison.

Elle tacha de dire ces mot avec un détachement des plus naturel, et ce malgré le fait qu'ils mettent le feux a son âme, elle savait dans quelle drame elle partait et surtout elle ne savait pas comment elle pourrait de nouveau retourner à l'église dignement, elle qui était si pieuse et avait si grande peur de la lune dont les images peintes sur les murs de la cathédrale troublaient ses nuit de cauchemardes affreux.

--Le_peint

Il regarda la jeune et frêle demoiselle entrer dans la maison de joie.

Bonjour ma belle, tu me parais trés bien... du premier choix même.
Il va falloir que je t'examine d'un peu plus pres.
Mais tout d'abord, j'ai quelques questions à te poser.

Il se décolla du fauteuil dans lequel il était et s'approcha de la demoiselle qui était restée au milieu de la piéce.
Les autres filles semblait assez jalouse de la beauté et de la jeunesse qui se dégageaient d'elle.

Es tu encore vierge? Car... si c'est le cas, on pourra demander plus lors de ta première passe.
Et oui... j'allais oublier, quel est ton nom?

--.envy

Envy laissant lepeint avec ses amis se tourna vers le brigand a la mine épouvantable

sieur... dont je ne sait le nom, je suis en effet la maîtresse du lieu, je vous engage comme gardien mais une seule fille par jour pas d'avantage il ne faut pas les fatiguer inutilement vous aurez logis et couvert par contre.

Citation:

Bonjour messire, dit Odonette en s'inclinant.
je viens proposer mes service a cette maison.

Entendant ces mots et laissant le brigand réfléchir a sa proposition la Maîtresse s'approche. regarde la souillon devant elle une enfant... maigre sale...
elle fait le tour de la gamine la scrutant de tous côté trop jeune trop maigre mais il y as des chance que cela s'améliore avec une bonne nourriture et un toit ... en attendant je vais pas laisser passer l'occasion de garder une vierge, sans doute l'est elle encore, a disposition....

he bien Bachelette,Odonette c'est bien ça? Nous aurons besoin d'une servante, sais tu nettoyer une maison, laver le linge, cuisiner ainsi que quelques travaux d'aiguilles?
Si tu accepte ici tu aura nourriture et logis et aussi quelques vestures je ne peux te laisser trainer avec ces défroques dans cette maison. Deux règles, tu baissera les yeux tu ne dois jamais regarder un client ni lui parler tant que je te l'aurais pas permis. Tu dois travailler de manière a te faire oublier mais de manière a ce que je te vois a l'ouvrage tout le jour comme il se doit.

Bachelette = jeune fille , Défroques = vêtement mauvais
Au Moyen Âge, les associations de métier réglementaient le travail en exigeant qu'il ne soit effectué qu'à la lumière du jour.

--Staratelj

Il sourit à la maitresse.

Une seule par jour... bon, je m'en contenterai!

Je suis Staratelj.

Il alla s'installer non loin du bar dans un fauteuil. De la, il avait une vue imprenable sur toute la salle.

--Ohngesicht

C'était un vieux monsieur, la soixantaine, un ancêtre, un survivant des multiples croisades auxquels il avait participé et où il avait perdu la moitié de son visage.
Il se baladait constamment le visage recouvert d'un foulard épais rouge.
Il avait du mal à parler et à chaque respiration, un sifflement digne d'une grille rouillé sortait de sa bouche.

Lorsqu'il entra dans le bordel, il avait un air dans sa tête digne des plus grands orchestres de l'empire de Schweizerische Eidgenossenschaft.
C'était un jour de fête pour Ohngesicht. Il avait récupéré, comme tous les 2 mois, pas mal d'écus des rentes que lui procuraient ses quelques terres. Terres où ils exploitaient les gueux. Terres qu'il avait acquis grâce ses nombreux faits d'armes durant les campagnes en France, au nom des bons et loyaux services rendus... meurtres, pillages, viols, tortures et autres exactions en tous genre qui riment trop souvent avec les guerres.
Regard sur les filles puis il s'adressa au Peint qui se trouvait derrière le bar, la voix raillée:

Je ne viens pas pour postuler à un travail Sire, je viens... à cette instant un filet de bave s'échappa du trou béant de son visage, trempant un peu plus son foulard, pour consommer une de vos filles.

Ses mains sortirent alors des pièces qu'il jeta sur le comptoir. Le Peint les attrapa d'un geste tranquille.
Seuls les yeux de Ohngesicht sortaient du turban enrubanné autour de son visage, et on pouvait y lire de la fureur mêlée à de la passion.

Il semblait heureux de pouvoir bientôt sentir la tendresse d'une femme, le temps d'une passe…

A laquelle de ces mignonnes puis je prétendre avec cette somme?

--Le_peint

Le Peint était entrain de tenir le journal confidentiel des différentes sommes qu'il devrait verser:
-150 écus pour arroser le prime consule
-100 écus pour arroser l'Eglise
-100 écus de taxe pour la mairie
-100 écus pour bénéficier de la protection des Lions de Juda
Payer Dame Envy...

Il fallait absolument que la clientèle arrive car le bordel ne tiendrait pas bien longtemps le coup. A moins de créer une autre fresque qui servirait à renflouer tout cela...

C'est à cet instant qu'un client entra.

Le Peint l'accueilli le sourire aux lèvres : Bienvenue au Bordel sans nom, en quoi puis-je vous être utile?
Il ricana.
Au fur et à mesure que Ohngesicht s'approchait, la couleur du visage du Peint tirait vers le pâle.
Cet homme à l'allure de monstre damné échappé des enfers lui donna des sueurs froides.

Il fit un signe de la tête à Staratelj afin qu'il ne le quitte pas d'un oeil.
C'est alors que Ohngesicht jeta une somme conséquante sur la table, il y en avait bien là pour 5OO écus au minimum... Le Peint reprit ses couleurs et son sourire d'ange.

Avec une telle somme Sire, vous n'aurez que le meilleur de chez nous...
Il regarda un instant les filles qui étaient assisses de façon nonchalante sur les fauteuils et Odonette plus particulièrement qui semblait se distinguer de par son ingénuité.

La maitresse va vous guider dans votre choix.
Il dirigea son regard vers Dame Envy.

--.envy

décidément le peint avait beaucoup a apprendre, Envy soupire faudra qu'on cause tous les deux en attendant....

Mais ce messire, choisit qui il veux sauf bien sûr la bachelette qui ne sert que de bonne ici. par contre je dois vous dire messire qu'elles sont libres d'accepter ou non...

--Staratelj

Le gardien était entrain de se curer les ongles à l'aide de son grand couteau fin, qui lui servait le plus souvent à tuer les idiots qui ne se laissaient pas dépouiller de leur bijou et autres biens.

Il reluquait Odonette fraiche, belle, jeune, fragile.
Elle était tout à fait à son gout, c'est elle qu'il voudrait remplir en premier... Il sourit à cette pensée.

Et Ohngesicht entra, Le Peint lui fit un signe, il mit sa main dans son dos, comme pour se le gratter. Il se préparait en réalité à tirer son arbalète le tuer au moindre faux pas.

--Ohngesicht

Sentait un peu de tension en regardant le gardien... puis aprés la réponse de la maitresse qui lui laissait carte blanche, hors mis la jeune pucelle, il se détendit et commenca à réflechir sur son choix.

Justement c'est avec elle qu'il aurait aimé passer un peu de bon temps.
Mais les deux blondes, lui plaisait bien également.

Il regarda Poupy puis Lola; Lola, Poupy...

Je, je ne sais laquelle pr... à cet instant, un flash! Et bien je vais prendre les deux. La somme que je vous ai verser couvre largement ce choix...

--Le_peint

Le Peint, voyant le client hésiter, lui proposa:
Je suppose que vous voulez boire quelque chose en attendant que ces dames se préparent...
J'ai tout un tas de boissons: vin de l'hypocras, hydromel vins de sureau, genepi ou bien encore bière?

Il essuya un verre et se prépara à servir Ohnegesicht... le tiroir caisse se remplirait comme il faut aujourd'hui!

--.lola.

Lola vit aussi entrer la jeune pucelle et tout en regardant poupy se dit qu'il faut bien commencer un jour
Elle meme avait commencer très jeune
Lola écoutait Poupy ,ce serait bien oui si la jeune pucelle était a leur service
En voyant l'homme entrer ,Lola ut dégoutée mais il était vrai qu'elle n'était pas là pour s'ennyer dans un sofa
Il demandait les 2 blondes et poupy avait une idée
Lola la suivait à l'étage
Cela promettait bien du plaisir

--Ohngesicht

Il était ravi d'entendre que les deux belles blondes acceptaient d'aller avec lui.
Il laissa échapper un petit cri de joie.

Citation:

Poupy : Tout d'abord ,un bon bain ,la suite nous verrons

Oui bien sur...
C'est vrai que ca faisait un moment qu'il avait pas prit un bain...
Les bains étaient en bas. Il laissa son verre de genepi et commenca à s'y diriger lorsqu'il fut alpaguer par Le Peint.

Citation:

Le Peint : Les consommations, c'est en plus! Et en est de même pour l'utilisation d'un bain

Il regarda Le Peint d'un air ahuri. Il allait finir par le dévaliser à force de payer.
Il sortit néanmoins, encore des écus, sous le regard aliéné du gardien placé en plein dans on champs de vison.

Le peint fit signe à Rozala de l'accompagner aux bains.

--Le_peint

Il regarda descendre Ohngesicht accompagné de Rozala.

Se dirigea vers Envy et lui chuchotta:
Je dois aller chercher quelque chose... je reviens.

Puis vers les filles:
On mollit pas les filles, vas y avoir du taff..

Il sortit le sourire aux levres

--Rozala.

accompagner ce charmant messire aux bains? mais biens sûr maître
suivez moi messire c'est par ici...
ondulant elle précède l'homme pour lui montrer le chemin,

--.envy

Envy écoutais les commentaires des filles, soupire bon vas falloir mettre les choses au clair

Dites les filles qui dirige cette maison? qui embauche le personnel? Cette jeune fille je lui ai proposé de devenir servante, laissez là réfléchir et accepter ou non désignant l'homme qui suivait Rozala. en attendant mêlez vous de vos affaires et débrouillez vous sans elle.

--Le_peint

Bon, j'ai une bonne nouvelle pour nous... J' ai trouvé une vierge.

Il sourit.

Elle va arriver bientot. Personne ne la touchera, elle est à mon service. Elle est a moi.

Puis s'adressant au dehors:Rachel, tu peux rentrer.

Rachel

Rachel entendit la voix de son maitre de l'exterrieur.

Timide, elle avança lentement vers la porte d'entrée, salua les personnes présentent puis fit un pas vers l'interrieur de la batisse.

Puis elle attendit les ordres de son maitre sagement.

--Odonette

La pauvre Odonette n'arrivait pas a suivre grand chose, tout cela allait trop vite dans cette maison et tous se marchaient sur les pieds... Mais cela ne la regardait pas.
Elle rougit d'un coup face a la question si crue et a aute voie du maitre et de la maitresse de maison et ne puis que timidement hocher la tête, il lui semblait aussi tout a fait normale d'être vierge puisqu'elle n'était pas en ménage sans quoi elle ne serait pas ici a proposer ses services.
Elle balbutia trois mot et déjà le patron parti en un éclaire faire milles et une choses a la fois. Quant a la maitresse, elle avait deviné son nom sans le dire, étrange se dit elle a elle même.
Elle voulue reprendre la parole que de nouveau deux catins venaient piallier dans les oreille de la maitresse qui les envoya ballader.
Au bout de la troisième fois et après mûre réflection et un grand soufle de soulagement elle arriva a prendre la parole.

Oui madame je m'appelle Odonette, je puis faire toutes les taches pour tenir propre une maison, je sais a faire le ménage, laver le lingue et presque tout recoudre! Je serais a être une bonne domestique madame.

Elle ne pouvait espérer mieux que d'avoir toit et logit sans avoir a faire coucherie. Elle disait madame car c'est ainsi que sa mère domestique appelait sa patronne.

Je suis bonne travaileuse et ne rechigne pas a la tache, je puis travailler du soir au matin sans un bruit si vous le souhaitez.
Je puis même commencer sur le champ si vous voulez.

Avant de la laisser répondre quoi que ce soit elle continua a voie basse;

Je n'aurrais donc pas a vendre mon corps si vous me payer comme domestique n'est ce pas madame?

Je me permet donc aussi une note hrp

Dans un rp on ne cite pas les paroles, il vaut mieux les reprendre a l'indirect. Quand a son age de 15 ans on ne peut pas dire qu'elle soit trop "jeune" car a cette époque les jeunes filles se mariaient et avaient des enfants a cette age la (c'est la force de l'age alors que l'accouchement est dure surtout pour les "vielle" dames).
Voila, je ne critique pas juste que je donne mon avis pour que ce soit constructif.
Désolé pour mon orthographe qui n'est pas parfaite

si vous le voulez bien m'en excuser

--Le_peint

Lorsque Rachel entra, il sourit à toute l'assemblée présente.

Le Pient était fier de sa prise.

Il la reluqua sous tous les angles. Cette demoiselle de 14 ans était bien formée. Son visage avec ses cheveux mi long lui fesait penser à un ange.

Les autres aussi semblaient ravis de voir cette beauté ainsi, au service du maitre.

S'adressant à Rachel:
Bien, ce matin je t'ai marqué au fer rouge sur ta fesse pour que tu n'oublis jamais que tu es à moi, que tu m'appartiens à vie.
Je t'ai recueilli.
Tu es mon esclave personnelle, c'est à dire que je ne te payerai jamais pour le travail que tu fourniras mais en échange je prendrais soin de toi et je te garderai à mes cotés si tu me conviens.

En cas contraire, je te vendrai aux marchands d'esclaves russes.

Il la fixa un instant, le regard sombre. Le Peint était un mélange de ce qui pouvait y avoir de meilleur mais aussi de pire ici bas.
Puis reprit:

A partir de maintenant tu ne t'appelles plus Rachel mais Compés édis.

Il y a des chambres à l'étage. Vas t'en choisir une, change toi et reviens me voir aprés Compés.

Il lui tendit sa main gauche pour qu'elle l'embrasse signant ainsi un accord avec tout ce qu'il venait de lui dire devant tous les autres.

Apres quoi, il entendit la souillonne Odonette acquiesser aux demandes de la maitresse.

Il était content... ainsi le bordel avait tous ses emploiés pour prospérer et devenir une belle entreprise au service du plaisir...

--.envy

l'oeil perçant d'Envy n'avait pas quitté la jeune fille.
elle semble a son aise alors que c'est la première fois sans doute qu'elle entre dans un établissement de ce genre.

bien bachelette tu sera donc domestique ici. Logis et nourriture. tu commencera par aller au marcher te chercher des vestures et quelques nourritures dont je vais te donner la liste, si tu sait pas lire donne là aux chalands eux ils savent, dis leur de mettre le tout sur la note d'Envy.
Ensuite cet homme aura fini son bain tu pourra te laver et te vestir décement. tu ira en cuisine préparer le repas et ah oui tu dors dans le grenier trouve de la paille et installe toi.

elle écoute la question presque inaudible dans le bruit ambiant

pour le moment non, tu n'aura pas a le faire, Mais,
je te garde si jamais un client désire payer suffisamment pour t'avoir....
l'inquiètude de la jeune fille se voyait sur son visage pour la détendre Envy ajouta
certaines filles qui se font dépuceler de cette manière, gagnent suffisamment pour se doter et se marier juste après.
Ah et aussi je n'ai jamais forcé une de mes filles Rozala pourra te le dire je veux des mines souriantes et avenantes cela plait beaucoup plus aux clients
allez hors de ma vue file au marché!

--Soumise_au_peint

la soumise se mise à genoux devant son maitre et en guise d'acceptation lui baisa la main puis alla se changer avec les vêtements que le Peint lui avait offert.Elle appartient maintenant au Peint, il ne faut donc pas se négliger, elle se fit belle pour lui plaire

En redescendant les marches de l'escalier, la soumise se détacha les cheveux puis les laissa librement retomber sur ses épaules dénudées.

--Lenoeud

Poussant la porte de l'établissement en désordre, Lenoeud la fit grincer...

Alors où sont -elles ? lança-t-il. (clic obligatoire)

--Staratelj

Heyyy la!

Arme son arbalète discretement et promptement.

Qui es tu toi!

--Ohngesicht

Il passa un moment agréable aux bains, lavé par Rozala.
Il ne manqua pas de la regarder sous tous les angles bien malgré son désir de coucher avec les blondes.

Il n'avait plus son foulard et son visage etait à l'air libre.
La "gueule ouverte" comme on l'appelait parfois.
Il était géné tout de même.

Au bout d'un moment, il en sorti. Rozala l'essuia doucement.
Merci belle rousse! lui dit il pour la congédier.

Il remit son foulard. Puis s'habilla.

--Le_peint

Il regarda Compés arriver vers lui.

Elle était trés belle et vraiment coquette ainsi vétue.

Compés, je dois m'occuper du bar et accessoirement de la gestion de ce bordel.
Je veux que tu restes prés de moi, que je puisse te surveiller et t'éduquer lorsque j'en ai envi et temps.

Il lui montre un fauteuil assez confortable.

Assis toi là.
Je voudrai pas que ta ceinture de chasteté te fasse trop mal.

Il sourit, mettant sa main dans sa poche, trifouillant l'unique clé de la serrure de la ceinture de sa soumise.

--Ohngesicht

Ohngesicht s'approcha des filles qui étaient dans le grand canapé en veloure rouge. Il s'assit directement entre les deux blondes.

Bien, mes jolies. Je suis tout propre!
A vous de me montrer ce que vou savez faire...

--Lenoeud

Voyant l'arbalète pointée, l'homme se rembrunit..
Et vous, oserai-je répondre. Rangez donc votre arbalète, l'ami ! fit Lenoeud en dégainant ses deux poignards de lancer (un clic ?)

--Sibeau

siBeau avait chevauché toute la journée. Après avoir été spectateur du coucher flamboyant de l'astre du jour, il voulait trouver un endroit où crécher pour la nuit.
Dans ce village où tout lui était inconnu, il observa le premier bâtiment qu'il croisa sur sa route. Bien que siBeau aimait bien le luxe et les belles choses, cet endroit avait un petit quelque chose d'intriguant et il se décida à y franchir les portes.

Aussitôt ces dernières passées il fut confronté à un mélange d'odeurs qui lui rappelait quelque chose, mais QUOI?? Affamé comme il était, il choisi de prendre place près de la porte et de fouiller dans sa mémoire.
Il observa les gens et la décoration avec un sentiment de déjà vu.
siBeau ferma les yeux pour se plonger dans les profondeurs de ses souvenances.

--Soumise_au_peint

Compés fit un signe de la tête à son maitre puis alla s'assoir sans dire un mot, tout en regardant son maitre travailler.
La ceinture que son maitre lui avait mise lui faisait mal, mais elle n'osait pas lui montrer sa douleur à celui à qui elle donnerait sa vie.

--.lola.

Lola regarda l'homme au visage caché en souriant et le pris par le bras

Viens mon joli je vais m'occupper de toi

Lola l'emmena a la c hambre

--Sibeau

L'homme vit une femme se présenter à lui et une boule lui arriva dans la gorge.
Il venait de réaliser où il se trouvait.
Lui qui ne voulait que manger et dormir, le voilà qui se retrouve avec une dame de joie à ses côtés.
siBeau résista aux avances de la femme.

Bien aimable à vous mademoiselle, mais je ne cherche pas ce genre de plaisir, en tout cas pas pour le moment. Mais par contre il me ferait plaisir de partager un repas avec vous si vous le permettez. Je me présente siBeau. Je viens d'arrivée ici, je ne connait encore personne et je n'avais aucune idée de l'endroit où je me trouvais avant de vous voir arriver.

De son oeil valide il observa attentivement la jeune dame devant lui.

--Poupy

Poupy avait décider de changer de look et profitant de l'absence de Lola se transforma
Elle était assez fière de son travail ,teindre ses cheveux néétait pas chose facile a cette époque
Poupy se regarde dans un miroir "Parfait "et redescendit rejoindre Lola qu'elle croisa dans l'excalier

Alors,messire prét pour le grand jeu!!

Poupy avait fermé les tentures de la chambre et avait allumé des bougies cela faisait plus romantique ,ainsi le client se sentait a l'aise

--Ohngesicht

Viens mon joli je vais m'occupper de toi

A ces paroles, on put percevoir un espèce de sourire sous son foulard.
Il était ravi qu'une blonde l'invite dans sa chambre.
Il la suivit passant derrière elle, mattant au passant ses jambes superbes.

Il arriva dans la chambre et la regarda se déshabiller.
Il n'en perdait pas une miette.

Vous... vous êtes tres belle Madame.

--Soumise_au_peint

Compés entra dans sa chambre fatiguée de cette journée....

Elle se dirigea vers sa coiffeuse, s'assis et pris sa brosse afin de se coiffer les cheveux, comme chaque jour, le même rituel.

Elle se mis à penser à ses parents qui lui manquaient beaucoup même s'il ne montraient aucun amour envers elle.

Elle leva le visage, se vis dans le miroir et se dit tout haut:

"Tu es tombé bien bas ma fille"

Elle laissa tomber alors sa brosse parterre puis s'effondra sur la tablette de sa coiffeuse en pleurant.

-"Maman, Papa ne me jugeaient point, j'ai fais une erreur, mais je vais m'en sortir, je vous le promet!

--Rozala.

la Rousse sourit au jeune borgne, Elle rit voyant la mine déconfite de l'homme.

messire je puis vous tenir compagnie durant le temps de votre repas si vous le désirez, il n'y as aucune obligation autre que de vous faire plaisir en cette demeure. Elle s'installe face a lui, fait signe a odonette de venir servir le repas notre servante ne devrait pas tarder, en attendant voudriez vous un peu de vin ou une boisson plus exotique comme ce merveilleux wiskey?

Rachel

Compés se leva d'un bond de son tabouret.

"Non mais attend, tu vas te remuer ma fille?"

Elle dégrafa son corsé rose, attrapa une épingle à cheveux, l'introduisit dans la serrure de la ceinture de chastetée puis d'un coup de poignée, elle fit sauter le verrou.

Elle attrappa ses vielles froques qui se trouvaient dans l'armoire de sa chambre, se rhabilla en vitesse puis sourit de bonheur d'avoir retrouvé son allure d'avant.

D'une main, elle agrippa les draps de son lit enfin de les attacher entre eux pour en faire une corde de fortune.

Aprés l'avoir ballancé de sa fenêtre du deuxième étage, Compés attrappa la corde avec ses deux mains et s'y laissa glisser jusqu'au sol.

A peine avait 'elle touché le sol qu'elle avait disparu dans la fôret toute proche.

Elle s'arrêta puis regarda derrière elle et se mis à crier:

Maintenant, je m'appelle RACHEL!!!!!!

Rachel

--Natashalarichissime

Assise dans le sofa, Natasha regardait les mâles défiler.

Aucun ne lui plaisait, aussi restait-elle alanguie moelleusement

--Sibeau

Il offrit à cette grande rousse son plus beau sourire malgré son visage atrophié.

Je prendrais bien un wisky ma jolie. Cette elixir me comblerait de joie.

en attendant sa consommation, il remarqua une dame de charme assise nue sur un divan. Elle semblait l'âme en peine. Il se leva et s'approcha doucement d'elle. Ne voulant l'apeurer il tira une chaise près d'elle et attendit de voir sa réaction.

--Natashalarichissime

Malgré son odeur de crottin et son oeil manquant, Natasha accepta qu'il s'asseye en face d'elle.
"Ah, messire... vous semblez perdu en cette cité... sourit-elle en minaudant. Son torse semblait bien bâti, ses muscles saillants. Le regard de l'homme la troublait cependant.
Abaissant ses yeux et couvrant sa nudité, la jeune femme sondait la richesse de l'homme.
- Et votre galanterie s'abaisserait-elle à m'offrir autre chose que ce verre ?"

--Le_peint

Le Peint regardait tout ce petit monde...

Il avait remarqué qu'une fille, s'était incrustée dans le bordel sans passer entre ses mains pour controler "sa santé".

Elle avait néanmoins réussi à aguicher un client.

Il verrait cela plus tard.

Il envoya Staratelj au bar s'occuper un peu d'aller servir.
Il avait l'air de s'y connaitre lorsqu'il s'agissait de boissons. Ca lui irait bien.

Lui s'occuperait dans un coin du bordel, à regarder et gérer les affaires courantes.
Le bar, s'était trop contraignant.

Il s'assit donc et regarda avec un sourire aux lévres.

--Sibeau

Bien qu'elle était nue, siBeau n'arrivait à détourner son regard du visage de la femme devant lui. Malgré ses fortes rondeurs, elle dégageait une telle féminité. Son regard noisette persant le perturbait.

Quelle sorte de boisson ferait votre bonheur jolie dame?? votre choix sera le mien.

Il attendit qu'elle indique son choix au serveur.

Je suis effectivement un peu perdue dans cette cité. vous, vous y êtes depuis longtemps??

--Poupy

Poupy ragarda Lola désabiller l'homme ,elle se désabilla et s'aprocha du lit ayant pris soin de se laver les mains et verser de l'huile au creux de ses mains

Poupy fit mettre l'homme sur le dos et commença son massage sur tout son corps ,le caressant doucement lui donnant du plaisir

--Ohngesicht

Il se laissa masser doucement par la la blonde qui était devenue brune.

Fermant les yeux il s'imaginait déjà loin, dans un monde où il n'avait pas commis tant d'atrocités en temps de guerre,dans un monde où il serait beau et pas défiguré, dans un monde où il ne serait pas obligé d'aller dans une maison close pour y trouver du plaisir.

Huuummm j'adore ce vous faites!

--Poupy

Poupy le regarde continuant de le masser n'épargnant aucun endroit ce qui donnait du plaisir a l'homme
Poupy prena ses mains qu'elle posa sur elle ,l'invitant a la caresser

Citation:

Huuummm j'adore ce vous faites!

[b)profitez en aussi mon brave ,nous sommes là pour vous donner du plaisir,n'ayez pas peur de nous toucher[/b]

--Staratelj

Moi? Serveur, tu te fiches de moi Le Peint???!!!
Il le regarda avec son air sadique.
Je suis ici pour m'occuper des lourdos... pas pour servir.
Si le contrat change entre nous dans ce sens là, je me casse!

Demande à la pucelle Odonette, elle fout rien depuis qu'elle est là!

Il sourit et se rassit dans son coin pour surveiller ma salle.

--.lola.

Pensant que poupy massait l'homme au foulard,Lola s'occuppait ailleurs ,masser était bien et il aimait ça le coquin

Lola en profita un maximum,il avait peut etre un visage défiguré ,il avait un beau corps

Lola s'en donna a coeur joie

--Ohngesicht

Il ralait de plaisir et bientot lui même prit les choses en main.

Il s'occupa d'assouvir son plaisir sur Lola pendant que Poupy lui caressait le dos.

Puis il changea les rôles et c'est avec un grand plaisir que ces dames jouérent la scène sous un autre axe.

Le plaisir, que les femmes lui procuraient, était immense.

Le bonheur, la douceur, l'échange charnel lui procurait le plus grand bien.

--.lola.

Les échanges de tendresse donner par l'homme se terminait ,il était rare de trouver autant de gentillesse chez un homme

Lola fit un peu de toilette puis se rabilla invitant l'homme a faire de meme

Cela vous a plu messire?

--Ohngesicht

Oui, vraiment trés bien répondit Ohnegesicht à la charmante

Ah coup sur je reviendrai!

Puis il sortit en direction de la ville, léger et heureux.

--.lola.

Lola lui souriait

Je l'espère bien messire ,vous étes très charmant.

Et lorsqu'il fut sorti de la chambre Lola changea les draps avec Poupy .C'était ainsi a chaque clientPuis redescendait au petit salon

--Poupy

Poupy souria également au messire qui se rabillait tranquillement et s'en allait satisfait
Après avoir fait sa toilette ,elle aida Lola a refaire un lit propre puis s'habilla dans cette tenue mauve qu'elle devait porter pour se promener en ville .Elle détestait cette tenue et regardait Lola qui se préparait a descendre

Je vais en ville Lola tu n'as besoin de rien?

--Sibeau

L'homme à la barbe mal rasé observait la femme ronde qui prenait place devant lui. Elle se tortillait les mains soit par gêne soit par indésicion, car elle n'avait toujours pas signifier son choix de consommation.

Alors chère dame, que puis-je vous offrir à boire??
Vous dégagez une telle féminité, est-ce qu'on vous en a déjà témoigné?

Malgré sa laideur, il lui adressa son plus beau sourire charmeur.

--Poupy

Poupy voulait se rendre en ville et avait revetue ses vetements mauves ,elle détestait cette couleur ,le noir lui allait mieux et se dirigea vers le Peint

Je dois aller en ville Le peint je reviens plus tard

--.lola.

Cela faisait plusieurs jours qu'on avait vu personne,l'ennui s'installait grandement

Ray_mond

Ray, 17 ans, puceau, arriva à Lausanne avec toute la troupe d'amis de Savoie. Il avait rencontré peu de monde jusque là en Helvétie et ne saurait dire encore si il y avait des helvétiennes comme il l'espérait afin de se trouver une jeune pucelle ou une vieille catin pour le mettre en émoi.

Faut dire qu'à son age, la braie le chatouillait souvent et que dame poignée en avait un peu marre d'œuvrer i souvent.

ON lui avait dit qu'à Lausanne, une maison existait ou il pourrait dégorger son acné et il comptait bien la trouver. De bonne heure, pour un repérage, il arpenta les rues de la ville.

--Rozala.

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La rousse s'ennuyais ferme, elle sortais peu, les vestures mauves n'allant pas du tout avec sa chevelure, maudite loy Lausannoise mais il vaux mieux ça sans doute que l'interdiction pureet simple... Depuis le départ de le peint les clients se faisaient rares, aussi passait elle souvent son temps devant la fenêtre, ainsi elle eu un sourire léger lorsqu'elle vit devant la maison un jeune homme qui passait lorgnant la maison sans doute se demande t'il si il possède assez d'écus...

Ray_mond

Ray mâchouillant sa paille devant une grande maison qui aurait put etre celle qu'il recherchait, resta pensif.

Un sentiment mélangé d'excitation, de honte, de gauche l'envahissait.

Sa tête était en feu mais bien moins que sa braie à la pensée de pouvoir enfin découvrir ce qu'était la douce sensation de prendre une femme, se mettre au chaud comme disait son ami Evrard, ah, si il était la l'Evrard tout court, il lui dirait quoi faire. Et si on le voyait entrer, personne ne le connaissait ici, enfin presque, ses amis, mais ils dormaient tous à part Dame Melisse, qui voulait pas qu'on l'appelle Dame Mel, mais elle était surement fort occupé encore avec cette homme et cette belle jeune fille en taverne. Il avança vers la porte, prit le marteau, le relâcha, recula, posa sa main sur sa braie déformé, jeta un œil à droite, à gauche, mon Dieu, que c'était dur, dur de partout.

--Rozala.

elle l'avait vu traverser la rue, timide sans doute le regard furtif comme beaucoup de clients.
au premier coup du marteau elle lui ouvrit donc souriante.

bien le bonjour damelot, entrez donc!

Ray_mond

Bon de recul au moment ou la porte s'ouvrit , vision de bonheur, yeux écarquillés, bouche bée ne voulant sortir aucun son, l'air idiot quoi.

--Rozala.

voyant le jeunot hésiter elle lui fit un de ses plus beaux sourires, que puis je pour vous? désirez vous une bière?

Ray_mond

Ray se reprend, inspire longuement et avance vers la belle dame, crache sa paille avant d'entrer, gonfle la poitrine.

Jour mam'sel, on ma dit que je trouverai le bonheur ici, est-ce vrai ?

Il ne pouvait s'empêcher de regarder les seins opulents de la dame, tirant sur son haillon pour ne pas laisser paraître l'émoi qu'il ressentait.

Je pars ce soir, combien ça coute ? il faut combien de temps ?

Gêné , ne sachant pas les us et coutumes pour ce genre de chose, essayait de garder son calme et se tenait tout droit, c'est le cas de le dire, devant la beauté de rouge vêtue.

--Rozala.

lui laissant entrevoir un peu plus son décolleté, elle se penche a son oreille lui murmure le prix puis se redresse. Mais venez donc par ici, il n'est pas bon pour le voisinage que nous entreprenions cette conversation dehors. Elle le prend par le bras l'entraine a l'intérieur referme la porte. ainsi vous partez ce soir? quel dommage mais nous aurons le temps... si vous acceptez le prix bien entendu nous pouvons aller de suite a l'étage...je vous offre un peu de vin d'hypocras si vous montez avec moi. nouveau sourire elle le lâche s'éloignant de lui, ondulant de la croupe, pour prendre le flacon derrière le comptoir, un sourire accroché aux lèvres, Le poisson est ferré reste a voir si les écus suivent..., revenant auprès de sa proie, alors damelot? que décidez vous?

Ray_mond

Ray suivit la dame, fouillant sa bourse qui tintait de menues pièces.

Jeeee, heuuu, ouiii, nonnnn, et pour un puceau c'est pas moins cher ?

Il se disait qu'il était là, prêt à sauter le pas, enfin le pas, façon de parler, et que quelques écus allaient l'empêcher de devenir un homme, aller l'empêcher de rentrer en Savoie, fier d'annoncé son ami Evrard qu'il avait réchauffé son corps dans une dame, il ne pourrait pas lui raconter les sensations qu'il aurait ressentit en la déshabillant doucement, laissant ses doigt effleurer sa peau surement douce comme la soie des nobles, il ne pourrait décrire le corps nu de cette beauté qui généreusement avait l'air de s'offrir, enfin offrir, à lui, l'imaginant déjà sur la couche, lui se posant sur son ventre laissant son anatomie l'envahir, un frison le parcourut, son regard désespèré attendait sa réponse.

--Rozala.

elle le regarde d'un air doux, si je commence a faire des exception.. soit nous dirons que je fais oeuvre de charité le très haut sera staisfait[/b] elle lui sourit reviens auprès de lui de sa démarche chaloupée, dépose un baisé sur ses lèvres montons nous donc?

Ray_mond

(je ne peux pas continuer le rp ce soir mais ma marionnette repasse a Lausanne d ici quelques jours

)

Ray, prit de panique, ouvrit la porte, ses jambes à son cou, fila comme un éclair sans se retourné.

Il se jeta sur la première meule de foin et se mit à pleurer comme un enfant.

--Rozala.

je termine donc, car moi la mienne pars dans quelques jours merci pour le RP

elle se dirigeait vers l'escalier quand un courant d'air la fit se retourner elle eu juste le temps de voir la silhouette du damelot passer la porte, elle part d'un éclat de rire vas refermer la porte non sans avoir jeté a la volée
Quand tu sera prêt reviens!

--.envy

elle avait autre chose a faire Envy que de rester là a attendre les clients qui ne venaient pas, d'autres villes d'autres fortunes a gagner aussi mit elle un panneau sur la porte,

FERMETURE DE L'ÉTABLISSEMENT
pour un temps indéterminé, libre pour entrepreneur enthousiaste
Envy

c'est vêtue de mauve en compagnie de Rozala qu'elle sorti de Lausanne en toute discrétion

Catouline

Catouline boitante, très mal en point arrive devant la porte de son ami en arrivant en ville, elle espérait le réconfort du lieu pour l'accueillir quand elle voit sur la porte que l'endroit est fermé, elle s'écroule contre la porte attendant que quelqu'un passe pour l'aider ... n'ayant plus la force d'aller plus loin
_________________
Catouline

Meyllie.snow

Meyllie rôdait dans les ruelles de Lausanne à la recherche de solutions. Elle marchait dans la neige, écoutant le son de cette masse blanche se faire écraser par ses pieds. Les pensées qui prenaient toutes la place dans sa tête furent dures à gérer.... Elle ne savait que faire.... que dire....

C'est alors qu'elle passa devant la bordel. Elle ne réalisa pas toute de suite qu'il y avait quelque chose devant la porte. S'arrêtant, elle regarda attentivement .... fronça les sourcils.... Il y avait quelqu'un!

La jeune Meyllie accourût au secoure de la personne. Une fois avoir atteint la maison, elle s'accroupit près d'une femme. Elle avait l'air très faible. De sa voix, elle lui murmura doucement :

- Dame? Dame?? Vous m'entendez? Je vais vous aider, n'ayez crainte... Que vous arrive t'il?

Meyllie la secoua très légèrement, ne voulant pas la brusquer, mais la faire réagir.
_________________

Catouline

Catouline dans une demi conscience le froid l'engourdissait, les coups reçu et la faim avait épuiser ses forces, elle entend un murmure comme dans un rêve la tête dans du coton, elle pouvait à peine réagir, cet voix ne lui était pas inconnue

Elle essaye de lever la tête péniblement vers la dame et d'ouvrir les yeux mais retombe, son corps lui paraissait peser 2 quintaux même la main elle ne pouvait bouger à peine le doigt pouvait se soulever, rien à faire ses forces l'avait quittée, elle était mourante ...
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Catouline

Swenn

Sortant a peine de longues saines de retraites , swenn passa devant le batiment sans y accorder de lattention lorsque les cris de meyllie attirerent son attention il savanca inquiet et vit une jeune femme a terre certainement mourrante.... En sapprochant il la reconnu cetais sa soeur!!!! Il accourut priant aristote quil ne la rappel pas a lui

Mon dieu catouline que cest il passe?

Lhelvete etais tres inquiet ne sachant quoi faire puis il fouilla sa besace par chance son necessaire de sin ne le quittais jamais

Meyllie aide moi je ten suppli ma soeur se meurs va chercher de laide!!!

Il prit sa soeur dans ses bras et essaya de la rassurer la suppliant de ne pas le laisser seul a nouveau

Catou ou es nico? Que sest il passe au juste?
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Catouline

Catouline se senti soulevée et soutenue dans des bras aimant et chaud, elle reprit quelque force se sentant soutenue, elle ouvre un oeil se sentant réchauffée doucement, lève la tête et reconnait son frère

sweennn !! attaquéeee ... arrive t elle à peine à balbutier avant que sa tête retombe contre son frère, comme dans un rêve douloureux et froid
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Catouline

Swenn

la voyant s'evanouir swenn degraphe sa cape de sa main libre et recouvre doucement sa soeur , avec tendresse il la prend dans ses bras et la mene au domaine où il la soigne de son mieu puis lorsqu'il fut sure qu'elle etais hors de danger il alla a la recherche de son beau frere.....
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Meyllie.snow

La jeune Snow vit Swenn accourir pour aider sa soeur. Il lui demanda d'aller chercher du secours, ce qu'elle s'empressa de faire. Elle partit en courant en hurlant :

- FRENG!! FREEEEEEEEEEEEEEEEEENG!!! AU SECOURE!!! FRENGGGGGGG!!!!!!!!!!!!!

Elle partit à toute hâte vers la maison du médicastre.
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Catouline

Catouline se sent transportée par son frère, elle s'abandonne à ses bras sachant qu'il prendra soin d'elle, elle reste inconsciente n'ayant aucune idée où il l'emmène

(suite au domaine de Perlis)
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Catouline

Aelig

Où Aelig courait à béquilles abattues...
C'est que ce matin là, il avait comme une envie pressante !

POUM ! POUM ! POUM ! Fit le poing contre le porte

- Il y a quelqu'un ?

...

-Dépêchez-vous ! C'est urgent !

POUM ! POUM ! POUM ! POUM ! POUM ! OHÉ !

...

-Ben v'la qu' c'est étrange...La est maison est close, on dirait...

Sort un instrument de sa besace.

POUEEEETTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT

Parc'que le son du cor, ça vous réveille-même les morts. Même...

...

Ben Flûte alors...

P't'ête pas aujourd'hui que quelqu'un pourra répondre à ma question sur l'origine de l'Univers...
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Aylay

Aylay cherchait désespérément une auberge pour passer la nuit.
ah crotte!! du temps du chalet il y avait plusieurs auberges et a présent malgré ses allées et venues dans toutes les rues , elle ne trouvait rien ou passer la nuit.
c'est alors qu'elle aperçut une grande bâtisse d'angle de fort belle facture. et alors qu'elle regardait si une enseigne n'était pas accolée au mur ,son regard se porta sur la façade.
oh un bordel, mince alors, mais tout semble fermé.
Faute de mieux je vais taper pensa t'elle, peut être pour une nuit pourrait il m'héberger en payant .
La jeune femme qui ressentait intensément la fatigue à cette heure avancée, avait faim et soif , et n'avait aucune envie de passer une nuit de plus à la belle étoile,
elle tapa à la porte de son poing fermé, attendit un long moment mais tout semblait dans l'oublie.
Oh quel dommage,!! la jeune femme réfléchissait : le chalet voila il me reste le chalet , suis je bête !!
J'ai la clef en plus, .
De sa main gauche elle toucha sa besace , seul souvenir du temps passé, la lourde clef de la porte d'entrée du chalet ne l'avait jamais quittée.
Et qui sait peut être quelqu'un a t'il repris l'affaire .
Le moral au beau fixe à nouveau , la jeune femme prit la décision de se rendre au chalet des quatre.
Quelle bourrique tu es !!c'est la première des choses que tu aurais du faire.s'exclama tout haut en riant .

S'armant de courage malgré ses courbatures qui refaisaient surface , la brune tourna les talons et s'enhardit dans les ruelles qu'elle n'avait pas oubliées.

Catouline

Catouline se promène dans Lausanne en trainant la jambe, il lui faudra le temps pour se remettre.

Elle passe devant le bordel et sourit en pensant à son ami, dommage que celui ci était fermer elle y serait passée avec plaisir pour aller le saluer, mais lui non plus n'était pas à Lausanne ... elle passe donc son chemin
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Catouline

--La_sauterelle

La gueuse plutôt bien roulée passe devant l'enseigne, la regarde en fronçant les sourcils, elle cherchait de quoi s'offrir sa pitance, voilà qui lui irait à merveille. C'est sûr qu'il lui faudrait un bon bain avant que quelqu'un veuille la toucher, depuis l'temps qu'elle promène ses chausses de ville en ville, n'est plus très fraiche la gueuse!

Elle s'approche de la porte, un parchemin déchiré dessus, illisible, elle frappe très fort à la porte, celle-ci cède et s'ouvre

Oooh un signe ! elle pousse doucement la porte

Ya quelqu'un!!

Elle entre, peut être est-ce une chance pour elle, ouvrir son propre bordel, elle sourit, l'idée est plaisante après tout il a l'air laisser à l'abandon c'est bête de gâcher cela.

L'établissement avait été bien tenu, malgré la poussière on voyait que l'endroit avait été propre et agréable. Aucune trace du propriétaire, après tout s'il revient, elle pourra toujours s'arranger avec lui ou elle, il sera surement content qu'on ai entretenu l'endroit.

Allez au boulot! on va nettoyer tout ça pour que ce soit à nouveau présentable.

En arrivant en ville elle avait vu une armée à la porte de la ville, une bonne opportunité, les soldats aimaient souvent les jolies filles surtout quand ils étaient loin de chez eux.

Elle se dépêche de tout ranger et nettoyer, tout brille comme un sous neuf, voilà de quoi en récolter justement . Plus qu'à elle maintenant, trouver de beau habit, elle en avait vu en rangeant les chambres et au sous-sol une bassine pour le bain, il y avait même des pétales de roses pour y mettre dedans, de quoi ce parfumer le corps, le propriétaire avait pensé à tout. Elle profite donc de l'endroit pour ce faire belle et présentable, même désirable surtout désirable.

Et voilà le travail!! tout est près ... plus qu'à attendre le client

Elle ouvre la porte, enlève l'affiche déchirée et y met une autre

Citation:

Réouverture du bordel sans nom
bienvenue

--La_sauterelle

Trouve son affiche pas lisible la retire et en remet une autre

--La_sauterelle

Un rayon de soleil printanier caresse Lausanne ce matin.
La gueuse se met devant la porte la main sur la taille, appuyée contre le mur de l'établissement la jambe pliée, le pied sur le mur derrière elle, la jupe légèrement relevée un bord coincé dans sa ceinture laisse apparaitre sa jambe bien galbée gainée d'un bas, juste assez subjectif sans être trop provocateur, son bustier fait ressortir ses formes mise en valeur par le maintien serré de celui ci un châle léger sur les épaules qui lui tient chaud mais ne cache rien de ses atour.

Elle regarde les badauds passer faisant des sourires plaisants et enjôleurs.

--Luc

L’homme jeune et plein de vie était fort heureux de sa journée. L’habileté et la rapidité de ses mains lui permettait de vivre tranquillement. Encore une fois, il avait fait preuve de sa virtuosité.

Plus avant dans la journée, il avait installé ses tréteaux, positionné une planche dessus et avait attendu. Comme à chaque fois, le chaland ne se fit pas attendre. Il n’eut qu’à sortir ses cartes et demandé qui serait capable de retrouver celle montrée, après un mélange de quelques passes. Comme d’habitude il perdit plusieurs fois de suite quelques écus. Puis petit à petit il les regagna pour finalement faire un bénéfice plus que correcte. Tout dans la finesse et la parole si bien que personne ne se sentie lésé.

Laissant ses pas le guider, il espérait trouver une taverne ou rafraichir son gosier desséché par tant de paroles énoncées tout à l’heure.

--La_sauterelle

La gueuse n'avait pas vu grand monde passer ce jour et le peu qu'elle avait vu, au bras de leur dame détournait le regard pour ensuite regarder ses gambettes de par dessus leur épaule sans que leur dame ne le voie, elle en riait et pensait qu'il reviendrait surement un jour où leur douce ne sera point là.

Elle voit arriver un jeune homme souriant, il avait l'air d'humeur joyeuse, elle arbore son plus joli sourire

Bonjour messire ! penche la tête pour le saluer une petite chopine pour vous désaltérer après une rude journée ? elle fait un mouvement de la main vers la porte d'entrée lui indiquant la voie
On vient de réouvrir, tout propre tout net près à vous servir mon seigneur elle sourit grandement en le regardant les yeux pétillants.

--Luc

Se voyant interpellé, Luc s'arrêta à la hauteur d'une jeune fille. D'un regard connaisseur, il admira ses courbes félines.

Que voilà une bien belle personne pensa-t-il

Se piquant au jeu, il dit :

- Vous m'offririez une chopine ? Voilà qui n'est pas courant dit-il tout en décochant son sourire le plus charmeur.

--La_sauterelle

Ce jeune homme avait l'air charmant ou plutôt charmeur comme elle, elle ne devait pas oublier le commerce et ne pas ce laisser prendre mais ne dit-on pas que le client attire le client ... et puis peut être ... une autre idée germe dans sa tête ... elle lui fait son plus beau sourire et se redresse offrant ses formes à son avantage.

J'vous offre le premier verre mon seigneur ... pour l'ouverture ! ce ne sera qu'aujourd'hui profitez en ! elle le regarde enjôleuse.

--Luc

- Voilà une bonne parole. Une bière bien fraîche du pays sera parfaite. Dit Luc savourant par avance la boisson.

Son regard ne put éviter de se poser quelques instants sur le haut de la silhouette lui faisant face.

Bigre que cette femme est fort jolie. Pensa-t-il.

N'insistant pas trop avec son regard ne voulant pas être trop gênant, il laissa tout de même ses yeux fixer quelques instants ceux de la femme. Puis faisant un clin d'œil, il décrocha en disant :

- Je vous suit !

--La_sauterelle

A ses mots ou est ce une promesse elle sourit
Son regard posé sur ses rondeurs ne lui avait pas échappée, elle quitte son appui sur le mur mettant un peu plus en avant sa poitrine bien fournie.

Hummm une promesse ? elle rit et le tire pas le col pour le faire entrer
Allons y ! que je vous offre cette ... elle se lèche les lèvres en souriant .. bière !

En entrant dans l'établissement, elle lâche son col et se dirige vers le bar pour aller chercher la dite bière, elle en sert deux, elle ne va pas le laisser boire seul, tout en servant elle relève les yeux sur lui
Asseyez vous donc, mettez vous à l'aise ! elle lui sourit

--Luc

--La_sauterelle

--Luc

--La_sauterelle

--Luc

--La_sauterelle

--Luc

Fixant son regard au sien il dit.

Je n'ai plus vraiment soif, mais mon appétit s'ouvre petit à petit. Qu'auriez vous à me proposer afin de calmer cette faim naissante ?

--La_sauterelle

--Luc

--La_sauterelle

--Luc

Luc consulta du regard la carte. Son choix se porta sur "Canne tendre sur lit de douceur".

Voilà bien des promesses dans ce nom. Qu'en est-il exactement ? Demanda-t-il.

--La_sauterelle

--Luc

--La_sauterelle

--Luc

--La_sauterelle

Sourit à sa déception mimée

Euh! si bien sur, mais justement c'était pour ne pas perdre une miette de temps avec mon Seigneur et que son estomac soit substanté également, mais si vous le voulez autrement vos désir sont des ordres elle lui sourit

Vous êtes le roi tout vos désirs seront exhaussés elle lui fait une révérence

--Luc

Luc regarda la femme exécuter une révérence pleine d'une grâce teinté d'une douce moquerie.

Guide moi vers cette endroit paradisiaque où tu pourra exprimer toute ta sensualité tout en réalisant un service de qualité. Fit-il.

--La_sauterelle

Hummmmm bien mon Seigneur ! elle passe devant lui et lui attrape le col à nouveau et l'entraine vers les étages se déplaçant avec une grâce et sensualité à réveiller un mort, ils rentrent dans une chambre discrète ... là elle se laisse aller à sa sensualité en s'efforçant de tenir toute les promesses émises ...

--Luc

Volupté et tourbillon des sens furent tour à tour mis en exergue. Luc apprécia pleinement ce ballet si finement orchestré.

--La_sauterelle

La brune se montra aussi mystérieuse et savoureuse que la bonne bière dégustée plus tôt, entrainant son client dans une tornade de plaisir des sens, comblant son appétit et sa soif de découverte subtils jusqu'à l'extase.

--Luc

Lors de toute tempête arrive un moment d'accalmie. Serré l'un contre l'autre, Luc caressa les cheveux de la femme. Il sentait sa respiration s'apaiser petit à petit. Tout en contemplant son corps souple et ravissant luisant de sueur sous la lumière des flammes de l'âtre dans lequel terminait de brûler une bûche, il lui dit.

Petite panthère, tu maîtrise à merveille ton art.

--La_sauterelle

Serrer l'un contre l'autre, profitant du repos du guerrier, elle le regarde en souriant.
A ses mots, elle plie les doigts en faisant comme si elle sortait ses ongles et les passe doucement sur son torse
GRRRRRR!! en riant

Et oui mon Seigneur, nous ne maitrisons pas tout dans le vie, tout l'art réside dans le faite d'essayer de maitriser une chose et de tout faire pour y exceller elle lui sourit

--Luc

Luc lui attrapa la main et en profita pour la faire rouler sur lui. Tout en caressant doucement son dos il lui dit.

Voudrais tu te mettre en affaire avec moi ?

Mais talents à manipuler les cartes me permettent de vivre sans avoir besoin de pratiquer un quelconque travail. Mais avec toi, les badauds seraient plus nombreux. De ton côté tu y trouvera certainement des clients du mien plus de pigeon à déplumer.

Ayant terminer sa phrase, il laissa ses ongles griffer légèrement les flancs de la brune.

--La_sauterelle

Sur lui, elle est surprise de sa proposition, mais cela ne lui déplait pas. Elle n'a jamais eu de patron et cet maison était plutôt une opportunité dont elle a profité, celle ci en était une autre très tentante, mais elle ne voulait pas donner sa réponse trop vite, après tout elle ne le connaissait pas, ce n'était pas la soirée et nuit passée ensemble qui faisait qu'on connaissait quelqu'un.

Elle le regarde en souriant, frissonnant à ses griffures

Intéressant comme proposition, je dois y réfléchir, je n'aime pas les associations, je me suis toujours débrouillée seule et ... elle le regarde dans les yeux ... je ne te connais pas, la seule chose que je connais de toi est que tu es un bon coupelle rit le taquinant et en plus je ne reste jamais longtemps au même endroit, je ne sais même pas où je serai demain

--Luc

Tout en caressant les épaules de la fille il prononça.

Cela me va bien, tant que nous sommes ensemble ... nous sommes ensemble. Pas de promesse ni d'engagement.

Laissant glisser ses mains vers le creux du dos.

Si tu penses trouver ton compte en étant avec moi, cela me convient. Dans le cas contraire, nous aurons passé un agréable moment.

Puis il claqua les fesses de la fille.

Tu n'es pas mal non plus ... dit-il en souriant.

Medso

Le propriétaire du bordel était de retour.

Haaa enfin, je vais pouvoir reprendre mes activités passionnantes et charnelles!

Il s'affala sur un des larges canapés de la salle principale et regarda lentement autour de lui.
Rien n'avait changé au niveau de la déco, mais les donzelles semblaient s'être évaporée avec son départ, dès que le chat n'est plusd là...
A moins que... oui y en avait une qui semblait occupée en haut dans les chambres.

Il eut un large sourire et se dit que ca commencait bien pour une reprise en main!
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--La_sauterelle

Elle sourit au jeune homme
Nous verrons ça ... elle allait poursuivre quand elle entend du bruit en bas

Hum nous allons devoir bouger j'entends du bruit en bas, le service reprend elle lui fait un clin d'oeil en se levant et s'habille prestement, elle l'embrasse rajustant son corset
je te retrouve en bas fait à ton aise, on réglera les modalités après, n'oublie pas de me laisser ma bourse quand même elle lui sourit et descend en souriant

Arrivée dans la salle principale elle voit un homme bien battit affaler dans un canapé, au moins celui là pas eu besoin de le racoler pense t elle
Bonjour Messire ! elle s'approche en souriant
Bienvenu au bordel sans nom, je peux vous servir quelque chose le premier verre est offert par la maison elle lui sourit lui décochant son regard le plus enjôleur

Medso

Medso la regarde sous tous les angles.

Il se relève et lui tourne autour en lui caressant le tour de son cou avec son doigt et en lui parlant lentement :

Une nouveauté dans ma maison!
C'est comment ton petit nom ma belle?
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--La_sauterelle

Elle le regarde en souriant quand il lui tourne autour en la regardant

Citation:

Une nouveauté dans ma maison!
C'est comment ton petit nom ma belle?

une nouveauté dans ma maison! ... gloups le patron! la voilà un peu impressionnée
elle le regarde un peu plus embarrassée que souriante

On m'appelle la sauterelle mon Seigneur ... ma maison? ... c'est vous le patron?
elle le regarde ne sachant trop comment il allait réagir elle enchaine
J'ai .. comment dire ... profité de l'endroit qui était à l'abandon ... je .. je pars si vous voulez je ne voulais pas ... pas ... enfin prendre quoi que ce soit
Elle se reprend n'ayant rien à ce reprocher après tout
c'est juste que c'était bête de laisser un si belle endroit à l'abandon elle lui sourit

Medso

Et je t'ai jamais dit de filer Sauterelle... au contraire!
Par contre, il faut que j'essaye les travailleuses... et normalement avant qu'elles aillent en chambre avec le client.

Il lui prend la main et lui indique les chambres du haut.

Vas te laver, j'arrive t'examiner.

Il se frotte les mains et la regarde monter les marches.
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--La_sauterelle

Aaah oui? ben vous étiez pas là donc enfin bref pas grave, j'y vais patron

Elle file à l'étage se laver et rajoute des pétales de rose à l'eau pour être délicieusement parfumée, elle devait plaire au patron

Elle l'attend prête sur le lit

Medso

Medso, prit son temps... et l'examina consciencieusement sous tous les angles.

Une fois la bagatelle terminée, il se rhabilla sans la regarder et descendit vers le comptoire où se trouvait le cahier des comptes.
Il lui cria dans l'escalier:
N'oublies pas de me donner une part de ce que tu touche avec les clients.

Et ne m'appelle pas Seigneur... mais tu peux m'appeler Maitre!
Il se mit à rire...
_________________

--Luc

Luc regarda la brune s'habiller puis disparaitre. Dans un rêve il eu aimer prendre un bain avant de partir. Dans la réalité il se contenta de se vêtir en prenant son temps.

Il entendit une discussion commencer à laquelle il ne comprit rien. Puis au bout d'un certain temps plus un bruit sinon un sorte de gémissement.

Il se dit que la femme, dont il ne connaitrai jamais le nom, devait faire affaire avec un autre.

Alors il descendit tranquillement l'escalier traversa la salle, ouvrit la porte et quitta l'établissement.

(merci pour le RP.)

--La_sauterelle

Elle se laissa examiner sous toute les coutures, après ce qu'il fallait, il se rhabilla et sorti sans la regarder, elle prit ses affaires et en fit autant, en pensant que ça n'allait pas le faire, sa si chère liberté allait être monnayée, du bas elle entendit

Citation:

N'oublies pas de me donner une part de ce que tu touche avec les clients.

Et merdum !! le client !! elle se dépêche et passe par la chambre ... vide et aucune trace d'écus, elle peste et râle, il avait du profiter qu'elle était occupée avec le patron pour filer, elle descend presque en courant et jette un œil sur le comptoir rien non plus

Elle grommelle
Grrrr mon premier client est parti sans payer !!

Elle court et sort de l'établissement espérant le voir dans la rue, pour ses écus ... ou pour le suivre, il est vrai qu'il lui avait offert une affaire intéressante, mais plus personne, la rue était déserte, elle soupire et regarde la porte de l'établissement hésitant à la fermer et repartir ou rentrer à nouveau et bosser pour le "maitre" ...

--Luc

Après quelques minutes de marche, Luc se rappela qu'il n'avait pas laissé son cadeau à la brune comme l'on dit usuellement. Devait-il retourner ? Il pesa le pour et le contre et se dit qu'elle était bien vite passée d'un client à l'autre.

Bah, si je la croise par les rues de la ville je m'acquitterai, sinon je ne serrai dans sa mémoire qu'un parmi tant d'autre. Pensa-t-il.

Puis il accéléra le pas afin de se rendre à la rivière. Il avait besoin de faire disparaitre cette sueur qui lui poissait la peau.

--La_sauterelle

Elle était pas prête à avoir un maitre, peut être reviendra t elle, mais elle avait envie d'aller se balader.

Elle s'éloigne du bordel, avançant en laissant ses pas la porter, un rayon de soleil caresse son visage, elle aime trop sa liberté ...

Lili...

Lili avait reçu une chaleureuse invitation de Medso, le propriétaire du Bordel Sans Nom. Elle s'acquitta des quelques modifications qu'il lui avait demandé au cadastre et se dit qu'elle profiterai de cette visite pour lui annoncer. Puis comme de toute façon, elle n'avait pas grand chose d'autre de prévu, elle s'emmitoufla dans son châle et prit la direction du ce fameux établissement.

Quand la porte se trouva devant elle, une vague de souvenir la submergea. Émue et troublée par un passé pas si lointain, elle posa la main sur la poignée. Bien qu'elle avait choisi de changer de vie, venir dans un tel endroit n'était pas si anodin.

L'endroit paraissait désert. Son regard balaya la pièce tout en refermant la porte derrière elle. La jeune femme se risqua à avancer au milieu de cette grande salle et d'une voix claire demanda....

Y a quelqu'un??? Medso vous êtes ici??

Medso

Medso regarda la travailleuse quitter les lieux en courant.

Hum... pressée cette petite.

Il continua à compter les maigres sommes qui composaient le tirroir du comptoir.

PFFff, je vais pas aller bien loin avec çà. Faut absolument que je trouve des travailleuses.

Il réfléchit un instant. Et Kokob? il est parti où celui là!!!
Depuis que la maitresse est partie, c'est devenu le bordel ici!

CLiNgGg Clinggg
Les écus qu'il tenait entre ses mains tombent par terre...
Il se baisse pour les ramasser, et...

Citation:

Y a quelqu'un??? Medso vous êtes ici??

Ca dépend, c'est pour quoi?

Il se relève doucement et appercoit Lili.

Ahh c'est toi! il lui sourit. Viens je t'en pris.
Il lui propose le large canapé pour qu'elle pose son popotin.
Tu veux boire quelque chose?
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--Staratelj

Le garde du bordel entra dans un grand vacarme.

BADADOUMMMMM

Salut Le Peint, t'es revenu?

Il lui sourit comme le dernier des anes, il était complétement ivre, comme le premier des curés débutant une messe.

J'ai pris des vacances pendant que tu t'es tiré.
Je reviens, comme toi!

Il regarde un moment la donzelle présente.
Et bah, je vois que tu perds pas tes habitudes de macro.
Puis ne tenant plus, je monte dans ma piole.

Et c'est par les marches qui descendaient vers le bain de vapeur et le salon de massage qu'il continua son chemin.

Lili...

Lili sursauta quelque peu quand il sortit de sous la table. Le bougre il lui avait fait un peu peur tsss quelle idée de se cacher!! Elle lui sourit tout en avança vers le canapé.

bonjour!! boire... ben pourquoi pas merci

Nouveau sursaut quand elle vit le gardien complètement éméché. Horrible vision qu'était cet homme. Beurk ça donnait pas envie du tout contrairement au moelleux du sofa.

Au fait j'ai fait les modifications au cadastre comme tu m'avais demandé. Et... tu as dit être peintre.. hmm je voudrais passer une commande d'un portrait enfin si tu fais ce genre de peinture.

Elle le fixait en prenant la chope qui lui tendait.

Medso

Medso répondit à Lili:
Et bien oui, je suis et je resterai toujours peintre!
Enfin, si Déos me le permet...

Il la regarda de bas en haut...

Tu veux un portrait, pas de probleme! On va dans les pieces en haut et je te fais cela...
Tu es assez mignone, je vais pas avoir de mal te sublimer ma belle!

Citation:

BADADOUMMMMM

Medso écouta son garde complétement bourré.
Bon, je monte avec mon modèle... pendant que tu ... dors...

Je suis assez cher comme peintre... mais vu les résultats catastrophiques du bordel... j'ai pas le choix...
Et ils continuèrent à parlementer jusqu'à un grande chambre bien illuminée.
_________________

Lili...

C'était parti, il acceptait son offre sans même une hésitation. Il devait vraiment être à la dèche pour vouloir le faire aussi vite. Une marche, deux marches et hop ils étaient en haut et il avait sûrement bien mater tout en grimpant les escaliers.

Bien j'attendrais de voir ton oeuvre ... Et en ce qui concerne le prix, je suis pas dans le besoin alors.. qu'importe...

Voici qu'elle entrait dans l'antre de l'artiste. Hmm pas mal, lumineux et spacieux. Elle se tourna vers Medso après avoir jeté un rapide coup d'oeil à l'endroit.

Alors c'est quoi la suite? A toi de me diriger...

Medso

[A l'étage]

Et bien tu te mets nue et je te peins... c'est aussi simple que ca!
Il se mit a rire.

Puis il reprit son sérieux légendaire:
Je compte réaliser oeuvre assez douce sur ta nudité... peut etre même caché d'un leger voile, ca ne fera que ressortir sa silouette.

Medso se retourna et alla fouiller dans une caisse afin de sortir le matériel de peinture...
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Lili...

Elle aurai pu rire à sa remarque mais elle lui fit un simple sourire. Elle attendit qu'il est le dos tourné pour de dévêtir en vitesse. Une étole qu'elle trouva sur le fauteuil lui servit de cache misère le temps qu'elle s'installe sur le lit.

Sur le ventre, le tissu recouvrant légèrement ses fesses, elle patientait que l'artiste soit prêt. Une main sous le menton et l'autre à tapoter à côté du coussin marquant une petite impatiente de la brune.

A t'entendre, j'ai vraiment hâte de voir le résultat.

Elle lui fit un grand sourire quand il se retourna pour lui signifier qu'elle était fin prête à se laisser guider par le maître d'art.

Medso

Medso prit ses couleurs et visa la belle allongée sur le lit avec son doigt.

Hum... oui très bonne position que tu me fais là.
Il sourit, carnassier.

Il se concentra un moment puis se mit à peindre comme, un automate, passant son regard du modèle à la toile et vice versa.

SCHHIMMM SHHLAMMM

Le pinceau s'agitait dans tous les sens.
La sueur commencait à perler sur le front du peintre qui ne s'accordait pas un moment de pause, ni même à son modèle.
Lili demeurait immobile, la tête accoudé sur sa main gauche.

Tu peux relever légèrement ton popotin s'il te plait, ca va donner du volume à la toile.
Il ricana et continua de la peindre.
_________________

Lili...

Étendue à attendre, elle vit son sourire carnassier. Voilà qu'il était fin prêt à la croquer. La mine à la main, il commença à griffonner telle qu'elle était allongée. La position lui convenait et elle était bien aise de ne pas dévoiler plus de sa féminité.

Elle zieutait du coin de l'oeil cet artiste en pleine création. Un oeil expert, une concentration à toute épreuve, il s'acharnait sans répit à son oeuvre. Le frottement du pinceau sur la toile attisait la curiosité de la brune. Il avait parlé de peinture stylisée, elle avait hâte de voir le résultat.

Enfin de longues minutes à rester dans la même position, elle commençait à avoir des fourmis dans le bras gauche. Elle pensait qu'à bouger alors quand il lui dit de le faire, elle s'en priva pas.

La jeune femme gesticula un peu le bras avant se repositionner et de relever un peu les fesses en creusant légèrement ses reins comme demander.

Comme ça?

Au même moment, l'étole glissa le long de sa peau, dévoilant ainsi ses rondeurs appétissantes. Une lueur de panique brilla dans ses yeux mais si elle la remettait, elle serai obligée d'en montrer en peu plus alors... elle resta ainsi, offerte à sa vue.

Bien sûr elle en avait vu d'autre. Là n'était pas la question, juste qu'elle ne s'y attendait pas et qu'elle n'aimait pas perdre le contrôle d'une situation.

Medso

Hum parfait!!! Oui

Et voici que, en quelques heures, la peinture fut achevée.

Voila! c'est un beau petit gribouillage de toi!

Il lui présenta la toile en souriant, fier du résultat:

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Catouline

Catouline avait promis à son ami de passer au bordel, elle arrive donc, frappe à la porte et entre, ne voyant personne ...

COUCOU Y A QUELQU'UN !!!

elle va jusqu'au bar et s'y installe en attendant
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Catouline

Medso

Medso salua la jeune femme et partit vers le rez de chaussée, ayant entendu une voix familière.

Au rez de chaussée

Il arbora un large sourire en voyant son amie.
Toujours aussi belle, charmante ... même dans un bordel, elle sortait du lot.

Hey Catou, je suis heureux de te voir!
Il lui montra ses mains pleines de peinture. Je viens de finir un "portrait"!
Et il alla lui faire la bise avant de passer derrière le bar afin de se rincer les mains dans un baquet.

Qu'elle bonne surprise!
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Catouline

Elle voit arriver son ami arborant un grand sourire et les mains barbouillée de peinture, elle lui sourit grandement, le trouvant très séduisant, quelque chose de particulier se dégageait de lui, elle ne pouvait dire ce qui l'attirait vraiment, mais elle se sentait bien en sa présence.

héhé coucou Medso! un portrait ? ooh super c'est la commande de l'autre jour en taverne?

Elle le bise en tenant ses mains, connaissant le garnement elle voulait évité les taches de peinture sur elle, elle rit doucement et se tourne vers le bar.

Oui, je t'avais dit que je passerais, tu sais que je tiens toujours promesse elle lui sourit et puis j'aime cet endroit ... juste pour ne pas dire sa compagnie
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Catouline

Medso

Et bien écoute, je sais que tu as encore pris un domaine il y a peu, ca te dis que je peigne une nouvelle bannière?

Lui dit il en souriant.

Comme y a personne pour le plaisir charnel, je dois varier et m'adpater aux demandes!

Il l'entraina avec lui.

Je suis en plein dans la peinture avec celle de Lili... ca se passe en haut!
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Catouline

Ne lui laissant pas le temps de répondre il l'entraine vers le haut

Euh!! oui bonne idée, c'est toujours un plaisir de poser pour toi
mais promis j'arrête là 2 domaines ça me suffit elle rit doucement en l'accompagnant

ils entrent dans la pièce où la luminosité est exceptionnelle
hummm c'est superbe ici pour peindre

Elle le regarde
dit moi ce que tu veux que je fasse
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Catouline

Medso

Et bien tu restes bien droite...avec une telle robe! Et je vais te peindre à ma manière...

Il ferma les yeux... et continua de lui parler.

Je sais que tu aimes les voyages... la mer, les bateaux et ton chaton.

Alors, je vais reproduire cela, avec ton nouveau blason...

Il la regarda encore et prit son pinceau en main...

On y va!!!!
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Catouline

On y va!

Elle reste droite plantée devant lui en le regardant peindre, elle l'admirait, une telle dextérité à manier le pinceau

Oui j'aime mon chaton et tout le reste comme tu as dis elle lui sourit le regardant faire
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Catouline

Medso

Le peintre était en route depuis au moins deux heures...

Son modèle lui facilitait la tache en ne bougeant pas le moindre petit doigt.

Tantôt il peignait d'un coté de la toile, tantôt de l'autre; mélangeant allégrement les couleurs sur sa palette afin d'arriver au résultat escompté.

Les yeux bleus clairs de Medso étaient comme des rayons qui semblaient capter la moindre forme et la moindre différence de ton.

Et finalement...

Nous y voila! Ca y est! Elle est terminée.

Il retourna la peinture vers elle en lui souriant, satisfait de son travail:

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Catouline

Nous y voila! Ca y est! Elle est terminée.

Il la tourne vers elle et elle s'approche pour voir
Splendide comme toujours ! merci beaucoup elle l'embrasse pour le remercier

Comment je peux te remercier ?
elle le regarde en souriant ravie de sa magnifique bannière
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Catouline

Medso

T'as cas bosser pour moi au bordel! lui répondit il du tac au tac en se marrant.

Puis, reprenant plus sérieusement:
C'est assez particulier notre ... amitié. Concidères cela comme un cadeau et porte la fiérement. Ca sera ma récompense

Il rangea ses pinceaux et couleurs pour la seconde fois de lajournée.

Cette fois c'était bien fini pour aujourd'hui!

La nuit tombait sur Lausanne.

Il descendit continuer la conversation avec Catouline au bar.
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Catouline

Elle rit à sa proposition
Je m'ennuie à Lausanne mais pas encore à ce point là ..

Humm oui à notre amitié particulière, merci beaucoup je la porterai fièrement n'en doute pas

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Catouline

Lili...

A force de poser, Lili s'était assoupie. Une couverture la recouvrait et le tableau trônait sur la chaise non loin d'elle. La pièce était vide, il l'avait laissé se reposer.

Mais l'artiste n'avait été pas en panne de modèle. Il avait jeté son dévolu sur Catouline qui avait posé non loin du lit. Mais Lili n'avait rien entendu, elle dormait à poings fermés.

Encore un instant et elle ouvrit les yeux. Surprise et un peu perdue elle mit quelques minutes à se rappeler où elle se trouvait. La jeune femme se redressa d'un bond en s'enroulant dans le plaid. Un pied au sol, elle admirait l'oeuvre de Medso.

Elle posa les doigts dessus suivant les courbes de son corps. Un large sourire se dessina sur son visage encore un peu endormi. Elle appréciait le résultat. Jamais, elle aurai pensé dégager autant de sensualité sans presque rien montrer.

Ses vêtementsà nouveau sur le dos, elle descendit un peu honteuse de s'être endormie. Un sourire gêné apparu alors en venant les saluer.

Hum... je suis désolée... je crois que je me suis endormie.

Délicatement elle posa la toile sur une des chaises, pour pouvoir dégager sa bourse de sa poche. Elle compta ses pièces puis en sortit 50 écus qu'elle tendit à l'artiste.

C'est vraiment magnifique!!! Je te remercie et je le montrerai à tous en disant que c'est toi qui l'as fait. Voici ton dû...
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--Celui_qui_compte

C'est dans l'immense incendie que connut la ville de Lausanne fin février 1459 que le Bordel Sans Nom brula...

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[RP] Au bordel sans nom