Sofio
Un retard, porté comme un hasard des chemins, elle l'espérait moins houleux, un peu de tempérance, ne lui ferait pas de mal,l'Anjou récréative, fidèle a son passé, peuple de fierté que nul ne fera taire, elle en revenait, peut être pour y retourner dans quelques temps, par ces chemins de misère , une solitude voulue, mais qui pourtant a petit feu attisait ses entrailles et redonnait vie a ses esprits de perdition, comme a tout jamais une braise intarissable qui la consumerait jusqu'à la fin.
Morbide pensées, point de couleurs en son âme, des envies pleins la tête, un cur a jamais caché pour ne plus qu'il cause, et que ressurgisse enfin ces grands moments de débâcle.
Une retrouvaille l'attendait en ces lieux, une ou plusieurs, heureuse la veille de s'assurer que Rix se portait comme un printemps bourgeonnant, ses femmes prenaient soin de lui, il rayonnait et le faisait ressentir, mais elle le connaissait que trop bien, pour savoir que son chemin le mènerait aux grandes solitudes certains soirs en étant pourtant tant entouré,les paroles de la vieille de Polignac toujours présentes en ses pensées, retentissaient comme le fer et les traces...sang dans la vie, pluie et douleurs...
Joies des tavernes pas d'autochtones juste les visages du temps passé pas si usant, pas si loin, de quoi se ressourcer et en rire, parler de la frayeur du maire, une panique justifiée, parfois les loups deviennent agneaux, pour sortir les crocs a la tombée de la nuit, son fillot tant attendu est la aussi présent, contente de le revoir et de lui filer son cadeau, rapporté du pays on l'on excommunie a tout vent, elle lui remet la petite bourse délicatement conservée ornée d'un ruban ocre...il l'ouvre...
Prend en soin,dans certaines régions on les assaisonnent d'autres les infusent, si tu en consommes tu apercevras la lumière
Aphy a un air assez dégouté, elle apprend a la connaitre, parfois pédante il parait,mais appartient aussi a la famille.
Elle aussi grimace a la bise,une tournée de bise, un contact, rien de plus frémissant ragoutant mais l'ange sans ailes doté d'un sexe apprécie pourtant, quelques godets pour faire passer la douceur et elle leur apprend comment charmer le tout homme de base, tulys désireuse en redemande, si ca peut servir....
Tu prend l'air le plus con que tu peut te trouver, le regard creux et dans le vide et surtout le truc le plus important qui soit a chaque parole que l'homme dit toi tu plussoie
La démonstration semble convaincante a part que ca manque d'hommes, d'ailleurs en parlant d'homme il est ou le blondinet noble devenu comte parait t'il, une couronne ca change un homme, peut être qu'il faudra qu'elle vérifie ca....
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Morbide pensées, point de couleurs en son âme, des envies pleins la tête, un cur a jamais caché pour ne plus qu'il cause, et que ressurgisse enfin ces grands moments de débâcle.
Une retrouvaille l'attendait en ces lieux, une ou plusieurs, heureuse la veille de s'assurer que Rix se portait comme un printemps bourgeonnant, ses femmes prenaient soin de lui, il rayonnait et le faisait ressentir, mais elle le connaissait que trop bien, pour savoir que son chemin le mènerait aux grandes solitudes certains soirs en étant pourtant tant entouré,les paroles de la vieille de Polignac toujours présentes en ses pensées, retentissaient comme le fer et les traces...sang dans la vie, pluie et douleurs...
Joies des tavernes pas d'autochtones juste les visages du temps passé pas si usant, pas si loin, de quoi se ressourcer et en rire, parler de la frayeur du maire, une panique justifiée, parfois les loups deviennent agneaux, pour sortir les crocs a la tombée de la nuit, son fillot tant attendu est la aussi présent, contente de le revoir et de lui filer son cadeau, rapporté du pays on l'on excommunie a tout vent, elle lui remet la petite bourse délicatement conservée ornée d'un ruban ocre...il l'ouvre...
Prend en soin,dans certaines régions on les assaisonnent d'autres les infusent, si tu en consommes tu apercevras la lumière
Aphy a un air assez dégouté, elle apprend a la connaitre, parfois pédante il parait,mais appartient aussi a la famille.
Elle aussi grimace a la bise,une tournée de bise, un contact, rien de plus frémissant ragoutant mais l'ange sans ailes doté d'un sexe apprécie pourtant, quelques godets pour faire passer la douceur et elle leur apprend comment charmer le tout homme de base, tulys désireuse en redemande, si ca peut servir....
Tu prend l'air le plus con que tu peut te trouver, le regard creux et dans le vide et surtout le truc le plus important qui soit a chaque parole que l'homme dit toi tu plussoie
La démonstration semble convaincante a part que ca manque d'hommes, d'ailleurs en parlant d'homme il est ou le blondinet noble devenu comte parait t'il, une couronne ca change un homme, peut être qu'il faudra qu'elle vérifie ca....
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