Promether
[ A Toul ]
Prom passa une agréable fin d'après-midi taverne. Il joua au rampo avec quelques personnes et pour une fois il s'en sortait bien en gagnant même à plusieurs parties ce qui était assez rare par rapport à d'habitude, lui qui avait toujours peu de chance. Prom quitta la taverne au crépuscule, il alla juste prendre son paquetage et quitta immédiatement la ville, une longue route l'attendait jusqu'à Nancy.
Sur les chemins en direction de la capitale, il n'eut aucun encombre avec un quelconque brigant. Le bruit de sa monture au galop ou au trot résonnait et troublait la nature calme à cette heure. La difficulté principale était l'obscurité qui forçait le jeune homme a resté attentif pour ne pas dériver du chemin, ou encore de se prendre un obstacle à vive allure. Même si sa torche l'aidait à mieux voir, elle n'éclairait pas très loin, heureusement que la plaine lune l'aidait également. Promether devait aussi resté concentré, prêt à se défendre en cas d'attaque.
A Nancy.
Au bout de plusieurs heures passés dans la campagne, il aperçut enfin un panneau de bois lui signalant qu'il arrivait à Nancy, il put ainsi mettre son destrier au pas et mettre pied à terre pour qu'il puisse enfin reprendre son souffle. Il vit au loin des torches le long des remparts. Il était soulagé d'arriver à bon port, la route lui avait paru longue et l'avait beaucoup épuisé, il était alors pressé d'aller se reposer.
Toutefois quand il arriva près des remparts il fut curieux de voir qu'il n'avait personne devant la grande porte, pourtant il avait cru voir des gardes en haut des remparts. Il soupira : " Pfff n'importe qui peut rentrer dans la ville, personne n'est là à garder la porte principale de la Capitale ". Il entra alors dans la cité et d'un seul coup un individu se précipita sur lui, une épée en main. D'un geste instinctif il lui jeta dessus la torche qu'il tenait encore en main et qui était presque éteinte. L'individu reçu en plein dans le torse la torche, et ces vêtements commencèrent à prendre légèrement feu. Pendant qu'il était en train d'éteindre son tissu en combustion, Prom eut alors le temps de lâcher les rennes de sa monture et de sortir son épée pour combattre son adversaire qui revint rapidement à la charge. Les deux hommes engagèrent un combat, Prom arriva à parer les quelques coups de son adversaire, l'étranger se battait comme un novice , le jeune homme se contenta juste de se défendre car il ne savait pas si l'inconnu était un allié ou au contraire un ennemi, il était courant au moyen-age qu'à la nuit tombée les rues étaient dangereuses et qu'on pouvait risquer sa vie. Il ne voyait même pas son visage pour savoir si cette personne lui était familière ou non. .
Les sons des épées qui s'entrechoquaient du attirer l'attention, car une autre personne arriva. Prom devaient à présent se battre contre deux personnes, il donna même un gros coup de poing dans le ventre d'un de ces adversaires. Le jeune homme essaya de se défendre comme il pouvait mais se battre avec deux adversaires commençaient à devenir difficile.... Une troisième personne arriva, il ne savait plus où donner de la tête et commençait à perdre le combat en sentant des coups de bâton et d'épée contre son armure. Une quatrième... et une huitième personne arriva, tous lui donnèrent d'important coup avec leur arme, grimaçant sous la douleur, il sentit du sang s'échappait de son corps et dégouliner. Prom ne pu faire grand chose pour se défendre et perdit son épée au combat. Un de ces adversaires lui porta un coup fatal, l'épée le traversa, et le jeune homme s'écroula au sol, sa respiration était haletante, sa vision devient de plus en plus flou, un filet de sang coulait de sa bouche jusqu'au sol, il avait terriblement mal, et il serra les dents sous la douleur. Il ne voulait pas mourir là , et il voulait encore revoir celle qu'il aimait. A cette pensée, il perdit conscience sous ses blessures.
â¦. Des images et des sons se bousculèrent dans son esprit : il entendit un hennissement d'un cheval sans voir l'animal, des pleures d'enfants, un cimetière, des ombres, un rire sadique, des murmures indescriptibles, des personnes priaient, des voix raisonnèrent il en reconnaissait certaines, des épées s'entrechoquèrent , des sons de cloches de plus en plus fort puis il se retrouva sur une scène de combat qu'il avait il y a longtemps participé, du sang gicla, on entendait des gens hurler de douleur, certains prirent des coups d'épée, d'hache ou encore de lance..., des corps et des restes humains gisaient sur le sol rouge, quand il leva les yeux de ces cadavres cette atroce scène disparue. D'autres mini scènes de son passé lui apparurent comme des paysages, des lieux qu'ils connaissaient bien, des amis et des camarades, un cheval qui trottaitâ¦. puis le parfum de son aimée, ces douces lèvres qui touchèrent les siennes â¦.
Les personnes qui l'avèrent blessé, finirent par remarquer leur erreur en voyant le visage de Prom à la lumière, on essaya de réduire la perte de sang puis quatres d'entre eux le mirent sur un brancard en bois et le transportèrent rapidement à l'hospice médicale. Une fois à l'Ost ils rentrèrent en trombe dans l'hospice et appelèrent un médecin.
Prom passa une agréable fin d'après-midi taverne. Il joua au rampo avec quelques personnes et pour une fois il s'en sortait bien en gagnant même à plusieurs parties ce qui était assez rare par rapport à d'habitude, lui qui avait toujours peu de chance. Prom quitta la taverne au crépuscule, il alla juste prendre son paquetage et quitta immédiatement la ville, une longue route l'attendait jusqu'à Nancy.
Sur les chemins en direction de la capitale, il n'eut aucun encombre avec un quelconque brigant. Le bruit de sa monture au galop ou au trot résonnait et troublait la nature calme à cette heure. La difficulté principale était l'obscurité qui forçait le jeune homme a resté attentif pour ne pas dériver du chemin, ou encore de se prendre un obstacle à vive allure. Même si sa torche l'aidait à mieux voir, elle n'éclairait pas très loin, heureusement que la plaine lune l'aidait également. Promether devait aussi resté concentré, prêt à se défendre en cas d'attaque.
A Nancy.
Au bout de plusieurs heures passés dans la campagne, il aperçut enfin un panneau de bois lui signalant qu'il arrivait à Nancy, il put ainsi mettre son destrier au pas et mettre pied à terre pour qu'il puisse enfin reprendre son souffle. Il vit au loin des torches le long des remparts. Il était soulagé d'arriver à bon port, la route lui avait paru longue et l'avait beaucoup épuisé, il était alors pressé d'aller se reposer.
Toutefois quand il arriva près des remparts il fut curieux de voir qu'il n'avait personne devant la grande porte, pourtant il avait cru voir des gardes en haut des remparts. Il soupira : " Pfff n'importe qui peut rentrer dans la ville, personne n'est là à garder la porte principale de la Capitale ". Il entra alors dans la cité et d'un seul coup un individu se précipita sur lui, une épée en main. D'un geste instinctif il lui jeta dessus la torche qu'il tenait encore en main et qui était presque éteinte. L'individu reçu en plein dans le torse la torche, et ces vêtements commencèrent à prendre légèrement feu. Pendant qu'il était en train d'éteindre son tissu en combustion, Prom eut alors le temps de lâcher les rennes de sa monture et de sortir son épée pour combattre son adversaire qui revint rapidement à la charge. Les deux hommes engagèrent un combat, Prom arriva à parer les quelques coups de son adversaire, l'étranger se battait comme un novice , le jeune homme se contenta juste de se défendre car il ne savait pas si l'inconnu était un allié ou au contraire un ennemi, il était courant au moyen-age qu'à la nuit tombée les rues étaient dangereuses et qu'on pouvait risquer sa vie. Il ne voyait même pas son visage pour savoir si cette personne lui était familière ou non. .
Les sons des épées qui s'entrechoquaient du attirer l'attention, car une autre personne arriva. Prom devaient à présent se battre contre deux personnes, il donna même un gros coup de poing dans le ventre d'un de ces adversaires. Le jeune homme essaya de se défendre comme il pouvait mais se battre avec deux adversaires commençaient à devenir difficile.... Une troisième personne arriva, il ne savait plus où donner de la tête et commençait à perdre le combat en sentant des coups de bâton et d'épée contre son armure. Une quatrième... et une huitième personne arriva, tous lui donnèrent d'important coup avec leur arme, grimaçant sous la douleur, il sentit du sang s'échappait de son corps et dégouliner. Prom ne pu faire grand chose pour se défendre et perdit son épée au combat. Un de ces adversaires lui porta un coup fatal, l'épée le traversa, et le jeune homme s'écroula au sol, sa respiration était haletante, sa vision devient de plus en plus flou, un filet de sang coulait de sa bouche jusqu'au sol, il avait terriblement mal, et il serra les dents sous la douleur. Il ne voulait pas mourir là , et il voulait encore revoir celle qu'il aimait. A cette pensée, il perdit conscience sous ses blessures.
â¦. Des images et des sons se bousculèrent dans son esprit : il entendit un hennissement d'un cheval sans voir l'animal, des pleures d'enfants, un cimetière, des ombres, un rire sadique, des murmures indescriptibles, des personnes priaient, des voix raisonnèrent il en reconnaissait certaines, des épées s'entrechoquèrent , des sons de cloches de plus en plus fort puis il se retrouva sur une scène de combat qu'il avait il y a longtemps participé, du sang gicla, on entendait des gens hurler de douleur, certains prirent des coups d'épée, d'hache ou encore de lance..., des corps et des restes humains gisaient sur le sol rouge, quand il leva les yeux de ces cadavres cette atroce scène disparue. D'autres mini scènes de son passé lui apparurent comme des paysages, des lieux qu'ils connaissaient bien, des amis et des camarades, un cheval qui trottaitâ¦. puis le parfum de son aimée, ces douces lèvres qui touchèrent les siennes â¦.
Les personnes qui l'avèrent blessé, finirent par remarquer leur erreur en voyant le visage de Prom à la lumière, on essaya de réduire la perte de sang puis quatres d'entre eux le mirent sur un brancard en bois et le transportèrent rapidement à l'hospice médicale. Une fois à l'Ost ils rentrèrent en trombe dans l'hospice et appelèrent un médecin.
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