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[RP] Taverne le Rat Crevé

pnj
Lorenz s'approche, envoie à Madà un Trugarez aussi sonnant que la clicaille qu'elle laisse sur le comptoir. La Bretonne ne lui avait pas proposé de faire un brin de route ensemble? Prend le risque que le « Allons-y » ne lui soit pas adressé mais qui ne risque rien n’a rien! Retire prestement son tablier. Siffle pour attirer l'attention de la pimbêche blonde qui était derrière le bar à son arrivée.

La blondasse, ramène ton fion ici, ta p'tite pause est terminée. Faut pas abuser de mes largesses. Y'a le M'sieur du fond qui veut ce que t'as de meilleur comme tu vois, il attend encore parce que j'ai rien trouvé de bon à lui offrir, ayant donné ce qu'il y a d'mieux aux dames là.

Se retourne vers le dernier client entré.

Désolée mon p'tit père, j'étais là que pour m’amuser un brin. La jeunette prend la relève et s'occupera d'toi! Pas aussi bien que j’pourrais l’faire mais bon, l’devoir m’appelle.

Décolle en moins de deux hors de la taverne, le poitrail secoué dans tous les sens à chaque enjambée, les paluches en l'air qui s'agitent...

Mam'zellllllllle Loooooooooorenzzzzzzzz!! Attendez-moi!! La BretooONNNNne!! Puis s'éclipse au coin d'une rue, la retrouvera, la retrouvera pas, l'histoire ne l'dit pas.

--Phaxien


Phaxien attendait tranquillement lorsque la dame du comptoir lui dit que c'est une blonde qui s'occupera de lui. Il se moquait de qui s'occuperait de lui, tout ce qu'il voulait c'était des information et de quoi boire un coup au passage.

Lorsqu'il entendit la dame crier "la bretonne", Phaxien se redressa. La personne qu'il cherchait était d'origine bretonne, possible qu'elle le connaisse. Quoique celui-ci était souvent rendu ici et là, ce qu'il cherchait à savoir était sa destination finale et non où il était actuellement.

Il rangea son couteau pour passer sa commande, il irait ensuite à la recherche de quelques informations, des personne voyageant beaucoup pourraient l'aider plus facilement.
--Nifingre
La première tache de sa besogne était faite, Nifingre entrât dans la tumultueuse Taverne du Rat Crevé. La Cour des Miracles partait bien son nom et il savait qu'ici plus qu'ailleurs, il trouverait ce qu'il cherchait, ce qui devait chercher.

S'installant confortablement dans un coin tranquil de la taverne. L'homme, habillé de noir et encapuchonné, sortit deux papier, l'un était vierge, l'autre non. Puis il sortit une plume et de l'encre. Ainsi il était prêt et il attendait.

Ce qu'il se demandait c'était : comment pourrait il faire ? Comment cela se ferra afin que tout reste dans le plus grand des secrets pour ne pas mettre à mal son maitre ? Il sortit alors une bourse qu'il possât sur la table. La bourse semblait remplit d'or, mais ne l'était nullement, le fait était là pour attirer les curieux afin de trouver les forts et de leur offrir une petite opportunitée de gloire et de fortune, surtout de fortune...
Dante..
Il y a de ces hommes qui aiment baigner dans l'aventure, dans l'inconnu, braver les interdits et vivre dans la plus haute luxure. Des hommes que l'on peut cotoyer chaque jour, des êtres charmants, raffinés, qui ne cachent à première vue aucune tare. Mais si l'on fouille bien, l'on remarque là de bons libertins parfois bien trop abusifs.
Il faut aussi admettre que les nobles n'ont pas beaucoup de loisirs, si ce n'est la chasse et les quelconques rencontres entre bougres autres nobles. S'occuper de paysans n'étaient pas une tâche très sociale au final, cela ennuyait les Nobles, il fallait bien se désaltérer.

Voici donc comment moi, San Dante, noble Marquis et Vicomte, fit mon voyage de Milano jusqu'en la terre baignée de sueur et de saletés qu'est la Cour des Miracles. Lieu de prédilection pour ma soif de non chasteté, pour ma soif de conquêtes et bien de dérisions.
Le plus dur était de ne point paraître pour le noble que je suis, je représente en effet une couronne, et l'éducation que j'ai reçu de tout cela m'offrit quelques postures gênantes dans un milieu de "bonnes gens".
Oui, celle qui nous fait nous tenir droit, sans vrombissements de la colonne vertébrale. Il fallait donc éviter cette tenue trop classieuse, et aussi changer de vêtements, il était bien beau de se vêtir à la mode Milanaise, mais de là à se faire voler toutes ces frusques et argents que je pouvais me trimballer dans ma besace... que nenni!

Ainsi, armé d'une fine lame empruntée à un pauvre forgeron, de vêtements point sales, ni en haillons, mais suffisamment pauvre de tissu pour se camoufler correctement dans cet antre de pêchés.
Marchant, évitant de prendre mon fidèle destrier, je me rendis dans la Cour des Miracles, me promenant ci et là, voyant des êtres un peu sombres, étranges, n'y prêtant point attention je poussais la porte de la première taverne rencontrée.

L'intérieur était sale, écoeurant, poussiéreux, peut être même y avait il vraiment des rats crevés, peut être dans la nourriture qu'on pouvait surement acheter dans les parages... Je me décidais même à ne rien manger provenant de cet endroit. En arborant un des plus beaux sourires, je me rendis vers le comptoir, mais visiblement des clients attendaient déjà, et la tavernière s'en était partie, l'attente d'un nouveau tavernier se prêtait donc.
Je me posa sur une des chaises près du comptoir et attendis tout en scrutant les autres personnes


"Mio Dio..."
Romance
poussant la porte de cet endroit delabré , romance sourit , il reconnait bien la le lieu dont lui avait parlé son ancetre . d'un geste de la main il enleva la poussiere de sa cape en piteux etat , puis retira sa capuche .

il fit quelques pas en avant et balaya la salle des yeux ..il ne put s'empecher de fixer les personnes presentes dans la taverne plusieur minutes , pour enfin s'installer a ce qui pourrait ressembler a une table , dans un coin relativement sombre .


quel endroit charmant ....quoique la population laisse a desirer se dit il dans un murmure .


s'asseyant sur un tabouret , il sortit un parchemin , sa plume et son encrier puis commença a gratter le vieux papier de la pointe de sa plume .
--Louis_sifer
Louis_Sifer trouva ce qu'il cherchait, tout au nez qu'il l'avait repérée la taverne.

Si Ombre02 irait quelque part, ce serait forcément là.

Il pénétra dans l'établissement et s'installa à une table posant son havresac devant lui. Il en sortit les pièges à lapin, hérisson et autres riches passants des rues se promenant seul à une heure tardive. Le précieux métal, bardé de longues pointes, était à retravailler à la main pour être facile d'emploi.

Voyant la greluche du bar, il la héla

Du vin, la gueuse, du vin ! je paye comptant !

Il se remit à son ouvrage.
Romance
voyant que la population de cette taverne s'empirait d'heures en heures . romance se leva , deposa quelques ecus sur le comptoir verdatre , aux limites de la pourriture .

c'est ma tournée lança t'il d'une voix calme et observant le comportement des clients ..si jamais on put appeler cette bande de cadavres dont la seule faculté et encore de respirer .

il mit son manteau de cuir et baissa les epaules sous le choc . de ses deux mains ,il releva ensuite le col pour cacher le plus possible son visage .
enfin , de son pas lourd et desinvolte , se dirigeant vers la sortie , il croisa un homme qui venait de s'installer , il l'observa longueument de son regard soutenu , le devisagea , le contempla , pour enfin esquisser un leger sourire sur son visage .



il sortit enfin de la taverne en riant ... seul .. comme a son habitude , la porte se ferma et il se jura de ne plus l'ouvrir avant un bon moment .
--Jeunot
Incapable de décider lui même? Non mais la fallait pas exagérer, lui propose elle décide mais bon puisqu'on lui donne le libre arbitre...Comptez bien l'emmenez dans un etablissement qui à un peu de classe mais réflexion faite la bière immonde du rat crevé devrait la remettre à sa place et ne parlons pas du lit. Et puis ce serait ça petite vengeance à lui et celle de tout les autres hommes qu'elle à traitez comme à elle traité le jeunot. Sur que c'est pas malin mais ca jeunesse excuse tout et puis s'amuser était ce qui lui permettait de garder une part d'innocence pour ne pas perdre son humanité.

Donc on a dit le rat crevé, donc on tourne a droite on traverse la foule, on repousse les mains chapardeuses, on joue de l'épaule et quelque coup de pied quand ça avance plus. Puis ensuite à gauche on accélère le rythme pour éviter de se faire encerclé et on sort la dague pour les plus audacieux. La suite du chemin semble presque calme dans ces ruelles ou tant se sont perdu pour ne plus jamais en ressortir jusqu'à face à face pas vraiment équitable donc les petites rues semble toute indiqué et l'allure rapide fortement recommandé. Le labyrinthe de ruelle lui le connait bien et heureusement car aussi non tout n'aurait pas si bien fini.
Apres ce court périple la vieille taverne aux allures pitoyable semble presque amical et le jeunot ne perd pas une seconde pour y rentrez. Pas grand monde comme à l'accoutumée et la commande est vie passé et c'est par habitudequ'il s'installa dans une des tables du fond loin des regards.
Le moment propice pour se remettre à parler

J'ai commandé ce que le tavernier fait de meilleur, je pense que votre estomac devrait pouvoir supporter pour la boisson si vous étes jamais venu je vous conseille d'y aller doucement.
Maintenant que nous sommes dans un endroit tranquille si vous me disiez comment vous vous êtes retrouvez ici j'adore les histoires et puis je pourrez vous en racontez une ou deux en fonction de ce que vous cherchez.
Kelel
« Merci du conseil... » furent les seuls mots que Kelel lâcha après leur arrivée discrète au sein de cette taverne crasseuse et puante. Comme si elle avait l'estomac d'un gamin de trois mois...

Léger temps d'adaptation. Le regard curieux sonda la pièce et les quelques individus, puis se leva vers le plafond.
Profond soupire alors qu'elle prenait place à la tablée.
L'endroit s'annonçait aussi déplorable que le nom l'avait indiqué, mais en même temps, tout cela dégageait quelques intrigues prenantes -sans compter les effluves mêlant alcool, sueur et parfums trop lourds pour être ceux de Dames. Elle devrait s'y faire. Encore heureux pour elle, elle n'était pas difficile, et s'accommoder de peu. Une volonté contraire était bien souvent un simple caprice destiné à tromper l'ennemi ou bien un jouvenceau trop hardi.

Le Jeunot, cet imbécile, il se jouait d'elle et prenait visiblement un malin plaisir à lui compliquer la tâche, plus que de nécessaire... Et bien soit! s'il voulait jouer au plus fin avec elle, ils allaient jouer. Elle était loin d'être la dernière pour ce genre de petits jeux sournois et hypocrites. Il fut un temps, lorsqu'elle était plus jeune, c'était le genre d'activités qui remplissait le plus les journées. Avec le temps elle avait y avait pris goût, et maintenant presque toutes les occasions étaient bonnes pour peaufiner ses techniques et répliques cinglantes, et autres joyeusetés déplaisantes pour la personne visée.

Encore quelques coups d'œil sur le bâtiment. Une brève et veine tentative pour s'accoutumer à l'odeur, puis elle alla chercher le regard du jeune homme l'ayant mené jusqu'à ce trou sordide. Pourquoi s'intéresser ainsi à la raison de sa venue ? Les étrangers n'étaient pas rare ici, bien au contraire. La preuve, elle en était, et pourtant était l'une des dernières à vouloir venir errer ici.
« Ce que je fais ici ? Ma foi, pas grand chose. Je m'attire quelques ennuis ici et là. Je joue les acrobates en compagnie d'un fol... » Haussement d'épaules suivit d'un battement de paupières préparant une reprise de parole: « Je te trouve bien curieux, que cherches-tu donc ? Si tu fais cela afin de te faire une idée du statut de ma petite personne, sache que je n'ai rien à t'offrir. Fauchée comme un blé la blonde! Qui pourrait y croire ? » En coin de lèvres: Un sourire. Une grimace laissant apparaitre dans le coin droit une canine blanche et effilée. L'Oiselle soupira et d'une voix étranglée rajouta quelques mots: « Il suffit... As-tu demandé une chambre ? J'aimerai monter, j'ai... une chose à régler, et il se pourrait que tu doives me donner un coup de mains. Bien sûr, je suis consciente que tout travail mérite salaire, si jamais la question te traversait l'esprit.»
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Chtonk!
--Jeunot
A ceux qui s'attendait que la taverne soit mieux de l'intérieur c'est raté. Pas grand chose avait changer de puis ça dernière visite des lieux, toujours les même têtes ravagé par l'alcool, toujours les mêmes coin sombre ou ce rejouer les mêmes complot éternellement.
Le regard du jeune homme faisait le tour de la salle scrutant chaque recoin se prévenant ainsi d'éventuel problème et c'est donc le regard perdu qu'il écouta les paroles de son employeur. Devait donner l'impression de ne pas si intéresser même si en vérité il se concentrer sur chacun de ces mots cherchant déjà a démêler mensonge et vérité. Avait l'habitude de traiter avec ce qui se fait de pire en crapule et valait mieux qu'il distingue le vrai du faux.

Mais bon rien de vraiment nouveau, pas de changement d'intonation toujours ce même ton autoritaire, devait surement cacher quelque chose mais il s'y intéresserait plus tard. Devait juste choisir soigneusement ces mots, donner l'impression de juste faire son travail d'homme de main. Il fera son enquête sur elle dans la nuit et il serait dans son intérêt qu'elle n'en sache rien.


Curieux? Autant que tout les gens de mon age. Et puis je me suis déjà fait une idée sur votre personne enfin j'ai pu découvrir quelque un de vos traits de caractère j'espère pas le meilleur côté. Pour la chambre allez vous couchez quand bon il vous semblera mais profitez de votre rapas d'abord après tout vous l'avez payer et une fille fauché comme vous ne gaspille surement pas l'argent. Nous reparlerons du travail demain je serais ici.
A et une dernière chose, n'essayer pas de m'arnaquez!


Il prononça cette phrase d'un ton tout autre, cela ne dura que quelque seconde pendant lesquelles l'enfant c'était transformer en un loup cruel et affamé qui attend son repas, il devait lui faire comprendre qu'elle risquait sa vie si elle s'amusait avec lui. Esperons pour elle qu'elle avait compris que ce n'était pas à n'importe qu'elle gamin des rues qu'elle s'adressait.
Une fois les derniers mots sortit de sa bouche il reprit son repas comme si de rien n'était, il avait resumer toute les conditions du contrat en une seule phrase maintenant à elle de décider si elle acceptait de faire affaire, lui serait l
Kelel
Brusquement, elle se figea, et son visage se durci autant que pourrait l'être une statue Antique. Néanmoins, et malgré toutes espérances qu'auraient pu espérer le Jeunot, elle sourit, et hoqueta d'un rire étouffé. Amusement ? Peut-être, peut-être pas. La jeune femme secoua brièvement la tête, passa la main dans sa chevelure afin de se dégager le visage et fixa le gamin dans le blanc des yeux. Que croyait-il ? Il en faudrait un peu plus pour l'effrayer, mais bon, c'était un début comme un autre.

Kelel se leva de table. Un repas ? Plus tard. Elle fit le tour et se plaça dans le dos de son accompagnateur, déposant ses mains sur les épaules de celui-ci et venant lui susurrer quelques mots à l'oreille:
« Ca mon Chou, ça dépendra du boulot que tu me rendras. » L'une des mains resserra sa prise, non pas en mal, simple réflexe. « Tu seras aimable d'attendre pour rejoindre la chambrée, pas la peine de monter à ma suite, cela risquerait de m'agacer fortement. »

Elle se redressa, ébouriffa la tignasse du gosse et se dirigea d'un pas rapide jusqu'aux escaliers menant aux chambres. On la conduisit jusqu'à une pièce très... sobre...
Un lit fait rembourré de brins de paille, recouvert de draps d'une propreté douteuse et d'une vieille couverture de laine; une commode où reposait une jarre d'eau et une bassine; une chaise dans un coin.
Le stricte nécessaire en un sens, si on n'était pas trop exigeant.

Kelel concilia la serveuse et claqua la porte où elle s'appuya aussitôt. Durant quelques secondes elle resta ainsi, calme et presque sereine.

D'un mouvement de bras elle se débarrassa de sa cape poussiéreuse, qui vint s'écraser sur la chaise, suivit de près par une sacoche. Tout un brique-à-braque à première vue inutile et digne de toutes les femmes.
Suivirent à cela quelques minutes de rangement et commença une préparation minutieuse dans la bassine. Des poudres furent verser dans le contenant, se transformant au premier contact avec l'eau en une pâte peu ragoûtante. Il fallait laisser la mixture se reposer quelques minutes, durant ce temps la damoiselle secoua par la fenêtre ses affaires, puis déposa le tout sur le lit.
Visiblement elle n'était pas décidée à dormir sur les draps fournis. Sa cape ferait l'affaire pour cette fois.

Elle marcha jusqu'à la porte, verrouilla cette dernière afin d'éviter la moindre intrusion, puis retourna jusqu'au lit où elle prit place.
Elle se dévêtue dans sa quasi-totalité, laissant apparaître la longue estafilade qui lui déchirait les chairs du dos. Légère grimace.
Il lui fallait impérativement s'atteler à la tâche de soigner cette vilaine plaie. Hors de question de laisser ça en l'état! une infection serait mal venue, surtout dans une insalubrité pareille.

Kelel batailla donc durant de longues minutes pour réussir à recouvrir entièrement la blessure de son étrange boue, et encore, car avant cela elle avait dû désinfecter le tout. Pour faire simple: De l'alcool fort versé en grande quantité à même le corps. La douleur s'était dévoilée dans toute sa splendeur, lui arrachant sans vergogne une larme. Mais le pire était pour l'instant passé. Il lui resta à se mettre quelques bandages, et enfin elle pouvait envisager de se reposer. Bien sûr, elle rangerait un peu, entassant toutes ses affaires contre le mur du lit où elle prendra place. Au moins, si quelqu'un voulait y toucher, il faudrait la faire se bouger d'abord!


« Trop de mésaventures pour aujourd'hui ma pauvre Kel', t'as plus l'habitude de tout ça... Elle, elle l'avait cette foutue habitude... Elle aurait mieux fait d'te crever, sale garce que t'es plutôt que d'te laisser la vie sauve... » Hum. La donzelle se parlait à elle-même, remuant visiblement le passé. Mauvaise chose que de ressasser les souvenirs. Cela ne menant nul part, elle préféra s'allonger sur sa couche, se recroquevillant sous l'une des couvertures miteuses. Morphée ne se fit pas prier pour une fois. A peine ses paupières s'étaient-elles fermées qu'elle rejoignit le monde des songes.
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Chtonk!
--Jeunot
Lui qu'il s'attendait à une réplique cinglante eu juste pour réponse les mains douces de la belle qui venaient se poser sur son corps, lui qui s'attendait à des cris reçu un chuchotement comme quoi les femmes étiant parfois étrange mais bon ca le dérangeait pas que ça que sa partenaire se montre douce pour une fois. Pas de quoi lui donner de faux espoir qui aurait été balayé par les quelques mots suivant, non il c'était fait une raison le gamin. Mais bon pour une fois qu'elle lui parlait bien il en profitait.

A peine le temps de ce remettre de ce moment de tendresse que la belle était déjà parti et il regarda monter profitant de la vision offerte, encore quelque seconde et le voila seul. Beaucoup de chose a faire et pas beaucoup de temps mais d'abord a table. Pas tout les jours que le repas était offert et pour lui la pitance que la plupart aurait recraché était presque ce qu'il avait manger de mieux, surement 'un des avantages de rien avoir, on se contente de peu.
Voyant la taverne se remplir peu à peu il sut que la nuit commencer à la cour, c'était maintenant que les choses sérieuse commençait pour lui. Il avait une enquête à mené et les quelque homme la bas ce ferait un plaisir de lui répondre e échange de quelque biére qui serait offert par leur or qui allait bientôt devenir sien.

Quelque verres plus tard il faisait la conversation avec ces nouveaux amis, un des gardes de service dans le coin et qui trouvait plus sur de le passer e taverne que dans les rues , un receleur du coin et le tavernier de l'auberge. C'était son jour de chance, les trois hommes connaissaient tout les derniers potins et ce faisait un plaisir de les partager. Apres avoir prit les nouvelles du jour et quelque autre informations utile il les questionna sur la nouvelle venu. Apparemment rien d'anormal avec elle.
Soit elle cachait rien soit elle, agacé de rien avoir trouvé à exploiter le jeunot paya un dernier verre à tous et sorti de la taverne. Juste le temps de renouveler les arrangements qui ne durée jamais plus lomgtemps que du lever jusqu'au coucher du soleil. C'est comme ça que ca marche, c'était son monde et demain il ne sera pas plus périlleux qu'aujourd'hui, il avait juste du rallonger le prix pour kekel.

Se demandant toujours pourquoi il faisait temps d'effort pour une étrangère qui le méprisait il prit le chemin de la taverne, direction sa chambre, les affaires furent vite enlever, de quoi se défendre sous l'oreiller, puis enfin le sommeil. Une nuit courte commença....

Le soleil se lever et lui aussi, pas de temps a perdre pensa t'il mais c'était pas l'avis de tous car il fut le premier à descendre dans la salle ou il entama la conversation avec la serveuse ,le tavernier n'étant pas là pour patienter.
Kelel
Nuit agitée. Réveil douloureux. Foutue Cour, elle n'était décidément bonne qu'à attirer les tourments sur les braves gens!

Les quelques heures de sommeil que Kelel réussit à trouver s'avérèrent très mauvaises. L'estafilade lui tira l'échine toute la soirée durant, et au matin, celle-ci attendit le premier geste pour venir saluer la jeune femme comme il se devait d'être! " Toutes choses qui ne nous tuent pas, nous rendent plus fort. " Jamais elle ne s'était sentie aussi vivante depuis quelques années! Diantre, il faudrait se faire poutrer la trogne plus souvent! Seul le temps pourrait atténuer les douleurs, mais sans doute en garderait-elle des traces plus longtemps qu'elle aurait pu l'espérer.

La donzelle s'était éveillée dans un sursaut, et donc d'une humeur massacrante. Pauvre gamin! qu'allait-il devoir supporter. Elle ne le faisait pas encore baver suite à ce sauvetage, mais ça ne saurait tarder. D'ailleurs, elle ruminait encore cette histoire, cherchant le "Pourquoi?" à ce comportement... Un fol au mieux! un vrai. Peut-être avait-il pris la porte et n'était-il pas encore revenu ? C'était un point qu'elle espérait. Elle ne pouvait se permettre de se trimballer avec un gamin errant plus longtemps, et s'il lui était possible de s'en débarrasser sans devoir faire une rallonge, elle le ferait, ça ne serait pas une grande première.

L'Oiselle se revêtue de ses vêtements, ramassa ses affaires traînant ça et là, puis alla jusqu'à la porte. Dernier coup d'œil sur la pièce afin de vérifier si rien n'avait été oublié. Non, rien. On pouvait partir l'esprit tranquille.
Elle descendit les marches quatre à quatre et débarqua dans la salle principale comme le ferait un cheveu dans un bol de potage. Personne en bas, si ce n'est le Jeunot et la même serveuse que la veille. C'était donc parfait, elle n'aurait pas à se méfier de quinze personnes à la fois. D'un pas feutré, la jeune femme se glissa jusqu'au comptoir, où elle réclama quelque chose à se mettre sous la dent. On lui refila quelques morceaux de pain, elle les accepta et demanda la note.

Son regard, durant un dixième de seconde, sembla devenir hagard. Pas que se soit vraiment salé comme addition, mais pour un tel gîte et couverts, on pouvait trouver moins couteux.
« Et bien, j'avais trouvé la nuit désagréable, finalement, avec un tel réveil on s'dit que c'était très intéressant de partager sa couche avec les rats. » Un long soupire accompagna l'une de ses mains jusqu'à-ce qu'elle aille donner une vingtaine ou trentaine d'écus à la serveuse. Pas besoin de vérifier, le compte y était, et si ça n'était pas le cas, on ne manquerait pas de le lui faire remarquer.
Ceci étant fait, Kelel prit la direction de la porte s'en ajouter un seul mot, pas même au jeune homme, et sortit aussi rapidement qu'elle était apparue.

Au dehors, l'air matinal n'en n'était pas moins lourd et humide. Il n'y avait pourtant pas d'orage dans l'air, juste l'humidité de la nuit et sa fraicheur encore très présente venant vous faire grincer les os. Une belle journée en perspective. Une bonne occasion de faire des affaires. Allez, il était déjà trop tard, et l'on commençait déjà à s'affoler dans les rues.

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Chtonk!
--Jeunot
Fin de la recréation, revoilà kelel d'une humeur aussi massacrante que la veille. Lui qui avait espérer que la nuit lui ferait du bien à croire qu'elle aimait ça. Et c'était encore lui qui allait devoir supporter ça mais bon il pouvait pas vraiment ce plaindre, c'est lui qui avait décider de travailler avec elle.
Enfin ce matin il ne sera pas ça première victime, la brave serveuse allait apprendre à la connaitre et sans broncher silvouplait. Rien de bien nouveau enfin presque. Car sans le savoir elle venait de reveiller la convoitise du jeunot, car sortir tant d'or était comme signer son arret de mort ici. Surtout qu'elle le fit presque naturellement, pas si ruiné que ça la donzelle....

Maintenant rester à trouver comment s'y prendre pour que tout cette or change de main. Persuader que cette argent devait lui revenir le jeunot se mit à cogiter, devait improviser un plan et vite. IL pouvait toujours continuer de la suivre mine de rien et lui prendre de force mais il trouva le procéder trop grossier pour lui. L'esprit toujours en ébullition il se retourna pour entamer la discussion mais la donzelle s'était déjà envolée. Maintenant enragé qu'elle ai oser le quitter sans un mot croyant pouvoir l'abandonner lâchement apres ce qu'il avait fait pour elle.
Pour qui se prenait elle?

N'ayant pas de temps à perdre il quitta la taverne et commença à parcourir les rues à peine réveiller de la cour. On ne se débarrassait pas comme ça de lui et il allait lui apprendre. Le loup était en chasse et il avait faim. Persuader de jamais la retrouver comme ça il se hata de rejoindre les toits ou il pourrait facilement la retrouver et la poursuivre. L'oeuil au aguets il scruta la foule et fini par repérer sa proie discutant avec quelque personne. Ne perdant pas de temps à savoir qu'elle affaire elle entretenait il dirigea vers elle et une fois encore se retrouva au dessus d'elle. Pas le temps d'agir avec discrétion ou une connerie dans le genre, aucune entrée fracassante pour cette fois ci , il se contenterait de profiter des établi marchandes pour revenir au sol ce qui était considérer par la plupart comme exceptionnel mais qu'il jugeait bien trop banal pour quelqu'un comme lui.
Bon plus que deux trois petit détails à régler et il pourrait discuter calmement avec kelel. D'abord on s'occupe des curieux , ceux qui savent pas qu'a la cour on s'occupe que de ses affaires. L'avantage c'est qu'ils étaient facilement effrayable et la simple vue d'une lame pointé en leur direction d'un air mauvais les fit déguerpir.
Puis vint le commerçant qui se plaignait bien sur car d'aprés lu ile gamin avait empecher la vente du siècle mais son monologue fut interrompu par le brusque éclat de rire du gamin faisant ainsi comprendre à l'escrot en place qu'il ne gagnerait rien de lui.
Bon celle qui recherchait été toujours la, ne voulant pas la perdre de nouveau il se rapprocha d'elle au maximum, arme en poing créanrt un effet menaçant pas forcement voulu.

En bien vous étes une femme fuyante,pas vraiment une qualité quand on fait des affaires à moins d'étre sur de plus jamais revoir la personne ainsi escroqué. Manque de chance je suis plutot tenace. Alors maintenant on fait quoi? Vous tentez encore de vous echappez et d'ici la fin de la journée on retrouvera votre corps dans la caniveau ou on fait des affaires dans les regles? N'oubliez pas je suis ici chez moi et vous nom. Rappelez vous notre premiére rencontre et ce qui aurait pu vous arrivez.
--Obscure
Cette nuit une étrange apparition ferait son entrée dans la taverne du Rat crevé. rare était les employés de La rose Pourpre dans ce coin si, mais la belle Obscure, servante du bordel, était cette nuit dans un état lamentable. Elle était fâchée à cause de la nouvelle Intendente et de thorval et de La Succcube et de la gamine et de... Finalement, tout le monde l'énervait das ce milieu. elle décida donc d'allerse détendre dans un endroit calme et discret. Obscure avait une grande chevelure noire bouclées et de magnifiques yeux bleus, mais ce soir ses yeux étaient presque noirs tellement la colère l'animait. Sa peau était blanche comme la neige et sa beauté était digne des filles de la Rose, mais elle n'était qu'une servante. La jeune femme entra dans la taverne et jeta un regard autour d'elle etun sourit éclatant apparu sur son doux visage et elle alla s'installer au comptoir et dit:

Et bien j'offre une tournée générale pour tous et buver à la santé des hypocrites...
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