Afficher le menu
Information and comments (0)
<<   <   1, 2, 3, ..., 21, 22, 23, ..., 49, 50, 51   >   >>

[RP] Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Madalena
Le signe discret de la main et le visage radieux de Don, n'avait pas échappé à Mad.

Elle lui fit un grand sourire, celui d'une amie, d'une soeur, recevant son frère dans la grande communauté des aristotéliciens.

Elle avait franchi ce pas il n'y avait pas si longtemps, et elle portait précieusement sur son coeur la petite médaille, témoignage de son baptême.

Sa croyance envers le Très Haut était toujours sa raison d'être, et elle s'évertuait de ne jamais faillir aux commandements divins.
C'est cette foi qui lui permettait d'avancer malgré les embuches et qui la soutenait lorsque parfois elle désespérait (et pas simplement le pinard, comme auraient pu le faire croire certains de sa connaissance ! )

Elle jeta un regard circulaire parmi l'assistance. Tous des visages amis, le sourire ému aux lèvres, regardant tous le nouveau baptisé, prêts à lui ouvrir les bras, si celà n'avait pas encore été fait.

Et la pétulante blondinette, énamourée et bientôt maman ...
Que de joies encore à venir ...

_________________
Tuatha
Beli suivait la ceremonie attentivement , Al s'etait redressé après son petit moment d'egarement dans le sommeil et lui tenait la main ....

Ses pensées partirent alors très loin d'ici ... Son passé remontait à la surface et la brunette en l'espace de quelques minutes se retrouva plongé dans le chaos ....

Son visage se metamorphosa et il devint livide ... son coeur se mit a battre la chamade , elle sentait son sang couler dans ses veines , menaçant de sortir et inonder les dalles de pierre ....

Il fallait qu'elle se reprenne , qu'elle remonte doucement la pente qu'elle etait en train de descendre en chute libre .
Ne pas se laisser dominer par la tristesse et le desespoir !!! Ce n'etait pas le lieu , ni encore moins le moment .....
Elle avait encore tant de choses à voir et tant de gens à connaitre
Tant d'evenements à fêter , tant de bonheur a esperer ....

Celà ne dura que quelques minutes , juste le temps que les parrain et marraine pretent serment d'aide et de soutien envers leur filleul .

Elle jeta un regard a droite et a gauche , personne n'avait remarqué sa faiblesse soudaine , tout allait bien ....

Ses joues rosirent de nouveau et son coeur se calma , elle serra doucement ses doigts dans ceux de son epoux et murmura doucement


Merci d'être là mon epoux adoré ....C'est grâce à toi que je suis en vie ....

_________________
Don_querotte1
Un homme s'approcha de son parrain et lui parla à l'oreille, puis s'en alla rapidement. Monfort s'approcha de Don et lui glissa à l'oreille qu'un imprévu d'une extrême urgence l'obligeait à partir de suite, et qu'il ne pourrait pas se être le parrain, qu'il le regrettait infiniment mais qu'il devait partir sur le champs. Il lui donnerait une explication dès que possible. Ayant dit cela il fendit rapidement l'assemblée présence et sortit de l'église.


Don s'approcha de Monseigneur Richelieu et lui demanda s'il pouvait continuer la cérémonie, malgré tout.
Richelieu1


En souriant il se tourna vers le futur baptisé.

Alors vous pouvez prononcer le serment du baptisé mon enfant.


_________________
Don_querotte1
Don au paroles du Prélat se sentit for ému car l'instant était l'un des plus importants de sa vie personnelle et spirituelle. Il joignit les mains et prononça son serment.

Citation:
Je reconnais en Dieu le moteur du monde,
la pensée suprême et la cause efficient et finale du monde.
Je reconnais l'église aristotélicienne comme mon guide dans
la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester fidèle ainsi
qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'être divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut
de mon âme en vue de la résurrection près de dieu
dans la contemplation éternelle de sa beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme baptisé
et serviteur de dieu tout puissant.


Ayant fait cette déclaration si importants et qui l'engageait pour l'éternité, il resta un moment dans une certaine méditation, mais très heureux de cet engagement. Il regarda vers Son aimée et lui sourit plein d'amour pour elle, sachant que bientôt il lui ferait un serment tout aussi important pour leur vie de couple.
_________________
Rutebaf
L'homme profita de la nuit pour se glisser dans la cathédrale et apposer la missive qu'il avait reçu par cigogne.
Un chouette système, mais qu'est-ce qu'elle bouffaient, ces bestioles !
'Sont fous, ces Helvètes...



Citation:
À tous ceux qui liront ces lettres, salut et bénédiction

Annecy est tombée.

L’Empereur assiège Genève.

Avec les OMR, il argue faussement d’une agression surprise et religieuse de Genève. Alors que la Savoie abattait à vue les notables genevois, confondant marchands de poissons et chevaliers brigands, au mépris de la charte aristotélicienne du Juge. Que la diplomatie genevoise s’est démenée comme diable en eau bénite pour négocier avec les dirigeants savoyards.
L’empereur, sous la dictée de Victor de Cernex, a menacé de destituer tous les nobles de l'empire qui ne prendraient pas part à l’éradication de Genève et ses habitants.
Belle conception des libertés germaniques ! Bel augure de son règne !
Les armées impériales sont ainsi payées par les impôts des paysans, artisans et notables des villes d’Empire. Outre appauvrir ses sujets, il les mène donc à la boucherie face à l’infanterie la plus redoutable du continent, qui a ridiculisé trois grasses semaines durant à Annecy les armées savoyardes, sept fois plus nombreuses, avant de tomber !

Armoria, princesse vanillée française, assiège Genève.
Elle vient de reprendre Annecy à l’armée genevoise, victorieuse il y a un mois. Armoria, qui avait déjà humilié l’Empire lors de sa prétendue croisade l’an passée. Où pour paraît-il sauver le Béarn, elle attaquait une Genève sans défense en foulant aux pieds les libertés germaniques de Franche-Comté et de Savoie. Avant d’aller ravager inutilement la Provence d’une guerre de six mois. D'où elle a dû rentrer défaite et pantelante, toute honte bue.
Pendant que le Béarn, malgré les menaces réitérées d’excommunication romaines, accédait avec bon sens aux très honnêtes et modestes demandes genevoises. Il voyait aussitôt finir avec soulagement la guerre qu’il avait provoquée.

La Savoie continue de pratiquer la seule diplomatie qu’elle connaisse : « Moi vois, moi tue ». Alors que les offres de négociations genevoises n’ont cessé à aucun moment, en vain hélas ! Faut-il croire qu’en Savoie, les dirigeants se nourrissent de sang ? Il est vrai que leurs armées déplorent une belle et bien grasse centaine de morts depuis le début des hostilités.
Voilà des dirigeants bien gras donc, qui ne craignent pas de faire mourir les autres à leur place, orgueil oblige.

Il ne s’agit pas de se battre pour Annecy ou de combattre pour Genève.
Non, il ne s’agit pas d’une guerre pour la domination, pour l’agrandissement de Genève ou pour un profit matériel. Car Genève a toujours proclamé qu’elle cesserait toute guerre avec la Savoie et se retirerait d’Annecy avec la fin des iniques proscriptions savoyardes.
Il s’agit, désormais, et uniquement parce que les OMR, Armoria et l’Empereur interviennent au mépris de toute religion, légitimité et légalité, d’une guerre destinée à rétablir, par notre résistance, sur des fondements inaltérables, les libertés de l’Aristotélicien, bafouées par ces princes qui se pensent nobles et cherchent des jouets dans leur chambre pour remplir leur âme.

Vous demandez ce qu’est notre politique
? Je peux vous le dire : c’est faire la guerre, sur mer, sur terre, par tous les moyens, avec toute la puissance et avec toute la force qu’il plaira à Dieu de nous donner ; faire la guerre contre une tyrannie monstrueuse, sans égale dans le sinistre et lamentable catalogue du crime humain.
Vous me demandez quel est notre but ? Je vous réponds d’un mot : la victoire, la victoire à tout prix, la victoire en dépit de toute terreur, aussi longue et difficile que puisse être la route, la victoire.
Seuls s’il le faut, pendant des années s’il le faut.

Nous réunissons des femmes et des hommes de toute la Confédération, tout duché, tout parti, aristotéliciens réformés et orthodoxes. Nous avons pu être en désaccord et nous opposer par le passé, puisque sont parmi nous de nombreux Comtois et des Béarnais ; mais un même et unique lien nous unit à présent ; la volonté de conduire la guerre jusqu’à la victoire, et de ne jamais nous soumettre à la servitude ni à la honte, quels qu’en puissent être le prix et la souffrance.

Car nous ne faiblirons ni ne faillirons.
Nous tiendrons jusqu’au bout. Nous nous battrons dans les étables et les jardins. Nous nous battrons dans les prairies, nous nous battrons dans les forêts et dans les rues, nous nous battrons dans les maisons, dans les cuisines, dans les potages, dans les fromages, sous l’orage, les nuages ou dans la neige, dans les marais et les pics.

Nous ne nous rendrons jamais.
Et si –ce que je ne crois pas un instant possible-, nous nous trouvions défaits, alors, nos amis au-delà des montagnes poursuivraient le combat jusqu’au moment choisi par Dieu où ils obtiendraient enfin l’objet absolu de notre quête : le rétablissement des libertés, le signal tant attendu du retour à la paix grâce à notre victoire.

Tatoumi, avoyère de Genève


Celtane
Elle regarde son fiancé rayonnant et lui envoie un baiser du bout des doigts. Elle est certaine qu'il pense à la même chose qu'elle...Leur prochaîne union ici même, un engagement aussi solennel que celui d'aujourd'hui.

Un inconnu a fait irruption dans la cathédrale pour y poser une affiche, quel manque de tact! Ce n'est ni le lieu adéquat, ni le moment! Il existe des endroits spécifiques pour ce genre de chose!

Enfin, c'est sans importance, le moment est à la prière, à la joie de cette cérémonie fraternelle et ce n'est pas sans impatience qu'elle attend le moment où Don recevra son parchemin et son médaillon.

_________________
Hersende
Le baptême avait été perturbé par un parchemin qui avait volé dans la cathédrale. Hersende l'attrapa pour le sortir de l'église où il n'avait pas sa place.

Au moment où elle paraissait sur le parvis, un serviteur du palais accourut et lui dit :


Votre Majesté, Messire Monfort, le parrain de Don_Querotte, a demandé qu'on vous remette ce pli


Ah, donne vite! dit Hersende en ouvrant la missive.

L'ayant lue, elle pénétra à nouveau dans la cathédrale et alla se replacer à côté de son filleul.
Alors qu'il avait achevé son serment, elle prit la parole :


Monseigneur, puis-je vous demander si vous accepteriez l'engagement de Monfort, en tant que parrain? Il a dû partir précipitamment, appelé par une affaire urgente, mais avant son départ, il a écrit ces mots par lesquels il voulait l' exprimer.

Elle montrait le parchemin qu'elle tenait à la main.

_________________
Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Richelieu1


Je vous en prie votre majesté. Lisez le je vous prie.

_________________
Hersende
Hersende déplia le papier en souriant à son filleul. Son parrain ne l'avait pas oublié et tenait à s'engager à ses côtés.


_________________
Hersende de Brotel, Marquise des Alpes Occidentales
Don_querotte1
Don n'avait pas douté un instant de son parrain car il le savait homme droit et esprit chevaleresque. Il regarda Monseigneur Richelieu et lui fit un petit sourire.

Puis il se concentra de nouveau sur la cérémonie.

_________________
Richelieu1


Le moment tant attendu était enfin arrivé et le Très-Haut savait combien il avait été désiré par Don_querotte.
Ludovi l'invita à se pencher au-dessus des fonds baptismaux. A l'aide d'une coupelle, il versa de l'eau sur son visage en déclarant :


Par cette plongée dans l'eau, je vous purifie de vos fautes passées.
Don_querotte, je vous baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très-Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.
Ainsi vous voilà purifié par la grâce du Tout-Puissant. Vos fautes sont pardonnées. Votre âme est libérée des craintes de l'enfer lunaire, pour peu que votre vie soit vertueuse.




L'archevêque sourit, puis le ramena vers l'autel afin de lui remettre certaines choses.



Par cette lumière que je vous confie au nom de la communauté aristotélicienne, je vous invite à suivre les préceptes de Christos et d'Aristote. Vous voici désormais éclairés par la Lumière du Très-Haut.
Restez sur le chemin de la vertu, servez Dieu ou vous retomberez dans l'obscurité, vulnérable aux tentations et aux vices. Cette lumière vous guideras sur le chemin de la vertu et éclairera votre cœur lorsque la créature sans nom tentera de l'assombrir.


Il lui passa ensuite un bijou autour du cou :

Voici la médaille des baptisés. Elle symbolise votre appartenance à notre Sainte Église ainsi que votre engagement dans notre Communauté. N'hésitez pas à la porter.



Il lui donna également son certificat.

Un silence court suivit.
Il fit alors signe à un chanoine près de lui d'apporter le plat d'hosties. Prenant le calice au milieu d'elles, et saisissant l'un des petits morceaux de pain sans levain, il les éleva au-dessus de sa tête, vers le Ciel :




Communions ensemble mes amis.

_________________
Don_querotte1
Don se laissa passer la médaille autour du cou, et prit le cierge ainsi que son certificat. Puis il communia avec l'assemblée des soeurs et des frères; Première communion pour lui il en fut très ému.

Il rejoignit Sa douce et ses ami(e)s, et ils allaient fêter cela.

Il parla à l'Archevêque :

Monseigneur, j'espère que vous aurez le temps de partager un peu de notre fête avec nous? Et puis je voulais vous demander pourriez-vous fixer une date pour le mariage s'il vous plait, les bans sont déjà publiés depuis 8 jours.

_________________
Celtane
L'émotion de Don, presque palpable lui avait amené les larmes aux yeux.
Après la communion, elle s'était absentée quelques minutes pour reprendre contenance sous prétexte de vérifier les préparatifs de la fête sur la Gargotte.

De retour, elle s'approche de son coeur qui parle à Monseigneur Richelieu.


Oh oui, Monseigneur vous avez sans doute besoin de vous désaltérer et vous restaurer un peu après cette magnifique cérémonie...

Un sourire radieux ponctue la phrase.

Elle se tourne vers leurs amis.

Et vous tous aussi bien entendu! Et plutôt deux fois qu'une!
_________________
Drak
Nicolae entra dans l'église où il devait célébrer le baptême de Messire Malbec qui avait choisi Sa Majesté Hersende comme marraine. En entrant dans la cathédrale, il l'avait vue sortir avec les invités du baptême précédent. Elle était sans doute allé se raffraichir. De toute façon, malgré ses nombreuses occupations, la Marquise ne manquait jamais à ses responsabilités.

En entrant, l'archidiacre sonna les cloches à la volée pour inviter les fidèles à cet évènement si important et si festif: une nouvelle âme allait rejoindre la communauté aristotélicienne.


Tout était prêt pour célébrer un baptême puisqu'on venait d'en célébrer un. Des fleurs ornaient encore le baptistère et l'autel. L'archidiacre alla à la sacristie pour revêtir ses ornements liturgiques. Puis il revint avec un cierge et une médaille qu'il déposa sur l'autel. Il y ajouta le plus important: le certificat de baptême. Il alla ensuite à l'entrée de la cathédrale pour accueillir le futur baptisé et les croyants à l'entrée de l'église.

See the RP information <<   <   1, 2, 3, ..., 21, 22, 23, ..., 49, 50, 51   >   >>
Copyright © JDWorks, Corbeaunoir & Elissa Ka | Update notes | Support us | 2008 - 2024
Special thanks to our amazing translators : Dunpeal (EN, PT), Eriti (IT), Azureus (FI)