[RP privé] une rencontre dans la ruelle

Sheytane regardait les flammes danser dans l 'enceinte du château, rester en contre bas elle alla s 'installer pour regarder le spectacle qui s'offrait à elle.
Allez en taverne pour voir des travesti, des personnes le cul à l'air ne l'intéressait pas trop.

Elle se mit à aiguiser un bout de bâton afin de trouver pitence pour la nuit

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Edité sous la demande du joueur Arnaut
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La nuit tombante, le Malemort faisait des rondes derrières les barricades. A chaque ruelle donnant sur le château, les lueurs des flammes dansante venaient frapper son visage, provoquant inexorablement sa colère, le forçant à serrer le poing pour la réprimer. Relevant la tête, il tomba sur une inconnue, couteau dehors. D'un geste vif, il l'éclaira de sa lanterne. La lueur étincelante le forçant à plisser les yeux. Portant sa mains sur son épée, il cria :

- « Halte ! Qui va là ! Poser votre arme, et déclinez votre identité ! »

Lentement, il s'approcha, jusqu'à éclairer son visage.
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Shey assoupis sursauta en entendant une voix

- « Halte ! Qui va là ! Poser votre arme, et déclinez votre identité ! »

Elle s 'etira.

pohaa on peu pas roupiller tranquille loin de la fumée qui rode tout autour de nous ?

Elle se leva et se rattacha la tignasse.

B'soir ... alors déjà sieur on se présente et peut être qu'après je me présenterais ou pas.

Elle toisa l'homme du regard et poussa sa main tenant une torche

Faites gaffe à votre truc la vous allez me bruler mes cheveux.
Bon vous êtes ?
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La jeune femme releva ses cheveux, révélant une beauté aguichante. Le jeune Malemort, quelque peu troublé par cette féminité exacerbée, mit du temps à revenir à la réalité de la situation, pour finalement sortir une phrase bateau, et légèrement ridicule :

- « Votre nom d'abord, je l'ai demandé en premier ! »

Il se rappela ses contes pour enfants, où parait-il, les dieux envoyaient sur terre des nymphes pour être fécondé par des hommes vertueux. Etait-ce le cas ici ? Avait-il a faire à une déesse souhaitant se complaire dans le délice de la chair ? Sa digression mentale fut rapidement stoppé par les flammes de la lampe, qui commençaient à chauffer le haut de son crane. D'un geste maladroit, il abaissa le lumière, mais l'obscurité cacha a nouveau le visage de son interlocuteur. L'aura dominatrice qui s'échappaient de ses mots mis à mal l'assurance d'Arnaut. Retrouvant le courage qui était le sien il dit :

- « Vous avez raison, le nom importe peu, car ce n'est certes pas lui qui me renseignera sur le motif de votre présence ici. N'avez-vous donc pas de chaumière où vous reposer en paix ? »
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Shey ne recula pas devant la torche, elle regardait l'étranger et se retenu d'éclater de rire.

- « Votre nom d'abord, je l'ai demandé en premier ! »

Elle sourit et se mit a marché autour de lui comme sur une proie

Et bien et bien messire vous n 'avez que cela a répondre ? Seriez vous troubler par une étrangère ?

Elle cessa un moment son petit manège et lui fit face.

- « Vous avez raison, le nom importe peu, car ce n'est certes pas lui qui me renseignera sur le motif de votre présence ici. N'avez-vous donc pas de chaumière où vous reposer en paix ? »

Elle haussa les épaules.

Mon nom et bien je pourrais vous dire une belle connerie, genre moi je suis Gertrude et vous ? c'est pathétique vous n'aurez aucune preuve de mes dires. mais je vais être gentille je suis une jeune Cohen

Elle lève la tête vers la fumée sortant du château

ma présence ici est simple je regarde la fumée danser des remparts du château je reste assez loin des remparts car des objets en tombe.

Elle lui montre des fruits pourri jonchant le sol

regardez vous même les fruits tomber sur le sol. par chance je les ai éviter de justesse.

Elle sauta sur une large pierre et se retrouva plus haute que lui.

J'ai pas de chaumière messire je n'aime que la nuit et puis... j'attend la fin de la construction de mon appartement privé dans votre capital.

Elle fit un sourire angélique.

Peut être viendrez vous y prendre un verre

Sautant de la pierre se retrouvant près de lui

Et vous qui êtes vous ? et pourquoi vous promenez vous dans la sombre nuit seul ?
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Le jeune Malemort regardait les fruits qui jonchaient le sol. Alors même les fruits & légumes peuvent exploser ? Tout à fait fascinant. Cela lui rappelait une histoire qu'on lui avait jadis conté sur une maure du sud de la France, qui, avec sa catapulte installé en haut de son donjon, faisait s'envoler les chats, et ainsi, de mesurer la distance de vol. Il n'en savait pas plus sur les résultats des recherches...

- « Je suis Arnaut de Malemort, je suis en charge de la sécurité des ruelles de Limoges. Pour garantir la sécurité des villageois, la circulation des étrangers est soumise à régulation. »

Arnaut, stoïque, regardait la jeune femme déambulait apparemment sans méfiance. Dans une vue salutaire que le jeune homme décida de n'opposer à l'apparente insouciance mais néanmoins désinvolture de la jeune femme, que la conduite la plus modérée.

- « Vous faites bien de vous écarter ainsi madame. Néanmoins, je vous serais grée de me donner votre nom. Et puisque vous avez acquis un appartement dans la capital, il m'en faut également l'adresse. Je contacterais la responsable du cadastre rapidement, afin qu'elle confirme, ou pas, vos dires. Connaissant maintenant vos traits, si vos renseignements s'avéraient être faux, nous n'aurions aucun mal à vous retrouver, & à employer les mesures qui s'imposent. »

Dit-il avec le plus grand sérieux.
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Shey regardait tranquillement son interlocuteur quand elle baissa son regard pour chercher quelque chose dans sa besace.

- « Je suis Arnaut de Malemort, je suis en charge de la sécurité des ruelles de Limoges. Pour garantir la sécurité des villageois, la circulation des étrangers est soumise à régulation. »

Son sang se figea ce Malemort la elle l'avait en horreur et pas pour une moindre cause...
Elle releva la tête avec un sourire qui en disait long.

La sécurité de la ville ? hummm hummm z'avez pas un peu louper votre devoir ?

Elle leva le doigt vers une tours du château en proie aux flammes.
C'est avec désinvolture qu'elle continua amusée.

Vous voulez peu être que je vous conseil car la... votre sécurité à laisser des traces de manque de discernement sur une probable situation.

Elle trouva son fruit et croqua à pleine dent dedans avec délice.

- « Vous faites bien de vous écarter ainsi madame. Néanmoins, je vous serais grée de me donner votre nom. Et puisque vous avez acquis un appartement dans la capital, il m'en faut également l'adresse. Je contacterais la responsable du cadastre rapidement, afin qu'elle confirme, ou pas, vos dires. Connaissant maintenant vos traits, si vos renseignements s'avéraient être faux, nous n'aurions aucun mal à vous retrouver, & à employer les mesures qui s'imposent. »

Elle leva de nouveau son regard sur l'homme un regard froid et mauvais.

M'écartez ? et alors, c'est pas un lancer de fruit qui va me tuer hein !

Elle éclata de rire.

Je vous ai déjà dit que j'étais une jeune Cohen. Et que j'attendais encore mon appartement il est encore en construction. Seriez vous troubler pour oublier des informations importante messire ?
Et je suis assez grande pour contacter moi même le responsable du cadastre.
Ce n'est pas parce que j'ai 16 printemps que je suis sotte.

Elle sourit.

Vous ne connaissez que les traits que je laisse percevoir de ma personne Messire

Elle hausse les épaules.

Me retrouvez vous dites ? désolée mais j 'en rit d'entendre cela.

Un sourire espiègle s'afficha sur un visage angélique.

Dites Messire il se passe quoi au château exactement je suis arriver ici après le remue ménage donc je me pose des questions.
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Le Malemort esquissa un rictus. Quelle impertinence. Sa défiance allait bientôt venir à bout de sa patience. Son regard dériva sur les tours enflammées du château. Après une profonde inspiration qui, manifestement, lui remis les idées en place, c'est d'un ton sec et froid qu'il lui dit :

- « Merci pour votre bienveillance, mais je n'ai nullement besoin de vos conseils. Notre château a été vendu par des conseillers vaniteux, au cœur plein de haine envers ceux qui les renvoyaient vers leur propre médiocrité. Tel est le résultat des luttes de pouvoir... »

Il s'arrêta quelque instant, pour symboliser son découragement devant tout ce gâchis, et pour des raisons fallacieuses. D'autres, dans sa situation, auraient certainement choisi de se réfugier chez les moines. Le confort de la prière est sécurisant. Mais lui avait choisi de se battre pour ses idéaux de justice, de paix, de respect, et de fraternité. Pas avec des révoltes, pas avec des menaces, mais avec une arme, bien plus tranchante, les mots.

- « Ce qui se passe au château ? Et bien comme vous le voyez, certains prennent plaisir à transformer le travail des élus en compote. Un groupe d'individu encore non identifié a pris le contrôle du château. Ils se sont barricadé dans l'enceinte, et nous avons du mal à les déloger. Des témoins affirment avoir vu des brigands sortir du château. Leur habilité au déguisement est grand, mais rien n'échappe à l'oeil des limogeauds. Je suis désolé de devoir ainsi vous embarrasser, mais je vais devoir vous demander de me montrer le contenu de votre besace. »

Dit-il tout en montrant du doigt le sac de la jeune fille. Que pouvait-il bien y chercher ? Il ne le savait point encore.
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Shey écoutait en tortillant une mèche de cheveux et fronça le nez.

Hooo votre château à été vendu !!!

Elle reflechis.

Ha lala la politique tuera toujours la vie d'un comté. Quand les politicard le comprendrons alors le comté prospèrera dans le bon sens.

Elle sourit amusée de voir le visage de l'homme un peu décourager par la situation.

Mais ses individus que vous n'arrivez pas à déloger avez vous pensez a parler avec eux avant d 'entamer un combat sans fin ?

Elle hausse les épaules

Malgré se qu'ils font croyez vous qu'ils ont fait cela pour nuir totalement au Limousin ? peut être on t il une humanité au fond d'eux et ne veuille pas anéantir des années de dur labeur... Ou peut être que grace à eux vous ouvrirez les yeux sur les choses de la vie les plus simple et les plus vitale.

Lui dire qu'il ne voulait pas la déranger mais qu'il devait contrôler sa besace, elle haussa les épaules.

Mais bien sur messire c'est votre travail.

Elle ouvrit sa besace et commenca a vider son continu..

Alors la vous avez ma plume et mes vélins pour écrire, Humm la vous avez une dague bien affuter offerte par un ami.

Elle déposa la dague a sa ceinture montrant qu'elle ne voulait pas blesser qui que se soit.

La vous avez un bijoux de ma famille, enfin une relique de ma mère que je ne quitte jamais.

Elle sourit

Et puis une petite miche de pain acheter sur le marché hier et heu... ma bourse d'ècu qui se vide de jours en jour.

Ayant tout déposer sur une pierre elle posa la besace au même endroit.

Voila Messire ... satisfait ?
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Le jeune Malemort écoutait la jeune femme Sans-nom, et ne put empêcher son esprit de vagabonder sur ses réflexions. On eu dit une jeune écolière récitant naïvement ses leçons, ou pire, une pucelle tentant de philosopher sur la beauté du coït. Allait-il, lui, débattre sur la beauté des femmes ? Et c'était sans compter les exquis petits seins de la jeune femme qui lui faisait face. Son corps commençait a montrer des signes de fatigues, et pourtant, il était loin d'être las. La sueur perla sur son visage, et son esprit perdait totalement le fil de la discussion... Oh mon Dieu ! Mais c'est qu'il en faut peu pour l'exciter le petiot ! Il commençait presque à ressembler à son frère devant les portraits de jeunes filles. Burk. Perdant petit à petit le contrôle, il fit vole face, et inspira une conséquente bouffée d'air frais. Piouf ! Captant les derniers mots, suffisant selon lui pour comprendre l'intégralité de la discussion, il dit :

-"Je ne vois malheureusement pas le rapport entre les politiciens & la compote chère madame".

Dommage... il était complètement à coté de la plaque... Mais alors carrément... Cependant, lorsqu'elle commença à parler des pilleurs, il se mit à glousser nerveusement. C'était sa façon de refouler son rire. Avez- vous déjà rit au point de vous uriner dessus ? et ben Arnaut oui, et il en garde un très mauvais souvenir. Il se plaît à dire que c'est par respect pour son interlocuteur, mais que nennie ! Reprenant ses esprits, il lui rétorqua :

- « Nuire totalement. Qu'est-ce qui n'ont rassemble tous ? Sur quoi construisons-nous notre identité ? Le Limousin & la Marche. Le Comte est un symbole. Y toucher, le destituer, c'est attaquer tous le Limousin. Vous croyez que les politiciens contrôlent tous, y compris nos choix ? Vous croyez vraiment qu'ils ont réussi à pervertir notre regard, au point de nous faire oublier les choses de la vie les plus simples et les plus vitales comme vous dites ? C'est leur accorder une importance qu'ils n'ont pas. Seul Dieu est omniscient, & omnipotent. Quand bien même ils auraient des intentions humanistes, ce dont je doute fortement, ce n'est certainement pas en usant de violence que la leçon passera. »

Après avoir fouillé la besace de la jeune fille, il s'étonna de ne point trouver un exemplaire pour besace du livre des vertus, mais bon... Tous le monde ne peut pas être aussi vertueux que lui. Interpelé par le bijou de famille, se demandant s'il serait amusant de faire peur à la jeune femme en lui disant qu'il s'agit là d'une pièce maîtresse dans une affaire de meurtre, et qu'il doit par conséquent lui prendre. Borf non. Peut mieux faire. Son frère lui a toujours appris à donner le meilleur de lui-même, et ça, c'était pas le meilleur.

- « Satisfait de quoi ? Et bien tous semble en règle. Vous avez évité la fouille corporelle. Je dirais plutôt félicitations. Vous êtes libre, je n'ai plus aucune raison de vous déranger plus longtemps. »
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Fort amuser de la gentillesse de l'homme qui avait voulu donner sa tête aux Poitevins il y à quelques temps . Shey sourit ne laissant rien paraitre de la situation formidable qui se déroulait sous ses yeux.

rangeant son foutoir elle remis sa besace en place.

Vous voyez je ne suis pas une méchante.

Elle claqua sa main sur sa cuise pour faire venir son renard et lui attacha un foulard a la patte pour le laisser repartir.

Bon je vais vous laissez chasser les coquins qui vous ont jouer un mauvais tour

Elle siffla sachant que le Dag était en haut, elle commença a monter à l'arbre en éclatant de rire.
Elle attrapa la corde gentiment jetter et commença a se hisser.

Ha oui au faite Messire, vous vouliez mon prénom alors le voila, j'ai me nomme Sheytane qui est mon vrai nom de naissance mais vous me connaissez sous le nom que les nones m on donner, Alienor de Proisy, vous savez la vilaine et mauvaise fille adoptive du Vicomte jehan, celui a qui vous aviez dit que vous lui donneriez ma tête. Une chance que j'ai retrouver mon géniteur hein

Finissant de grimper elle sourit.

A très bientôt Messire

Elle pouffe de rire et entre dans l'enceinte du chateau.
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