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[RP] Cathédrale Saint Maximin d'Aix

Richelieu1
En souriant il se tourna vers le futur baptisé.

Alors vous pouvez prononcer le serment du baptisé mon enfant.

Vitryol
Fixant la tablette sur laquelle se trouvait le texte, Vitryol entama la lecture à voix haute et intelligible. Il avait du coffre, c'était pour s'en servir!



Je reconnais en Dieu le moteur du monde, la pensée suprême et la cause
efficiente et finale du monde.
Je reconnais l'Eglise Aristotélicienne
comme mon guide dans la connaissance de Dieu, et je jure de lui rester
fidèle ainsi qu'à son autorité, seule représentante sur terre de l'Etre
divin.
J'accepte tout cela de ma propre volonté pour le salut de mon
âme en vue de ma résurrection près de Dieu dans la contemplation
éternelle de Sa Beauté.
Je désire que mon nom apparaisse comme
baptisé et serviteur de Dieu tout puissant.

_________________
Charly
Charly, toujours assis aux côté de sa Tendre Fiancée, ne peut s'empêcher de verser une larme en entendant l'envoi de son ami Vitryol.

Snif...par Aristote, mais que c'est émouvant...

Snif...je me souviens de mon baptême...snif...

D'ailleurs, nous y étions venus nombreux...snif...


Il regarde sa Fiancée :

Meine Dolciteine, je suis z'ému...z'ému...c'est le moment le plus émouvant...snif...passez-moi donc votre auguste manche, que je ressuie mes larmes meine Liebe...

Je vais craquer...je sens que je vais pleurer en public...comme une Marie de Magdala, oui.

Mais pas une de pierre hein meine Dolctiteine, ah que non.

Les pierres ne pleurent pas.

Notez...notez que quand je pleure un peu, je dis "snif".

Hem...snif...pierre...snif-snif...maison en pierres...snouf-snouf en bois...oui bon...j'arrête de pleurer...

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"Je danse avec ma Dolcita.
Qui n'aime que moi
Et les grands airs de l'Opéra."
Richelieu1
Le moment tant attendu était enfin arrivé et le Très-Haut savait combien il avait été désiré par Vitryol.
Ludovi l’invita à se pencher au-dessus des fonds baptismaux. A l'aide d'une coupelle, il versa de l'eau sur son visage en déclarant :


Par cette plongée dans l'eau, je te purifie de tes fautes passées.
Vitryol, je te baptise au nom de l’Eglise Aristotélicienne et au nom du Très-Haut, pour l’amitié de tous les Saints et pour l’amour du Père de l’humanité.
Ainsi te voilà purifiée par la grâce du Tout-Puissant. Tes fautes sont pardonnées. Ton âme sera libérée des craintes de l'enfer lunaire, pour peu que ta vie soit vertueuse.





L'archevêque sourit à Vitryol, puis le ramena vers l'autel afin de lui remettre certaines choses.


Par cette lumière que je te confie au nom de la communauté aristotélicienne, je t'invite à suivre les préceptes de Christos et d'Aristote. Te voici désormais éclairée par la Lumière du Très-Haut.
Reste sur le chemin de la vertu, sert Dieu ou tu retomberas dans l'obscurité, vulnérable aux tentations et aux vices. Cette lumière te guideras sur le chemin de la vertu et éclairera ton cœur lorsque la créature sans nom tentera de l'assombrir.


Il lui passa ensuite un bijou autour du cou :



Voici la médaille des baptisés. Elle symbolise ton appartenance à notre Sainte Église ainsi que ton engagement dans notre Communauté. N'hésite pas à la porter.

Il lui donna également son certificat.



Un silence court suivit
Il fit alors signe à un chanoine près de lui d'apporter le plat d'hosties. Prenant le calice au milieu d'elles, et saisissant l'un des petits morceaux de pain sans levain, il les éleva au-dessus de sa tête, vers le Ciel :





Alors il tendit les bras vers les fidèles, et leur dit simplement :


Il est temps de nous séparer, je compte sur votre présence régulière aux offices et aux quêtes. Soyez assidus et généreux.Allez en paix !

Richelieu disposa à la sortie de la nef un panier pour les dons des fidèles, puis se mit un peu plus loin en haut des marches, juste après le Narthex pour saluer les fidèles.
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Kilyan
Kilyan entra dans la cathédrale et enleva son chapeau. Après avoir fait signe de croix il s'avança vers le Cardinal

Bonjour Monseigneur,

Je fais suite à votre missive concernant mon baptême. Comment doit-on procéder pour être baptisé ?


Il posa son regard dans le sien et attendit patiemment sa réponse
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Richelieu1
Le Cardinal croisa un jeune homme fort bien éduqué. Celui ci avait respectueusement ôté son chapeau et s'était signé avant de se présenter comme il s'y était engagé. Certes le titre employé n'était pas le bon, mais cela n'avait pas la moindre importance. Le cardinal lui sourit et lui donna réponse :

Bonjour jeune homme. Je vous suis gré d'avoir tenu parole. Avant de recevoir le sacrement du baptême, il va vous falloir suivre un petit enseignement de découverte de notre religion. Cela s'appelle une pastorale, que je peux vous dispenser si vous le souhaiter au Siège des Archevêchés de Provence.

Présentez vous là bas, et une cellule d'étude vous sera mise à disposition.

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Aldebaran2
N'ayant pas trouvé le bureau des annonces en tous genres elle se dit que le meilleur endroit pour mettre son affiche était à l'entrée de la cathédrale.
Partout où elle passait elle placardait ceci:



Le dimanche 2 may de l'an de grâce 1442 les premiers fidèles se rendant à l'office du matin trouvèrent un homme endormi sur le parvis de l'église de Lourdes, un couffin sur les genoux.
Réveillé en sursaut, apeuré, il demanda aux gens présents de prendre soin de la petite fille qui dormait à poings fermés.
""Elle s'appelle Aldebaran"" dit-il et voici une bourse bien garnie pour les personnes qui s'occuperont d'elle.
"" Je passerai la voir régulièrement et récompenserai encore les braves qui en prendront soin""
Prenant la petite dans ses bras il lui baisa tendrement les paupières et la remit sans qu'elle ne se réveille.
Il partit en courant presque, les larmes aux yeux.
Il ne revint jamais.....

J'ai été élevée par de braves gens n'ayant pas d'enfants, ils m'inculquèrent le goût du travail bien fait, la lecture, l'écriture, le respect des autres et l'amour de la vie.
Mon enfance à Lourdes se déroulait tranquille.
J'étais une petite fille heureuse.

Ce n'est qu'a leur décès que j'appris mon histoire et dans une boite trouva les effets que je portais le jour de mon arrivée ainsi qu'une médaille, la bourse toujours pleine et une lettre expliquant ce que je viens de vous raconter.

Quelques langues se délièrent, comme quoi l'homme qui m'avait laissé était vêtu de beaux atours et était très jeune.

Pour moi, j'étais Lourdaise, née à Lourdes et ce fut un choc.

Quelques temps après je décidais de prendre la route, faire le tour du Royaume afin d'aller à la recherche de mes origines......

Je tiens à préciser que la médaille est estampillée d'un goupil......

Si quelqu'un sait quelque chose où peut me diriger dans mes recherches je lui en serai très reconnaissante.

Envoyez-moi un pigeon et je répondrai à tous les courriers.

Aldebaran2



Elle se recule afin de relire et ensuite part d'un pas lent........

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Letueurdeprovence


Silencieux et méfiant, je m'approche de la grande porte de l'église. Je saisi le petit bout de parchemin de ma besace, mon corps ce penche vers l'avant et je glisse la lettre sous la porte dans l'espoir que le curé l'a trouve.

Je me relève satisfait puis retourne pour rentrer chez moi, après cette belle soirée inoubliable.

Le parchemin laissé sur les lieux
Citation:
Une vie s’est éteinte cette nuit.
Une pauvre âme à rejoins votre ‘Supérieur’
Ne priez pas pour mais faite le pour vous.
Au prochain jour sacré, une autre ira la rejoindre.
Je sais déjà qui, Dieu le sait aussi et vous?
Non?
À croire que je suis plus près de votre Dieu que vous-mêmes ne l’êtes.

TDP.


(Voir le Chapitre I du sujet 'Le Tueur de Provence'.)
Alberto
D'habitude on a le temps pour tout. Le travail, les plaisirs, les études, etc. Et on oublie souvent de se rapprocher du très haut. Du moins, c'est ce qui arrivait au jeune Bailli de Provence.

Il venait d'entrer dans la noblesse Provençale et ce grâce à sa marraine, HIPS avait fait un bon score aux élections ce qui leurs permettrait de mieux continuer à travailler et à défendre la Provence, suite à l’attaque qu’il avait subit en allant à Aix , il s'était rendu compte qu'il était entouré de bons amis qui l'appréciaient et qu'il appréciaient. Et comme si ce n'était pas assez, Nathy venait de le rendre l'homme le plus heureux en acceptant de l'épouser.

Il se sentait chanceux et il l'était. C’est pourquoi, il voulut remercier le Très Haut.

Pendant une pause entre le travail au pôle économique et à la prévôté, Alberto se rendit à l'église où il se mit à genoux et commença à prier et rendre grâce au Très Haut de le conduire si humblement sur le chemin de la vertu.

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Laly56
Alberto
je cours après toi pour te féliciter , car je suis passée en coup de vent voir Nathy , eh bien dame quelle chance elle a de t'avoir !!!
Je n'avais que très peux de temps pour rester auprés d'elle mais elle n'a pas dû comprendre que j'ai fait une entorce au règlement car je suis dans l'armée de mon adorable amie Led !!! et j'espère que dans tout ce micmac de négociations , on va pouvoir revenir chez nous pour vivre tranquilou !!!!!!!!
assez de ces jaloux !! de ces fous , la trêve j'espère va vite arriver pour nous laisser en paix !!! ne l'a t'on pas mérité !!!!

vive la Provence

Bisoux à vous deux

Laly
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Pedro.
Par une nuit noire et brumeuse, le gamin bien encapuchonnée se faufila a travers la ville pour se rendre à l'église. Une envie de prier très pressente?Un besoin de se confesser immédiat?, non ni l'une ni l'autre, juste une promesse faite à ces compagnons quand au bénitier de l'église d'Aix. Un tout petit avant gout nauséabond de ce qui attendait le microcosme Marquisal et de tous les sbires qui gravitaient autour.
Le gamin passa par la sacristie, entrée plus discrète car elle ne donnait pas sur la place publique, ainsi il aurait moins de chance d’être vu...
Une fois à l'intérieur il attendit quelques minutes histoire que ces yeux s’habitue au noir complet, il ne s'agissait pas d'allumer une bougie pour mieux voir et être vu a coup sur!!
Lorsqu'il commenca à distinguer l'intérieur de la Sachristie, il vit sur l'autel une petite outre, il s'approcha, l'ouvrit et la porta à son nez...
"-du vin blanc!!------sourire------" glou, glou, glou, hips"
Le gamin la descendit cul sec
"-A la santé du cardinal!! hips , qu'il s'étouffe avec une hostie !! le chien!!"
Il reposa l'outre et se dirigea vers le bénitier.
C'est qu'il était haut le bénitier, et Pedro pas très grand....Il approcha un banc en bois que les fidèles se servaient à prier, sans faire de bruit. Il grimpa dessus, se défroqua et urina tout ce qu'il put dans le bénitier.
IL pensait à Hersende et tous ces soldats, ces conseillers, toute la vermine qui virevoltait autour, telle une mouche bleue autour d'une bouse bien fraiche. Il pensait à tous ceux là quand ils viendraient prier le très haut, il pensait au cardinal qui viendrait lui aussi tremper ces doigts assassins dans ce bénitier.
On pouvait voir un large sourire se dessiner sur le visage de Pedro .
IL descendit du banc le remis en place tout aussi silencieusement et fila par là ou il était venu, le coeur et la vessie allègée...
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c'est celui qui dit qui y'est!!
Al1
Al était là, caché dans un coin comme à son habitude, il avait longuement hésité, était passé à de nombreuses fois devant cette cathédrale sans oser y rentrer.
Il s'était enfin décidé ce matin, son épouse ne reviendrait plus il le savait tout au fond de son coeur mais comment ne pas espérer ?
Faire illusion comme tous ces derniers jours était au dessus de ces forces aujourd'hui, il pleurait, tout son corps pleurait en ce lieu ou avait été célébré son mariage, il se souvenait de tout, de chaque instant passé avec celle qu'il aimait, ses rires, ses pleurs ses coléres, toutes ces images qui l'assaillaient et surtout, l'apercevoir se jeter à l'eau alors qu'il sombrait avec ce qui devait être leur bonheur, impuissant.
Pourquoi était-il la ?
Pourquoi ne pas la rejoindre ?
Tant de questions sans réponses
Al était là, seul, sans envie, sans coeur, seul simplement
Il esquissa un sourire
Forcalquier, là ou tout a commencé et ou tout devait finir.
Il se leva péniblement.

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Al de Koenigs
Seigneur D'aureille

Epoux à jamais de la belle, tendre et...défunte Belissende de Biel
Panisse
Il avait marché, arpenté les ruelles, était passé à la mairie, à la commanderie du port.
Personne. Il n'avait vu personne.
Pfff, pensait-il, à qui pourrait-il confier sa découverte ?
Il arriva sur la place de la cathédrale. L'édifice, imposant, montait sa flèche vers le ciel.
La porte était ouverte.
Timidement, car il n'avait pas l'habitude d'entrer dans d'aussi grandes églises, il entra.
Un homme était là, debout, dans la pénombre, dans le silence.
Visiblement ému, blessé.
Cet homme... n'était-ce pas le capitaine Al ?
Panisse n'en n'était pas sûr mais...
Il s'approcha.
L'homme s'apprêtait sans doute à sortir, il l'arrêta et...


Pardon excuse messire, je... voila j'veux pas vous déranger mais je... j'suis un pauv pêcheur de pescadou, j'étais parti pour jeter mes filets avec mon compère César et... ben voilà, en arrivant sur le rivage, y avait un gamin qui criait criait et...

Il tournait son bonnet dans ses mains, un peu embarrassé, ne sachant trop comment présenter la chose...

Bé, le gamin il nous montrait un truc qui flottait dans l'eau, comme une robe, oui comme une robe, alors César et moi on a pris une gaffe et tout doucement on a tiré cette chose qui flottait vers le bord et...

il se tut encore, de plus en plus embarrassé

Bé c'était une dame... une dame qui a dû rester dans l'eau longtemps. Une belle dame... Vous sauriez pas si quelqu'un pourrait venir voir, la reconnaître... j'ai pensé que...

Il regarda l'homme.

vous savez, le capitaine dont le navire a été coulé, l'Indomptable il s'appelait le navire, et Al le capitaine... Ben on a dit que sa femme avait disparu... Alors j'ai pensé que peut-être celle qu'on avait retrouvé...
Al1
Al regardait l'homme qui lui parlait sans le voir, il l'écoutait sans écouter, il voulait juste la rejoindre, qu'importait le reste.
Quelques mots le firent sursauter et parler


Un corp, une robe, à côté du port ?

C'est sans ménagement qu'il le pris par la manche

Je veux voir
Panisse
L'homme l'avait pris par la manche, serrait fort son bras. Panisse comprit que ce qu'il avait dit était important pour lui. Mais peuchère qu'il serrait !

je veux voir

Aïe, me serrez pas si fort messire. Oui, à côté du port. Suivez-moi j'vous emmène... il y a mon compère et le gamin qui sont à côté de la dame, peut-être que vous la reconnaîtrez... Vous seriez pas... vous seriez pas le capitaine Al ?
On y va, on y va...


Et ils sortirent de la cathédrale, l'homme serrant toujours le bras de Panisse. Direction le rivage, près du port.
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