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[RP] Mariage d'Adelinda d'Appérault et Nicolas de Firenze

Lndil
m en parle pas je vais jamais être à l'heure, ma malle n'est pas dans ma chambre je ne sais ou elle est restée, sais tu si rufus la descendu ?
Question à l'aubergiste et regard sur le haut de la voiture.

ben me v'la bien je suis pas rendu à se train là....


V'la Néfi qui cherchait une échelle et qui était prête à grimper sur le carrosse.
La retenant au dernier moment.

Atta là... tu vas pas monter tout de même, laisse moi donc t'aider !
Grimpe sur le toit, y tire la malle pour redescendre avec.
Allez hop... je te suis pour te la monter dans ta chambrée. Assez trainé ainsi hein !
Rougissant un peu

Par contre... j rentre pas dans ta chambre sinon y a encore Omby qui va s'imaginer de drôles de choses.
Attend qu'elle avance pour la suivre
_________________
Nefi
Toute énervé elle n'avait pas vu que lndil l'avait suivit et fut surprise de l'entendre derrière elle, et se sentir retenu dans son ascension.

Atta là... tu vas pas monter tout de même, laisse moi donc t'aider !

sans broncher elle le laissa faire reconnaissante de son aide et attendit sagement qu'il soit redescendu avec l'objet de ses convoitises.
Il était grimpé sans effort avec une souplesse toute militaire qu'elle admira au passage avant de se secouer naméo...

un grand merci mon ami, je me trouvais en bien mauvaise posture.
hâtons nous sinon nos tourtereaux risque de nous attendre.


lndil prés d'elle la malle bien encombrante à bout de bras ils se dirigèrent vers la sortie des écuries

veux tu que je t aide ? elle est bien chargée...

Par contre... j rentre pas dans ta chambre sinon y a encore Omby qui va s'imaginer de drôles de choses.


roh de suite... mes avis qu'elle est présentement bien occupé avec ce cher lieutenant... mais soit je comprends, inutile de faire jaser les esprits tordus.


ainsi chargé ils entrèrent à nouveau dans l'auberge et montèrent aussi rapidement que l'encombrement le leur permettait.
la malle déposé sur le palier fut poussé dans un raffut terrible dans la chambre squirienne ou se trouvait déjà laureline.
un bisous déposé sur la joue de son ami en guise de remerciement elle le laissa là dans le couloir refermant vivement la porte pour allez se préparer.
une bain avait été préparé à son attention en son absence et elle s'y glissa avec délice avant de se préparer en hâte pour les épousailles de sa fillotte.

quelques temps plus tard, vêtu d'une robe neuve, les cheveux remonté en chignon et couvert d'un tressoire elle sortit de nouveau de la chambre suivit de prés par sa fille et alla toquer aux portes de ses amis.

oyez, êtes vous prêt ? nous allons être en retard...

_________________
Kasia
Elle avait faillit sauter après Ade, pour la rattrapper, quand la "cariole" était partie en trombe, sans lui laisser le temps de réagir.
Elle en avait conclu que ce type de transport n'était pas vraiment son préféré loin de là!
Cahots, bousculades, elle avait fini étalée sur Thea, et s'était estimée heureuse de ne pas finir dehors.
Surtout qu'on était pas mal, à s'étaler sur Thea...
Mais n'y voyons donc rien d'étonnant à ce que Kasia soit encore sortie dépenaillée du véhicule.
Il fallait croire que la jeune fille, presque une femme à son âge, était incapable et de tenir en place, et de conserver un peu de tenue et d'ordre dans sa vêture.
Ce qui augurait assez mal de son attitude pour la suite de la cérémonie.
Elle allait se précipiter dans la foule, aller retrouver Nicolas, et les têtes qu'elle avait reconnues, Giovanni, Moon, et tous ces Tournaisiens qu'elle n'avait pas vus depuis si longtemps, quand Thea la happa, pour son plus grand malheur!
Quel était l'intérêt de faire un chignon quand les cheveux, laissés libres, étaient bien moins contraignants et tout aussi beaux!
De toute façon, la coiffure finirait, avant même que quoi que se passe, de guingois.
Quoique cela lui permit d'assister au savon reçu par le cocher, à qui elle adressa son plus beau sourire moqueur.
Tout aurait pu en rester là si, dans l'instant suivant, Nev ne s'était ramené avec Ade au bras, comme une fleur sur du lisier...
Ni une ni deux, Kasia échappa sans difficulté à l'emprise de Thea, et fonçant droit dans la foule en bousculant toutes et tous sur son chemin, elle finit par se jeter dans les jambes de Nev, avec un grand sourire.



"Eeeeh, t'es v'nu toi!
Comment tu vas dit?
Dit tu sais, j'ai entendu dire que t'allais te marier aussi, mais c'est une blague hein!
Et à Tournai, t'as encore enterré du monde, t'es redevenu tribun, ou pas?
C'est quoi les nouvelles de là haut?
Dit, j't'ai manqué?!"


Une déferlante de paroles, de blabla, et de questions...


Remarques HRP par Mp siouplaît.

M.
Leportel62
Coups à la porte.

Oyez, êtes vous prêt ? nous allons être en retard...

Lou l'ouvrit vêtu de sa nouvelle tenue. Il tourna la tête à l'intérieur de la pièce.

Ca va aller Nefi, je pense qu'elle sera prête pour......Noêl. Il me semble qu'elle a un petit souci pour rentrer dans une de ses robes mais chuttttt.
Bon et le reste de la tribu en est où? Avec un peu de chance, on arrivera pour le buffet, chose qui n'est pas le plus désagréable si on parvient à contenir la cannibale......

[Eh ben eh ben?? On placarde inconsidérément?
Image non conforme retirée... Du coup ça fait bien vide, tout ça n'est-ce-pas?
Un p'tit tour pour relire encore, et encore, et encore, les règles.. siouplaît merci et bon jeu!
Modo A.]
--Ljd_landdel
Landdel voyant toutes ces… personnes dans son église était resté un moment absent, jamais il n’avait vu pareil chose et cela le troublait assez fort, il décida alors qu’il était temps de commencer avant que ça n’empire, il alla alors à la rencontre de la chorale e composée d’une étrange façon car oui, il n’avait jamais vu de nain chanter, peut-être découvrirait-il un chant merveilleux ou finirait-il sourd dans quelques instants il ne le savait pas mais cela n’était pas le plus important.
Il leur donna les paroles puis il fit un signe à son organiste pour qu’il commence à jouer, celui s’y s’exécuta. C’était la seule manière qu’il avait trouvé pour faire commencer une cérémonie sans devoir faire de grand geste ou s’égosiller pour que les gens s’asseye et se taise.
Tant pis si cela gâchait les premières notes de la chanson.
Il attendit que tous se calme puis content que la cérémonie commence commença à parler :


Mes cher amis ici présent, aujourd’hui, nous sommes tous réunit pour célébrer un acte unique, éternelle. Nous célébrer l’union entre Adelinda et Nicolas, ils sont pour vous des proches, des amis, de la famille et bien plus encore, mais ils sont avant tout un couple, uni et qui dans quelques instants le sera aussi devant le Très-Haut.
Même si je suis sur que nos deux futurs mariés connaissent ce que cela implique, je me dois de rappeler que les époux se doivent mutuellement fidélité, secours et assistance en toute circonstance et tout au long de leur vie. Ensemble vous devrez assurer la direction morale et matérielle de la famille au sein d’une vie commune et vous devrez protéger et éduquer du mieux que vous le pourrez votre progéniture.

Maintenant, je vais faire place ai témoin de Nicolas afin qu’il nous explique, ici, devant Dieu ce qui pour lui représente ce couple.
Willbroc
Will entrait dans l'église alors que la cérémonie venait de commencer....Félicitations! se dit il, t'as 'core réussi à être en retard à une journée pour laquelle on t'avait rabâché la date depuis des mois.....
C'est discrètement qu'il prit place là où il y avait, parce que y 'en avait du monde, des gens qu'il reconnaissait, d'autres non.

Il essayait de se faire discret mais aussi de croiser le regard d'Adel', ça faisait trop longtemps qu'eux même ne s'étaient pas croisés...

Une place libre! Will s'y pose et le sourire aux lèvres, profite du spectacle...le mariage est il autre chose qu'un spectacle?


....Quelle idée!!



Lndil
roh de suite... mes avis qu'elle est présentement bien occupé avec ce cher lieutenant... mais soit je comprends, inutile de faire jaser les esprits tordus.

*Comment ca "mais soit"... aurait elle voulu qu'il rentre avec elle dans sa chambrée ???*
Lndil essaya de penser à autre chose... mais bon l'esprit masculin... et puis l'absence d'une femme à ses cotés se faisait à nouveau oppressant.

Il la suivit cherchant quelque chose à dire...

Oui Omby et Lou... bein en voila deux qui se sont bien trouvés.
Sourit

Quand la malle fut poussée dans la chambre, Lndil entrapercu Laureline.
*Bougre d'idiot, qu'imaginais tu encore ?*

Néanmoins il eu la surprise d'un baiser sur sa joue.
Il resta interdit sur le palier, la porte fermée.

Il finit par descendre pour l'attendre, se sirotant un verre bien frais.
Il l'a vit bientôt ressortir flanquée de sa fille. Elle était très jolie pour l'occasion.


Néfi !... Moi je suis déjà en bas... Il faudrait effectivement qu'on se bouge.
_________________
Nicolas.df
Alors que Nicolas était complètement focalisé sur la délicate créature en face de lui, il perçut un léger bruit. Et dans l'état où il se trouvait, pour entendre quelque chose, cela devait être un sacré boucan dans le monde réel. Il quitta donc à regrets la bulle qui les entourait Adelinda et lui... juste à temps pour entendre Cengi déclamer ses vers. Et quels vers ! L'apprenti poète, visiblement fier de lui, accueillait modestement la surprise de son public. L'Italien lui sourit largement, et nota de lui accorder la tournée qu'il avait gagnée en honorant leur pari. Tout cela n'était guère orthodoxe, mais comme la plupart des invités rivalisaient d'originalité et de bizarrerie, après tout... Ceux qui étaient assis et sages devaient toutefois se demander où ils étaient tombés.

Les enfants de choeur arrivaient en procession, ce qui semblait annoncer la proximité du début de la cérémonie. A y repenser, il ne se souvenait pas avoir déjà vu autant d'enfants de choeur dans la modeste église vernolienne... Landdel avait vu les choses en grand pour le mariage, Dieu seul savait où il était allé chercher les renforts ! D'ailleurs c'était amusant, la démarche de ceux-là lui rappelait numérohun et numérodeux, les serviteurs nains du seigneur de Wancourt au tablier de cuir moulant...

Le cours de ses réflexions fut cependant interrompu par les premières notes profondes d'un morceau religieux. Une méthode intéressante pour faire taire et asseoir tout le monde, on sentait l'expérience dans l'organisation. Nicolas allait proposer son bras à sa promise lorsqu'il se rappela qu'elle était censée arriver plus tard au bras de Nev, aussi s'approcha-t-il seul de l'autel après lui avoir lancé un regard énamouré. Heureusement qu'il n'y avait pas d'élèves du Dragon ou de journalistes de l'AAP dans la salle, son image de tyran en aurait pris un coup...

Les rappels quant au sens profond du mariage étaient superflus, bien sûr, mais obligatoire. Il fit donc appel à sa patience. Seul le mot progéniture se fraya un chemin jusqu'à son cerveau. Diantre, après six mois d'abstinence il avait presque oublié qu'on pouvait faire des enfants ! Heureusement que Lndil devait prendre la parole, cela laissait au quasiment marié le temps de cogiter...

_________________
Ombeline
[A l'auberge, une bonne heure avant la cérémonie]


Mets la bleue. Si tu réfléchis encore, on va être à la bourre.
Bon, ça devient bon. Encore quelques heures, et je pense que tu seras très jolie.


La jeune femme le mira … Petit froncement de sourcils. … Elle retroussa le nez. Les hommes tous les mêmes … Tsssssssss, en retard, en retard, il exagérait tout de même et pis qui la mettait souvent en retard depuis quelque tard … L’hôpital qui se fiche de la charité là !!! M’enfin, difficile de le bouder longtemps, elle l’aimait trop. Elle rangea les robes non choisies dans les malles avec soin, puis déposa l’élue sur le dossier d’une chaise et tout ce qui allait avec sur le lit.

Un mouvement à sa gauche lui fit tourner la tête, son compagnon venait de passer à l’attaque. Elle ne loupa pas une miette de l’habillage, esquissa quelques sourires amusés de le voir par moment s’emmêler les pinceaux. Pendant ce temps, elle s’activa elle aussi, autant ne pas lui donner la perche d’une redite du « on va être à la bourre ».

Toutefois, en passant devant la fenêtre entre ouverte, du bruit au dehors attira son attention. Curieuse comme une pie, et oui n’est-ce point une qualité féminine que cela ? Si, si qualité, vous dis-je !!! Bref, elle écarquilla les mirettes, muette de surprise. Nefi venait d’accoler une échelle de bois à sa calèche. Intriguée par ce manège, elle poussa légèrement la fenêtre, histoire d’une de mieux voir, de deux, mieux entendre malgré le capharnaüm de la rue, et de trois, ben, y’en a pas. Oh, la Taupinette était là aussi … Esquissant un sourire malicieux, la Vicomtesse songeait une fois de plus que ces deux là avaient le don de faire les choses ensemble. Elle suivit la scène, et nota dans un coin de sa caboche de houspiller le Rufus d’avoir ausculté la malle de son amie, quoique pour une fois, peut-être que ce n’était pas plus mal. Ses pommettes rougirent aux pensées qui lui traversèrent l’esprit. Voyons Ombeline !!! Mais bon, il est vrai que depuis l’épisode omérien, la bonne humeur et l’entente de l’ensemble du groupe s’était retrouvée et les liens resserrés et cela à différentes échelles. Flûte, elle venait de les perdre de vue quand Lndil revenait, rouge comme un coq, poussant la malle vers Nefi … Au moment, où elle allait se pencher un peu plus afin de mieux voir, la voix de Lou derrière elle la fit tressaillir. Elle fit volte face prestement, le rouge encore aux joues.


Bon, je suis prêt.
Arf....tu n'en es que là. Bon, je vais attendre......


Eu … et bien mui ….


Et voilà, c’était peine perdu de justifier son retard … Guère la peine de lui souffler qu’elle espionnait les deux compères un peu plus bas. Elle arbora un sourire charmeur puis tout à coup, ses yeux détaillèrent sous toutes les coutures son homme. Nouveau rouge aux joues. Petits frissons qui la parcoururent. Mordillement des lèvres. L’était beau comme un dieu. Son regard prit un éclat de malice, mâtiné d’un soupçon de paillardise, et d’une voix mélodieuse, lui susurra en s’approcha de lui… empruntant avec espièglerie des expressions du maitre d’œuvre, Messire Balthazar officiant au domaine et faisant souvent des allusions on ne peut plus équivoque à son compagnon ou toute chair qui l’émoustillait.

Hummmmm … Se Dex m’amant ! C’est que vous êtes rudement beau, messire Leportel … O doux Jesusssss, doux Jesusssssssss, assurément, assurément … Vous êtes digne d’être nostre Apollon, que disions-nous nostre sourceuuuu d'inspiration, nostre muse, nostre oooooooooo, si nous osions, nous vous dirions nostre chose …. Oh Oh … Oui, nous ne pouvons nous retenir de garder cela pour nous. Ne voyez nulle offense en nos paroles envoutées. En tout point, vous êtes un régal des pupilles et très certainement des papilles, assurément, assurément !!! Nostre inestimable personne vous fera visiter nostre atelier avec ravissement, et vous fera découvrir moult merveilles, o doux Jésus, doux Jésus !!! Comme il nous tient à cœur de vous procurer vostre contentement et vostre bon plaisir, Messire Leportel.

Elle porta la main à son front, puis s’évertua à se ventiler le visage avec un mouchoir de dentelle imaginaire, imitant ainsi à la perfection Balthazar. Crénom d’une bobine, que c’était ardu de tenir le rôle. Elle enchaina, joignant toujours les gestes baltharizés à la parole et se rapprochant langoureusement de l’Apollon sus nommé.

Humm … Si l’temps, nous le permettait, nous hum … Arfff Doux Jésus, doux Jésus, quelle chaleur icelieu. Nous étouffons, n’est-il point ? Nous rafraichir l’corps et hum … l’esprit assurément, hum quoique peut-être que vous pourriez …

Son rire communicatif et cristallin fusa … Elle n’arrivait plus à poursuivre sur sa lancée … Trop dur de tenir ce rôle, trop inimitable le Balthazar et pis la frimousse de son compagnon était si amusante à contempler … Une fois ses hoquets rieurs calmés, elle l’enlaça et l’embrassa tendrement.

Bien, j’arrête mes sottises, et termine de me préparer. Il ne me reste que la robe à enfiler et me coiffer.

La légère grimace de son compagnon ne lui échappa point.

Rooooo … Ne faîtes point la grimace, messire Leportel ou je joue jusqu’au bout de la journée, nostre génie Balthazar. Allez, viens plutôt m’aider pour attacher ma robe.

Petit baiser sur le bout du nez … Elle retourna près de sa fenêtre afin d’enfiler la robe bleue … Légères grimaces de la vicomtesse, hum hum … Elle lui allait tout juste … Miséricorde, et là, elle ne pouvait donner sans cesse l’excuse des madeleines … Tout à sa contemplation dans la psyché, attendant sur son compagnon daigne la rejoindre pour attaché le dos de la robe, des coups retentirent à la porte.

Oyez, êtes vous prêt ? nous allons être en retard...

Çà va aller Nefi, je pense qu'elle sera prête pour......Noël. Il me semble qu'elle a un petit souci pour rentrer dans une de ses robes mais chuttttt.
Bon et le reste de la tribu en est où? Avec un peu de chance, on arrivera pour le buffet, chose qui n'est pas le plus désagréable si on parvient à contenir la cannibale......


OHHHHHHHHHH, je t’ai entendu Lou !!!

Je suis prête d’ici dix minutes Nefi. Et ne t’inquiète pas, nous sommes largement dans les temps, enfin si tu ne tiens pas la jambe à Lou ou humm … tout autre gentleman de notre tribu …
Dit-elle sous un ton espiègle. … Allez hop, trop tentant, elle en rajouté un soupçon …

Au fait, quel galant nostre taupinette, hein Nefinette … Cela a été pour les préparatifs, ma chère ? Pas trop d’emmêlage de pinceaux ? Ce fut rudement rapide dis donc … quoique des fois, la qualité est conseillée dans certains domaines que la quantité. Enfin, au moins, tu as gagné en rapidité … plus expéditif que … hum lors des joutes pour la partie couture de hum enfin tu sais quoi.

Gloussement de la jeune femme … Elle s’en tenait les côtes et se mordilla les lèvres afin de ne pas exploser de rire, imaginant la frimousse courroucée de son amie derrière la porte … Trop bon, trop bon … Elle avala une grande goulée d’air et reprit d’une voix suplliante.

Lou, Louuuuuuuuuuuu …. viens vite m’attacher … ma robe … sinon nous allons recevoir un sermon pour arriver en retard !!! Laisse Nefi houspiller Rufus et Jehanne pour que les deux s’activent avec les enfants hum qu’elle laisse quelques minutes « le galant » du jour. Espérons d’ailleurs que nostre duo Jehanne/Ruru, eux n’aient pas mis le feu à leur chambrée ….

Oh crénom d’une bobine, le fou rire fusa … trop contenu, c’était parti … Une chance qu’elle n’est point d’incontinence sinon rata pour être dans les temps. Elle entendit des baragouinements … du moins, la voix de Nefi supposa-t-elle mais avec ses hoquets rieurs, impossible d’y comprendre quelque chose. Elle n’entendit que la porte se refermer, et Lou revenir près d’elle.

Roooo, pas pu m’en empêcher de la taquiner.
Sa tête devait valoir le détour, hein ?


Elle lui indiqua lui désigna son dos.

Peux-tu m’attacher, s’il te plait mon cœur ? Et je suis prête.

Sourires et regards complices des tourtereaux. Elle le laissa habilement faire, frissonnant quelques peu sous doigts agiles. Son regard se porta sur la table de chevet et plus précisément son pendentif. Négligemment, elle tourna son ovale délicat vers lui.

Ah et le pendentif aussi. Les cheveux, je les laisse ainsi. Je sais que tu préfères ainsi, et moi de même.


***


[Dix bonnes grosses minutes plus tard … ]


Le duo bras dessus dessous rejoignit l’équipée au rez de chaussée. Clin d’œil vers la taupinette qui sirotait un verre en les attendant. Nefi, Laureline étaient avec lui. La Vicomtesse chuchota au creux de l’oreille de son cavalier puis reporta son regard amusé sur le trio.

Nous voilaaaaaaaaaaa. Pas trop attendu, hein.
Vous êtes bien assorti tous les trois, en tout cas. Belles tenues. Ma puce tu es ravissante, Nathy va être fier de te donner le bras. Il va devoir surveiller les autres galants.
Hum ... Confection de chez Nefi ? La mienne en vient en tout cas, et celle de Lou de l’Atelier des doigts d’or, de Dame Jenah … tu sais, Nefi, l'Atelier que tu m'as recommandé. Excellente maison. Sa tenue lui va comme un gant, n’est-ce pas ? J'adore sa veste brodée, le reste aussi mais elle, magnifique. J'ai passé commande pour une robe qui irait de pair avec celle de Lou.


Regard brillant vers son cavalier puis elle reprend derechef.

Prêt alors ?

Ne manque plus que nostre quatuor. Hum, peut-être devrions-nous avancer … Ils seront sans doute nous retrouver. Enfin, je dis cela surtout pour vous deux, vous êtes témoins. Nous ne sommes pas en retard mais bon, sait-on jamais ce qui peut se passer sur le chemin … une ruade de cucurbitacée … un lâcher de bestios … un trou malencontreux ... une attaque de nains ... Vastes possibilités ...


[Mode Modo ON]
*sort les couteaux de lancer et annihile les bébêtes* Les smilies comme les "^^" sont interdits dans les RPs. Pour plus de détails, je vous conseille de faire un tour dans les règles d'or. D'ailleurs elles ont été renouvelés pour plus de clarté, c'est pas beau tout ça ?
En espérant qu'un jour, nous n'aurons plus à sortir l'anti-mouches, bon jeu.
'Nouche
[Mode Modo OFF]
Saian
A la bourre, comme toujours. Une devise, un état d'esprit, une hygiène de vie! Se faire désirer, c'est tout un art! Puis même quand on nous désire pas, on y est quand même pour la peine.

Bref, en un mot comme en cent, un couple de bruns tournaisiens arrive, chacun essayant de se cacher derrière l'autre pour éviter qu'on remarque leur retard.

Le temps de repérer deux places disponibles, et hop c'est un courant d'air du nord qui se fraie un passage pour s'asseoir et assister à l'événement. Puis pour apercevoir la mariée aussi hein.

Parce que voilà des mois que Saian essaye de mettre un nom sur une écriture et que si l'habit ne fait pas le moine, la plume ne fait pas l'Adie. Pourtant Dieu sait qu'il a mis sur le coup ses plus vifs et talentueux espions pour tenter d'arracher des informations sur la future et son identité.

Vous vous imaginez bien, donc, qu'il se tortille en tentant "discrètement" de dévisager Adelinda pour lever le mystère centenaire.
Lndil
Vit arriver la Vicomtesse et son cavalier... effectivement, ils allaient bien ensemble.
Lndil répondit d'un hochement de la tête au clin d'œil d'Omby.
Il bu d'un trait les dernières gorgées de sa bière.

Lndil voulut répondre à sa remarque sur le fait qu'ils étaient bien assorti tous les trois... mais il n'eut pas le temps de placer un mot et en fait il ne savait pas trop quoi dire si ce n'est qu'il aurait bien voulu être ici en famille.

Lndil rigola enfin au rappel de l'attaque de cucurbitacées.

Oui il est vrai... on ne sait jamais !
Bon ... comme l'église n'est guère loin... on ne devrait pas avoir trop de mal.

Jetant un regard sur les 5 personnes présentes.
Vous êtes tous très bien habillés...
Regardant Lou accompagné d'Omby et Nathan avec Lauri, présente son bras à Néfi
Viens ma Néfi... que nous n'apparaissions pas comme deux pauvres vieux seuls sans personne...
Lui sourit
Ceux qui ne nous connaissent pas ne nous poserons même pas de questions. On présente bien ensemble.

[Mode Modo ON]
Hop, même combat. Les smilies comme les "^^" n'ont rien à faire dans les RPs. Un tour dans les règles d'or des Arps vous aidera à y voir plus clair.
En attendant, bon jeu et bonne continuation.
'Nouche
[Mode Modo OFF]

Rolalalala... *Fait une grimace avec ces sourcils*


Ha ouais, et les remarques c'est par MP.

M.

_________________
Nefi
au travers de la porte elle entendait les gloussements d'ombeline, visiblement elle avait du les voir par la fenêtre alors qu'elle cherchait sa malle, pas croyable ça comme elle fantasmait sur une simple coup de main amicale. levant les yeux au ciel toujours aussi nerveuse, elle ronchonna et fit volte face adressant quelques mots à lou.

va vite la ficeler avant qu'on arrive à la fumée des cierges.... et baillonne là par la même occasion ça lui évitera de dire des inépties pareil...

tournant le dos pour aller toquer chez jehanne elle ne put retenir un sourire amusé ça devenait un jeu entre eux de se chamailler verbalement et l'histoire omérique allait la poursuivre un bon moment c'était une certitude.

elle entendit la voix de lndil dans la salle de l auberge.

elle toqua à la porte de la chambre de la dame de compagnie s'occupant des enfants avant de descendre.

Jehanne j'espère que vous êtes prêt nous partons dans 5 minutes.


lauri sur les talons, toute rayonnante dans une jolie robe rose neuve elles descendirent rejoindre lndil qui les attendait tranquillement.

normalement ils arrivent, notre quête de tout à l'heure n'a pas échapper à notre oeil de linx qui en fait dejà toute une histoire...

elle lui sourit et le détailla il était d une élégance remarquable

qu'elle élégance ton tailleur est talentueux.


prenant leur mal en patience ils patientèrent en bavardant joyeusement.
dix bonnes minutes plus tard ils furent rejoinds par le reste de la troupe ombeline n'en perdant pas une pour les taquiner faisant rougir la médicastre.

bon sang mais qu'imaginait elle donc ? ça devenait génant ses allusions tout de même...

coupant court elle reprit ses vieux réflexes de lieutenant de l'ost.

allons, cessons là les fanfreluches qui sont fort élégantes au demeurant et hâtons nous nous ne sommes point en retard mais nous n'y sommes pas encore. Nous sommes les temoins, inutile de stresser nos tourtereaux. Jehanne et rufus pourront toujours nous rejoindre enfin a moins qu'ils ne se perdent dans une ruelle sait on jamais.


lndil a ses cotés lui présenta le bras à ce moment.

Viens ma Néfi... que nous n'apparaissions pas comme deux pauvres vieux seuls sans
personne...
Lui sourit
Ceux qui ne nous connaissent pas ne nous poserons même pas de questions. On présente bien ensemble
.

roohhh tu vas pas t y mettre toi aussi... enfin soit et il n'y a point de mal à s'accompagner quelques soit les commentaires de certaine ici présente.


Petite grimace à son amie accompagné d'un sourire et tout le monde pris le chemin de l'église.

Ils y arrivèrent alors que les cloches finissaient de carrillonner, et rapidement ils se faufilèrent à leurs places respective avant que la cérémonie ne commence.

[Mode Modo ON]
Tout pareil pour vous. Les smilies comme les "^^" sont à bannir des RPs ici. Les règles d'or des Arps sont à feuilleter pour une meilleure compréhension.
En vous souhaitant un bon jeu et une bonne continuation.
'Nouche
[Mode Modo OFF]

_________________
Nicolas.df
Le père Landdel examinait l'église d'un oeil torve, semblant chercher du regard le témoin qu'il avait appelé plus tôt. Légèrement inquiet, Nicolas pivota aussi discrètement que possible pour tenter à son tour d'apercevoir Lndil. Peut-être s'était-il caché en trouvant la question un peu difficile ? C'est vrai, "que représente ce couple", ce n'était pas forcément évident. Par solidarité avec son ami, le jeune homme se mit à réfléchir à ce qu'il aurait répondu, afin de lui souffler la réponse le cas échéant s'il venait à se montrer.

Voyons... introduction, développement, conclusion. En accroche, on pouvait citer les circonstances particulières de leur rencontre : si Nicolas ne se trompait pas, cela faisait maintenant un peu plus de quatre mois qu'Adel aurait dû revenir à Tournai. En problématique, quelque chose comme... "Pourquoi une jeune flamande partie pour la journée à Cambrai vit-elle désormais à Verneuil ?", ce serait pas mal. Bon en première partie, il fallait bien admettre qu'elle avait tapé dans l'oeil d'un Italien, qui l'avait enlevée. Ce n'était pas rien. En seconde partie, on pouvait ajouter qu'elle s'était ensuite attachée à son ravisseur. Quelques siècles plus tard il y aurait eu matière à un paragraphe sur le syndrome de Stockholm, mais puisqu'on était en 1458, on ferait sans. En conclusion, un très simple "Parce que deux célibataires un peu tarés sont tombés amoureux et ne veulent plus se quitter", ça serait pas mal.

Somme toute, c'était pas très compliqué comme question ! Manquait plus qu'à développer le plan, ça ferait un très bel exposé.

_________________
Lndil
Ils étaient juste arrivé à temps pour la cérémonie... même pas le temps d'aller taquiner le Nicolas un peu avant. Bon faut dire qu'il était bien occupé et bien ailleurs... normal vu les circonstances. Même si ni l'un ni l'autre de ces deux mariages ne s'était bien fini, l'un par une mort l'autre par une demande d'annulation, il se souvint que c'était toujours un grand moment de joie en couple, en famille et avec les amis.

Lndil secoua la tête pour se vider l'esprit et ne penser qu'à ce moment de joie pour son ami... d'ailleurs on le demandait et le marié semblait s'impatienter sévère.

Maintenant, je vais faire place au témoin de Nicolas afin qu’il nous explique, ici, devant Dieu ce qui pour lui représente ce couple.

Se lève et lance un regard amusé sur l'assistance et la chorale.
Se met face à l'assistance et se racle la gorge, regarde bien le couple face à lui.


J'avouerai de suite que je ne connais pas grand chose de notre futur couple qui est ici parmi nous aujourd'hui
Ne tarde pas trop pour n'inquiéter personne par ses paroles.
Néanmoins... j'ai passé beaucoup de temps avec Nicolas en Artois tout de même et un petit moment en compagnie de nos tourtereaux lorsque nous avons pris la route il y a 4 mois de cela déjà.
Petite pause
Je peux ainsi dire sans en douter une seule seconde que Nicolas ici présent est ce qu'on appelle un ami... un vrai ami dans le sens ou je l'ai toujours compris c'est à dire qui vous soutient quand il le faut mais qui n'hésite pas à vous dire que vous êtes un vrai nain dans d'autres situation
Petit salut au nain pour lui faire comprendre que ce n'est qu'une métaphore.
Mais on se l'est bien rendu notre amitié... hein mon vieux !
Rigole
Concernant le couple maintenant... du peu qu'il m'a été donné de voir, il est clair qu'ils sont dans une suite d'une amitié approfondie avec toutes les qualités de base pour que leur mariage dur : de la confiance, de la sincérité mais surtout une bonne rasade de folie pour passer de bons moments à rire.
Ayant vu ce que j'ai vu, une prise d'otage transformé en roman à l'eau de rose... nul doute qu'ils seront toujours se ressourcer ensemble, puiser dans leur relation pour marcher ensemble et construire de belles choses.

Tend ses mains vers le couple en souriant
Je vous souhaite tout le bonheur du monde et tout ce qui vous aidera... bien que, comme dit, vous n'en n'aurez guère besoin.
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Cengi
Cengi était ravi d'avoir attirer l'attention sur lui. Les visages mi stupéfait, mi déconfit de pouvoir voir un si bel Homme le laissait comme d'habitude, sans voix. Cela était donc totalement naturel de faire un petit geste théâtral à la foule et lancer:


« Mes amis, public fidèle, reprenez les festivités, je viens de gagner un Sainte Boulasse ! »


Il jeta furtivement un regard à Caramba. Il semblait en difficulté. Mouarf, de toute façon il s'en sortirait tout seul, il était payé pour ça le bougre.

Cengi fila donc sous l'œil inquisiteur du prêtre taper dans le dos de Nicolas en pleine discution et partit aussitôt s'assoir dans un coin de l'église pour roupiller.
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